Publié le 14 Octobre 2019

Haïku

Un arbre seul

Une cigogne a fait son nid 

Elle attend l'été

 

Sur le thème des 10 mots 2017

Héberger un homme

Un nomade venu d'ailleurs

Fuyant son pays

 

La vache qui rit, rit

Mais personne ne sait pourquoi

C'est un canular

 

Tu es un pirate

Sur l'océan tu navigues

Sans loi ni cravate

 

Toi le fureteur

Fouine curieuse et indiscrète

Tu es un voleur

 

Je suis un fêtard

j'ai crée mon avatar

pour boire dans un bar

 

d'autres haïkus, sur le thème du jardin

Tondeuse en panne

Jardin en folie

C'est la jungle

 

Grimper dans le griottier

Souvenir d'enfance

Le tronc est rugueux

 

Le soleil brille

Les griottes roses

acidité

 

Haïkus écrits lors d'un voyage au Japon en 2014, pays de  Bashō  car où, mieux qu'au Japon écrire des Haïkus !?

Dimanche 19 octobre

Réveil en pleine nuit

Pollution, c'est la crise d'asthme

Tendresse d'un ami

 

Lundi 20 octobre

Les doigts de la pluie

Assaillent nos carreaux endormis

Fraîcheur de la nuit 

 

vendredi 24 octobre

Dans un temple, un monde !

Feuille d'érable,

Indifférente à l'agitation

 

Samedi 25 octobre

Le vol d'une cigogne

Joie, bonheur de l'amateur

La photo est réussi

 

Mardi 28 octobre

Le verre, transparent, 

A des reflets d'eau, d'argent

Qui brillent au soleil

 

Mercredi 20 octobre

Pots sur le Trottoir

Les jardins lilliputiens

Pullulent dans la rue

 

et enfin

Jardin potagers

A la campagne ou en ville

La nature est là

 

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Textes personnels

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Publié le 10 Octobre 2019

Textes écrit avec des cartes postales faisant la promotion de spectacles (images et textes/parfois recto-verso), à Avignon. Consigne : choisir une carte. Commencer à écrire une histoire. Utiliser la carte du voisin pour poursuivre son texte, ainsi de suite avec toutes les cartes qui circulent de mains en mains…

Circulez !

Je suis guéri, à qui le veut bien, soit, c’est long

1 parcours un long tunnel au bout duquel on voit enfin la lumière de la guérison.

2 Suite à ça, la mérique se présente à moi et l’univers de la danse ne me déplaît pas, tout au contraire.

3 Fier et content d’être sur la voie de la guérison en musique peut-être que des personnes ne voient pas ma guérison mais bon…

4 ? rien ne me vient

5 Cette carte dit bien que c’est deux fois rien d’être en mal d’inspiration

6 L’heure avançant cette carte de fraise réveille en moi mon horloge du déjeuner

7 Pourquoi arrêter le monde, il tourne sur lui-même

8 Quoique nous fassions la terre tournera toujours et à chaque jour suffit sa peine et chaque jour est différent d’un autre jour.

9 Notre vie commence lorsque nous étions bébé et finira en règle générale lorsque nous serons adultes

10 Adulte, finirons-nous seul ou accompagné, en colocation simple ou multiple

Patrick

Circulez !

Elle a frappé à ma porte

ne m'a pas demandé mon avis,

elle a basculé ma vie

ma force diminue

mon poids diminue

mes cheveux diminuent

des bleus apparaissent

et ma vie devient paresse.

 

Je savoure autant que je peux 

les légumes, les fruits

et encore plus les fraises.

Je veux soudainement voyager

je me dis que peut-être

je ne pourrais plus dans quelques années

l'Amérique ?

Pourquoi pas ? ça paraît féerique

Voyage, manger, en bonne santé

que demande le peuple ... 

J’ai une haine

Je pourrais manger quelqu’un

Et malgré tout mon père m’a toujours donné la main

Calme comme un chat

Il a su rester patient

Pendant toutes ces années

Dieu merci,

Aujourd’hui je suis guérie

 

Mélissa

Circulez !

La femme du boulanger

La femme du boulanger est là, présente, à soutenir et épauler le boulanger avec un double emploi, instit. la semaine et vendeuse le week-end et le reste de son temps libre.

15 mois, finie la boulangerie, se lever très tôt et travailler 7/7. Une vraie torture et enfin la fermeture. Je suis guéri !!

Fraise, que ce fruit est bon en jus ou en sirop, ce petit fruit rouge en forme de cœur fait du bien à croquer.

De tango, quand dieu dansait le tango, ça devait être rigolo.

Que demande le peuple ? l’égalité pour tous et la fraternité, tout simplement.

Pourquoi j’ai mangé mon père, un spectacle d’art mixte l’ont fumé cru mon ingrédient principal pour la quiche.

Frédéric (ancien boulanger)

Circulez !

- Pourquoi j’ai mangé mon père ?

- Oui, pourquoi avez-vous mangé votre père ? me répète la policière qui se tient droite, face à moi, cheveux en bataille.

- Mais qui vous dit que je l’ai vraiment mangé ?

- C’est votre femme ; qui nous l’a dit.

- Ma femme, mais elle n’a pas toute sa tête, la pauvre ! Elle vous a dit quoi, exactement ?

- Que vous l’aviez transformé en chair à saucisse et que vous en aviez fourrés les petits pâtés que vous avez vendu hier.

- Non, c’est impossible ! N’importe quoi !

- N’est-ce pas à l’hôpital psychiatrique que vous avez connu votre femme, lors de votre internement, il y a deux ans ?

- Oui, mais je suis guéri, c’est le docteur qui l’a dit.

- Répondez à ma question : avez-vous tué votre père ?

- Oui !

- Ah ! on avance ! Et qu’avez-vous fait de son corps ? Et de celui de votre frère, aussi ? Celui qui aimait les fraises, m’a dit votre femme.

- Il aimait les fraises, oui, mais il est mort…

- Ah ! il est t mort !

- Oui, en voyant notre père, mort, crise cardiaque a dit le docteur.

- Et votre père, alors ?

- Jamais de la vie, je ne l’ai pas mangé, seulement tué, un soir d’ivresse ! Foutez-moi en taule, mais je ne veux pas retourner chez les fous !

Martine

Circulez !

