Publié le 4 Août 2018

Pierre qui roule n'amasse pas mousse. C'est un bon proverbe qui intervient souvent dans notre vie.

Fumer comme un pompier, ils ne fument pas tous, les pompiers.

Pas vu, pas pris, un encouragement aux voleurs.

Sois belle et tais-toi, on le dit souvent à tort aux femmes.

Pas vu, pas pris, un encouragement à la tromperie.

Chanter comme un tournesol. Tournesol, drôle de fleur à l'huile?

Pleurer comme un bigorneau, qui fait pleurer cet oiseau ?

Les femmes sont belles et se taisent rarement. 

 

Proverbes

Pierre qui roule,

vole comme un papillon. 

La femme est amour

Avenir de l'homme

Fontaine

Vois la vie en rose

La fleur est belle

Embrasse la vie

Comme du bon pain

Proverbes

Nous avons visité un appartement, Il y avait une jolie fenêtre sur cour, un bel extérieur avec un joli jardin et des parterres de fleurs. Sur le côté se trouvaient de magnifiques roses de toutes les couleurs. On aurait dit un arc en ciel.

Le propriétaire avait l'air sympathique mais les apparences sont parfois trompeuses. Mais ne mettons pas la charrue avant les bœufs, réfléchissons avant d'agir. Le loyer est un peu élevé, alors ne pétons pas plus haut que notre cul et voyons l'aspect financier. 

et à la manière de Queneau:

Nous avons zyeuté un squat. Y avait 1 geolie fenaitre sur court. Y avait un beaux parresterres de fleures. Su le côté on voyait de magnific roses. On aurrai di un arque en ciel. Ne maitons pas la charue avant les beuw. Reflechisson avant d'ageir.

Proverbes

Il vaut mieux être con que contaminé

Il vaut mieux marcher dans la merde que tomber dans la merde

Il vaut mieux avoir une bâche, qu'une vache

Il vaut mieux chier que de faire chier

Les mouches à merde sont en chaleur car elles ont peur du tracteur au coeur du couvent des soeurs, là où est caché le diable.

 

Dormir sur la lune endormie

Il faut souffrir pour être belle

L'argent ne fait pas le bonheur

L'argent ne tombe pas du ciel

Pas de fumée sans feu

L'habit ne fait pas le moine

Mieux vaut tard que jamais

 

Une famille bien parisienne.

L'hiver arrive après l'automne. La famille parisienne a fêté l'anniversaire d'un de leurs enfants. Les parents ont invité les grands-parents, les neveux, nièces sont venus qui ont invité le cousin et la cousine; qui eux ne sont jamais contents.

A la manière de Queneau

Un1 famile bie1 parisiaine.
L'hiverre ariv après l'autonne, la famill parisiaine on fétés l'aniverzaire d'1 de leu enfans, lés parens on invitai lés géants parens, les neveuts, nieisse (ou nièccces?), son venui qi invitèzent le zinzin et la zinzine; qi eui sons jamé contenz.

Ibrahim et Kathia 

Proverbes

Lors d'un spectacle, une personne au nom de Marie se présente devant le public en folie. C'est une fille plutôt simple qui n'avait pas beaucoup d'argent. Elle avait beaucoup de problèmes pour montrer sa voix, elle perdait ses moyens quand elle montait en scène, mais elle savait que l'argent ne faisait pas le bonheur.

A la manière de Queneau

L'or dun spektable, 1 perçonne o non de Mari çe precente 2vent 1 publiq an foli. C 1 Fylle plutaut cq n'avè pa bocoup dargen. L'avè bocou 2 problaim pour montrai ça voy. l pèredè c moiens pour montrè sûr seine, mès alle savèt que largent ne fesai pas lbonheur.

Myriam

Proverbes

Au spectacle

Une personne mariée se présente devant un public en folie. C'est une fille qui n'avait pas beaucoup d'argent. Comme elle avait pas d'argent elle avait des problème, elle avait peur de monter sur Seine.

