Publié le 31 Décembre 2020

Mon double moi-même

C’était un soir

un sacré soir d’été

un soir lumineux

lune et voie lactée

c’était un soir où, fabuleux mastodonte

l’hippopotame

surgit des eaux du fleuve.

Je laissai sans crainte ce double moi-même

s’avancer jusqu’à mon frêle esquif

 

c’était un soir secret

 d’intense prière

où je scrutais la peau de mon âme

un soir peuplé de silence

 

quand tout à coup

aériens les macaques surgirent

vers l’en-haut

sinistres visages masqués

cris de bête sauvage

 nuit de silex où danse la violence

 nuit sans mémoire

 nuit d’étoile noire

 nuit de folie

 nuit de mâchoires  

une nuit écartelée de sang

 

 vient le jour

je lève les voiles

Je te cherche

mon âme- hippopotame

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Textes personnels

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Publié le 30 Décembre 2020

Est-ce que je sais ce qui manque à mon propre ciel ?

À l’aune de ce ciel manquent les nues, ta nuque, une banque et le tank. Mais fi de ces plaisanteries, je dis que dans le ciel je vois la miel de las abejas, ces abeilles de la colère.

Dans le ciel j’imagine aussi cette île de la Désolation, si ce n’est de la sidération, effondrement des fonctions vitales.

Sous ce ciel, envole-moi pour l’île de la Désirade où gésir de plaisir, désir qui me sidère.

Désir, enfin, triste Sire viral couronné et solaire, habillé de franges bulbeuses devenu maître du Monde, ne voyez-vous pas où je veux en venir ?

Oui, je sais ce qui manque à mon propre ciel, c’est un horizon dégagé de toutes nues, une nuque à caresser, sans banque ni tank, hormis celui qui boutera hors de mes frontières mentales la violence.

Je crois à ce ciel, je n’y crois pas, je suis rose et réséda tout à la fois. Et dans ce ciel, je rêve à Moon, astrale lune où, proie, l’ombre échappe au feu par la porte entr’ouverte.

Texte écrit le 30 décembre 2020 à 16h44 au son de la trompette de Miles Davis   

 

 

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Rédigé par Martine Silberstein

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Publié le 30 Décembre 2020

Je n’attendrai pas que le jour se lève, je marcherai dans la nuit s’il le faut.

Je ne resterai pas assis, je cheminerai doucement, les deux pieds foulant l’herbe humide de rosée, j’accomplirai mon dessein laissant Sylvain, mon enfant aux soins de son adorable servante jouer à l’infini avec ses Playmobils au frais dans un coin du jardin même si j’aime l’observer quand il les place en quinconce sur le banc ou quand, soudainement, il les plonge dans le bassin couvert de nénuphars.

J’arrêterai de me poser toutes ces obsédantes questions car je sais que je possède en moi les réponses à ces choses que sont d’où vient le vent, pourquoi l’herbe est plus verte dans le pré d’à côté ou pourquoi l’amour.

Je ne deviendrai pas comme ces militaires au front bouillant de batailles. Je partirai à la recherche de tous mes amis perdus dans l’ombre.

Je ne croirai pas plus au ciel qu’au réséda, je serai libre et je laisserai faire les tendres imbéciles

En 2021, je ne resterai pas solitaire à broyer du noir sur mon piédestal de marbre rose. Je veux continuer à admirer les couchants chaque soir d’été auprès de la belle Hélène.

Et à la fin des fins, j’écouterai le silence.

Martine Silberstein 28 décembre 2021 16h29  

 

 

 

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Rédigé par Martine Silberstein

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Publié le 21 Décembre 2020

Arbre

J’aime voir à l’automne leur parure d’or.

J’aime aussi jeter des coups de pieds dans les tas de feuilles mortes. Pourquoi, en ville, ramasse-t-on les feuilles sur les pelouses.

Barbapapa

Pas les livres qui sont plutôt sympas et originaux.

Non, celle que l'on mange en s'en mettant de partout, jusqu'aux yeux. Collant, poisseux et rose à souhait. 

Et puis la sonorité Bar-ba-pa-pa !

Carotte

Sucrée ou salée. Crue, râpé, ou cuite. Entière ou en rondelle. 

Drôle de forme avec, parfois, bras et jambes.  Entortillée sur elle-même. 

Drôle de syllabes Ca-rotte ! Ca-rosse !

Dindon

Drôle de bête glougoutante, pas dégoûtante. Énorme volatile plus lourd qu'un enfançon. Plumes bigarrées. Ton cou grumeleux, bleu, rouge et violet. Prétentieux à petite roue. Je t'aime bien.

Enfin !

Soupir de soulagement, 

"Enfin ! Tu es revenu !" ou "Enfin, j'en suis venu à bout !"

Soupir d'exaspération

"Quand finira enfin ce confinement ?"

Cri de colère

"M'enfin, ça fait deux heures que je t'explique !"

Faim

Manger pour le plaisir, déguster, savourer, un petit plat préparé avec amour.

Girolle

Jaune ou orangé, lamelle sous son chapeau, forme de trompette, souvenir d'enfance, cueillette en forêt, cache-cache sous la mousse, perchée sur ta butte.

Horreur

Comment peut-on aller voir de tels films et aimer ça ? Mystère.  

