Publié le 28 Mars 2016

J'ai mangé cent fois sang foie sans foi. Sans toi ni toit ni loi.

Homonymes

Voir les commentaires

Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Textes personnels

Repost0

Publié le 26 Mars 2016

A la période des fêtes de fin d'année une règle :

Gérer sa consommation de chocolat.

Manger léger.

Il n'y a pas de règle mais l'effet est immédiat.

Aisé en goût corsé et fort en chocolat: il n'est pas recommandé pour les loups et pour les fées !

Catherine

Pas de chocolat pour les fées

Voir les commentaires

Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

Repost0

Publié le 25 Mars 2016

C'est l'histoire d'un porc qui était très malin. Il n'arrêtait pas de crier car il n'avait pas eu son chocolat à quatre heures. Mais ne pouvant attendre, il décidé d'entrer à la chocolaterie située au village. Mais quand il arriva, celle-ci était fermée. Il défonça la porte. La police arriva aussitôt et le prit en flagrant délit. Il a enfreint la loi. Mais le policier lui cloua le bec. Il ne se laissait pas faire il lui montra ses crocs.

S.

Un porc qui aime le chocolat

Voir les commentaires

Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

Repost0

Publié le 23 Mars 2016

Le lundi matin à 6h30 le soleil, chaud brillait sur le port, nous allons à la recherche du diamant qu'on appelle le chocolat. On a prit le bateau avec un prix low cost. Après deux jours de navigation nous arrivons en Afrique. J'ai pris un cola très frais sucré avec un goût au caramel. Mon amie me dit "Prends un carré de chocolat ça te donnera plus de force pour la journée. C'est vrai, il était croustillant bien grillé avec un goût à la vanille qui fond dans ma bouche. Je croquais petit à petit les grains et là, j'aperçois le Palais des chocolats.

Salima

L'église Nilolaikirshe s'aligne parfaitement sur la tour de télévision, la fernseheturm

L'église Nilolaikirshe s'aligne parfaitement sur la tour de télévision, la fernseheturm

Voir les commentaires

Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

Repost0

Publié le 23 Mars 2016

Par un brin de chaleur

La luciole s’envole à nouveau

Quelle joie pour moi

Centon écrit par Mickaël

La luciole s'envole

Voir les commentaires

Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

Repost0

Publié le 22 Mars 2016

Rien n’est si précieux que d’être Heureux

quand ont vit dans un monde si malheureux

Centon écrit par Joël

Bonheur

Voir les commentaires

Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

Repost0

Publié le 21 Mars 2016

Destination le métro où je croise souvent des fous. A Châtelet ou Opéra ce fut peut-être vous. Enivré par l’odeur de la ville mes sens décuplent, j’aime cette solitude, voir s’embrasser tous ces couples.

Il me suffit d’une forteresse de fleurs

Pour que survienne ma bonne humeur

Ay rythme des voitures, bloquées dans les embouteillages

Comme le cerf ou le faon, je m’adapte à mon paysage

Le bruissement des oiseaux résonnent en moi comme un songe

Au détour d’un parc ou à l’orée d’un bois, c’est ici que je m’allonge

Centon écrit par Raphaël

Les fous à l'Opéra

Voir les commentaires

Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

Repost0

Publié le 20 Mars 2016

Le printemps c’est la saison où la nature se réveille. Certains animaux sortent de leur hibernation. Et pour nous les hommes, la saison du printemps est bonne pour notre santé, notre besoin de lumière.

Centon écrit par Guillaume

Le printemps est bon pour la santé !

Voir les commentaires

Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

Repost0

Publié le 19 Mars 2016

Bonjour !

Mardi soir, séance de cinéma sur le thème du... travail en présence du réalisateur et d'un des ouvriers, Antoine. Les animateurs, un responsable syndical (de ciné- travail peut-être ) et un universitaire. A la fin, une surprise nous attendait.

Le film est une plongée au cœur de l'usine PSA Peugeot. Entrer dans ce milieu de plus en plus fermé, inconnu pour beaucoup.

Convaincre les salariés de l'intérêt de la chose. Observer, écouter sans caméra d'abord, convaincre. Les syndicats pas d'accord. Puis un déclic. Ils ont compris que le réalisateur étaient "pur", " vrai".