A la manière de Queneau

L'heur du l'ors6 du spccatle

Ills v aavaist desse prrobblleimess uune ppersssones puubllicss d'sarargaantts a ppeurr dede montter sur sceneess

Quentin 

Proverbes

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 31 Juillet 2018

J'avais un problème volumineux, un vrai bazar avec mes dents. La peur pour moi. Il a fallut aller voir un bon dentiste qui l'a solutionné avec la gentillesse qui le caractérise. Il y a très longtemps que je le connais. Il m'a encore aidé à régler ce problème qui n'existe plus. Le chariot a bien avancé.

Lino

Avec des images

Pierrette et Pierre marchent dans la rue. Ils cherchent un bar pour pouvoir boire un verre de vin et discuter. Tout à coup, Pierrette reproche des choses à Pierre. Sauf que Pierre nie les faits. Malgré les heures qui passent, il continue à nier. Tout à coup Pierrette passe à autre chose et pardonne à Pierre. Ils finissent leur verre et repartent unis comme jamais. Il décide de venir le lendemain acheter un bijou pour sa chère et tendre malgré la tristesse qu'on peut ire sur son visage, Direction vers l'avenir !

Aïcha

Avec des images

Olé olé ya des poules et des moules.

Le loup mâle pâle élu mou leva la loupe et loupa la lame.

Il est mal et pela.

Oula Léo, où est Maël, le pou pâmé ?

Wilfried

Avec des images

Le lapin à tête de chat ouvre une porte couverte d'arabesques. Derrière, se cache une épée.

Puis il ouvre la seconde porte, toute de bois, derrière laquelle se cache une armure de chevalier.

Enfin, il ouvre la troisième porte, de métal, derrière laquelle se cache un gâteau.

En hâte, il enfile l'armure, empoigne l'épée, quitte sa hutte et monte à l'assaut du château, tout en haut, faire la guerre, comme au moyen-âge.

C'est carnaval et le petit enfant se prend pour un vrai chevalier partant délivre Achille, sa peluche, un prisonnier un peu spécial.

Martine

Avec des images

Au temps des chevaliers, il y avait un monstre. Il y avait une grande bataille entre les orques et  les chevaliers. Les cavaliers ont gagné. Au départ ils ne pensaient pas qu'ils pouvaient gagner. Et quand ils ont fait la fête, à la fin, Mario, un bricoleur a sonné à la porte du roi.

Quentin

Avec des images

Un soir d'hiver un chef d'orchestre nommé Achille menait à la baguette des oiseaux très sournois. Achille était un prisonnier un peu spécial car il organisait des concert de musique avec araignée et oiseaux. Sur le perron d'une maison sonne une petite fille nommé Jeanne avec des cheveux bruns. Elle était habillée avec soin, sa robe noire étonnait le prisonnier qui trouva dommage que le petite fille soit enfermée par le roi. Le roi avait un petit pois dans la tête, le seul truc c'est ses fruits, plus exactement ses poires. Il en avait une centaine et le roi ne pensait qu'à son repos et la petite fille était malheureuse comme une pierre.

Myriam

Avec des images

Le repos de la marionnette sur le fauteuil

C'est l'histoire d'un honnête homme, un menuisier qui s'appelait Mario. Il a construit un pantin en bois car il était triste de ne pas avoir d'enfant avec lequel il aurait pu s'amuser.

Après avoir trié les morceaux de bois et les fils, il finit de construire le pantin. Il le peint en marron, une fois terminé, il invita les jeunes pour leur faire découvrir Pinocchio. 

Ils sonnèrent à la porte, il ouvrit la porte et invita Marion, Marie-Antoinette, Annette à s'asseoir sur les chaises. Mario se mit aux manettes du pantin et narra une histoire qui fit rire les enfants.

Marie-Antoinette et les filles font la fêtes à la fin de la représentation.

Didier

 

Avec des images

Pierrot est sous les projecteurs, il est triste, blanc. L'éclairage fait rire le public du clown. Il nace des Hourras. Direction vers l'avenir, le début du succès.

Ludovic

Avec des images
Avec des images

Un monsieur se cabre et se prend un arbre avec sa barbe et sa barque car il a braqué une banque à la barbare. Il s'appelle Franque le cancre, il fait partie d'une famille très connue dans leur pays britannique.

