Publié le 20 Avril 2018

Texte écrit en atelier par Delphine

Un papillon au paradis 

Une vieille femme courbé s'arrêta dans un jardin. Elle s'assit sur un banc, elle se reposait enfin. Juste un instant, elle était fatiguée, usée.

Le printemps était là, enfin. les fleurs arrivaient, elles sortaient de terre et comme pour narguer le jardinier. Elles étaient là, au beau milieu de la pelouse. 

Avec les fleurs arrivaient aussi les libellules, les coccinelles et les papillons.

Malgré la fatigue et son grand âge, elle s'arrêtait le temps d'un rêve. Un rêve où les papillons sont au paradis. le papillon se déplaçait de fleur en fleur avec une telle légèreté, une telle agilité que cela faisait presque oublier les douleurs de la vielle femme courbée.

Mais la réalité la rattrapait. il fallait laisser le papillon au paradis. Ranger la carte et reprendre le chemin.

Elle se leva doucement, mais légère comme un papillons au paradis.     

Texte écrit en atelier par Naïma

La danseuse du carnaval

En ce jour de fête de carnaval, une danseuse avec son groupe d'amis riches, porte un masque de couleur or en forme d'orchidée. Ils ont eu l'idée d'organiser une chorégraphie sur le thème nature et bien-être.

Chaque année cet événement est attendu avec joie. Ils décidaient d'aller rejoindre, danses endiablées, un car qui se situe près de la mer. Au cours de leur itinéraire, sur la route, ils aperçoivent un navire au loin. A bord se trouvent des personnes brandissant des lances et chantant l'Hymne de la région. 

En joie et en fête, ils continuèrent le chemin pour aller à la rencontre d'autres amis qui les attendaient sur une charrette à déco nature et bien-être.

Cet événement dans leur région est synonyme d'art et de déco. En arrivant sur les lieux, toutes les personnes aux masque orchidée et or chantaient, dansaient, riaient, buvaient et mangeaient au rythme des tambours et des chants endiablés. Ils finirent leur soirée sur une note de bien-être. 

Taches d'encre

Texte écrit en atelier par Marion

Comme tous les ans, un soir d'été, après une bonne récolte de grappes de raisin. Toute notre bande d'amis se réunirent pour fêter la fin des vendanges.

Nous étions 12 bons vivants aimant le partage rire aussi. Les enfants des uns et des autres étaient venus agrandir notre grande famille. 

Pendant que nous partagions un bon repas autour d'une bonne bouteille de vin, les enfants jouaient avec des bulles de savon. ils faisaient éclater leur joie et on pouvait entrapercevoir leur émerveillement face à cette légèreté.

Quand à nous, le raisin qui avait servit à créer le vin réveille nos papilles et je ne sais si nous allions réussir à rester sobres. 

toute cette chaleur et ce mouvement me rappelaient notre adolescence, les bons moment. Quand la soirée se termine l'éloignement des amis me ramène à cogiter et à aimer ces moments passés.

Texte écrit en atelier par Jérôme

Un roi magnifique et éphémère

Cet homme, papy de couleur,

ayant une taille et un poids,

aimant  les couleurs des saisons

respire le bon oxygène et non le carbone

son reflet et ses raisons sont humains

Taches d'encre

Texte écrit en atelier par Farah

Lors d'un voyage vers une île lointaine, un homme réfléchissait calmement. 

Installé dans l'avion qui l'emmenait vers ces chapelets d'îles. Il avait sur le visage une expression triste, tandis qu'il écoutait patiemment la mélodie d'un célèbre chef d'orchestre. devant son regard triste d'ours boudeur, une mouche voleta et alla se poser sur la fenêtre à côté. En la chassant d'un geste de la main, il vit qu'il était arrivé. Les beaux paysages gais de forêts vertes, de grandes plages de sable fin, et d'une mer d'un bleu turquoise se dressaient au-dessous. tout cela fut tellement beau qu'il en oublia sa tristesse, ainsi que l'insecte qui s'envola dans une autre direction pour se poser plus loin.    

 

Taches d'encre

Texte écrit en atelier par Rachida

Les hommes préhistoriques vivaient il y a très longtemps. C'était l'époque de la préhistoire. Ils vivaient dans des cavernes et chassaient pour se nourrir.