Frèze, faux,

savourez le vrai avec un récit de femme et de tango

mais que demande le peuple ?

et pourquoi j’ai mangé mon père

avec la femme du boulanger… ?

enfin,

je suis guérie.

Aubry

Circulez !

Que demande le peuple ?

Un meilleur salaire

Un meilleur pouvoir d’achat

Changer de président.

Pourquoi j’ai mangé mon père

Parce qu’il n’y avait plus rien

A manger dans le frigo

Vincent

Circulez !

La mérique avec ta culture bétonique, je rêve de venir te voir dans le Titanic. Mon rêve c’est le même rêve que le rêve du peuple américain. Mon rêve et ma traversée ont vexé mon père, surtout quand je fréquentais la boulangerie. C’est normal, j’ai besoin d’amour après autant de guerres, alors je savoure cet amour comme je savoure une fraise.

Ziad

Circulez !

Le train roule si vite

la terre roule si loin,

le monde, où va le monde ?

Arrêtez le monde, je voudrai descendre !

 

Traverser la mer,

naviguer d’étoile en étoile.

Que nous réserve demain,

et qui sait si le soleil se lèvera ?

 

Allons dormir, demain il fera jour.

Emmène ta poupée, petite, et bonne nuit !

A quoi rêve-tu, ma fille,

Ton sommeil est si calme et si tranquille …

 

La terre est malade

la fièvre monte, elle transpire,

ses eaux gonflent, ça empire.

 

Sa guérison sera rendue possible,

Humains, avec un peu de bon sens

accueilleront ces réfugiés climatiques

ces clandestins fuyant les guerres.

Aidons-les à améliorer leurs conditions de vie dans leur pays,

collaborons pour les aider à y rester.

 

Partager, même peu

ce que savent faire les plus pauvres.

Avec deux fois rien

ils vous offrent deux fois plus.

Pdg de trust, de multinationales

gardent tout pour eux.

 

Allez, clowns, clochards, poètes

Est venu le temps de réagir !

Donnons-nous la main

lavons les cerveaux de tous ces pollueurs, tueurs sans scrupule.

Martine

Circulez !

A quoi rêvent les filles ? Tout dépend de l’âge qu’elles ont. Je pense qu’en étant une petite fille chacune rêve de princesse. Ensuite, elles peuvent rêver de mode, de leurs journées avec leurs copains. Et, arrivées à l’adolescence, les rêves sont différents, c’est l’âge des garçons !! Du premier petit copain, les premiers émois.

Je suis guérie ! une femme qui fait un spectacle plein d’humour sur les choses de la vie.

La Mérique. Une carte sur ce que pense les femmes, leurs ressentis.

Ceux que j’ai rencontré ne m’ont peut-être jamais vu. Un dialogue ou une mini-conférence et une chorégraphie

Les laveurs de cerveaux. La différence de personnages, deux hommes masqués. Un SDF solitaire et un autre qui a l’air de se cacher et d’avoir peur ;

Deux fois non. Un assemblage de valises avec un homme assis dans l’une de ces valises et une femme ou une envie de partir pour l’homme.

Frèze. Nous donne envie de manger de bonnes choses.

Arrêter le monde. Une marionnette prisonnière qui veut qu’on la laisse descendre.

Demain il fera jour. Le chaos.

Les vêtements d’une petite fille qui doit peut-être s’habiller pour partir à l’école

Nadia

Circulez !

Gianna est arrivée de son pays natal avec beaucoup d’appréhension car elle ne connaissait personne, à part sa cousine éloigné, Marina, qui avait souhaité l’héberger. Elle venait de sa Mérique du sud natale où elle pratiquait le tango assidument avec des amies. Au fil du temps celles-ci ont fini par partir aux quatre coins du monde.

Elle ne pensait pas s’entendre avec sa cousine Marina, e tout naturellement s’est liée d’amitié, et la considère comme une grande sœur, étant fille unique. Elle lui a présenté beaucoup d’amis et collègues de travail et ainsi elle se sent moins seule. Cette semaine le groupe au complet a décidé pour la première fois d’aller en Avignon pour visiter et s’amuser. Pendant tout le trajet assez long, quand même, depuis Lille, ils n’ont pas arrêté de se raconter des blagues ; si bien que le temps leur a paru moins long. Tout s’étant bien passé, ils ont tous repris le chemin du retour avec plein de souvenirs et de victuailles.

Gianna se projette au long terme, car elle a trouvé un emploi dans une crèche et des amis qu’elle apprécie de plus en plus. La colocation avec Marina se passe à merveille. A force d’aller en Avignon régulièrement, tout le groupe a fini par se faire des connaissances.

Fatiha

Circulez !

Le Japon le pays du soleil levant

L’un des pays les plus densément peuplés avec des villes mondialement connues : Tokyo, Kyoto.

Le pays qui abrite le plus grand nombre de centenaires, l’une des plus longues espérances de vie.

Deuxième puissance mondiale derrière les USA

Connue pour les combats de Sumo.

Connue pour ses industries de pointe.

Sa gastronomie est mondialement connue : « SUSHI »

Connue pour ses constructions en hauteur.

Connue pour ses tenues traditionnelles (kimono)et ses geishas.

Samia

Circulez !

Je ne connais pas le Vaucluse, mais j’aime les frèzes (fraises !) bien que la faute m’ait sauté aux yeux. D’ailleurs, j’en mangerai bien, dommage que ce ne soit pas l’époque. Obligée d’arrêter, je ne peux en manger toute l’année. Demain il fera jour et je passerai à autre chose. Aujourd’hui il fait frisquet, vive le pull et l’écharpe. Besoin de faire de jolis rêves, besoin que l’on me vende du rêve. Besoin de guérir certaines choses, peut-être un jour. Un peu d’humour et de légèreté voilà ce qu’il me faut. Je ferai bien mes valises, je prendrai un avion pour aller dans un pays chaud ou parti en Amérique.

Delphine

Circulez !

Quand le moment des vacances arrive, je me dis toujours que je ne vais pas trop me charger. Et voilà, le moment venu, lancement des préparatifs le plus pénible : les valises !! en avant la compagnie !!

Comme par hasard, je me retrouve sans aide de personne pour la corvée, mais quand je vois les enfants, je dis toujours « ramène ta fraise gariguette avant que je te mette un coup de claquette ! ».

