Publié le 12 Novembre 2020
Haruki Murakami est un auteur japonais que j’aime beaucoup lire. On y découvre un monde étrange. Des mondes parallèles. Une civilisation, une culture et une mentalité surprenante. J’ai un ami japonais, artiste, Nobuaki Takekawa à qui j’ai posé cette question : « Tous les Japonais sont-ils comme Haruki Murakami ? ». Il m’a répondu « Non, pas du tout ! ». Comme quoi…
Atelier d’écriture Voici ce que j’attends de vous : avec les titres, tout ou partie de titres, inventez une histoire qui sera très certainement très mystérieuse, fantastique, bizarre, voire bizarroïde mais qui sera peut-être tout aussi bien très réaliste, autobiographique, collant à l’actualité ou à l’histoire ou à l’Histoire avec un grand H ! Faites comme d’habitude, pour tous les ateliers que vous commencez maintenant à apprivoiser, vous interprétez, vous adaptez, vous suivez ou ne suivez pas mes consignes. Un seul principe : écrire ! Amusez-vous bien !
Auteur : Haruki Murakami
Titre du livre : Chroniques de l’oiseau à ressort
Table des matières
Première Partie : La pie voleuse
Le mardi de l’oiseau à ressort ; six doigts et quatre seins
Pleine lune et éclipse solaire ; les chevaux meurent dans les granges
Le chapeau de Malta Kano ; tons sorbet ;
Allen Ginsberg et les croisés La tour haute et le puits profond
Intoxiqué aux pastilles au citron ; l’oiseau incapable de voler et le puits à sec
Le pressing du bonheur Réflexion sur la souffrance
Conduits souterrains et manque d’électricité ; les théories de May Kasahara sur les perruques
Magic Touch ; mort dans une baignoire ; le distributeur de souvenirs
Ce qui émergea de la boue tiède ; l’eau de toilette
Deuxième partie : L’oiseau prophète
L’histoire des singes de l’île banale
Perte de la grâce divine
Paysages de villes lointaines ; la demi-lune éternelle ; l’échelle en place
Transmission de patrimoine ; réflexion sur les méduses
La racine du désir ; à travers le mur de la chambre 208 Le puits et les étoiles ; comment l’échelle disparut
Douloureuse sensation de faim ; l’oiseau prophète
Ce que j’ai découvert en me rasant ; et à mon réveil Le nom adéquat ; brûlée à l’huile de salade un matin d’été
Le plus simple ; la chose dans un étui à guitare
Les bonnes nouvelles sont annoncées à mi-voix
Troisième Partie : L’oiseleur L’énigme de la demeure des pendus
L’hiver de l’oiseau à ressort Réveil d’hibernation ; encore une carte de visite ; l’anonymat de l’argent
Péripéties dans la nuit Les chaussures neuves ; retour à la maison
L’endroit que l’on peut trouver en réfléchissant bien
Cannelle et muscade
L’attaque du zoo ou un massacre maladroit
Cette pelle est-elle réelle ? Incident au cœur de la nuit
L’homme qui attendait ; l’oisiveté est la mère de tous les vices
L’étrange langage des signes de Cannelle ; offrande de musique
C’est peut-être ici que tout s’arrête
L’épuisement et le fardeau du monde ; la lampe magique
Le salon d’essayage ; le successeur La fille des crapauds sans cervelle
Labyrinthe souterrain ; les deux portes de Cannelle
Les méduses du monde entier ; la métamorphose
Compter les moutons ; ce qu’il y a au centre du cercle
Alerte rouge ; une longue main tentaculaire
Celui qui nuit ; le fruit mûr
Des oreilles triangulaires ; les clochettes du traineau
On ne peut pas faire confiance dans une maison
Naissance d’une maison vide ; changement de monture La batte disparaît ; le retour de la pie voleuse
Faire travailler l’imagination d’autrui
Un endroit dangereux ; les téléspectateurs ; l’homme vide
La lueur d’une luciole ; rompre le sortilège
Le monde des réveils qui sonnent le matin
Rien qu’un couteau réel ; la fameuse prophétie
La famille canard ; l’ombre des larmes Au revoir
Vous en saurez plus sur cet auteur et sur ce livre en allant sur mon site préféré
Pour en savoir encore plus sur le livre, un blog que je viens de découvrir : http://lechatsurmonepaule.over-blog.fr/2015/03/haruki-murakami-chroniques-de-l-oiseau-aressorts.html
Chroniques de l'oiseau à ressort - Haruki Murakami
En quête de bons livres à lire ? Découvrez l'actualité de Babelio et les livres du moment en vidéo. Ce mois-ci, on s'est intéressés aux couvertures de livres, et surtout, à ce qui fait qu'u...