Kevin

Avec des images

Le soleil étonné par le rassemblement de la communauté "Parapluie" ensoleillait le ciel de mille couleurs.

Malgré la pluie qui ruisselait le long des rues, il faisait beau temps. 

Au loin, les panneaux en alu bordant l'île brillaient d'un éclat si angélique que les parapluies devenaient multicolores.

Franck le cancre se prélassait de ce spectacle si délicieux.

Vincent

 

Avec des images

Dans un marché au thym semblait figée une petite fleur sortie de terre pour nous dire que rien n'est perdu. Tout peut être  remodeler sur cette plage pour réunifier le Monde et le  Peuple et gagner cette bataille.

J.C

Avec des images

C'est une journée de cérémonie officielle pour célébrer la royauté, la fille du roi.

Le chariot a été préparé comme pour  une guerre et le casse-tête fut de déterminer si c'était un jeu ou une scène ce playmobil.

 

Cuisine pour enfants

Cuisine pour enfants

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 23 Juillet 2018

Il était accueillant, qu'importe le reste; Il s'était lié d'amitié avec un groupe de personnes très sociables, dont les âmes étaient aussi bonnes et généreuses que lui. Tout comme eux il aimait faire la fiesta dans les bars où se trouvaient des groupies le soir, et lorsque le jour se levait enfin, il aimait traverser la campagne et les forêts pour atteindre le sommet de la montagne voisine, un gros défi qu'il relevait sans difficulté, l'été, l'hiver, qu'importent les saisons. Et, lorsqu'il eût enfin relevé ce défi,  qu'il eût atteint son but, il le barra fièrement de la liste qu'il avait établie e toutes les choses qu'il planifiait e faire, de tous les buts qu'il rêvait d'atteindre et dont une grande partie était déjà accomplie. 

Farah

Il était accueillant

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 18 Juillet 2018

Ce qui me rend heureuse, c'est de Jouer avec mes petits-enFants à Jacques a dit ou au Black Jack chaque Jeudi, mon Jour Favori.

Nous allons aussi Jouer au Jardin. Joyeuse, la grande, en Jupe cours vers cette Jungle. Ce Jour-là, je la suis à la Jumelle et c'est la Fête. Il Fait Frais sous les Jacaranda. Les enFants regardent les Fourmis, ils Fouillent la terre Fraîche. Notre chien Fou Joue avec une Ficelle puis s'aFFale avant de Festoyer d'un Festin de Fèves et de Fayots, cuits dans un Faitout.

En Famille, nous Fuyons la foule et Foulons l'humus de la Forêt. Sous le Feuillage de la Futaie nous apercevons un Furet Futé Fuyant à pas Feutrés. Les enFants Font de Faramineuses parties de Football. Plus diFFicile, ils Fabriquent une Felouque qui File sur le Fleuve. Et c'est enFin la Fin de la Journée.

Ce qui me rend heureux

Ce qui me rend joyeuse, c'est de voir le ciel Bleu.

Le soleil Brillait dans le Beau ciel Bleu orné de nuages Blancs. Sur un Balcon se tenait une femme qui souriait, ses cheveux Blonds couleur des Blés, Bouclés, tenus par un Bandeau, Brillaient aussi en se Balançant légèrement au vent.

Dans la rue, des gens se Baladaient tout en Bavardant de tout et de rien et, dans un parc voisin, des enfants couraient en riant et en BaBillant autour d'une Balançoire. 

C'était une Belle journée où tout s'annonçait très Bien, sans aucune Bavure à l'horizon. Tous les visages étaient Bercés de joie, dans cette ville aux grands Bâtiments Blancs Baignés de lumière.    

Ce qui me rend heureux

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 4 Juillet 2018

Cette bonne odeur me rend fou, n'êtes vous pas au courant? Elle s'est jeté, ma chère, dans me bras, en courant ! C'était l'amour naissant qui nous envahissait pour oublier tout le mal de la vie. Découvre l'inconnu que tu as crée, qui m'a dévoré, et qui m'a lancé dans le plus grand des inconnus délectable à souhait et finalement, tu m'as déçu.

La rivière va finir à la mer.