A chaque fois j’entends dire « Je voudrai descendre ».

C’est toujours pareil quand tu prévois une surprise que rien ne va. « Vous verrez, demain il fera jour et ce sera le grand jour. Préparez-vous à vous en mettre plein la tête. »

Il faut toujours prévoir une petite laine histoire de ne pas avoir froid, sinon, glaglagla. Et vas-y que personne ne m’écoute ! pourtant, les oreilles sont ouvertes ! mais non, il faut toujours crier pour se faire entendre.

Parfois je voudrai les mettre sur une pique à brochette, histoire d’avoir la paix.

Et là, je me dis que tous ceux que j’ai rencontré ne m’ont peut-être pas vue aussi folle, hystérique. Je dois me calmer, donc je fais une crois avec mes bras et je dis « temps mort ». Histoire de souffler, je me mets à danser le tango. On va finir par me faire interner, j’ai sûrement un pète au casque. Je vais aller à Eléphant bleu histoire de me faire laver le cerveau.

Lucie

Circulez !

Demain, dès l’aube, tu verras, le soleil se lèvera sur ces plaines telle une mère qui viendra veiller sur son enfant. Le jour, vois-tu, c’est à l’amour qu’il ressemble.

La mère enveloppera son poupon dans ce doux lange bleu. Sa présence, comme une douce chaleur envahira ce nouveau-né de toutes ses tristesses.

La berceuse qu’elle lui fredonnera dissipera à point toutes ses angoisses, à la façon du pas précis qu’exécutent ces danseuses de tango.

« Tous ces beaux rêves que tu as fait, mais que tu n’as pas vu » lui dit-elle, « ils seront tous à portée de tes beaux petits doigts, car bientôt ils deviendront grands et dépasseront ton simple imaginaire.

L’histoire de ta vie ne pourra se raconter qu’avec de simples paroles.

NON

Elle se comprendra en observant bien attentivement le reflet de la prunelle de tes yeux. Les gens verront alors que tu savoureras la vraie, celle qui est la tienne. Je ne voudrais point que tu descendes de ce doux nuage du haut duquel tu aperçois ton monde si beau. Ou alors, juste pour que je vienne à ton oreille murmurer ces trois mots : « Je t’aime ».

Marin

 

 

Circulez !

Les laveurs de cerveaux sont trois personnages mi-clown, mi-clochard, ils sont drôles, poètes, féroces. Ces trois personnages partent en voyage et échangent entre eux en attente de leur avion. Ils retrouvent le silence pour s’observer.

Ces trois personnages décident de déjeuner ensemble et se rendent compte qu’ils ont un point commun, ils n’aiment pas les fraises. Tout d’un coup, le silence car ils ne se comprennent plus, le monde s’arrête. En eux, ça déraille, ça déconne, ils recherchent dans leurs mémoires des souvenirs lointains, recherchent dans leurs mémoires des souvenirs lointains. Chacun d’entre eux se replie dans son silence pour ne plus avoir à se comparer, ils se mettent à rêver des filles. Les laveurs de carreaux se posent la question sur la conséquence de leur pratique, est-ce que les personnes vont être atteintes de folie ou d’autres troubles et comment vont-ils en guérir à force de chasser leurs vieux ? Ces trois personnages partent pour l’Amérique.

Olivier

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Rédigé par Martine Silberstein

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Publié le 10 Octobre 2019

J’espère que celui qui va boire

De la soirée sera le roi

 

J’espère que celui qui va le croire

Ira se promener dans le bois

 

J’espère qu’une fois fini son devoir

Il aura retrouvé la foi

 

J’espère, J’espère, J’espère

 

Que tout ira mieux grâce au rire

J’espère car je suis celle qui jamais ne désespère

 

Quand ils connaîtront ce Sire

J’espère que frères, sœurs, mères et pères

 

Jamais ne provoqueront son ire

J’espère que dans une autre ère…

 

Car tant qu’il y a de la vie…

J’espère que restera l’espoir

Et pour la planète ce sera le répit !

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Textes personnels

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Publié le 10 Octobre 2019

Sur ma planète, il y a des ploucs

Qui prennent toute la place

 

Sur ma planète qui fait plouf

Ils vivent dans des palaces

 

Sur ma planète, et voilà, paf

Ils volent tout notre espace

 

Sur ma planète, y z-ont pas de plan

Ils polluent comme des rapaces

 

Sur ma planète qui se plisse

Ils boivent la tasse

Sur ma planète, il faut qu’ça cesse !

Martine

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Textes personnels

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Publié le 7 Octobre 2019

Mon métier, biographe, me permet de belles rencontres ! Et pour celui qui me raconte une partie de sa vie, une carrière professionnelle, ou une vie toute entière, faite de petits ou de grands événements, liés à la petite ou à la Grande Histoire, c'est parfois un soulagement, souvent une délivrance, un plaisir, même si ce n'est pas toujours facile !

Une biographie ce peut être un beau cadeau que l'on se fait à soi-même, ou que l'on offre à un proche, un ami, un frère, un parent, seul ou à plusieurs.

Une biographie ce peut être aussi l'histoire d'une association, d'une entreprise, d'un lieu, d'une maison que l'on quitte ou que l'on achète. 

Une biographie peut permettre de commémorer une date, de fêter un anniversaire, de témoigner pour laisser une trace.

Un biographie, cela peut se faire en une heure, pour un texte de quelques pages ; en un mois si l'on se voit plusieurs fois; en un an si l'on veut en faire un livre. 

Une biographie c'est se rencontrer et se raconter. Mais ce peut aussi être un texte que l'on a écrit, un carnet de voyages, un journal que l'on tient, un manuscrit ou des correspondances retrouvées au fond d'un grenier. Une biographie ce peut être retravailler son écriture pour en faire une présentation agréable à lire, sous la forme d'un livret, ou d'un livre.

Une biographie peut être émaillée de documents, de photos.

Une biographie, c'est mettre en mots, c'est transmettre, c'est se retourner sur son passé pour envisager un avenir serein.

 

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Biographie

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Publié le 4 Octobre 2019

Au fil de l'eau, moi et ma famille nous sommes allés à la mer pour nous baigner et plonger dans l'eau salée. Ma mère grondait mon petit frère qui pleurait.