Mais dire des horreurs, des gros mots, des grossièretés, ça c'est jouissif pour les enfants et certains adultes.

Imagination

Il suffit d'un mot, d'une image, d'un atelier d'écriture, d'un détail observé dans la nature ou dan la rue (humain, animal, architectural, végétal...) et les histoires foisonnent.

Joie

Voir pétiller les yeux illuminés d'adultes et d'enfants, petit ou grand présent, sourire offert.  

Kodak

Cliclac, c'est dans la boîte ! Photo papier, diapositive bien réelle ; numérique et virtuelle. La vieille caméra de mon père dort sur une étagère. Elle se remontait avec une clé, tel un jouet mécanique.

Loin

Partir. A pied. A vélo. En voiture. En avion. Voyager. Découvrir habitants et paysages. Loin des yeux, près du cœur.

Maraude

Pommes cueillies. Raisins oubliés. Pommes de terre récoltées. Non calibrées, formes bizarroïdes, légèrement abîmées. Compotes, gratin, frite ou jus, tel est leur destin.

Oser

Aller vers les autres, s'affranchir des jugements, esquisser un pas de danse au beau milieu d'un trottoir, air de guitare.

Purée

Carotte ou pomme de terre, panais ou céleri, beurre fondu et muscade, sel poivre, gratinée au fromage. 

Quartier

Celui de mon enfance. Bâtiment en arc de cercle. "La banane". Une rue à traverser, un square, un bassin, piscine ou patinoire, été ou hiver. Madame Desgranges. Cabane. Odeur des coccinelles et des thuyas.

Rire

 Aux éclats ou sous cape. Ça fait tant de bien.

Silence

Jamais complet. Peuplé de souffles, de craquements, de ronronnements. Tranquillité.

Tournesol

Tu suis la courbe du soleil, girasol, belle couronne de feuilles, belles couronnes de grains noirs et luisants, cœur d'or, tu es un GÉANT !

Utile

Se rendre utile. Aider. Soutenir. Donner un coup de main. 

Valeurs

Paix, justice, respect.

Week-end

Voir sa famille. Mince, y'a l'confinement !

Xénophile

Pas xénophobe !

Yiddish

Langue de mes ancêtres, écouter des chants dans cette langue incompréhensible m'émeut.

Zeste de citron

Dans un gâteau change tout.

 

 

 

 

 

 

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Rédigé par Martine Silberstein

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Publié le 17 Décembre 2020

 

Elle était là, en train de tourner, sauter, se grandir tel un oiseau. Elle est si belle et lui était là en train de l'admirer avec ses yeux bleus turquoise. Il était subjugué par sa beauté pourtant elle n'était pas seule, elle était avec ses deux meilleures amies d'enfance mais c'est elle qu’il regardait avec désir. 

Mais hélas, cette fille était promise un autre homme mais cela ne l'empêcha pas d'aller parler avec elle et au fil du temps l'amour commença à naître.

Il décidèrent alors de partir de leur village pour échapper au destin de la fille. 

Mais peu de temps après leur escapade ils sont retrouvés et la fille épousa l'homme dont elle ne voulait pas. 

Les deux amants, malheureux, ne se virent plus jamais 

Aïchata

Un berger dans la montagne joue de la flûte pour rassembler son troupeau. Il pense à sa jolie fiancée. Des agneaux jouent à saute-mouton. Le soleil se lève, il marche en sautillant. Emmène son troupeau vers le torrent boire, l'eau coule abondamment et vite. Un agneau s'approche trop près, il est emporté. Le berger court pour le rattraper. C'est son chien qui saisit la petite bête dans sa gueule. Il redescend au village tout guilleret, il galope à travers les prés. Il retrouve ses amis. C'est la fête au village. Ils dansent en farandole vite, plus vite, de plus en plus vite, jeunes et vieux. La ronde serpente à travers les rues du village. Le soir vient. Chacun rentre chez soi.

C'est le matin, le berger repart avec son troupeau. Il n'est pas bien réveillé, fatigué. Il a trop dansé tard hier soir.

 Dans la montagne le vent se lève, il souffle par brusques rafales. Il se réfugie dans une vaste grotte avec son troupeau. Il s'endort et rêve qu'il vole avec les oiseaux. Il plane au-dessus des montagnes. Il revoit, de là-haut, sa fiancée. Mais elle est avec son frère. Le berger est jaloux mais, de là-haut il ne peut rien. Il est triste et en colère. Des éclairs zèbrent, le ciel en accord avec ses sentiments. Le tonnerre gronde. Des démons lui soufflent de se venger. Il résiste. Il se dit que ce n'est qu'un rêve. D'ailleurs il se réveille la tempête est terminée.

 Il rassemble son troupeau et repart plus haut, là-haut ou les pâturages sont plus verts mais son rêve lui trotte dans la tête. Et si c'était vrai ?  On verra bien ce soir. Il redescend en courant, suivant le cours impétueux du torrent qui baigne le village.

Là, apparaît sa fiancée, plus belle que jamais avec ses tresses blondes nattées de ruban multicolores. Il la prend par la main et va s'asseoir avec elle au bord de la fontaine. Le frère du petit pâtre arrive, c'est un lourdaud, il marche à pas pesants. Sa fiancée lui avoue tout. Le pâtre et son frère s'insultent, se battent à coups de pieds, de poings … Le berger est tout triste, il part en courant chez lui en pleurant. Son rêve était une intuition.