L'ours, le sanglier, le mammouth étaient leur principal repas.

Ils repéraient les empreintes des animaux et se mettaient à leur recherche. Ils s'en servaient pour se vêtir ou se couvrir. La viande était évidement mangée.

Texte écrit en atelier par Philippe

L'aventurier

Cousteau est un aventurier qui a du courage avec son équipage. Il prend la mer et se rend sur d'autres continents sauvages dans un décor grandiose. Ému et passionné, sur leur superbe bateau qui a la force de frappe et une vitesse et une agilité rarissime. Ému Cousteau de rencontrer une petite île où se trouve une très belle duchesse.

 

Taches d'encre

Textes écrits par Martine

1/Un grand homme roux part à la chasse à l'ours avec son sac à dos. il longe un lac, saute par-dessus les flaques d'eau et les ruisseaux. S'arrête à côté d'un puits, boit et se mouche. Il pense au festin qu'il va faire avec son clan dans la grotte.

Tout à coup, un sanglier passe sous son nez ! Changement d'objectif ! Il le frappe à grand coups de gourdin sur le nez. Le sang coule, une larme surgit dans l’œil de l'animal blessé. 

L'homme recule, ému, et se pique après le buisson derrière lui. Il mange quelques baies. Il est sourd aux gémissement du sanglier. Il l'achève et remonte ses traces dans la basse vallée avec la bête sur l'épaule. Un nid d'abeilles. il en prélève quelques rayons de miel. Se lèche les doigts. Mmh ! Un ange passe. 

2/Un ours couvert de neige se dresse sur ses pattes, bonhomme noir sur la blancheur immaculée. 

Il retourne dans sa  caverne a il a froid.

Sourd comme un robot électronique, cadeau sous les feuilles du sapin de Noël, il fonce une carotte à la main comme un bolide, une bombe sans gêne.

Nul besoin de robe ni de botte pour avancer.

Mais une voiture du futur en soie, pas en métal, de couleur beige, dont la toiture était en poil de papillon, tomba en panne juste devant lui !

Un homme valide et nu sortit, mèche en bataille, l’œil vide, hache à la main, accompagné de son rat poilu et de son paon.

Avec sa hache il fracassa crâne, dent et mâchoire de ce pauvre ours qui n'a rien demandé. Il est mort sur le coup, pauvre chrysalide, en boule, couché dans la neige.  

 

Texte écrit en atelier par Carlos

Le visage de Papi aux dents pourries après la guerre a du mal à mâcher son bouillon. Alors qu'un papillon passe et le rend triste, il a du mal à respirer.

Taches d'encre

Texte écrit en atelier par Selim

L'amour de la liberté et de la nature

Une belle journée ensoleillée je suis sorti faire une ballade avec mon papa. Dès les premiers pas on a vu de beaux papillons posés sur les fleurs. On a commencé à pénétrer au cœur de la forêt. 

Je vois le sourire de mon père dès qu'il a a vu ses amis chasseurs. Ils nous ont proposé de passer les reste de la journée avec eux. Ils nous ont montré un beau lac. Ils ont commencé à pêcher. Au bout de quelques minutes ils ont attrapé des gros poissons. Le soleil commence à se coucher et on a allumé le feu et fait grillé les poissons. On a bien mangé. La nuit est tombée dans le ciel. J'ai vues de belles étoiles. C'était une journée incroyable que j'ai passé.

Texte écrit en atelier par Romain

Je vais écrire mon âme avec une plume et de l'encre pour me dévoiler. J'ai un sentiment d'amour pour la plume avec laquelle j'écris, c'est de la tendresse. C'est digne d'un roman d'un bon écrivain célèbre.

Et tout ceci avec une plume... en or !!! Je me suis quelquefois mis en colère contre des voleurs voulant voler ma plume avec laquelle j'écris de la lumière. 

D'ailleurs, les roman que j'écris sont encore plus précieux que de l'or. Ma vie se passe souvent avec un stylo pour écrire des livres d'amour, ce qui peut sûrement  faire partir, pour certaines personnes, leur méchanceté, ne plus s'énerver (pendant un court instant) et ne plus pousser de violents cris. 