Mon père a le plaisir de pêcher le poisson.

Et nous, nous sautons dans l'eau en criant comme Tarzan.

Camel

Au fil de l'eau, quand revient le printemps, le ressac est calme, les enfants jouent à la marelle. Les abbayes du moyen-âge se remplissent, les oiseaux sont gais et chantonnent. Je suis sur mon canot, et je pagaie, je pense à la querelle que j'ai eu  cet hiver avec cet homme, cheveux laqués qui a fini sur le sable, cette même personne qui m'a traité de « sale race», je sors un livre de mon sac, je tourne la première page et je me mets dans les abysses de mon imagination.

Sophian 

Au fil de l'eau, les océans se construisent donnant naissance à  des abysses, avec autant de merveilles. On peut entendre aussi un chant qui nous est cher, un moment oublié. Les courants nous emportent dans les abymes, entraînes  dans le néant abyssal. 

Julien 

Je noie mon âme damnée à l'aide d'une bouteille d'alcool que j'approche de mes lèvres en espérant être englouti dans une ivresse loufoque.

Jean-Brice

Au fil de l'eau, le vent plisse les coutures de l'eau et de l'océan. 

Il n'y a pas une once de mangrove à l'horizon.

A l'horizon n'existe rien, à part l'océan à perte de vue. Le temps est idéal pour aller surfer sur les vagues.

Gaspard

Au fil de l'eau j'ai vu ma bru en recherche d'un abreuvoir afin de s'y désaltérer. Elle plongea un récipient dans l'eau. C'était une cruche en argile. Elle est plus habituée au gin, ce n'est pas inné, chez elle, de boire  ce breuvage.

Je la rejoins, éparpillé. Un troupeau approche. Les bêtes viennent boire aussi. Nous nous éloignons et regardons au loin. C'est l'hiver qui approche. Ce sera le temps de la neige et du ski. Avant que le froid n'arrive, il faudra rentrer les ruches. 

j'espère vite le printemps.

Maxime

 

Au fil de l'eau la glace se formait mais tandis que le vent se lève, le froid est sec. Mais le matin arriva, la rosée s'installa. La couleur de ma peau était de la couleur du vin, alors je décidais d'aller à la patinoire et de manger.

Anthony

Au fil de l'eau, le caneton se laisse voguer sur cette fontaine prête à craquer. Il évite les nénuphars. Il se cache, en vérité, pour ses parents éviter. Fat étrange, il s'enfuit sur l'étang du château à la nage, évitant ainsi la ruche et ses abeilles, la cruche et la huche.

Sa bêtise est telle que ses parents, d'un air sévère, lui annoncent la sentence: il devra désormais boire dans un verre et non plus à même la mare.

Il sont fous, dit le  caneton, et plouf ! il fait une chute dans l'eau.

Martine

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 26 Septembre 2019

Et on aperçoit sur l'océan Pacifique, rêve de Lune IV digne et fier, ancré dans la baie de Coco Island au crépuscule. juste un regard sur la baie abritée, mon regard azur se reflète dans le lagon bleu fidjien derrière mes lunette filtrantes. Mon œil étonné s'arrête sur l'annexe grise surmontée de son petit moteur qui file à vive allure sur les clapots des vagues englouties. Ici il n'y a pas de saison, c'est toujours l'été, les cocotiers remplacent les arbres feuillus, bientôt l'automne venu. 

Loin de Lyon le plage de sable fin remplace les graviers citadins. Le temps s'arrête comme si la vie devenait éternelle.

Charlotte

Passion, création et liberté sont les maîtres mots

pour la composition de la musique électro

Gaspard

Juste un regard sur la campagne

Un lieu où on peut s'évader loin de la ville et des préoccupations

Quand on voit les maison, on sent la sérénité qu'elles dégagent

On y aperçoit un champ où la nature se balade librement sans barrière

Même les animaux profitent de cette liberté

Julien

Je n'avais jamais vu un roi aussi menteur

Il n'a aucun respect pour qui que ce soit.

L'espace qu'il dirige  est minuscule pour quelqu'un de sa caste

Du Ventoux jusqu'à la ville de Turin. 

Il ne se montre jamais  sauf pour sa journée de racket et de brutalité

ou, comme il l'aime l'appeler, "La collecte des impôts"

Un jour un homme plein d'espoir

Natif d'un autre royaume viendra 

Et il installera la Justice que nous méritons.

Sophian

 

Appartement pour les parents

C'est transparent

Livre à la table

Je vois les arbres qui cachent ma montagne

J'ai le micro du lion

La chaleur du fennec

Chui un travailleur

Et je veux devenir le meilleur

Etre avec les grands

Toute ma vie j'ai écrit mes impros dans le métro

Me consacrant à la musique

C'est différent de la vraie vie que j'ai connu

Idriss

Je ferme les yeux sur le chemin

Mes pupilles crient en vain, demain !

C'est l'été et le sol vole

 

Je ferme les yeux sur la nature

Mes chemins mènent à l'écriture

Liberté entre ces murs

 

Je ferme les yeux sur ce voyage

Mes expériences et puis mon âge

C'est sûr m'ont rendus fort sage

Martine

 

Posée sous un arbre,

cachée par ses branches pour éviter la chaleur,

cachée de la lumière du soleil,

Alors que je commençais à fermer les yeux pour me reposer

j'entendis un chien. 

Il s'agit d'un berger malinois 

Il joue avec son maître

Ils semblent heureux, tous les deux

Et me donnent le sourire.

Attendrie par cette scène qui s'offre à moi

je remarque tout juste un petit chat

un européen angora

qui s'allonge sur mes jambes

attendant en ronronnant

que mes tendres caresses

lui touchent le dos sur toute sa longueur

Magalie

 

 

 

 

Et tes yeux m'ont suffi pour m'afficher l’irréalité de ce ciel si bleu

Enfin, nous aperçûmes tous deux cet horizon calme et tranquille

Ferme tes pupilles et suppose que sous celles-ci brille l'irréelle lumière du sable chaud

A chaque seconde je scrute ces piliers qui en ce lieu nous bouchent le passage

Ouvre ta fenêtre qui laissera entrevoir notre soleil, caché parmi leurs nuages

Et au plus profond de cette brume, tu découvriras la flamme de ton amour qui s'embrase

Marin 

 

Ouvre la fenêtre de tes yeux

Vois ce chemin, découverte ensoleillée

Ecoute cet oiseau, ivre de liberté

 

Juste un regard sur l'espace

Vois ces mots fuyant comme sable

Ecoute les mots de la houle

 

Ferme les yeux et imagine ces jeunes

Vois comme ils gardent espoir

Ecoute leurs cris, désir de fraternité

Martine

 

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 12 Septembre 2019

Aïcha, un bocal, des bocolos, question de pluriel

Elle fait des merveilles !

