Publié le 18 Avril 2019

Dans le ciel clair et beau de Paris, on ne savait pas qu'un nouveau drame dans l'Histoire de France s'y déroulerait. 

En effet, ce soir un drame est arrivé au cœur de Paris.

Notre-Dame ravagée par les flammes. Ce moment et cette soirée de printemps est figé.

Seules les sirènes de pompiers cassent ce silence de cette soirée.

Les flamme ravagent le toit de Notre-Dame.

Les pompiers font pleuvoir de l'eau sur les flammes.

La lumière des flammes se reflète sur les visages des Parisiens, sur la France et le Monde.

Ce silence a fait figé le temps. Seules les chants chrétiens rompent le silence de la soirée.

Cassandra 

Il faut caresser le plus beau canyon d'une main légère, comme les ailes des vautours. Les libellules sont loin de leurs terres, comme un poème que l'on caresse. On ressent la vie, à travers les plaines. Ici le temps  est comme arrêté. On voudrait rester pour regarder ces terres oubliées, cette terre à l'histoire heureuse, les visages ont le sourire de voir cette belle terre avec toutes les odeurs de cette plaine.

Zagaz

Le printemps est la saison des amours

Le vent souffle dans les champs, le blé  s'échappe de sa terre, les noeuds ont éclaté des roses envolées

Catherine

Le printemps est la saison des amours

Dans cette verte prairie environnée de soleil, les arbres sont en joie.

Les branches tendant leurs mains vers le haut du ciel où les roses se sont envolées, mais un arbre au milieu d'un mas provençal attend pour prendre racine.

Le Poète

Pour lui conter ses vers, le nez dans les étoiles, au fonde l'allée d'oliviers.

Cécile

Le printemps est la saison des amours

Marche sur les fleurs, les vacances sont là.

Allonge-toi sur la plage.

Regarde les voiliers défiler au loin.

Et admire les iris bleus dont les bourgeons paraissent.

Ghislaine

Le printemps est la saison des amours

Regardons la couleur si belle de mon jardin où iris au cœur bleu et orchidée bleu pétale en pleine floraison.

Bleu partagé, les gouttes tombent au cœur bleu.

Le soleil brille où la nature est en harmonie

Regardons, la couleur est si belle

Nos rêves s'allument d'une lumière bleue encore

Dans un spectacle sans égal

Oh mon jardin au cœur du printemps 

Je t'ai attendu si longtemps

mélange toi à leurs bourgeons

Naïma

Le printemps est la saison des amours

Un ciel très bleu

la couleur verte du printemps

rehausse la tristesse du béton.

Les cités reprennent de la couleur

quand il fait chaud sur les lacs alentour.

Les canards si bavards se taisent

pour apprécier la chaleur du soleil

après la pluie qui faisait des flics flocs

sur la rivière.

Un gros brochet si curieux

ne voit plus les gouttelettes se poser

délicatement au fil de l'eau. 

Il comprend que c'est le printemps

Il se tait en français

pour entendre cette nouvelle saison

qui lui redonnera raison

Nathalie 
 

 

 

 

Un jour au printemps Georgette lisait un livre : Roméo et Juliette. Et l'après-midi même elle se promenait. Et là, elle aperçoit une affiche : "Roméo hait Juliette". Et tout à coup, elle se pose beaucoup de questions.

En rentrant à la maison elle en parle à Georges et bizarrement le petit mari n'est pas convaincu. Il se tait et une bouffée de chaleur monte et la colère s'installe. Georgette voit très bien que  monsieur Georges n'est pas motivé. Elle lui montre la photo qu'elle a prise en centre-ville et il explose de rire car il a la même colère que sur l'image et il décide finalement de voir, par curiosité. Georgette est aux anges. Vivement le week-end !!!

Aïcha

Un arbre, au loin

seul, au milieu de la prairie                          Haïku

fait le bonheur                                             Un arbre seul

d'une famille cigogne.                                 Un cigogne a fait son nid 

Queue de pie noire                                       Elle attend l'été

Collerette blanche du dimanche

Ils attendent l'été

Martine

Le printemps est la saison des amours

Les vacances à Paris et profiter de la vie

Le premier jour nous sommes allés à la Tour Eiffel et après nous sommes partis dans un grand jardin avec de grands arbres. Il y avait des fleurs plein de couleurs.

