Publié le 28 Octobre 2021
L'Homme de la roche part à la recherche de la source qui va lui permettre d'assurer sa subsistance. Grâce à l'histoire de sa région il a entendu parlé d'une grotte située en haut d'une montagne. Il prit le chemin de cette grotte. A son arrivée il remarqua une serrure en forme de crayon.
(à suivre ...)
Alexandre
Ce fut un beau mariage !
Cettejeune fille, tout juste sortie du penseionnat est fraîche, jolie comme un zéphyr, ce joli vent printanier. Elle était, de surcroît, gaie comme un pinson.
Son mari, brun et barbu venait d'un lointain pays, les Pays-Bas.
C'était un compagnon de travail vif et agréable. Au lavoir il aimait plaisanter et éclaboussait parfois les autres travailleurs.
Elle n'était jamais fatiguée de ramasser des pommes, la mariée, et jamais ne tombait dedans.
Courageux, ils étaient, et bien mariés.
En voyage de noce, en calèche, ils s'en allèrent, et on ne les revit plus jamais !
Il était une fois une fille qui s'appelaitRose, elle était âgée de 23 ans et habitait à Lyon.
Elle vient d'obtenir son CAP de fleuriste. Elle avait un rêve, c'était d'ouvrir un magasin de fleurs, d'en apprendre davantage sur les fleurs et plantes car il y avait des arrêts de bus ou de métro qui l'inspiraient, des noms de fleurs comme Les acacias, Les tilleuls, Les séquoias ... mais dans son magasin elle ne voulait pas que des fleurs, elle voulait d'autres choses mais elle ne savait pas quoi. Alors, elle s'arrêta à Ampère-Victor Hugo et elle alla au musée des arts décoratifs. Puis elle rencontra un beau jeune peintre qui s'appelait Romain et au premirer regard, ils sont tombé amoureux ; dans sa tête elle se dit, "c'est ça l'idée, c'est d'ouvrir un grand magasin avec des fleurs et des peintures".
Et puis un jour arriva, son rêve se réalisa d'ouvrir un grand magasin de fleurs et de peintures avec son chéri.
Cécile
Allongée sous ces peupliers, j'observe la levée des étoiles dans le ciel et l'apparition de la constellation des trois renards.
C'est sous ces étroits noyers où j'étais blottie dans tes bras que toutes mes inquitétudes furent minimes. Avec toi, tous mes soucis se mirent en quarantaine et mon repos fut enfin paisible.
Nous observions ce troupeau de moutons de l'autre côté du pont, en espérant que la gorge d'un loup ne soit pas attirée par l'un d'eux.
Une fois, tu m'as raconté la rencontre de tes grands-parents, Henriette et Alexandre à cet arrêt du vieux Crépieux et j'ai trouvé leur histoire magnifique. Et la nôtre aurait pu être aussi idéale. Mais tout ça n'était qu'un rêve, un magnifique rêve dont tu étais le héros. J'ai imaginé tellement de souvenirs, qui n'en étaient que pour moi.
Toi, mon héros, qui m'a brisé le coeur, sache que maintenant, je ne t'en veux plus et que je t'ai déjà pardonné.
Malgré la douleur que je ressens en ce moment, je n'arrive même pas à t'en vouloir. Ton honnêté et ta sincérité sont exemplaires. Merci de m'avoir rendu plus forte et de m'avoir fait ressentir tous ces sentiments que je n'avais encore vécu.
Je suis peut-être une belle personne, mais toi, tu es un ange tombé du ciel, qu'on a placé sur ma route et je ne l'en remercierai jamais assez.
Encore une fois, merci à toi.
Emilie
Folie meurtrière
La diligence de 18 heures est passée, remplie de ses voyageurs. Les chevaux sont couverts de poussière, en nage. Elle s'approche à toute vitesse du château, ses murailles, ses créneaux, sa destination finale. Tout à coup, un caillou, très gros, et c'est l'accident !
Les loups que l'on entendait hurler depuis de longues heures sentent que le moment est venu. Le cocher descend et demande aux voyageurs de sortir. Avec l'aide de quelques-uns, il tente de redresser le véhicule mais s'aperçoit que, dans sa chute, une roue s'est brisée. Un cheval est blessé, sa jambe fracturée. Que faire ? On entend la meute se rapprocher, les hurlements se font plus nets.