Avant le tournage et l'arrivée du musicien, pour les ouvriers l'art contemporain (comptant pour rien !ça, c'est de moi), c'est de l'art poubelle, qui sert à rien, l'usine n'est pas un musée. Puis de voir et d'entendre ces belles photos d'eux, des machines, des pièces, des photos esthétisantes, des sculptures avec les pièces qu'ils fabriquent les a fait changer d'avis. Moqueries mais respect.

Des ouvriers "mutés" dans cette usine expriment leur déception de ne plus VOIR le résultat de leur travail. Ici, l'on ne fabrique que des pièces métalliques. Avant ils voyaient de leurs yeux les voitures, résultat concret, rouler dans les rues. Homme-machine, hommes-robots, les douleurs physiques sont là. Ce qui n'empêchent pas d'autres d'aimer pourtant leur travail, même si c'est pour s'échapper boire un café à la terrasse du bistrot d'en face, s'organisant pour prendre de l'avance dans l'usinage des pièces. aimer rouler en Fenwick dans les allées.

Pendant toute la durée du tournage il y a eu des grèves (non filmées, non dites).

Bref, dire le travail, le beau et le dur, la liberté de circuler en fenwick dans l'usine, l'esprit qui s'échappe pendant que les mains s'activent, la fierté de créer un objet à partir d'un bloc de métal.

Le travail n'est pas que manuel, les salariés utilisent leur intelligence beaucoup plus que l'on ne croit. Même dans le travail répétitifs, chacun a sa stratégie, son organisation, sa touche personnelle.

Et la musique, le musicien à l'oeuvre. Il fait son travail de musicien, enregistrant les sons et les bruits qui s'échappent des machines, des outils maniés par les ouvriers, tapant sur des pièces jetées au rebut, dans de grandes bennes pour écouter les bruits qu'elles produisent. Interrogeant les salariés sur leur travail. Puis lors du spectacle final il mêlera voix et bruits. Des ouvriers seront ces voix en directs aussi. Et les chœurs.

Mais Antoine, l'un des ouvriers, présent lors de la séance de cinéma dira son dégoût (comment dire autrement ?) vis à vis de la direction, à la question : qu'est-ce que ces interventions (cinéaste et musiciens) avaient changé quelque chose dans votre travail, votre vie de famille ? Et quoi? Paradoxalement, très peu de familles ont assisté au spectacle final se déroulant dans l'usine car il aurait fallut qu'ils réservent pour entrer là où eux et elles travaillaient tous les jours !

Antoine est un peu à part dans ce monde de tiercé, de foot, de théorie du complot. Il a une réflexion et une philosophie. Pour lui,ceux qui travaillent ici ne sont pas là par hasard. Ils ont tous eu une enfance traumatisante. Très dure. Alors ce travail, si dur et si pénible, ce n'est rien du tout ! Ces ouvriers, l'un d'entre eux a même dit que c'était la première fois qu'il parlait de son travail. Antoine aime la musique classique, l'art ne lui est sans doute pas étranger, Il chante avec sa guitare, et là était la surprise de la fin ! Il a entonné sa ritournelle. Dommage, il était tard et tout le monde n'a pu l'entendre.

Et pour moi, ce film ? Très intéressant, il m'a rappelé ma visite clandestine de l'usine Renault-Billancourt à l'île Seguin. Le bruit des machines. Cette tôle énorme sur laquelle tombe, tout aussi énorme une presse. Et ce n'est plus une tôle mais une portière de voiture. Et tout à coup le hurlement d'une sirène résonne dans les rues couvertes de l'usine de plusieurs étage.

Bon, allez, je m'arrête !

Voir les commentaires

Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Film

Repost0

Publié le 19 Mars 2016

La chanteuse ouvre son placard. Va t-elle prendre son foulard rouge ? Un cadeau d'une amie. Pour finir elle met son chapeau, son manteau et ses chaussures et elle part. Elle a rendez-vous dans un bar pour une séance de photos. Elle arrive à l'heure. Le lieu est sombre. Seule une lumerotte est allumée. Le photographe lui propose de se mettre en condition pour débuter la séance. La chanteuse a regretté de ne pas avoir pris son foulard rouge qui lui aurait permis d'attacher ses cheveux qui lui cachent un peu le visage mais le chapeau fera l'affaire. Un sourire, une pose et clic, 1,2,3 photos, ça sera parfait.

Leipzig

Leipzig

Voir les commentaires

Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

Repost0