Hamza

Le printemps est la saison des amours

Le parfum de la nuit

La colline verdoyante 

cache en son sein des vestiges passés.

Douceur du printemps

Les pierres elles-mêmes s'enveloppaient de parfum.

Aucune fleur ne restait qui ne fût épanouie par la rosée de l'amour.

Chants fruités et pétillants d'arôme

Petite bulle de citron aux couleurs éphémères

au goût d'éternité

Sonia

Le printemps est la saison des amours

La rivière a un chant d'eau fruité aux petites bulles éclatantes et parsemées de zestes de citron. 

La campagne et la rivière s'entremêlent.

Calvin

 

Le printemps est la saison des amours

J'avais tant donné d'amour, de force, de roses et de belles choses que la colline verdoyante remplie de parfum de jasmin déverse de tout l'horizon.

Les couleurs et la chaleur donnent  et procurent le bien être aux personnes nouées au sein des vestiges du passé.

Karima

Le printemps est la saison des amours

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Rédigé par Martine Silberstein

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Publié le 12 Avril 2019

Consignes de l'atelier

Récits poétiques Breton. Giraudoux. Cocteau. Tarot des 1001 contes.

Les mots sont comme des clés pour ouvrir l’imaginaire de la carte.

Choisir au hasard une carte 

2 Feuilles A5 par personne. Chaque personne réagit par un mot, une expression à sa carte. Puis fait passer la feuille + la carte à son voisin qui, à son tour en posant sa contribution dans l’escarcelle de la feuille réagit à propos de la carte en écrivant un mot, une expression sur la feuille.

Quand chacun a récupéré sa feuille, il garde 2 mots en plus des siens. Et les explore sur le pôle matériel.

Ecrire un premier texte, un récit, une histoire sur l’autre feuille A5.

Distribution de bandelettes poétique.

Choisir une 2è carte .

Se mettre en binôme. Imaginer une histoire en mêlant les textes de deux participants + les cartes + les bandelettes poétiques.

Ma grand-mère

Ma grand-mère, je l'adore. Elle organise aujourd'hui un spectacle de marionnettes pour ses petits-enfants et leurs mamans. Elle m'a choisie pour l'ouverture du spectacle. A la fin de celui-ci, je leur distribuerai à chacun des un ballon multicolore et je fermerai la porte à clé. 

Fatima

Avec des images

Un jour, une princesse vivait dans un château. Son château était magnifique, des guirlandes d'étoiles étaient suspendues sur les toits des donjons.

Ma grand-mère, je l'adore. Elle organise aujourd'hui un spectacle de marionnettes pour ses petits-enfants et leurs mamans. Elle m'a choisie pour l'ouverture du spectacle, comme au théâtre. A la fin de celui-ci, je leur distribuerai à chacun des un ballon multicolore et je fermerai la porte à clé. 

On est perdu dans ce monde de petite princesse.

Fatima et Hamza

 

Elle avait tressé ses long cheveux noirs pour le  grand jour. Ses cheveux noirs, si fins. Un ruban noué les tenait  tous ensemble, liés. Lié comme elle serait bientôt liée à cet homme riche qu'elle ne connaissait pas encore et qui lui mettrait la bague au doigt dans quelques heures. Livrée quasiment pieds et poings liés. Elle goûterait le fruit amer d'un mariage arrangé depuis l'enfance. Tout l'or de son futur mari puisé dans les mines où il exploite de pauvres hères travaillant jour et nuit. Elle avait elle-même tissé la robe qu'elle portait. 

La corde pour se pendre n'aurait pas été plus rêche que ce tissus dont elle était faite.

Martine

Avec des images

Pour la première fois aujourd'hui la femme avec une robe en filet attrape du poisson, toute contente.

Serge

Avec des images

Il est vieux

Il est sage

Il n'a pas l'âge qu'on lui donne en le regardant

Il est sale

Le temps s'est arrêté, les heures, les minutes sont arrêtées

Il est peut-être grand-père

Il avait le bonheur et maintenant, il est sur le pont de se faner

Il n'est plus personne

Quand il voit son reflet au fond d'une flaque d'eau, il se rend compte qu'il est devenu un sans abri  

Corinne

 

 

Avec des images

C'est l'anniversaire de Valentin , il a invité tous ses amis à jouer dans sa chambre. Sur son lit de nombreux jeux sont déposés; il a été gâté, des cadeaux sont étalés, je suis heureuse pour mon enfant qu'il ait de si gentils copains. 