Ce qui est le contraire de l'amour, des bons sentiments, de la tendresse, des baisers et et des câlins. 

Texte écrit en atelier par Mehdi

Une guerre éclate dans la constellation

L'histoire se passe en 2633. La fin du monde. Un petit garçon qui s'appelle Samy part à la recherche de son pépé porté disparu. Il veut donner un sens à sa vie et parce qu'il s'ennuie. A la fin de l'aventure il entend un drôle de bruit dans le vaisseau et là, il voit une drôle de bête qui lui parle. Il trouve ça bizarre. La créature est un papillon. Je t'aides à trouver ton pépé à une condition, donne-moi de l'argent. 

Alors Samy le jette par la fenêtre, et voilà.  

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 18 Avril 2018

Texte écrit en atelier par Marion

Dans ma montagne, il y a beaucoup de brouillard et de mouettes. Les chemins s’éparpillent. Les sources sont multiples où jaillissent des jets d’eau et d’argent. Il n’y a aucun problème, tout est facile, la rage de vivre est présente. Les commerces sont rares. Il n’ay a pas de lunette ni de champagne. Les hommes sont petits et ont les yeux verts. Le bonheur est réel. Il n’y a aucun corbeau à l’horizon ni aucun nain ni même d’allergie.

Avec les TCL : explorer les noms de station de métro, bus, tramway

Texte écrit en atelier par Valérie

Dans les profondes montagnes des Monts d’Or un petit homme nommé Gilles vivait du commerce de la chasse et du champagne.

Son plaisir était aussi de construire de ses mains, au centre de sa cour, un puits d’or avec des bijoux en cailloux et une fontaine où jaillirait au milieu un jet d’eau d’or.

Il vivait sans beaucoup d’argent malgré tout avec son loup et un corbeau nain.

Quant à son Bel ami Charly, son boulot consistait à tanner les peaux grâce aux écorces et aux ruisseaux.

Une fois leur labeur terminé, l’on pouvait voir dans les yeux verts de ces deux hommes assoupis au pied du grand arbre,… l’océan… et leur réel plaisir, tel un félin ou les mouettes à voir au-delà des gratte-ciel, le grand large et leur profonde joie à vivre par de-là des dieux, par les 7 chemins.

Avec les TCL : explorer les noms de station de métro, bus, tramway

Texte écrit en atelier par Hugo

Mon plaisir c’est regarder les Monts d’Or qui abritent dans leurs profondeurs un puy d’or, gardé par un Lyon. Son ami le corbeau a un corps bas et son bouleau est de surveiller la ville depuis les airs pour aller se poser sur une montagne appelée la Part-Dieu. Vue sur une belle cour pleine d’arbres ! Le cuir du corbeau au corps bas, Charly, à New-York, se pose sur un caillou après un long voyage !

Avec les TCL : explorer les noms de station de métro, bus, tramway

Texte écrit en atelier par Lino

Lyon la deuxième ville de France. Beaucoup de choses à voir. Le Grand Large et Montplaisir, une grande tour comme à New-York. Mont d’Or et bijoux.

La Part-Dieu  haut lieu des commerces où l’on peut tout découvrir ; beaucoup de gastronomie : Lyon est bien fournie pour être la deuxième ville de France. Bien fournie dans le domaine de l’horlogerie aussi.

Lyon est bien la deuxième ville de France

Avec les TCL : explorer les noms de station de métro, bus, tramway

Texte écrit en atelier par Martine

Joli moi de mai

Laurent s’est retroussé les manches.

C’est le matin.

Il ouvre ses volets. La demi-lune brille encore haut dans le ciel. Les mésanges chantent. La colombe roucoule.

Au loin, la montagne retentit des appels du loup. Il frissonne. Ses poules rousses et ses moutons sont à l’abri de la grange. Pas de souci.

Un bel air balaie les nuages blancs au-dessus de la croix.

Il verse un peu d’huile d’olive dans la poêle et se fait deux œufs au plat. Dans la rafour cuit le poulet pour midi. Il mord dans un croissant.

En paix avec lui-même, sensation de liberté. Ici, ce n’est pas la vallée de la chimie. La terre est aride mais produit tout de même lait, laine, huile et fruits.