Catherine, c’est sa « chignature »,

Question de prononchiation, pas d’écriture !

Cécile, gourmande, elle mange ses gâteaux,

Autant que l’informatique, bravo !

Charlotte, pour elle, la logique,

C’est automatique

David, le seul garçon, ne prend pas de gant   

Brut de décoffrage, il est surprenant

Ghislaine et Nathalie, blagues et fous rires

Deux larronnes en foire, rien que du plaisir !  

Naïma, speedy Gonzalès, c’est son tempérament

Toujours en mouvement !

 

LADAPT nous a réuni pendant six mois

Tous ensemble sous le même toit

Que d’émois, que des mois, que des moi !

 

Le groupe poursuit son chemin

En route vers son destin

Même si tous ne vont pas dans la même direction

On s’battra comme des lions !

 

Pendant tout ce temps,

Des jours durant,

Tout en apprenant

C’était marrant et stimulant

Et maintenant, c’est émouvant

Ce n’est qu’un au-revoir

Il faut nous croire…

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Rédigé par Martine Silberstein

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Publié le 9 Septembre 2019

Pour Ghislaine

Acrostiche

Gentille

Humour

Inébranlable

Libre

Attentionnée

Intègre

N’abandonne jamais

Et pour finir, bon anniversaire !

Description physique

Ghislaine a les cheveux blond mi-long avec des yeux bleus et de taille moyenne

 

Souvenir communs

J’ai rencontré Ghislaine à LADAPT, avec elle, il y a toujours une bonne ambiance. Elle a le sens de l’humour, il y a beaucoup de rires. C’est une personne agréable, une sympathique rencontre.

 

Portrait chinois

Si c’était… ce serait

Une pierre, un saphir

Un plat, un kébab

Un lieu, Roanne

Une musique, Soprano

Un vêtement, un accessoire, des lunettes solaires

Un personnage célèbre, les Inconnus

Un chiffre, 17

Une couleur, le jaune

Un caractère, entière

Charlotte

Pour Aïcha

Acrostiche

Attachante

Importante

Caractère

Humour

Aimable

 

Description physique Elle est grande, sa silhouette s’est affinée depuis quelques temps et cela lui va très bien. Ses cheveux sont bouclés et attachés mais elle les lisse de temps en temps et ça lui va encore mieux. Elle a également un beau sourire.

Souvenir communs

Avec elle, je rigole beaucoup, j’aime bien la taquiner et lui faire des farces.

Portrait chinois

Si c’était une fleur, ce serait une rose

Un personnage célèbre, Sim

Un moment de la journée, le matin

Un animal, un fennec

Un plat, la chorba

Une musique, le raï

Une couleur, le rose

Un film, un film d’horreur

 

Aïcha,

En ce jour spécial pour toi, je tiens à te dire que je t’apprécie énormément.

Tu es une personne attachante.

Tous ces moments passé avec toi, ont été merveilleux.

J’aime ta spontanéité, ta franchise, tes valeurs, ta bonne humeur et parfois aussi ton impatience, mais ça, c’est toi !

Malgré ton caractère et on ne le changera pas, tout ce que tu as traversé, tu tiens le coup, tu persévères et ne lâche rien.   Tu m’impressionnes, bravo à toi.

Je te souhaite le meilleur pour la suite, tant sur le plan professionnel que sur le plan personnel.

Pour conclure, je te souhaite un bon anniversaire et je t’embrasse très fort.

Ghislaine

Qui ne t’oubliera pas

Pour Ghislaine

Acrostiche

Généreuse

Humour

Intéressante

Sérieuse

Loyale

Active

Intelligente

Naturelle

Epanouie

 

Description physique

Une personne blonde yeux clairs, stylée, toujours mimi, elle ressemble un peu à une suédoise, toujours le sourire.

Souvenir communs

Le matin des blagues. Chinature. Mickey Maous.

 

Portrait chinois Si c’était… ce serait

Une musique, le raï

Un accessoire, un bijou

Une couleur, le jaune

Un animal, un cacatoès

Un vêtement, une robe saoudienne

17 octobre, Georgette se réveilla en pleine forme car cette journée bien spéciale car c’est son anniversaire. Elle est tellement heureuse. 50 ans, c’est quand même un demi-siècle, ahahahah…

Elle se lève pour se faire belle comme tous les jours. Elle entend son Georges parler au téléphone et décide de l’écouter. Elle entend :

« Je suis l’homme le plus heureux, car à chaque fois que je me lève, elle met du soleil dans mon cœur, c’est mon orchidée à moi.

Elle est tellement ravissante quand elle rit, elle me fait fondre. Je ne trouverai pas sa jumelle, une personne simple, loyale, intelligente, comment je ferais sans elle dans ma vie, je veux que cette journée soit gravée en elle, c’est pour cela que j’ai décidé de l’emmener voir Mickey Maous. »

George raccroche le téléphone et dit à sa belle : « Fais-toi belle pour aujourd’hui ! » et il lui tend un petit cadeau. Elle l’ouvre et voit une bague en diamant. Emue, elle lui prend des mains et lui dit : « Tu es mon bijou !».
Direction Walt Disney !

Aïcha

 

Pour Ghislaine

Acrostiche

Grande par le sourire

Heureuse, épanouie

Irradie

Seule, jamais

Libre

A l’aise

Intelligente

Naturelle

Elle, tout simplement

 

Description physique

Blonde platine, vraie blonde ? Mate de peau, l’été. Elégante.

Souvenir communs

Très attentive auprès de Charlotte

Portrait chinois Si c’était… ce serait

Une forme géométrique, le carré

Un plat, des sushis

Un lieu, Roanne

Un vêtement, un jean

Un chiffre, 50

Une couleur, le vert

Un animal, un oiseau

Un livre, un roman graphique

Une fleur, le muguet

 

La moitié d’un siècle, ce n’est pas rien !