Texte écrit en atelier par Lino 

Le rêve des emmurés

Le temps s'est arrêté sur la banquette arrière au mois de mars. J'allais au marché acheter un ragoût de mouton bien tendre quand une voiture m'a doublé à une vitesse hallucinante ! J'ai senti le souffle du vent. Les monts alentour, couverts d'ombre et de lumière, touchaient le ciel plombé, trempé dans la braise. 

Un banc était là, immobile. Je m'arrêtais, descendais. Je m'assis et tendis la main à toucher le bois rugueux. Les ténèbres surgirent, me laissant dans un noir d'encre. Un cheval passa au loin, au galop.

Je m'endormit, adossée au tronc, libre dans cette douceur.  

Texte commencé par Marion, finit par Martine

Le rêve des emmurés

Elle avait reçu une question sans réponse.  Elle remplit la feuille au marché, sans se retourner. Énigme ? Miroir minutieux ? qui suis-je, un arbre perdu ?

Texte écrit en atelier par Amahd

Le rêve des emmurés

Quand il se réveilla il décida de prendre des médicaments pour soulager les douleurs dont il souffrait et qui l'empêchent de dormir toute la nuit.

Quand le soir viendra, après le repas, il prendra des somnifères avant d'aller au lit dans le noir.

Texte écrit en atelier par Edoh

Le rêve des emmurés

C'est en me promenant devant un mur que j'ai perdu la mémoire. Je ne savais plus où était ma maison, je recherchait un endroit pour me détendre.

Texte écrit en atelier par Aymeric

Le rêve des emmurés

Ils étaient heureux, ça ne faisait aucun doute. La douceur des regards. Ce jour-là, le cœur rempli de joie, l'espoir que la surprise ferait son effet. Il a commandé un gâteau pour son anniversaire. Tout se passait bien, il lisait le journal, quand il eut une douleur à la poitrine. Il prit peut et, d'un coup, il fit un infarctus. Après quelques jours de soins il broyait du noir. Se fit une réflexion et se mit à planter des courgettes. Et souvent, à dater de ce jour, par espace, de temps, il y a des rires et on entend pleurer.

Texte écrit en atelier par Frédéric  

Le rêve des emmurés

J'ai mis ma cape et je suis parti avec mon âme généreuse et fraternelle. J'ai fait quelque pas de danse, intense effort. Sur mon visage, un sourire sage. A gauche, adossé à un arbre, un arabe qui portait la barbe se frotta les yeux. La distance

Le rêve des emmurés

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 26 Juin 2018

A Busseau sur Creuse

Vers les ruisseaux qui coulent tout doux, on entend au fin fond de la forêt des feulements. 

Une forêt au parfum des bois. Ces animaux buvaient de l'eau douce et broutaient de l'herbe sous ce ciel bleu, le vent dans les feuilles verdâtres.

Je peux m'y noyer en toute gaîeté.

Texte écrit en atelier par Gabine

Doux et rugueux tissus colorés

La belette ensanglantée

L'hiver est rude, un manteau blanc est étalé sur toute la ville. Je m'approche près de la fenêtre pour contempler la grandeur de la place. J'entends un bruit énorme, c'est le 13h33, le poids de la loco fait trembler les vitres de ma fenêtre. Un vélo s'arrête de justesse devant le passage à niveau. J'ouvre la fenêtre pour sentir la fraîcheur de la glace, je contemple une plume de colombe.

Texte écrit en atelier par Christophe

Doux et rugueux tissus colorés

Seul sur une île déserte, les jours ont passé, je suis resté bloqué car l'appareil n'avait plus d'huile à moteur pour décoller. Pile poile le soleil levé j'étais obligé de plonger pour pêcher du poisson.

Texte écrit en atelier par Stéphane

Doux et rugueux tissus colorés

L'oiseau qui chante quand la pomme pousse est étrange. ça sent bon la fleur aromatisée. Le cœur de l'oiseau est dur.

Texte écrit en atelier par Amin

Doux et rugueux tissus colorés

A la porte,  le lent grincement de la fenêtre fanée où les visages un à un se font un régal par le bercement de ces majestueuses cigales. Non loin d'ici on y entend la plage où nagent tous ces touristes dans cette jolie mer que notre terre nous a donné. Je me prélasse dans ce sable avec un sirop d'érable et fruits cuits au soleil. Ce doux cocktail me transporte loin de tout réveil, ce moment m'émerveille.