https://www.babelio.com/livres/Murakami-Chroniques-de-loiseau-a-ressort/4408
Pour en savoir encore plus sur le livre, un blog que je viens de découvrir :
Haruki Murakami, Chroniques de l'oiseau à ressorts - Le blog de Robin Guilloux
Ce travail a été conçu par Nolwenn Mainguy et Eugène Jusserand, classe de Première artistique du Lycée Alain-Fournier à Bourges. HARUKI MURAKAMI : Chroniques de l'oiseau à ressorts ねじ...
L'imagination d'autrui (une pensée difficile)
Je partais maladroitement de la maison, quand je vis une demeure aux pastilles de citron. La lampe magique qui était accrochée me faisait penser à une réflexion très bizarre. Une certaine grâce divine que je ne pourrai expliquer. Je m'éloignais tout en pensant à cette pensée qui m'interrogeait. Je finis par quitter cette péripétie et m'envolais avec mon dîner qui était composé de sardines à l'huile et de salade neuve d'été.
J'arrivais dans ce payasage éternel de la transmission des couchers de soleil et de désir. L'été était bien là et je découvrais l'anonymat des hommes qui semblaient sous la douleur de la faim et du manque de leurs origines.
Les choses sont simples comme un étui à guitare et pourtant j'étais toujours aussi triste. L'énigme est sûrement le fait que ces gens sont dans l'anonymat et que personne ne les voit. L'attaque de cet endroit qui sent le massacre qu'il y a eut, donne une réflexion particulière.
Je continuais à marcher avec un pas certain mais méfiant. des chevaux avec une tête d'oiseau coursèrent des carnards avec de longues jambes de faon. Je n'imaginais pas dans quelle partie de cette terre j'étais.
Le carnage commença et je pris mes jambes à mon cou et me transformais. j'étais comme un esprit long, mal proportionné, aux lueurs de bruits invariés. "Réagis !" me dis-je. "Tu es en plein cauchemar".
Je me réveillais et revint à la réalité sur mon lieu de travail. Je m'étais assoupi et me levais pour commencer à retrourner au travail.
Il n'est pas toujours bon de s'évader dans nos pensées quand ces pensées sont cauchemardesques.
Régis
Après mûre réflexion, c'est peut-être ici que tout s'arrête.
Le monde des réveils qui sonnent le matin, la fameuse prophétie, la tour haute et le puits profond, naissance d'une maison vide, un endroit dangereux, les téléspectateurs;
L'homme vide, on ne peut faire confiance dans une maison intoxiquée aux pastilles de citron.
Alerte rouge, une longue main tentaculaire, des oreilles triangulaires; Les clochettes du traîneau; Les méduses du monde entier; Faire travailler l'imagination d'autrui.
Au revoir
Patrice
Le mardi, l'oiseau à ressort rencontra un animal étrange, mi-femme-mi-sirène-mi-chienne. Elle avait six doigts à chaque main/patte et quatre paires de sein, de quoi allaiter une belle portée de petits.
Cet être imaginaire est né à la pleine lune, un jour d'éclipse solaire dans une grange, ou plutôt une écurie.
J'oublie de préciser que cet être fantastique portait un chapeau au ton couleur sorbet et avait souvent les bras croisés.
il habitait souvent dans un puits profond, alors que l'oseau à ressort, lui, nichait dans une haute tour.
Mais comment et où se sont-ils rencontrés ? Tout simplement au Pressing du bonheur, là où sont rincées des eaux intoxiquées par les pastilles au citron, où travaillait l'oiseau à ressort. Depuis, la souffrance de l'oiseau à ressort est grande car il est incapable de voler.