Mais dans l'avenir j'espère que ce bonheur immédiat restera comme un bon souvenir.

Christine

Avec des images

Il n'a pas l'âge qu'on lui donne en le regardant

Il est sale

Le temps s'est arrêté, les heures, les minutes sont arrêtées

Il est peut-être grand-père

Il avait le bonheur et maintenant, il est sur le pont de se faner

Il n'est plus personne

Quand il voit son reflet au fond d'une flaque d'eau, il se rend compte qu'il est devenu un sans abri.  

C'est l'anniversaire de Valentin (un beau prénom d'amour)

Tout est bonheur, drôle.

Les années ont passé, le temps a changé.

Plus d'anniversaire à souhaiter.

Il n'a plus l'âge qu'on lui donne.

Le temps s'est arrêté.

La famille a disparu.

L'avenir se ternit. 

De tout ce qu'il a pu voir et entendre. Il ne reste qu'un trou noir.

Corinne et Christine

 

 

Avec des images

Le petit lutin est au  restaurant

il est rond

l'ampoule grille

la chandelle fond

puis il s'en va dehors

le soleil brille

Calvin

 

Avec des images

La pluie tombe, cette goutte d'eau enferme la vie.

Par cette goutte d'eau la nature est source de vie.

Cette goutte d'eau a volé la naissance de cette vie.

Elle est légère, elle apporte la pluie et cette pluie apporte la vie.

Ce nuage qui emprisonne la nature réveille la vie.

Cette ombre que l'on aperçoit sera source de vie.

Pour cette vie, il nous faut la pluie.

Nathalie

Avec des images

Ce petit lutin aperçoit le soleil qui brille mais, hélas la pluie a chassé le soleil. Le lutin n'aime pas la pluie. Il part en voyage pour se libérer de la pluie mais il fait froid. Il prend la couverture et ses draps et s'envole dans le nuage imaginaire. 

Calvin et Nathalie

"L'éphémère est la plus belle des choses que possède l'éternité"

Les œufs, avec leur fragilité ont une vie courte... leur récompense ? Rassemblés par douzaine, dans une boîte tel des petites maisons d'un village schtroumpf, éviter l'omelette ! Une bien charmante idée de l'éternité !

Frédéric

Avec des images

Les œufs, telles les roses, avec leur fragilité, ont une vie courte.... Leur récompense ?  Rassemblés en  douzaine, dans une boîte tel un lit de roses, éviter l'omelette ou l'étouffement ! Une bien charmante idée de l'éternité !

Nadia et Frédéric

Avec des images

Reposez-vous, 

Ô rêves mélancoliques, sur les fenêtres de nos cils,

Mon enfance, mon innocence, ma jeunesse,mes amis

Où nous dansions mon groupe d'amis et moi au rythme endiablé

et au chant symphonique et mélodieux

l'orchestre de l'opéra nous entraînait

Nous emportait vers des contrées lointaines

où nos corps dansaient

s'élançaient sur une chorégraphie artistique et enchanteresse.

Naïma

 

Avec des images

Inès ne sépare jamais de sa lampe torche car elle veut toujours avoir de la lumière autour d'elle. Elle est assise sur la plage près d'un feu, elle en apprécie la chaleur et s'endort en imaginant tenir le flambeau des J.O d'été et d'hiver. Pendant ce temps-là Poseidon le dieu de la mer la contemple  car elle a, pour lui,  quelque quelque chose d'un ange.

Charlotte

Avec des images

C'est à l'aube que grandit la fleur de ma pensée

C'est dans cette petite crique

que Beauté pris son envol

au milieu de ces bruits

L'homme aigri 

Fade de couleur

avait une peur de la hauteur.

Fleur mère des peurs naturelles

contemplant ces inaudibles catastrophes

Moi, petit être, en perdit mémoire.

Le vide,  je  la filais à l’égout de mon regret.

Yves 

Avec des images

C'est à l'aube qu'Inès rêvait sur le bord de la fenêtre de cette belle crique de porter le flambeau des J.O. Fraîche et pâle cet inconnu voulut la réchauffer  de son écrin.

Poséidon, un jeune dieu des mers, aigri et pâle observe sous une cascade de gouttes d'eau une beauté sans  égard. Mère des terres il n'avait d'yeux que pour cet ange.

La peur du vide était d'une grandeur flamboyante, le poussant à plonger dans cette noirceur catastrophique où bruit devient plaisir.