Martine

 

La joie du garçon abandonné

 

1er chapitre : la rue déserte

Il était une fois un garçon qui s'appelait Élyl. Il était pauvre. Il avait la faculté d'être aimé dans sa région. Plus il était content et plus les nuages se dégageaient. Ce garçon, Ely, apparut comme le roi du soleil.

 

2e chapitre:  homme inconnu

Le garçon se baladait dans la rue et percuta un homme qui lui fit un sourire. L'homme inconnu s'appelait Dan. Il se baladèrent ensemble.

 

 3e chapitre l'annonce

Dan parla avec Ely et ils commencèrent à discuter non dans la rue mais chez chez Dan.  Dan lui annonce qu'il allait déménager. Il lui proposa de l'emmener avec lui. Ely est gêné qu'il lui propose ça mais il accepta

.

 4e chapitre:  la nouvelle ville

Il arrivèrent enfin à la ville nommée Suède dans la charrette tirée par des chevaux. Il découvre que tous les enfants du quartier les regardaient bizarrement.

 

 5e chapitre:  les enfants 

Ely essay de parler avec ces enfants, nouveaux pour lui, mais il s'aperçut qu'il était mal accepté. Il essaya de battre le démon qui était l’un d’entre eux. Il les sauva du démon.

 

 6e chapitre:  la belle vie riche

 Dan et Ely se trouvent dans un grand palais et mangent très riches comme des langoustines, des araignées de mer, tout ce qui coûte cher.

 

 7e chapitre un homme du pays natal d’Ely

Après une belle vie, un homme voulu voir Élie et Dan. l'homme du pays natal d’Ely Il venait demander de l'aide car le pays est sous la domination d’une dictature survenue après qu’il soit parti. Et Ely veut la combattre

.

 8e chapitre : Élie et le dictateur

 Élie créa une armée pour aller tuer le dictateur. Dan avait un couteau et s'approcha du dictateur et le tua.

 

 9e chapitre:  le souhait d’Ely

Ely dit à Dan que son souhait c’est de protéger le pays

Nathan

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Rédigé par Martine Silberstein

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Publié le 15 Décembre 2020

C'est (bientôt !) l'été !
C'est (bientôt !) l'été !

Il y a plus d'un siècle il y avait une ville qu'on surnommait Annecy. Dans cette ville, il y avait une vieille rue où se cacher des résistants et d'autres habitants pour éviter de se faire arrêter et pour échapper à la Gestapo la police allemande.

 Le marquis trouve un peu plus loin dans une petite ruelle à minibus multicolore. Il décida de l'emprunter et ils partirent tous discrètement.

Après plusieurs kilomètres passés dans le minibus multicolore les résistants et les habitants avaient un peu faim. Ils décidèrent alors d'aller jeter des coups d'œil pour aller chercher à manger sans se faire évidemment attraper par la police. Le marquis trouva un un magasin, il entra alors et là elle trouve un vieux monsieur. Ce n'était pas n'importe quel monsieur, ce monsieur était un artiste. Il avait fabriqué un corbeau, des étoiles, plein de petites choses que lui trouvait beau, contrairement au marquis. Le marquis lui demanda : « Vous auriez à manger à vendre ? ». le vieil artiste lui répondit : « Vous voyez bien que je suis un artiste, et non un vendeur en alimentation, voyons ! Donc non, désolé au revoir ».

Le marquis, un peu énervé, repartit. Donc après plusieurs kilomètres parcourus, là d'un coup le van s'arrêta et ne voulut plus redémarrer. Des résistants dirent : « Oh non, comment allons-nous faire maintenant ? ». Le marquis essaya, réessayer de faire marcher le minibus multicolore mais le bus, tête de mule, ne redémarra pas.

Alors le marquis trouva d'un seul coup un vélo à 5 places. Mais ils étaient il était trop nombreux pour monter sur ce vélo, et du coup, il n'y avait pas assez de places. Donc le marquis réfléchit et prit une décision rapidement. Il dit : « Très bien, comme nous sommes trop et qu'il n'y a pas assez de place pour tout le monde nous allons devoir en abandonner quelques-uns et c'est moi qui vais choisir ». Un des résistants dit : « Mais que va-t-on faire avec ce vélo ? ». « Nous allons faire le tour du monde » répondit le marquis. Il choisit 4 personnes pour l'accompagner et les autres il les abandonna et les laissa sur le bord de la route.

Peu de, temps après la Gestapo (la police allemande) trouve à tout ce petit monde sur le bord de la route et les arrêta à tous.

Le marquis les 4 autres personnes quant à eux ont fait le tour du monde et un peu plus tard donc des mois après, ils étaient libérés, c'était la fin de la guerre et aussi de l'histoire.

Anthony

C'est (bientôt !) l'été !

Deux silhouette se dégageaient de l'obscurité qui était troublée par la lueur des bougies. Elles courraient les rues, riaient aux éclats dans les rues pavées de Mexico. Les rues étaient vides de toute âme qui vivent. Les chemins que nos compagnons empruntaient étaient parsemés de roses allant direction du cimetière. Apercevant à touk-touk coloré garé sur le bas-côté ils décidèrent de l'emprunter pour se rendre à une destination inconnue et lointaine.