Le bleu de vos yeux,

Le blond de votre chevelure,

C’est le printemps dans votre cœur,

Le muguet est votre fleur.

A l’aise, épanouie,

Vous aimez les sushis

Heureuse, libre comme un oiseau,

Vous aimez rire.

Attentive aux autres, naturelle

Vous n’êtes jamais seule

Héroïne de roman graphique

C’est l’été, bronzée

En jean, élégante, vous êtes carrée.

Martine

Pour Ilisa

Acrostiche

Intelligent et inspiré

Loyal et Laborieux

Indulgent, idéaliste et Intuitif

Attentionné et amour

Sociable et solitaire

 

Description physique

Il est très grand, 1m82.  Beau, calme. Réservé, une âme artiste, très perfectionniste, observateur.

Souvenir communs

 

Le soir au coucher, notre code de bonne nuit (le fils à sa maman et maman à son fils). Les repas de Simpson (fou rire). Et le voyage en 2009 à Volubilis.

Portrait chinois Si c’était… ce serait

Une fleur, passion d’Hortense

Un personnage célèbre et film, Mickael Jackson

Un plat, tagliatelle, escalope, champignons

Une musique, Je veux chanter pour ceux (Michel Berger)

Un lieu, terrain de foot, studio de musique

Un vêtement, tenue de foot

Un accessoire Un lieu,

Un chiffre, 29

Une couleur, bleu, rouge, blanc

Un moment de la journée

Un animal, un chat

 Un livre, Le gone du Chaâba, les mangas, les sandokus

Une promenade, vélo, vtt, sur les quais

 

Mon fils, l’amour de ma vie, je te dédie ces quelques lignes pour exprimer ce qu’il a de plus profond dans mon cœur.

Le jour de ta naissance a été le plus beau jour de mon existence. Tu m’as apporté tant de joie, de bonheur et de fierté pendant ces 24 ans. Nous avons surmonté toutes ces épreuves avec ses hauts et ses bas. Cela n’a pas toujours été facile avec nos caractères opposés. Mais nous avons toujours gardé un respect mutuel de mère à fils. L’amour qui nous unit est indestructible. Tu es ma force, mon courage, mon inspiration. Je suis très fière et très heureuse d’être ta maman et d’avoir un fils comme toi (cela a dépassé mes espérances) grâce à Dieu et d’avoir réussi, au fil des années à devenir un jeune homme responsable, aimant, intelligent, attentionné, sociable, loyal, avec des valeurs et principes. Ton âme d’artiste quand tu composes des chansons me fend le cœur et me remplit de bonheur. Dans ces instants magiques, il suffit que j’entende ta voix, que je te serre dans mes bras, toutes mes angoisses s’effacent. Dieu m’a donné le trésor le plus inestimable.    

Naïma

Pour Camille

Acrostiche

Chaleureux

Aimable

Marrant

Il est rigolo

L’amitié

L’envie

Enthousiaste

 

Description physique

Blond, yeux bleus, assez grand, souriant

Souvenir communs

Quand on est restés bloqués à Lyon pour la finale de la CAN, on s’est fait gazés par les flics et on est resté coincés dans Lyon centre jusqu’à deux heures du matin. On ne savait pas comment rentrer, il n’y avait pas de bus ni de métro.  

Portrait chinois Si c’était… ce serait

Un animal, un jaguar parce qu’il a l’œil partout

Un plat, un bœuf bourguignon

Une couleur, le gris

Une fleur, un pissenlit

Un moment de la journée, le midi

Un chiffre, le 31

 

Toi qui es mon plus fidèle ami de LADAPT, te souviens-tu de notre soirée à risque pour la finale de la CAN ? Nous étions partis en ville avec Sophian, nous pensions passer une soirée tranquille, mais c’était tout le contraire. Nous nous sommes retrouvés coincés dans Lyon centre jusqu’à deux heures du matin. Au final, quand on y pense, c’était une bonne soirée malgré toutes nos galères. T’es quand même bien sympa pour un 2000.

Sollène

Pour Sollène

Acrostiche

Souriante

Objective

Livre

Lecture

Elégante

Nocturne

A l’écoute

Description physique

C’est une personne blonde aux yeux bleus, pas très grande et très gentille

Portrait chinois Si c’était… ce serait

Une couleur, noir

Un animal, un chien

Une fleur, une pâquerette

 

Toi, Sollène, te souviens-tu de tous mes délires en cours ? Toi, Sollène, te souviens-tu de la soirée du 20 juillet chez moi à la Croix-Rousse ?

Camille

 

 

Pour Marie

Acrostiche

Mains dans la farine

Agréable

Rigolote

Imaginative

Enervante

Description physique

Ma sœur a les cheveux châtain clair, elle est plus petite que moi

Portrait chinois Si c’était… ce serait

Une fleur, une violette

Un moment de la journée, le soir

Une musique, les Rollings Stones

Un vêtement, des Louboutins

Une couleur, le rouge

Une boisson, le champagne

Un animal, un staff

Un lieu, Oullins

Un chiffre, 22

Souvenir commun

Le week-end dernier, je suis allé faire une soirée chez un ami de son copain.  Et on a beaucoup beaucoup bu et je devais rentrer le lendemain. Toi et moi, on s’en est pris plein la tête par notre mère. Et je me suis tapé une gueule de bois monumentale.

Texte :

Te souviens-tu du week-end dernier où je suis allé chez Quentin avec toi ? On a beaucoup beaucoup bu et nous devions rentrer le lendemain. on s’en est pris plein la tête par notre mère. Et je me suis tapé une gueule de bois monumentale. Et quand nous sommes partis ensemble avec Caroline, notre tante, à Belle-Île-en-Mer, nous avions fait un tour de voilier, tous les trois. Les paysages étaient magnifiques, l’océan au loin, le petit village, au fond, le soleil ?

Je te souhaite un bon anniversaire Marie !

Théo

Pour maman

Acrostiche

J’aime mes enfants

Avoir des qualités

Ne pas baisser les bras

Naturelle

Epanouie

Description physique

Elle est brune, pas très grande, coquette

Portrait chinois Si c’était… ce serait

Une fleur, une rose

Une couleur, rouge

Un vêtement, une robe

Une musique, walking away, de Greg david

Un moment de la journée, l’après-midi

Souvenir commun

Aime passer des vacances. Quand elle s’occupait de moi, étant enfant. Quand on s’est tchéqué. Quand elle m’a fait du lapin, pâtes fraîches à la moutarde.