Texte écrit en atelier par Kotliar

Doux et rugueux tissus colorés

Ma salle à manger me fait penser à un jardin rempli de fleurs. Et en plus il y a quelques vaporisateurs automatiques qui diffusent une odeur de rose, ça sent bon. Et sur le carrelage de notre salle à manger, au-dessus des fleurs, il y a un grand nombre de beaux papillons avec plein de couleurs. Ce n'est pas un jardin rempli de torchons, car il est beau. Il n'y aurait tout de même pas des torchons dans le dessin plein de soleil du carrelage. 

J'habite à Bron, et dans toute cette ville, ma salle à manger est la plus belle, ou en tout cas, bien travaillée, elle est connue et a bonne réputation ! Quand on parle à n'importe quelle personne habitant Bron de cette ma salle à manger, ils la connaissent déjà. Par contre, dans cette pièce, j'ai tellement  peur que mon mari ou surtout mes trois enfants tamponnent quelque chose, le fassent tomber et le cassent sans faire exprès que je leur demande de ne pas trop y venir car je préfère qu'ils n'y ai ai pas un loup.

Texte écrit en atelier par Romain

Doux et rugueux tissus colorés

Le pique-nique

Avec mon avoisinage, nous avons organisé un grand pique-nique. Nous avons cherché un endroit avec de beaux paysages. Il y avait de hauts aubépins qui avaient été semés par Yves, mon grand ami. Celui-ci avait enflé bizarrement depuis qu'l avait ingéré une quantité énorme de mie de pain et il n'avait plus de salive. Chose qui l'empêchait d'avaler les chips qui étaient délicatement posées sur la nappe dans le pré de mon voisin et où il y avait une super herbe fraîche.

Texte écrit en atelier par Marion.

 

Doux et rugueux tissus colorés

Le lion a une lésion au cerveau à cause d'un pick-up qui l'a coincé entre le pare choc et le mur. Depuis ce jour il fait des crise de jalousie à chaque repas donné aux autres, donc il crie "C'est le mien !"

Texte écrit en atelier

Doux et rugueux tissus colorés

Je suis allé au restaurant "La guinguette". Il était accueillant et il y avait de jolies nappes. Le hic, c'est que les serviettes de table étaient jetables. C'était succulent. On dirait des plats de maman. En dessert, j'ai mangé des gariguettes. Et après j'ai mis ma cape et je suis parti.

Texte écrit en atelier par Frédéric.  

Doux et rugueux tissus colorés

Le week-end à la mer

Je prenais ma planche de Moray pour plonger à travers les vagues avant de retourner vers la plancha en nageant pour manger le poulet boucané.

Texte écrit par Aymeric 

Doux et rugueux tissus colorés

Ce sol lisse et ce paysage unicolore qui, en se promenant crisse sous nos pieds.

Dès l'aube, cette fraîcheur aussi riche que de l'or et pure comme de l'eau nous met un coup de marteau une fois le pied dehors. J'allais donc pêcher ma tenue d'hiver pour me préparer à cette vague de froid. 

Texte écrit en atelier par Angel

Doux et rugueux tissus colorés

Je m'appelle Gronu. Je suis un homme des cavernes. Je suis le seul de mes semblables à être très malin car mon clan est très con comme un petit pois. Ils ne savent même pas faire du feu avec la foudre. En plus, on est un clan pas poilu, c'est chiant, du coup, je m'occupe de la survie de ces demeurés de primates. Je vais chasser le plus grand des fauves, ami de mon pote stupide, dans la canopée humide et    qui pue. Mon pote idiot n'a rien pris de cette viande découpée. On est vraiment dans la merde de mammouth.Pourquoi suis-je né dans un monde d'abrutis ? 

Fin: je me suis fait bouffer.

 

Texte écrit en atelier par W.H

Doux et rugueux tissus colorés

Je le touche du doigt. Sa douceur m'envahit. Sur le vieux tapis le léopard s'est endormi dans cette vieille chambre où le temps s'est arrêté. L'envie me fait défaut.