Les côtes sont raides. Ce n’est ni la vallée du Nil, ni celle du Rhône, pas plus que le Grand large.

Il rêve, luminé, il voit des voiles, vole. 

Oups ! il doit encore limer ses tuyaux. Au boulot !

Avec les TCL : explorer les noms de station de métro, bus, tramway

Texte écrit en atelier par Ayad

Dans la vallée, un loup carnivore veille après un mouton. 

Les mésanges jolies dans la forêt prennent l'air de la montagne.

on voit un croissant dans la nuit blanche vers le ciel.

Avec les TCL : explorer les noms de station de métro, bus, tramway

Texte écrit en atelier par Carlos

Sur la dune qui dominait le Nil, bordée d’oliviers, un loup en liberté hurlait à la lune. Cette nuit il effraya les moutons et la paix des colombes.

C’était un rêve éveillé, ou une idée

Avec les TCL : explorer les noms de station de métro, bus, tramway

Texte écrit en atelier par Saber

Monsieur Charly qui habitait à Champagne au Mont d’Or avait adopté un lion  qui avait les yeux verts.

Il avait traversé le pont de Bellecour où il avait rencontré monsieur Corbeau qui avait une allergie au lion ! Il salua monsieur Charly. Il lui dit: "Monsieur, pouvez-vous tenir votre lion à une bonne distance de moi, j'ai une allergie au lion". Monsieur Charly dit à monsieur Corbeau: "Ne vous en faites pas, j'ai un ami médecin sur Meyzieu qui est spécialiste en allergie".

Ils partirent à Meyzieu voir le médecin  qui lui a donné des médicaments contre son allergie des lions.

Depuis, monsieur Corbeau n'est plus allergique au lion et il est devenu très ami avec monsieur Charly et son lion.

Avec les TCL : explorer les noms de station de métro, bus, tramway

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 6 Avril 2018

Un étranger a débarqué dans ce village de pauvre pêcheur. monté sur un âne, il a suivit un troupeau de moutons jusque dans la forêt bordant la mer, la plage et les flots bleus.

Au crépuscule, arrivé devant une église, il y entra. Un vieil homme priait.    

L'étranger

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Textes personnels

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Publié le 5 Avril 2018

Texte collectif écrit en atelier  par Michelle, Martine, Farah, Sylvie, Nathalie et les autres

"J'allais au fleuve dont je n'ai connu que le son, à dos d'âne. On y préparait des gâteaux faits sur le feu, avec rigueur, dans un refuge qui ne valais pas un sou.", raconta l'étranger.

Il a débarqué dans ce village de pauvre pêcheur. monté sur un âne, il a suivit un troupeau de moutons jusque dans la forêt bordant le fleuve, la plage et les flots bleus.

Au crépuscule l'étranger fut invité à venir en voiture jusqu'à notre bateau pour rejoindre, par la mer, l'église au toit pointu. Arrivé devant une église, il y entra. Un vieil homme priait. Puis on célébra le baptême de notre fille, sous un ciel bleu vers la vieille forêt, où suivra un apéritif. J'espère que ce baptême l'emmènera en voyage sur une mer magnifique qui, nous l'espérons, lui apportera du rêve.     

Il pensa: "Lorsque j'ai vu pour la première fois ce pays, j'ai tout de suite su qu'il me plairait. J'ai vu aussi les bateaux près de moi par cette belle journée ensoleillée. Et, lorsque je les ai vu passer sur l'eau bleue du fleuve, comme une barque navigant sur la mer, je fus émerveillé par ces belle choses, dans ce village magnifique où je me trouvais. Tout cela me donnait envie de faire des explorations mais je ne savais pas par où commencer. Et lorsque le crépuscule tomba, tout paraissait encore plus beau, l'eau brillait sous les lumières colorées du village apparaissant à la tombée de la nuit. Autour de moi la nature s'éveillait, ce qui m’émerveillait plus encore. Je n'oublierait jamais ce voyage qui fut, pour moi, aussi beau qu'un rêve."

Il pointe du doigt en tenant la cigarette dans la main gauche, portant un chapeau sur une île, ou une plage, ce joli paysage avec ces maisons et ces arbres, et à vue d’œil, la neige sur la colline, très jolie, dans ces régions montagneuses.  