 

 

Toi qui es ma mère, coquette, brune

Je sais que tu aimes la couleur rouge

Tu aimes l’après-midi

 

Te souviens-tu du tchèque qu’on s’est fait, il n’y a pas longtemps ? Des pâtes fraîches, lapin moutarde ? Ou même quand tu t’occupais de moi, étant petit ? Quand tu me faisais ma toilette ?

Je t’aime, maman, bon anniversaire.

Alex

Pour mon père

Acrostiche

Pertinent

Agréable

Teigneux

Radin

Intelligent

Christine

Koala

 

Description physique

Il est brun, assez enveloppé, petit

 

Portrait chinois Si c’était… ce serait

Une fleur, une marguerite

Un animal, un ours

Un personnage célèbre, Stallone

Un plat, des pâtes à l’ail

Une couleur, gris

 

Souvenir commun

Il m’a raconté quand il était à l’armée en Allemagne

Texte

Te souviens-tu de la rencontre avec maman, il y a maintenant 30 ans. Tu la trouvais belle, et elle te trouvait beau. Te souviens-tu quand nous sommes partis en vacances pendant un mois à Marseillan ?

Florian

Pour Damien

Acrostiche

Déterminé

Amical

Malin

Intelligent

Enthousiaste

Naturel

Description physique

Porte des lunettes. Brun. Musclé (je n'ai pas vérifié !)

Portrait chinois Si c’était… ce serait

Une couleur, le gris

Un sport, le vélo

Un plat, des pâtes bolognaises

Un personnage célèbre, Shiva

Un livre, une B.D

Un vêtement, un pantalon

Un animal, une chouette

Souvenir commun

Tu m'as toujours soutenu et valorisée car tu aimes les ateliers d'écriture et grâce à toi, je suis toujours là, à LADAPT. 

Texte

T'es un chouette gars, Damien

Dont je ne pense que du bien

Sportif, tu viens à vélo 

C'est pour ça qu'tes si beau

Enthousiaste et amical, t'es souriant

Tu m'as toujours soutenu en riant

En fin de matinée, je passais te voir

Pour te raconter mes déboires

Naturel et débordé, Shiva

C'est comme si t'avais dix bras

Je ne sais quel livre tu lis

Ni dans quel film tu vis

Mais ça n'fait pas un pli

Entre nous, c'n'est pas fini !

​​​​​​​Martine

Candice, quand je pense à toi, je m'imagine ce moment où l'on était un peu éméchés au rosé

L'on s'est fait un câlin en se promettant toujours d'être là l'un pour l'autre

Je pense aussi à ton père qui m'a haï en pensant que je te tirais vers le bas, alors que c'était "Les autres"

Tu es comme une orchidée, magnifique mais fragile et qui demande beaucoup d'attention

Ce dont tu as manqué quelques fois par ma faute, car c'est la mission que nous nous sommes donnés.

Malgré nos erreur et nos querelles, nous sommes toujours là même si nous grandissons et que nos vies se construisent petit à petit.

Sophian

Je sais que tu étais toujours à pour nous

Et que tu seras toujours là pour nous

Tu as su m'apprendre à être généreux

A ne pas avoir la grosse tête

A ne pas être un enfant gâté

Je sais que tu feras tout pour nous

Même quand on quittera la maison

Tu seras toujours derrière nous à chaque instant de notre vie

Julien

 

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Rédigé par Martine Silberstein

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Publié le 8 Septembre 2019

Georges aimait se promener en forêt pour se vider la tête. Tout en marchant, il aperçoit une mante religieuse. Surpris, il pense déjà aux films d'horreur.

Et puis, soudain, au loin, il observe une rose noire et une rose jaune. Plus il s'approche plus il pense à sa bien-aimée. Il cueille ces deux belles fleurs pour les lui offrir.

Il rentre à la maison ; il sent déjà cette belle odeur de boulettes que Georgette prépare avec amour. Tout heureux, il lui tend les belles fleurs.

Heureuse de ce petit geste, elle met de la musique et danse avec son Georges.

Georges, amoureux de Georgette se promène dans la rue et là, ils voient un magasin qui vend toutes sortes de boîtes.

Boîtes à musique

Boîte à chaussures

Boîte à musique

Il réfléchit ! Quel cadeau pourrait faire plaisir à sa bien-aimée ? Georgette est très difficile.

Il choisit dont la boîte à musique. Le soir même, tout excité de la réaction de sa belle... La belle Georgette rentre à la maison, enlève ses chaussures, les range dans leur boîte.

Il s'avance vers elle, lui tend son petit cadeau et elle a la surprise de voir une grande boîte équilatérale, lourde. Elle se pose des questions, elle s 'acharne sur le papier cadeau puis découvre la boîte à musique. Elle saute de joie, enlace son bien-aimé.

Elle peut enfin ranger ses bijoux

Un matin de pluie, Georges monte sur sa selle, direction le travail. Il est fatigué car sa petite Georgette est angoissée à l'idée qu'il travaille avec son ex-fiancée, Georgina. C'est pour cela que tous les soirs Georges rentre à la maison avec la boule au ventre.

Trois semaines plus tard, il est toujours en conflit avec sa belle. Georgette regarda son petit Georges et là, une émotion la prend et elle décide de prendre sur elle et d'arrêter de se disputer à cause de cette fameuse Georgina. Et là, elle choisit de prendre bien soin de lui, et depuis, quand elle regarde ses beaux yeux vert, elle pense au paradis. Et le matin, avant de repartir au travail avec le pollen dehors, elle prend son bonnet rouge et le met à son petit mari, et direction une belle journée !

Un matin Georges propose à sa petite Georgette d'aller dans leur pays d'origine, la Tchétchénie.

En route vers le pays. Un horrible accident arrive. Et le malheureux Georges finit en prison. Il repense à tous les problèmes, les souvenirs et ça lui fait de la peine. Il pleure en pensant à sa Georgette, malgré la solitude et la tristesse, il a du mal à retrouver le sommeil.