Yves et Charlotte

La vie nous fait porter un poids assez lourd pour tout assumer. Quelques fois on a envie de s'envoler,

il y a le pour retrouver la tranquillité 

et le contre pour les obligations.

Mais prenons notre temps pour s'offrir un voyage qui permettrai un apaisement. Pour cela il nous faut cette fameuse petite richesse. Vous savez, cet or aussi jaune que le soleil. Mais en attendant prenons un peu de légèreté en continuant de rêver.

Nathalie

Avec des images

Un matin Georges propose à sa petite Georgette d'aller dans leur pays d'origine, la Tchétchénie.

En route vers le pays. Un horrible accident arrive. Et le malheureux Georges finit en prison. Il repense à tous les problèmes, les souvenirs et ça lui fait de la peine. Il pleure en pensant à sa Georgette, malgré la solitude et la tristesse, il a du mal à retrouver le sommeil.

Six mois après il retrouve la liberté, il décide d'emmener la petite Georgette vers  la paix et arrivé au pays il peut enfin se reposer et  retrouver la paix. 

Un soir au bord d'un lac, Le Georges tend une lettre à sa femme écrite pendant son incarcération. Les larmes aux yeux, elle lit : 

Avec des images

(suite)

"Je rêve de voir le monde, mais je ne pourrai  le voir que dans mes tableaux. Pendant quelques instants je me demande si je pourrai revoir ces terres où je suis né, je peins des tableaux pour vivre à côté de mon pays. "

Et il la serre dans ses bras.

(à suivre)

Aïcha et Tony

Avec des images

Beaucoup d'enfants ne mangent pas à leur faim.

Alors jouer ! Jouer...

Ils ne connaissent ni Noël, ni l'Aïd, n'ont jamais de cadeau, ni de vacances.

Sans cesse ils travaillent, ouvriers miniatures, habillés de loques. C'est leur réalité.

A la fin de la journée, ni ne courent,  ni ne sautent. Danser ? Encore moins ! Ces petits ne connaîtront jamais la maison de poupée de mon enfance.  

Martine

Avec des images

Deux amis, un pingouin et une chenille se rejoignent régulièrement dans un labyrinthe pour travailleur leur sens de l'orientation. 

Pour préciser, la chenille est très prudente, parfois trop. Cette fois ci, on le voit car elle a préparé un baluchon rempli de nourriture et de stylos pour écrire différents numéros sur les murs par peur de se perdre dans le labyrinthe.

Elle a aussi peur que toute la poussière qu'il y a à l'intérieur de ce labyrinthe efface les numéros écrits sur les murs. 

Si un concours de prudence exagérée existait, la chenille serait sûrement première dans le classement.

Mais n'oublions pas notre ami le pingouin qui est totalement désespéré, qui n'est pas loin de déprimer à cause de la manière de penser de son amie la chenille. 

Romain 

Avec des images

Aujourd'hui je vais m'évader. La vie est d'une lenteur ici, ça me fait penser à un escargot. Ici, j'en bave. J'en ai  assez  d'être en isolement régulièrement. La solitude est l'encre du voyage, je me rêve loin de ces  barreaux, ces chaînes vers la liberté  et l'indépendance.

Ghislaine 

Avec des images

Malencontreusement un escargot se retrouve perdu dans un labyrinthe. Vue sa lenteur, il n'est pas prêt d'en sortir ! Pour un papillon ce serait beaucoup plus facile, il n'aurait qu'à survoler ce dédale  de  croisements et de virages. Notre escargot ressent de l'isolement, de la solitude. Il en bave, il rêve d'être loin de tout cela. S'yl y avait de la couleur ou des numéros sur les murs. Ce serait plus simple. il pense à son ami le pingouin qui, lui, est libre contrairement à  lui, qui se sent emprisonné, comme derrière des barreaux et enchaîné. S'il y avait un classement, notre escargot  serait certainement le premier !

Ghislaine et Romain

Au palais d'Aladdin, les dresseurs de serpents venimeux jouent de la musique et dansent. Le génie tout droit sorti d'un dessin animé distribue des vœux au roi pour accéder à la royauté.

Catherine

Avec des images

Hier la nuit est  venue à pied me rendre visite, comme si elle refusait de prendre le train que prennent les planètes en folie au milieu de la galaxie dans une atmosphère féerique. 