L'étranger poursuivit son périple. Lors de son voyage à bord du Berner il a traversé beaucoup de contrées. La nature était forte, immense. Il a sympathisé avec une famille de Chinois. Le grand-père, très âgé, ancien, lui a expliqué qu'il avait beaucoup voyagé en bus. Sa femme était malade. Il avait comme "mission" de faire les courses. Que des mets succulents: poisson, chien, chat, anguille, singe, riz, nouille, algues, légume, alcool de riz, et bière. Ce périple lui fit parcourir de grandes routes. Des étendues magnifiques longeant la mer. Pour le grand-père rien ne compte plus que de satisfaire sa femme, Tatiana. Lors de son périple, le grand-père s'imagina libre. Libre de partir voyager. De  visiter Lourdes avec sa femme. Libre de rêve. Libre d'être libre.

Le Chinois pensa "Je suis parti en pèlerinage à Lourdes, il pleuvait beaucoup dans la fontaine de jouvence et c'est là que j'ai vu la tête d'une homme. Et j'ai vu une fille qui restait assise toute seule en montrant du doigt. Le temps m'a semblé pluvieux et on n'a pas pu rester à Lourdes pour les vacances mais je suis content d'avoir pu participer. Même si mon rêve du moment c'était de partir en vacances me faire bronzer, lézarder au soleil sur la plage, profiter de la chaleur. Il me faudrait un endroit calme, paisible, à la campagne, avec un petit côté mystérieux, près de la mer. Le must serait que ce lieu soit imprégné d'anciennes civilisations ou d'autres cultures, histoire d'être dépaysé totalement. Pour conclure, je rêve d'un périple rempli d'explorations au clame entre mer et forêt." 

Il croisa un professeur qui écoutait la radio dans le camion avec un militaire. Le camion a fait un arrêt. Ils ont mangé un tajine. Ils virent un menuisier qui passe le balai pour nettoyer les copeaux. Ils rencontrèrent Petit Brigand, un routier qui était tatoué. Ils reprirent la route avec le tatoué en direction de l'Espagne. A l'horizon on voyait un enfant manger devant une fermière, il était grand.

Inondé de boucles partant dans tous les sens, mais traçant un chemin qui, vu côté mer, cette musique l'emporte et le fait voyager il se sens tellement bien qu'il ne veut plus quitter sa bulle. Les nuages de Madagascar sont doux comme une plume au centre d'une peinture. Au milieu du jardin, une tablée entourée d'ânes. Sa grand-mère propose sur papier, tricot et couture, avec un soleil généreux, il reste tranquille. Il contemple ce village important pour ce peuple et se laisse traverser par une pluie de bonheur.

 

Tissage du métissage

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Rédigé par Martine Silberstein

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Publié le 5 Avril 2018

Texte écrit en atelier par Lino

Je suis revenu dans la ville où j’ai longtemps vécu.

Je suis très bien. Tous les jours je fais 6 kilomètres de marche. Le week-end j'aime bien aller en ville et rentre dans le quartier que j'ai retrouvé. 

J'habite dans le même immeuble que ma mère et notre plaisir c'est jouer aux dames  le soir après le repas, 2 ou 3 parties.

Je trouve que ce petit jeu dynamise ma mère par la réflexion et l'action. C'est très bon pour sa santé et la mienne aussi. Ma mère gagne souvent et c'est très bon pour sa fin de journée.

Plaisir partagé

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 5 Avril 2018

J'aime les caves

   pas pour une balade oeno-touristique

   Ni pour visiter les fruitières où l'abondance de fromages ne nuit pas et fait saliver les papilles

   Pas plus que les grottes de Lascaux, Faire la queue pour admirer des peintures paléolithiques où caracole le cheval de Chagall, très peu pour moi !

Non, moi ce que j'aime ce sont les caves pour leur profondeur

leur odeur de moisi

de renfermé, fermées comme des coffres-forts.