Ils roulèrent encore et encore poursuivant les étoiles, troublant le calme de la campagne mexicaine de leurs éclats de rire l'enfant le plus grand, celui le plus apte à atteindre les pédales du touk-touk arrêta le véhicule lorsque lui et son compagnon furent arrivés en haut de la colline y qui surplombait la ville.

« Victor …c'est magnifique ! » lui dit son acolyte.

En effet, devant eux se tenait la reconstitution d'un petit palais fait de de terre glaise et de ferraille. Un vrai paradis pour des enfants. En faisant un peu plus attention aux détails la personne qui accompagnait Victor aurait pu se rendre compte qu'il y avait un tandem de 5 places mal caché derrière des buissons.

En s'approchant un peu plus du château la personne qui avait emmené Victor fut surprise de voir sortir d'un coup 5 petites têtes brunes crier « Bon anniversaire llorona ! ».

Cette fois-ci la dite lllorona, après avoir versé quelques larmes de joie observa un peu mieux le palais qui, comme les rues de Mexico est éclairée par les flammes chaudes des bougies. Les murs étaient ornés de statues de différentes mythologies.

Rentrant dans l'édifice elle fut intriguée par la fenêtre qui se trouvait en face d'elle. Elle se pencha et observa la vue imprenable sur le bidonville qui flamboyaient de mille couleurs.

Arpentant le château elle y découvrit un autel dédié aux morts avec sa photo au-dessus. Le geste la touche a tellement qu'elle pleura pleura, pleura tellement que la llorona se changea en des milliers des milliers d'oiseaux, tandis que ses amis jouaient de la musique et chantaient autour de ce spectacle enchanteur la chanson de la llorona.

Audrey

 

C'est (bientôt !) l'été !

Journée avec ma motocyclette

 Samedi matin, je me lève en douceur avec les rayons du soleil et je me dis :  « quelle journée magnifique pour aller à la plage avec ma motocyclette ! ».

 Alors je me prépare. Je prends mes affaires, ma motocyclette, et en conduisant je regarde une quintuplette avec des amis à moi qui me disent : « Allez let's go, vamos a la playa ! ».

Comme je suis contente aujourd'hui car quand je pense qu'il y a juste une semaine j'étais au Canada chez ma grand-mère et il fait froid là-bas, beaucoup de neige. Heureusement que j'ai pris le tableau pour l’offrir à mon ami qui m'attend à la plage, j'ai hâte de le voir et l'embrasser. Et aussi lui donner une sculpture que j'ai prise pour Anne, sa sœur. C'est bon enfin je suis arrivé et quel plaisir de voir les enfants qui s'amusent avec des ballons. Alors je vais rejoindre mes amis, mon ami et je vais bien profiter de ma journée. 

Mayelin

C'est (bientôt !) l'été !

Aquaman

Tout se passe dans une mer reliée à la terre, entre deux mondes. Ce héros malgré lui est venu au monde dans le monde de la terre, ce qui a fait polémique dans le monde de de la mer car sa mère était une atlante tombée amoureuse d'un terrien. Elle mis au monde un Atlante de Sang-Mêlé, ce qui rendra fou de rage le peuple des Atlantes. Son sort promis du monde Atlante la mère de Sang-Mêlé fuit jetée dans la fosse. Les passèrent son mari terrien l'attendait chaque jour, chaque matin en espérant la voir. L’atlante de Sang-Mêlé se battit pour prouver qu'il était un pur Atlantes mais des ennemis se mirent en travers de son chemin pour le condamner et pour qu'il soit jeté à la fosse. L’atlante de Sang-Mêlé rencontra la mer ce qui les a à trouver des réponses puis il voyagea dans certains pays et ils se fait localiser par les troupes de son frère. Malgré ça il n'arrive pas à s'échapper de cette embuscade et par hasard il retrouve dans la fosse sa mère. Il doit battre le Kracker pour prétendre au trône il se battit contre son frère qui mit un terme à toute cette histoire. Tout est bien qui finit bien. 

Yassine

 

C'est (bientôt !) l'été !
C'est (bientôt !) l'été !
C'est (bientôt !) l'été !

Dans la mythologie grecque et statue sont des symboles représentatifs. Sur cette image vous pouvez voir le corps d'une femme avec une tête d'oiseau, des griffes, ce qui peut laisser penser à une transformation de l'esprit dans le corps. N'est-ce pas peut-être et la tolérance de cette acceptation.

Cet amphithéâtre est rempli de ces statues. 

Toutes ces choses font le tour de la terre.

Cette maison me fait penser à cette statue à deux visages. Les fenêtres du haut rappellent des yeux avec des paupières maquillées.

Comme le musée de Fernand Léger où les œuvres sont hautes en couleurs. 

Toutes ces œuvres sont sont comme de la crème.

Valérie

 

C'est (bientôt !) l'été !

Victor fait peur à de nombreuses personnes. D'abord parce que c'est un corbeau, ensuite parce que noir comme la mort, la nuit, la suie, le deuil, le charbon.

 En réalité, Victor a la tête dans les étoiles, c'est un rêveur. Avec ses cinq amis, il a toujours eu envie de tracer sa route vers de nouveaux horizons, partir loin. Une quintuplette est l'idéal. Toujours réunis, joyeux et chantant, traverser la France, l'Allemagne, voyager à vélo, sac au dos et dormir sous la tente. Avec une cravate comme Yassine en sweat à capuche comme Camille, un débardeur comme Anthony, en hidjab comme Audrey ou une casquette, comme lui. Tous ensemble tous différents.