Les voyageurs armés se préparent à les affronter. Le cocher détache les chevaux et demande à l'un des voyageurs d'en enfourcher un et de partir à bride abattue chercher du renfort et une autre voiture au château.
Un étrange voyageur arrive alors, monté sur une charette tirée par un boeuf. Vêtu de noir, la tête recouverte d'un large capuchon masquant son visage, il avance avec lenteur. Il n'est armé que d'une hache et sa charette est couverte d'une large bâche. Dessous, ça crie, ça remue, ça geint. Qu'est-ce ?
Le soir commence à tomber, les étoiles à s'allumer, le bois à s'assombrir.
Tout à coup, un mouvement, une fourrure noire, des yeux qui brillent. Puis quatre, puis six, puis des dizaines , ils sont là!
Les voyageurs se serrent les uns contre les autres. Ils ont peur de mourir.
L'un d'eux dirige son arme contre le cheval blessé et tente de le faire avancer, malgré sa fracture, en direction de la meute. Il tire, tuant le cheval. Le bruit de l'arme a effrayé les loups qui sont parti derrière les premiers arbres. Mais voici les plus hardis qui reviennent et se jettent sur la carcasse du cheval. Ils sont si nombreux que les plus jeunes n'ont pas accès au cadavre et reviennent vers les voyageurs ...
C'est à moment-là que choisit l'étrange personnage pour soulever la baâche. Dessous, des poules, des cochons, des moutons. Vivants. Il est l'abatteur rituel. Il les libère de leurs liens et les lâche en direction des loups. Les pauvres bêtes, affolées, caquetent, bêlent, grognent.
Les derniers loups se font une joie et se ruent sur ces proies vivantes et bruyantes, oubliant les humains cachés derrière la diligence.
Une autre voiture arrive, accompagnée du cavalier parti la chercher. Tous les voyageurs montent à l'intérieur, les jambes encore tremblantes. Et c'est ainsi que se termine le voyage.
Martine
En 1944, l'Allemagne envahit la France. Lyon, là où la Résistance a eu lieu, se révolta. Lyon, là où se réunissaient les Résistants, le bastion, ancien château qui était considéré comme leur quartier général. Les Nazis essayaient tant bien que mal d'envahir Lyon. Ils ont eu beaucoup de perte face à la Résistance. Il y avait la Croix-Rouge, l'hôpital principal de Lyon, il n'était pas pris, il était difficile d'accès et aussi très sécurisé. On considérait cela comme une bénédiction, c'était la Part Dieu. 1945 une fois la guerre terminée de grands bâtiment commençaient à être construits et la majorité des bâtiment étaient à Part-Dieu, et aux gratte-ciel à Villeurbanne.
De nouveaux grands champs étaient cultivés qui étaient en grande majorité à Grange Blanche et juste après la guerre Klaus Barbie se fit arrêter à Lyon et les deux frères Lumière, les créateurs du cinéma réalisèrent un film sur l'histoire et l'empire Nazi s'effondra.
Ali
Il était une fois dans un patelin assez écarté de Lyon, vivaient les soeur Vially qu'on appelait la vallée "Lionel Lépine". Elles habitaient tout près d'un marais. Là jouaient les deux soeurs depuis tant d'années. L'une des deux soeur se pencha vers l'avant et dit à sa soeur "Il y a une île en bas" et remarqua que sur l'île il n'y avait que des barbus.
Samir
Mon histoire commence au Jardin des Plantes, dans un champ de fleurs, non loin d'un fort de bron. Je fixais pendant longtemps un pont rouge qui n'a rien d'un point de couleur rouge. Puis mes amies et moi décidons de partir à la découverte de ce Pont rouge qui piqua notre curiosité, peu de temps après, nous remarquons une Trappe, comme si ça indiquait un passage souterrain, alors nous entrons dans le passage souterrain.
Mes amies et moi sommes très peu rassurées du bois qui ne tient qu'à peine, puis nous sortons enfin de la Trappe, quelques mètres plus loin nous apercevons une poudrière, dedans se trouvent quelques poudres à canon sûrement utilisées pendant la guerre.
Mes amies et moi n'étions au courant de rien, ni même de cette Trappe qui nous mena devant la Poudrière.
Rouida