Cet être mystérieux, non seulement porte un chapeau, mais aussi une perruque rouge vif que, chaque soir il lave dans une baignoire et se souvient quand il avait encore ses vrais cheveux. Puis, à l'aide de on eau de toilette préférée, il se parfume.
Ils décidèrent de partir ensemble sur l'île banale où vivent de nombreux singes, cachés dans des conduits souterrains imprégnés de boue tiède. Ils peuvent apercevoir la ville au loin, sur la rive opposée et la demi-lune éternelle fixée au plafond du ciel.
Les singes se méfièrent d'eux, comme ils se méfient des méduses. Qui étaient cet oiseau à ressort et cet être bizarre, quel désir les unissait ? Pourquoi jouaient-ils de la guitare chaque soir et chantaient-ils à mi-voix ?
Mais un jour, un oiseleur, saisissant une échel, un réveil, un saladier et de l'huile décida d'attraper ces deux énergumènes afin de les enfermer dans un zoo.
Une échelle pour saisir l'oiseau.
Un réveil pour se lever avant l'aube.
Un saladier et son huile pour son dîner.
Mais un incident au coeur de la nuit bouleversa ses projets. Au réveil, il trouva un pendu dans sa maison, brûlé à l'huile de salade. Troublé, il enfila cependant ses chaussures neuves. et se rendit au zoo dans l'intention de remettre sa carte de visite au directeur et lui annoncer son envol pour cette île si peu banale.
Mais en arrivant au zoo il trouva le directeur totalement perdu, troublé, comme fou. De nombreux animaux avaient été massacrés.
C'est peut-être ici que tout s'arrête.
Epuisé, loiseleur et le directeur n'eurent qu'un recours : La Lampe Magique. Ils la frottèrent entre leurs quatre main et apparut la Fille des Crapuds sans cervelle qui leur annonça l'Alerte Rouge. La longue main tentaculaire attrapa une luciole et ses yeux pleuraient à chaude larmes. Ils entendirent alors les clochettes du traineau et virent le Père Noël changer de monture.
L'endroit était dangereux, ils s'enfuirent à tire-d'aile rejoindre l'oiseau à ressort et la femme-sirène-chienne dans l'île.
Et tous vécurent heureux. A cette heure, ils y sont encore.
Martine
La pie voleuse
Dans le nid de l'oiseau qui s'appelle la pie. C'était la pleine lune, les chevaux dormaient.
Le lendemain une femme avec un chapeau vivant dans une tour haute. Dans cette tour il y avait un puits. Elle mangeaitun citron. L'oiseau ne pouvait pas voler, il avait soif mais le puits est à sec. L'oseau souffrait de ne pouvoir voler.
La pie avait un frère mais par la fenêtre il vit qu'il était mort dans la baignoire.
La pie avait plein de souvenirs avec son frère. La pie avait volé l'eau des toilettes
Un homme attendait tout près du zoo après cette attaque du zoo les personnes faisaient une offrande en musique.
La pie voulait se venger et trouva une lampe magique. L'oiseau invoqua la fille des crapauds sans cervelle et des méduses du monde entier.
Les habitants donnent l'alerte rouge et déclarent la guerre plus tard les pies ont une nouvelle maison
Au revoir mes amis les oiseaux
Nathan
L'oiseau au collège
Un jour pendant la première année scolaire, un oiseau est venu me voir. Il m'a avoué ses sentiments qui étaient profonds. La première fois, j'ai tenu quatre ans. Oui, car je me sentais bien, j'avais l'impression d'être dans la maison du bonheur.
J'avais rencontré des canards qui mangeaient des chouquettes; ils étaient tous de la même famille. Mais j'ai découvert qu'ils m'avaient kidnappée. Ils étaient très, trop gentils sans le vouloir, je m'entendais simplement avec la famille. Je me suis rendu compte que la famille m'aimait bien, sauf que je me sentais moins heureuse car m'occupais du fils. J'avais eu une relation difficile avec le fils. Je ne répondais qu'au désir de la famille. Aujourd'hui j'ai décidé de ressortir définitivement de cette famille. Mais j'ai l'impression de ne pas en sortir.
Camille