Sur la terre les arbres en folie au milieu des feuilles que le vent faisait souffler, on entendait comme une respiration. 

Et l'envol de l'aigle dans a course éperdue virevoltait dans les airs.

Cécile

Avec des images

Hier la nuit est venue au palais Aladdin me rendre visite, comme si elle refusait de prendre le train que prennent le dresseurs de serpents venimeux.

Au milieu de la galaxie dansait le génie tout  droit sorti d'un dessin animé pour distribuer des vœux au roi, dans une atmosphère féerique. Tout cela pour accéder à la royauté. Mais les arbres en folie dont le vent faisait souffler les feuilles virevoltaient comme l'envol de l'aigle dans les airs. 

Catherine et Cécile

 

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Rédigé par Martine Silberstein

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Publié le 11 Avril 2019

Discussion sur ma proposition, les bénéficiaires se sont exprimés oralement, chacun leur tour pour faire leur bilan de l'atelier d'écriture

Nathalie 

Le mélange de différents groupes est génial, positif. L'atelier apporte beaucoup de détente. On vagabonde. Il apporte des mots de français. 

Calvin 

J'ai peu d'inspiration. (les autres bénéficiaires l'assurent du contraire !) L'atelier ouvre l'imagination.

 Fatima

Il m'apporte beaucoup de choses. A partir d'un mot... Avant je ne savais pas écrire de la poésie. Je suis détendue. J'ai retrouvé confiance en moi. Prendre la parole devant tout le monde ne me gêne plus. 

Hamza

C'est bien. J'ai appris. Avant je ne faisais pas de texte comme ça, mes idées sortent pour faire un texte.

Corinne

Parler en public c'est dur pour moi. J'ai apprécié les différences de cultures et de niveau des participants, on se sent toujours bête, mais on voit qu'il y a plus fort et moins fort que soit. On voit son évolution et l'évolution des autres. Ils se sont épanouis, ouvert (elle parle pr exemple de Yves, PJ ). Je me suis calquée sur eux.

Christine

Cet atelier permet aux personnes qui se croisent dans le couloir d'être en contact. J'écrivais beaucoup avant, j'avais plus d'imagination, ça m'a permis d'égaler (retrouver) mon ancien niveau, de retrouver mon imagination. Et aussi de trouver/retrouver du calme et de l'apaisement. En atelier, pas de jugement, pas de comparaison. Martine est une bonne formatrice, pas e blocage par rapport à nos fautes d'orthographe et autres, elle corrige, après on évite des fautes.

Serge

Cet atelier m'a apporté parce que j'ai compris que les mots ont un sens. Analyser les mots, chercher leur signification. A partir d'un mot former une phrase, écrire de la poésie. J'ai bien aimé l'atelier sur l'Europe, découvrir les monnaies, les capitales des pays.

(note : j'ai fait un quizz sur l'Europe, car les élections approchent et que je me suis intéressée à la question. J'ai voulu leur faire partager mes découvertes. J'ai plus l'habitude de leur faire découvrir des auteurs : Baudelaire, Prévert, Nazim Hikmet... ou les écriture/langues d'autres peuples que de leur "faire un cours" de géographie politique" !!)

 

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Rédigé par Martine Silberstein

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Publié le 4 Avril 2019

Rose ne supportant plus d'être comme en prison dans le château de ses parents décida de partir voir l'extérieur et surtout un lieu connu pour ses roches qui dansent. En chemin elle rencontra un groupe qui venait de finir le travail. Elle partit avec Monica qui souhaitait prendre sa revanche sur son malheureux passé et chercha la place des randonneurs car cette place menait au col de Pennes qui sera finalement pour les deux nouvelles amies le nouveau monde et surtout le paradis.

Charlotte

Lieux-dits

 

Un jour me promenant j'entrai dans une boutique (au hasard) comme cela m'arrive parfois en vacances ... voir travailler les gens ne nous rend pas meilleurs : là, Raymond, un homme aux cheveux gris et chaussures vernies peut-être venu d'une autre époque tenait la caisse enregistreuse... il faut l'imaginer... dans le magasin.

Au revoir cher monsieur !

Frédéric

Lieux-dits

Je suis dans la grange, ça me fatigue de faire les griottes dans la gamelle. Je suis gros faut que je tue ça.