 Mais une nuit, Victor entendit un bruit de froissement de frottement, un bruit bizarre sous la tente. Aussitôt il alluma sa lampe. Et là dans  dans le faisceau de la lumière il aperçut un énorme et long serpent rampant entre son duvet et celui d'Audrey !

Aussitôt il réveilla sa compagne de son sommeil et lui montra à l'animal. Celle-ci, sans se départ et de son calme, saisit sa flûte dans son sac et commence à jouer. Le reptile s'enroule alors sur lui-même et leva le haut de son corps en ondulant. Victor était fasciné, tout à la fois par la musique et les yeux de l'animal.

 Un homme marchant à grands pas, on l’entendait venir de loin les interpella. C'était Ethan. Il demanda l'autorisation de récupérer “sa bestiole” dit-il. 

“Sans problème je vous en prie” dit Victor !  Ethan jeta un sac opaque sur l'animal, qu'il ferma aussitôt.

 « Rassurez-vous, il n'est pas méchant, il n'a pas de venin. Il ne mange que des souris qu'il étouffe dans ses anneaux ».

 « Oui, mais quand même, sans ma flûte... »

 « Je viens d'Annecy et j'ai trouvé cette pauvre bête au bord du lac, à moitié morte de fois de froid. Je l'ai réchauffée Maintenant, Martine, c'est son nom, va beaucoup mieux. Et depuis ce jour, dans mon tuktuk tu nous voyageons de par le monde, nous produisant dans les cirques. »
Martine

C'est (bientôt !) l'été !

 

Vacances en famille 

Marie et sa famille prennent leurs vacances d'été. Qu'importe le reste, le bonheur est notre fierté. L'amour là, la joie, le bonheur il y est. Pierre, sculpté comme une statue de pierre les pieds dans l'eau attend que le temps passe. Il voit au loin des enfants lancer leur ballon dans le ciel. il bondit comme intrépide flamboyant, multicolore, rouler comme une quintuplette qui revient du bout du monde. Sa sœur Luna qui, elle ne comprenait pas. Sa sœur Rosa pris peur et tomba dans l'eau comme une pierre tombée dans un puits sans fond. Rosa a bien failli se noyer par manque d'attention. Pierre venait de finir sa sculpture dorée qu'elle fit tomber sur son mari Bob. Ayse

 

C'est (bientôt !) l'été !

 

Quand je suis dans mes pensées je pense à voyager dans le sud rejoindre mes amis. Je prends le train je me suis arrêté dans une drôle de gare. J'attendais à côté d'une statue que les voisins viennent me chercher en voiture pour me ramener chez eux. En arrivant j'ai eu une belle surprise c'était mon ami qui avait enfin le permis. Il m'annonça qui enfin trouvé quelque chose à lui et qu'il était enfi prêt à m'accueillir chez lui.

Camille

 

C'est (bientôt !) l'été !

Allez, lancez-vous !  De quoi avez-vous peur ?

J’ai peur du vide et l'expérience du saut en parachute n'était peut-être pas une bonne idée !

 J'espère au moins que vous allez sauter avec moi et que je ne vais pas m'évanouir. Essayons et nous verrons.

 Une fois arrivé en bas je vous emmène à l'amphi de Lyon, l'autre scène de l'Opéra à bord de mon petit touktouk très coloré qui vient de Colombie vous allez adorer.

Autrement on peut faire un tour en quintuplette sur laquelle on ne sera que deux, ce n'est pas très grave j'ai fait le tour du monde avec.

Allez maintenant il faut sauter !  j'ai étendu du linge dans mon jardin, il neige et si on attend trop longtemps il va geler. J'ai oublié de vous dire une dame habillée en rose est venue pour regarder votre exploit elle avait même amené une fleur jaune, la couleur du maillot du Tour de France.

 Allez un petit peu de Nivea pour vous protéger du froid et c'est parti.

 Pour vous motiver j'ai même prévu une récompense. Si vous réussissez une petite une petite statuette comme un totem.

 Imaginez que vous êtes à Koh-Lanta vous devez gagner pour le totem de de l'immunité arrêtons de discuter maintenant on y va.

Estelle

 

C'est (bientôt !) l'été !

Le soir d'été, dans la douceur immense que dégage le ciel, je me souviendrai de ce visage. Le soleil grandissant sur nos lèvres, le regard perdu à l'horizon, je m'efface. Au loin je vois cette statue qui ressemble à un oiseau et elle me rappelle comment je volais à travers les nuages. Seule ou avec eux dans le passé, nous espérions retrouver cet amour perdu. Fou de joie à l'idée de se retrouver nous aimerions faire cette balade avec ce fameux tuktuk. Parti faire le tour du monde retrouver cet amour perdu était la destination finale. Nous espérions tous ne pas retomber dans la grandeur de la neige qu'on apercevait au loin. À travers différentes villes on découvrait différentes cultures.

Özlem

 

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 11 Décembre 2020

C’était un soir

un sacré soir d’été

un soir lumineux

lune et voie lactée

c’était un soir où, fabuleux mastodonte

l’hippopotame

surgit des eaux du fleuve.