Six mois après il retrouve la liberté, il décide d'emmener la petite Georgette vers  la paix et arrivé au pays il peut enfin se reposer et  retrouver la paix. 

Un soir au bord d'un lac, Le Georges tend une lettre à sa femme écrite pendant son incarcération. Les larmes aux yeux, elle lit : 

"Je rêve de voir le monde, mais je ne pourrai  le voir que dans mes tableaux. Pendant quelques instants je me demande si je pourrai revoir ces terres où je suis né, je peins des tableaux pour vivre à côté de mon pays. "

Et il la serre dans ses bras.

Aïcha et Tony

Un jour au printemps Georgette lisait un livre : Roméo et Juliette. Et l'après-midi même elle se promenait. Et là, elle aperçoit une affiche : "Roméo hait Juliette". Et tout à coup, elle se pose beaucoup de questions.

En rentrant à la maison elle en parle à Georges et bizarrement le petit mari n'est pas convaincu. Il se tait et une bouffée de chaleur monte et la colère s'installe. Georgette voit très bien que  monsieur Georges n'est pas motivé. Elle lui montre la photo qu'elle a prise en centre-ville et il explose de rire car il a la même colère que sur l'image et il décide finalement de voir, par curiosité. Georgette est aux anges. Vivement le week-end !!!

Un matin de Pâques, le petit Georges proposa à Georgette un petit voyage en Afrique. Arrivés en Côte d'Ivoire, Georgette est comme une petite fille joyeuse, ses yeux se transforment en sucre, sa bouche sent le parfum...

Le soir même les amoureux décident d'aller  se promener dans un souk spécial chocolat, et, gourmande comme elle est, elle ne peut pas s'empêcher de goûter à toutes les formes, tous les goûts.

Au bout de quelques heures, les deux amoureux rentrent les mains chargées de chocolat. Evidemment, Georgette a pensé à tout le monde ! Elle veut partager cette douceur avec ses proches. En tout cas, quand ils reviendront !

Choses sans valeur : téléréalité, boite de nuit, ne pas tenir parole, l'argent, le luxe

Chose qui semblent  éveiller la mélancolie : problèmes, évocation du passé, les bons et mauvais moments, le regret, la routine, l'hésitation

Un week-en d'été, Georges emmena sa Georgette dans un hôtel de luxe, à Paris. Ils s'installent autour de la table et se souviennent des bons moments. Et Georges regarde sa Georgette et lui dit : "Tu te souviens comment tu étais ravissante dans cette jolie robe en soie ?".

Et Georgette a un peu honte car c'était dans un boîte de nuit, et en plus, elle était alcoolisée. Elle ne garde pas un bon souvenir de cette soirée-là...

Tout à coup, Georgette prend la main de son mari et lui annonce qu'elle attend un enfant, remplie d'émotions, il lui dit en souriant : " Quand notre enfant grandira, on lui racontera notre rencontre !!!".

Avant de partir du restaurant, il lui dit : "Je suis prêt pour une vie à trois".

Un matin après 6 mois d'attente pour une formation Georgette reçoit une boîte... ouvre cette boîte et voit un contrat.

Elle s'assoit pour lire la lettre.

Et là, la grande nouvelle, elle est élue pour être jury. 

Toute content, elle appelle son Georges et lui annonce cette nouvelle.

Pris de panique, il a peur d'être loin de sa belle et surtout de la solitude.

Un an après, elle doit partir à l'étranger pour un spectacle en plein air.

Bien sûr, Georges n'était pas très loin. Il veut surprendre sa petite femme. C'est pour ça qu'il a organisé un bon repas au resto avec sa belle et ses petits. Le lendemain ils font du shopping pour acheter de la décoration, en souvenir.

Le soir la famille prendra l'avion pour rentrer chez elle.

Un matin de printemps, Georges reçoit un colis de sa petite perle, car elle est partie à l'étranger pour raison professionnelle. Il l'ouvre et lit attentivement :

"Mon cher et fidèle mari,

Voilà ce courrier pour te parler de ce que je vis. Tu sais que je suis partie en Polynésie. C'est une île magnifique, tu peux t'évader, il y a beaucoup de couleurs, tu as l'impression que tu es en vacances malgré que tu travailles, c'est la paix, le changement total avec notre pays. 

Quand je me lève le matin je pense à toi et aux enfants ! ils aimeraient tellement cette île. Le ciel est bleu, le reflet du soleil sur la mer...

C'est pour cela que je t'ai envoyé cette lettre avec des billets, pour me rejoindre, les enfants et toi, vous me manquez tellement. Prenez soin de vous. A très bientôt,

Gros bisous, Georgette     

 

Acrostiche

Généreuse

Humour

Intéressante

Sérieuse

Loyale

Active

Intelligente

Naturelle

Epanouie

 

Description physique

Une personne blonde yeux clairs, stylée, toujours mimi, elle ressemble un peu à une suédoise, toujours le sourire.

Souvenir communs

Le matin des blagues. Chinature. Mickey Maous.

 

Portrait chinois Si c’était… ce serait

Une musique, le raï

Un accessoire, un bijou

Une couleur, le jaune

Un animal, un cacatoès

Un vêtement, une robe saoudienne

17 octobre, Georgette se réveilla en pleine forme car cette journée bien spéciale car c’est son anniversaire. Elle est tellement heureuse. 50 ans, c’est quand même un demi-siècle, ahahahah…

Elle se lève pour se faire belle comme tous les jours. Elle entend son Georges parler au téléphone et décide de l’écouter. Elle entend :

« Je suis l’homme le plus heureux, car à chaque fois que je me lève, elle met du soleil dans mon cœur, c’est mon orchidée à moi.

Elle est tellement ravissante quand elle rit, elle me fait fondre. Je ne trouverai pas sa jumelle, une personne simple, loyale, intelligente, comment je ferais sans elle dans ma vie, je veux que cette journée soit gravée en elle, c’est pour cela que j’ai décidé de l’emmener voir Mickey Maous. »

George raccroche le téléphone et dit à sa belle : « Fais-toi belle pour aujourd’hui ! » et il lui tend un petit cadeau. Elle l’ouvre et voit une bague en diamant. Emue, elle lui prend des mains et lui dit : « Tu es mon bijou !».
Direction Walt Disney !

AÏcha 

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Rédigé par Martine Silberstein

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