L'Homme et la Femme au travail

Le menuisier

Corps au repos

Main de lumière

Vitesse de la matière

Admire le bois

Arbre--> Planche --> Meuble

Machine et mat

Morsure des dents

Martine

 

Je veux être chauffeur de star parce que je veux être célèbre et peux obtenir tout ce que je veux.

C'est l'histoire d'un gars qui s'appelle Manuel. Cannibal, il aime bien la chair humaine car cela le rassassie.

Calvin

 

Les bambins font beaucoup de bêtises.

Sofiane

J'irai plus loin que l'effort.

Je voudrai voir la joie.

Une secrétaire était assise derrière son bureau. Elle était heureuse de pouvoir travailler à son aise, avec ses outils qu'étaient principalement l'ordinateur, sur lequel elle réalisait ses travaux, mais aussi le téléphone, qu'elle utilisait pour communiquer avec les personnes qui veillaient sur elle et l'aidaient beaucoup. Elle avait aussi, posé sur son bureau, un livre qu'elle lisait d'un air vaillant et qui l'aidait également à connaître encore mieux ce travail où le  rythme était le plus souvent aussi rapide qu'un train, et où il fallait souvent faire l'effort de le suivre. Et, lorsque c'était possible, d'aller encore plus loin, jusqu'à la limite du temps qui lui était donné, pour effectuer les tâches qui lui étaient demandées chaque fois par le supérieurs de ce lieu.

Plus tard je n'aimerai pas faire un travail où je serai enfermé dans un bureau toute la journée entouré de feuilles, de stylos et en face d'un ordinateur.
J'aimerai plutôt travailler en plein air sous le soleil qui brille et qui aide la végétation à pousser et à ne pas faner. J'aime voir de beaux jardins avec de belles plantations biens variées, avec parfois une belle fontaine très bien sculptée ou un étang  avec des  nénuphars et des fleurs aquatiques. J'aime la nature car elle peut être resplendissante, elle n'a pas de limite possible. Seul l'Homme peut lui en donner car sinon, la terre en serait remplie. 

Romain

Je voudrai aller plus loin à travers ton cœur jusqu'à l'oiseau.

Je voudrai que la femme de ma vie soit heureuse avec mes enfants dans ma maison au bord de la mer.

(anonyme)

J'irai plus loin que les montagnes

Je voudrai voir le soleil sur les plaines

J'irai décharger toute ma motivation pour définir ma personne que je voudrai être. Mon travail demande beaucoup de matos, malgré qu'il y ait des travaux à refaire. De tout ça, il y avait un accident, des défunts, on était conté néant. A faire pour les sauver, le domaine est terminé.

Tony

Ce matin je me suis levé tout pâle étouffé par l'angoisse qui prit ma gorge en otage.

Cette envie d'aimer qui m'oppressait, cette maison vide, un élan tous les matins par ce carreau de fenêtre. Je dû m'habiller, cette routine si froide qui s'installait quotidiennement, un peu plus qui m'effrayait, la peur d'y rester enfermé sans amour, sans femme, la question ne pu sortir de ma tête.

Etant ouvrier mais n'ayant qu'eau et pain à offrir dans cet endroit si insalubre, arrivant au travail depuis tant d'années, cette même routine qui s'installe. La solitude, la moiteur des mains, l'odeur qui tacheta mon corps, les blessures, l'envoi de colis, la manufacture pendant tout ce temps.

Mais cette année-là, 1989, mes douleurs étaient énormes. Cette solitude quotidienne, je m'y fracassait le crâne.  Mais ce jour-là elle passa devant moi, mais sans la peu d'approcher le pauvre paysan que j'étais. Le silence fut fracassant dans un lieu aussi , je sentais sa silhouette. Elle me fit l'effet de cette mer en Louisiane 56 que je vois tous les  jours dans ma tête. Cette profondeur dans son regard prouvait un grand amour pour moi.

Rédigé par Martine Silberstein

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