Je laissai sans crainte ce double moi-même

avancer jusqu’à mon frêle esquif

 

c’était un soir secret

 d’intense prière

où je scrutais la peau de mon âme

un soir peuplé de silence

 

quand tout à coup

aériens, les macaques surgirent

vers l’en-haut

sinistres visages masqués

cris de bête sauvage

 nuit de silex où danse la violence

 nuit sans mémoire

 nuit d’étoile noire

 nuit de folie

 nuit de mâchoires  

une nuit écartelée de sang

 

 vient le jour

je lève les voiles

Je te cherche

mon âme- hippopotame

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Textes personnels

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Publié le 11 Décembre 2020

C'est (bientôt !) l'été !

Un soir d'été, dans la douceur immense que dégage le ciel, je me souviendrai de ce visage. Le soleil grandissant sur mes lèvres, ce regard perdu à l"horizon, je m'efface. Au loin je vois cette statue qui ressemble à un oiseau, elle me rappelle comment je volais à travers les nuages. Seule ou avec eux dans le passé, nous espérions retrouver cet amour perdu. Fous de joie à l'idée de se retrouver, nous amimerions faire cette balade avec ce fameux touktouk. Partir faire le tour du monde, retrouver cet amour perdu était notre destination finale. Nous espérions tous ne pas retomber dans la grandeur de la neige qu'on appercevait au loin. A travers différentes villes on découvrait différentes cultures.

Özlem   

C'est (bientôt !) l'été !

Dans la mythologie grecque, les statues sont des symboles représentatifs. Sur cette image, vous pouvez voir le corps d'une femme avec une tête doiseau, des griffes, ce qui peut laisser penser à une transformation de l'esprit dans le corps.

L'espoir peut-être et la tolérance de cette acceptation cet amphithéâtre est rempli de staues.

Toutes ces choses font le tour de la terre. 

Cette maison me fait penser à cette statue à deux visages. Les fenêtres du hait rappellent des yeux avec des paupières maquillées, comme le musée de Fernand Léger où les oeuvres sont hautes en couleurs. Toutes ces oeuvres sont comme de la crème.

Valérie  

C'est (bientôt !) l'été !

Allez-y, lancez-vous ! De quoi avez-vous peur ?

J'ai peur du vide et l'expérience du saut en parachute n'était peut-être pas une bonne idée !

J'espère du moins que vous allez sauter avec moi et que je ne vais pas m'évanouir.

Essayons et nous verrons !

Une fois arrivée en bas, je vous emmène à l'amphi de Lyon, l'autre scène de l'opéra, à bord de mon petit touktouk très coloré qui vient de Colombie, vous allez adorer.

Autement on peut faire un tour en quintuplette sur laquelle on ne sera que deux, ce n'est pas très grave. J'ai fait le tour du monde avec.

Allez, maintenant il faut sauter ! J'ai étendu du linge dans mon jardin, il neige et si on attends trop longtemps, il va geler. J'ai oublié de vous dire,  une dame habillée en rose est venue pour regarder votre exploit, elle avait amené une fleur jaune ! C'est étrange, la couleur du maillot du tour de France. 

Allez, un peti peu de crème pour vous protéger du froid et c'est parti.

Pour vous motiver, j'ai même prévu une récompense, si vous résussissez, une petite statuette, comme un totem !

Imaginez que vous êtes à Koh-Lanta vous devez gagner pour le totem de  l'immunité ! 

Arrêtons de discuter, maintenant, on y va.

Estelle  

 

 

Fernand Léger
Fernand Léger

Fernand Léger

"Voici l'été qu'importe le reste, le bonheur est notre fierté" Albert Camus

Vacances en famillel

 

Bob et Marie et sa famille prennent leurs vacances leurs vacances d'été,  qu'importe le reste, le bonheur est notre fierté.

L'amour, la joie, le bonheur y est.

Pierre, sculpté comme une statue de Pierre, les pieds dans l'eau, attend qsue le temps passe. Il voit au loin des enfants lancer leur ballon dans le ciel. Il bondit comme un trisdide flamboyant, multicolore, rouler comme une quintuplette qui revient du bout du monde. Sa soeur Luna qui, elle, ne comprenait pas . Sa soeur Rosa prit peur et tomba dans l'eau comme une pierre tombée dans un puits sans fond.

Rosa a bien failli se noyer par manque d'attention. Marie revenait de finir sa  sulpture qu'elle fit tomber sur son mari Bob.

Ayse

C'est (bientôt !) l'été !
C'est (bientôt !) l'été !

Victor fait peur à de nombreuses personnes. D'abord parce que c'est un corbeau, ensuite parce ce que noir comme la nuit, la suie, le deuil, le jais, le charbon...

En réalité Victoir a la tête dans les étoiles, c'est un rêveur.

Avec cinq amis, il a toujours eu envie de tracer sa route vers de nouveaux horizons, partir loin. Une quintuplette est l'idéal. Toujours réunis, joyeux et chantant, traverser la France, l'Allemagne, voyager à vélo, sac au dos et dormir sous la tente. 

Avec une cravate comme Yassine, un sweat à capuche comme Antony, un hidjab comme Audrey ou une casquette comme Victor. Tous ensemble, tous différents.