Les caves et leur noirceur

leur mystère

tente mongole, abri, dôme ou refuge

je m'y sens totalement zen

si loin du monde

des gens bizarres

j'aime aussi leurs semblables

les cryptes des vieilles églises

les grottes impénétrables

lieux où s'isoler

sans téléphone portable, ni facebook, où aucune communication n'est possible

Puis refaire surface,

s'alimenter, avaler un gigot d'agneau,

admirer la rivière serpenter

le patient jardinier râtisser

Je sais, c'est insolite,

mais je préfère errer dans un labyrinthe humide

loin du soleil

et des concerts en sourdine

plutôt que de m'agiter dans un garage

verdir dans une centrale nucléaire

m'irradier dans un monde cruel.

Cave

où s'entassent de vieilles poteries

des fromages

du vin

un vélo

des livres

des cadeaux abandonnés

des croûtes sur lmeur chevalet

et où un oiseau empaillé en fragile équilibre règne. 

 

   . 

 

Les caves

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Rédigé par Martine Silberstein

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Publié le 4 Avril 2018

Texte écrit en atelier par Marion

Il y a beaucoup de soleil. On y passe ses vacances.Je dis merci aux habitants de m'avoir montré leur existence qui est plutôt axée sur le tourisme. La vérité c'est leur vie, enfin, ils s'amusent beaucoup dans les loopings qui représentent Jules César et la Gaule.

La population qu'ils servent c'est plutôt l'aristocratie.

Maurice et Marc vont souvent à la plage où ils trouvent beaucoup de crustacés pour leur déjeuner.

C'est un rêve éveillé. Dans ce pays on mange beaucoup de bonbons et de Nutella, c'est des gourmands. Les bonbons sont en forme de nuage. C'est le pays coloré des merveilles en fin de compte !

 

Je m'envole

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Rédigé par Martine Silberstein

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Publié le 3 Avril 2018

Texte écrit par Franck

Dans l'espace infini des souvenirs de mon enfance, je suis du regard l'étoile qui me guide en espérant revoir la maison de campagne où j'ai grandi. Je la revois entourée de verdure et de pommiers en fleur suivant le fil des saison.

La raison s'empare de ce pays que je ne reverrai plus. Elle attise les cendres encore rouge de mes regrets.

Tel un volcan en fusion, mon coeur brûlant attends le pompier du bonheur qui sera capable d'éteindre les flammes de ma tristesse.

Enfance

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 2 Avril 2018

Texte écrit en atelier par Hugo

Aux états unis il y a la maison blanche qui abrite le président, bien gardée par de grands câbles. Une base aérienne est proche, les avions ont peur qu'une attaque ne scie les câbles. Pour prévenir de l'attaque, les habitants placardent et tapissent des lettres de soutien pour mieux vivre pendant que ma famille et moi avont une vie paisible pour mieux dormir.

Maison blanche

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 1 Avril 2018

Texte écrit en atelier par Romain

J'habitait à Villeurbanne dans le passé, en banlieue. Et ça ne me ravissait pas du tout avec toutes ces racailles très impolies. 

Maintenant j'habite à Mions une commune beaucoup plus calme. Et parfois lorsque je suis dans ma chambre dans mon lit j'ai l'image de l'Italie dans mas tête. Je pense au Vésuve* où je ne suis jamais allé mais où j'aimerai aller, aux belles plages et aussi aux nombreuses belles femmes.Mais malheureusement j'ai eu un grave accident. Et par chance je suis encore là. En ce moment je suis au centre de rééducation LADAPT où j'ai retrouvé une très bonne humeur ! Un tas de choses m'aident à retrouver le sourire et ça marche très bien. Et en plus toutes les séances à LADAPT sont vraiment utiles. Les moniteurs éducateurs sont sympathiques. Le réfectoire malgré toutes les critiques de nombreux bénéficiaires et bien moi je trouve que pour le prix qu'on paye, il n'y a vraiment pas à se plaindre. Et une des séances qui se trouve au 3ème étage me plaît aussi, c'est l'atelier d'écriture.

*Le Vésuve, volcan se trouvant dans mon pays d'origine me donne envie d'aller le voir. De plus je ne suis jamais allé voir un volcan éteint. Mais éteint, heureusement car sinon i n'y aurait pas toutes ces visites, bien évidemment. J’aimerai bien le voir à la télé, pour plus de sécurité, voir le Vésuve en eruption ! 

Souvenirs

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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