Calvin

Lieux-dits

Inventer une histoire, oui mais laquelle ? Celle du bourrin aux verts yeux?  Allez, c'est parti ! Serge est parti de son bourg sans boussole mais son petit bonnet vissé sur le crâne, assis sur son bourrin, bourré, bien sûr ! Auparavant avec une serpillière il a bien lavé, puis peigné la queue de l'âne. Dans une caisse il a mis chat et champagne en bouteille. Destination, le château des Roches ! En route, fatigué, il fait une trêve. Il s'arrête dans une grange. En pleine nuit, et en plein rêve, il se réveille, alerté par son chat. Un serpent ! Il se met à danser autour de la longue bête et finit par repartir sur son âne pour qui le travail reprend. Le bourrin s'arrête pour manger des griottes, mais Serge ne voulait pas, il en connaissait les conséquence. Mais l'âne l'aura, sa revanche ! Arrivés place des randonneurs, voilà le pollen qui fait des siennes, Serge éternue. La chèvre, elle, broutait dans la combe du nouveau monde, foin du rhume des foins ! Les rayons du soleil, généreux, réchauffaient l'âne, Serge et la chèvre. Sur la selle de son bourrin, Serge continuait son voyage. Il monta à grand-peine le col de Pennes et arriva le lendemain à La Rochelle, et entra au château des Roches, le paradis pour lui.

Martine

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Le paradis paraît un nouveau monde. Les roches qui dansent, comme les griottes chantent tout au long du chemin des noyers en montant au col de Pennes. J'aperçois un château environné de Polaine (pollen) sur la place des randonneurs.

Le peu de rayon de soleil montre sa fatigue sous son bonnet.

Cécile

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Un jour au Paradis, les rayons du soleil m'éblouissaient et la fatigue me gagnait. Avec mon bonnet et la selle de mon vélo je me rendais à la grange aux serpents pour vider le bac à eau.

Catherine

 

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Le château aux histoires

Il était une fois un nouveau monde qu'on surnomma Le Paradis. On y trouvait le château des randonneurs. A l'intérieur, on remarquait des roches qui dansent et, au milieu, la grange des serpents qui travaillaient peu.

A côté du col de Pennes s'illumina un rayon de soleil qui mène au chemin de queue d'âne. Les ânes portaient un bonnet. On déposa dans un bac, leur selle, ce qui n'enchanta pas les bourrins.

Sur le bas-côté du chemin des noyers les griottes tombaient de fatigue.

Naïma

 

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Un matin de pluie, Georges monte sur sa selle, direction le travail. Il est fatigué car sa petite Georgette est angoissée à l'idée qu'il travaille avec son ex-fiancée, Georgina. C'est pour cela que tous les soirs Georges rentre à la maison avec la boule au ventre.

Trois semaines plus tard, il est toujours en conflit avec sa belle. Georgette regarda son petit Georges et là, une émotion la prend et elle décide de prendre sur elle et d'arrêter de se disputer à cause de cette fameuse Georgina. Et là, elle choisit de prendre bien soin de lui, et depuis, quand elle regarde ses beaux yeux vert, elle pense au paradis. Et le matin, avant de repartir au travail avec le pollen dehors, elle prend son bonnet rouge et le met à son petit mari, et direction une belle journée !

Aïcha

 

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A la fenêtre du château, au travers des rayons du soleil, je vois danser le pollen.

Je vois passer le train qui accompagne les Roms vers le nouveau monde, rejoindre leurs familles qui se cachent derrière les roches qui dansent, le bonnet sur la tête. Ils travaillent, mais pourquoi ? Ils ramassent les griottes. C'est une bonne chose. Est-ce qu'ils les aiment ? Bof. Bof ! Pour eux c'est normal, habitués à être dehors, ils appellent ça le paradis.

Nathalie

 

 

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Le pollen laisse place aux griottes chemin des noyers, les randonneurs font du rangement dans leurs sacs afin d'éviter d'être grisés par le désordre. Une fois celui-ci terminé, ils se délectent du peu de fruits de la nature à travers les rayons du soleil qui apparaissent, l'espace d'un temps, comme le paradis sur terre, dans un cadre idyllique.

Rémy

 

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Il faut que je parte à Paris pour le travail. Le voyage risque de me créer de la fatigue. Je prends le peu que j'ai. C'est une revanche sur la vie. La Capitale c'est le paradis! Il me sera impossible de revenir en arrière.

Ghislaine

Lieux-dits

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Rédigé par Martine Silberstein

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