Mais une nuit, Victor, entendit un bruit de froissement, de frottement, un bruit bizarrre sous la tente. Immédiatement, il alluma la lampe et là, dans le faisceau lumineux, il vit un énorme et long serpent rampant entre son duvet et celui d'Audrey !    Aussitôt, il réveilla sa compagne de son sommeil et lui montra l'animal. 

Celle-ci, sans se départir de son calme, sisit sa flûte dans son sac et commença à jouer. Le reptile s'enroula alors sur lui-même et releva le haut de son corp en ondulant.

Victor était fasciné; tout à la fois pas la musique et les yeux de l'animal.

Un homme marchand à grands pas, on l'entendait venir de loin, les interpella. C'était Ethan. Il nous demanda l'autorisation de récupérer sa "bestiole".

"Sans problème, je vous en prie ! ", dit Victor.

Ethan jeta un sac opaque sur l'animal, qu'il referma aussitôt.  

"Rassurez-vous, il n'est pas méchant, il n'a pas de venin. Il ne mange que des souris qu'il étouffe dans ses anneaux !"

"Oui, mais quand même , sans ma flûte !"

"Je viens d'Annecy, et j'ai trouvé cette pauvre bête au bord du lac, à moité morte de froid. je l'ai réchauffé et maintenant, Martine, c'es son nom, va beaucoup mieux. Et depuis ce jour, dans mon tuktuk, nous voyageons de part le monde en nous produisant dans les cirques". 
 

C'est (bientôt !) l'été !

Quand je pars dans mes pensées, je pense à voyager dans le sud, rejoindre des amis. Je prends le train. Je me suis arrêtée dans une drôle de gare. J'attendais à côté d'une statue que les voisins viennent me chercher en voiture pour me ramener chez eux. En arrivant j'ai eu une belle surprise. C'était mon ami qui avait enfin le permis : et il m'annonça qu'il avait enfin trouvé quelque chose à lui et qu'il était prêt à m'accueillir chez lui.

Camille 

C'est (bientôt !) l'été !

Aquaman

Tout se passe dans une mer qui est reliée à la terre, qui relie deux mondes, la terre et la mer. Malgré lui ce héros est venu au monde dans le monde de la terre qui a fait polémique dans le monde de la mer car sa mère était une atlante tombée amoureuse d'un terrien. Elle mit au monde un atlante de sang-mêlé qui rendra fou de rage le peuple atlante. Sort promis du monde atlante, la mère du sang-mêlé fut jetée dans la fosse. Les années passèrent . Son mari, terrien, l'attendait chaque jour, cahque matin en espérant la voir. L'atlante de sang-mêlé se battit pour prouver qu'il était un pur atlante. Mais des enemis se mettaient en travers de son chemin pour le condamner et pour qu'il soit jeté à la fosse. Mais l'atlante de sang-mêlé rencontra Merce qui l'aida à trouver des réponses. Puis ils voyagent dans certains pays et ils se font localiser par les troupes de son frère. Malgré ça il n'arrive pas à échapper à cette embuscade et par hasard il se retrouve dans la fosse où se trouve sa mère. Il doit battre le Kraker pour prétendre au trône. Et il se battit contre son frère qui mit un terme à toute cette histoire.. 

Tout est bien qui finit bien. 

Yassine

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 3 Décembre 2020

Balade : l'adieu aux racines

Souvenir de ce sacré soir d’été

où ils cherchaient la peau noire de leur âme

intense prière, ce fut un soir secret

Ce soir-là, soir peuplé de leur double infâme

Un soir brumeux, étoiles et lune voilées

soudain les avions surgirent vers l’en-haut

tempo saccadé une nuit sans mémoire

écartelée de sang, une nuit noire

nuit de silex ce souvenir te mine

ta culture, ton histoire et tes racines

 

ce pays radieux, enfoui en toi

exil, voyage par-delà les frontières

si loin de leurs yeux, tu portes ta croix

sans aujourd’hui, ni demain, ni hier

où pars-tu sans bagage, comme en secret ?

Comme toi, j’ai versé des larmes de lait,

je pars sans fin ni espoir de retour

je ne regretterai pas ces vautours

qui ma civilisation, assassinent

ma culture, mon histoire et mes racines

 

au bout de mon âge, au bout de mes rames

quand les cris rendent sourd et le gosier sec

un soir je scrutais la peau de mon âme

et tous ensemble le jour de leurs obsèques

Leurs corps de canon, mon peuple, ma famille

refuser, dire non, éduquer les filles

ne restent que ces seules armes, tu dois me croire

pour lutter contre les coups de boutoir

je veux saluer l’arbre des origines,

ta culture, ton histoire et tes racines

J’avance lentement sur mon frêle esquif

le jour lève les voiles je suis  plein d’espoir

Je suis ce fugitif sans être naïf

Je fuis cette terre maintenant, ils dessinent

Notre culture, notre histoire et nos racines

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Textes personnels

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Publié le 2 Décembre 2020

Taches d'encre

Je traverse un paysage, je me balade avec des ami(es) et mon chien. J'observe les oiseaux qui mangent. Je pourrai pique-niquer et me reposer sous un arbre.

Julie

Taches d'encre

Je sens mon coeur brisé par les planètes. 

Mes yeux noirs et tristes qui partent dans le ciel et se perdent dans l'infini

Seule et triste d'avoir perdu mon premier amour

Enfin je sens très seule dans cet univers

Mayelin 

Taches d'encre

On fêtait la fin de notre voyage ce soir-là, en mode feux d'artifices, d'ailleurs je vous conseille de vérifier qu'il n'y a pas trop de feuilles sèche à côté de votre départ de feux d'artifices ni une personne avec de trop longs cheveux, sinon la pauvre ne reconnaîtra plus son visage, en tout cas cette soirée de départ était mémorable. J'ai fait une sacré FIESTA avec les araignées, les grenouilles et bien d'autres...

Patrice

Taches d'encre

Mes yeux voyagent à travers les nuages traversant différentes îles, je vois ces îles de pigeons, ces îles de crocodile. Je suis seule, perdue dans le noir. Je navigue... mes sourcils se froncent quand je tombe d'un nuage mais mes narines sentent l'odeur du nuage.

Özlem

Taches d'encre

Au milieu des arbres des squelettes de cerfs après un combat mortel. Une fumée se dégage de la terre où gisent les os. Des lions sont attirés par cette odeur et se mettent à hurler à la mort. Ce n'est pas vraiment une histoire pour finir avec Best fread for man meilleur ami de l'homme. Mais il faut une fin aussi terrible soit-elle.

Estelle

 

Taches d'encre

De cette forêt ornée d'arbres et de fleurs, sur ce sol recouvert de feuilles, au loin apparut une femme à lunettes en extase qui fit jaillir de tout son amour l'émerveillement de ce qui l'entoure ..

Valérie

Taches d'encre
Taches d'encre
Taches d'encre

Le Poumon de la joie

Mélo  de Nathan

Titre : Dissimulé dans l'obscur,

1er paragraphe : la découverte

Tout commence dans un laboratoire où le professeur Wawe °6 death.

Il inventa un crabe robot et son compagnon araignée avec un masque. 

2ème paragraphe : la nouvelle amitié

Le crabe robot rencontre l'araignée avec un masque. Tous les deux se battent et ne veulent pas voyager ensemble.

L'araignée s'appelait Gilles. Gilles répondit :

- Bonjour exécrant, meurs et pars dans la vallée de la Nacht. Dans les fumées apparaît un alien écrevisse qui voulait tuer le crabe robot. Celui-là est en danger et Gilles le sauva et créa une forte amitié.

3ème paragraphe : il est peiné 

Les deux amis se rendent sur leur île Peince et l'un d'eux trouva une pierre qui prend glace et feu. 

4ème paragraphe : Fin

Il trouva la pierre et se transforma en dragon de la liberté et se rendit au royaume et devint le roi de l'Univers.  

 

 

Taches d'encre

Une petite méduse se baladait tranquillement dans l'immensité de l'eau salée. Elle était sereine mais pensive. Elle dessinait des volutes et des cercles avec ses longues tentacules. Son rêve était de voler et de pouvoir respirer hors de l'eau. Elle en avait marre de cette eau salée qu'elle trouvait parfois poisseuse. Cette eau salée était remplie de poissons, d'anguilles, qui ressemblent à des poissons serpents à sonnettes. Comment s'évader de cet endroit ? Elle eut l'idée d'aller voir son ami médecin, il aurait sans doute une idée pour l'aider à voler. Elle sonna et le médecin anguille lui ouvrit, ils étaient heureux de se voir, il eut l'idée de partager un fond de gin. Il imagina des tas de mélanges. Au lieu de voler, la chtite méduse se voyait en fleur. Sa copine quant à elle s'imagina en cerise tenue en grappe.

Sandra    

Taches d'encre

Au moyen-âge, un chevalier de la cour du roi, parti en quête de la corne d'abondance cette corne avait le pouvoir magique de toujours de nombreuses richesses. L'homme armé de son épée affronta de nombreux dangers, comme un crabe géant, et une armée de poissons-grenouilles, il traversa de nombreux océans, sous de nombreux cieux, mais lorsqu'il trouva enfin l'objet sacré, la corne ne contenait que du chou-fleur et des nouilles !  

Grégory

Taches d'encre
Taches d'encre

Alien

Il était une fois dans l'espace, une espèce appelé Alien, il était poursuivi par un justicier sous le nom de Batman. Tout se passe sur une planète où un groupe d'explorateurs partent à l'aventure pour examiner une créature connue sous le nom de d'Alien covenant. Soudain une troupe d'Aliens fait son apparition devant le groupe d'explorateurs, avec leur venin acide, ils envoient leurs attaques quand tout à coup, Batman, leur vint en aide avec ses chauves-souris en renfort pour l'aider à combattre le mal.

Résultat des courses : Batman et ses compatriotes retournent sur Terre.

Yassine   

Taches d'encre

Ce dragon enfermé dans sa vaste cage de feu est malheureux pourtant dans celle-ci il y avait de la nourriture comme des poissons à 3 têtes, des fleurs carnivores. On appelle le dragon Tornade car il file comme le vent.

Aïchata

Taches d'encre
Taches d'encre

La rose de Vénus venimeuse avec ses feuilles arborescentes comme les dix doigts de la main symbolise l'amour le bonheur.

Le poumon de la joie n'est pas forcément ce qu'elle dégage à comparer de la douceur de la tulipe qui avec sa simplicité reflète l'amour, le bouquet humble.

Ayse  

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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