Texte  écrit en atelier par Alexandre

Doux et rugueux tissus colorés

Je vois des feuilles roses et j'entends l'orage se déclencher. Avec le vent, les feuilles tombent. La nature n'est pas contente. J'ai mangé un mille feuilles au chaud.

Texte écrit en atelier par Thiffani 

Doux et rugueux tissus colorés

Il était chez sa grand-mère. Elle entend le loup et il la mange.

Texte écrit en atelier par Calvin

Doux et rugueux tissus colorés

Ce tissus si doux et si joli frémit comme du riz cuit avec l'eau du puits. Sa bonne odeur de curry, nous fait devenir fou, le partage est alors au rendez-vous. 

Texte écrit en atelier par William

Doux et rugueux tissus colorés

L'enfant voulu pêcher un bonbon à la barbe à papa mais, déconcentré par la musique de cette fête foraine, il n'eut qu'un petit bout de coton tout rêche mais magique. Il faisait la tête, déçu de sa trouvaille quand le morceau de coton au contact de ses larmes se transforma en barbe à papa géante.

Texte écrit en atelier par Jasmine

Doux et rugueux tissus colorés

C'est l'hiver

Le froid et la joie de Noël arrivent

L'hiver et ses bonhommes de neige

Carotte sur le nez

Les pieds au chaud dans les bottes

Texte écrit en atelier par Martine

Doux et rugueux tissus colorés

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 21 Juin 2018

Elle entre dans l'ascenseur et les portes se referment. Elle porte une blouse ayant un ananas dessus. Elle bouge sans arrêt, on dirait un lapin en rut. Elle  est enfermée et cloîtrée dans cet ascenseur. Elle délire complètement. Dans son imaginaire elle se trouve dans un hôtel à Paris avec un boulanger dans son lit, ils font des petits bâtards. Elle boit du rouge et se conduit en chasseuse de la lumière qui passe dans le pièce. Elle est perdante.

Texte modifié, à la manière de Georges Perec qui, dans son livre, "La disparition" fait "disparaître" la lettre E 

Il sort du placard puis un portail s'ouvrit. Il s'accoutra d'un pantalon noir ayant un ananas cousu par sa tata. Il dansait sans bruit, la salsa lui suffisait. Un lapin conduisait un char, il monta dedans.  

Textes écrits en atelier par Marion 

Elle entre dans l'ascenseur et les portes se referment

Elle entre dans l'ascenseur et les portes se referment. Et là, que voit-elle à travers la vitre ? Un singe en pyjama rouge en train de manger de la pitaya (ou fruit du dragon, non de Komodo mais de Miami). D'en haut elle aperçoit une voiture de cirque garée à côté du passage piéton. elle appuie sur le bouton "0"; Le singe cascadeur, accroché à la cabine extérieure semble étonné que l'ascenseur bouge et descende si vite. Il lâche le fruit, de dépit. Elle souris.

Arrivée en bas, gentiment, elle attrape le singe par la main et l'emmène vers le clown. Est-ce un menteur ? Il lui dit que ce n'est pas le sien. Elle avait prévu de faire un jogging, c'est pour cette raison q'elle avait mis son survêtement. 

Que faire ? Le singe se sauve, enfourchant un vélo. Elle courre à sa poursuite. Ce sera la plus belle course à pied de sa vie,  

Textes écrits en atelier par Martine

Elle entre dans l'ascenseur et les portes se referment

Elle entre dans l'ascenseur et les portes se referment. Elle portait une robe bleue très flashy, qui ressemblait au ciel d'été. Une fois à l'intérieur elle se demanda s'il descendait ou s'il montait. Il faisait si chaud, comme si le soleil brillait à l'intérieur, la lumière éblouissant le sol, qu'elle avait l'impression de fondre à côté d'une braise allumée pour faire du feu. Ce n'était que l'aube, le jour qui se levait sur cette ville ressemblait à Londres, et, lorsque les portes se rouvrirent, elle sortit précipitamment à pas de chats discrets et rapides. Pour rejoindre  son bureau de secrétaire.

Texte modifié, à la manière de Georges Perec qui, dans son livre, "La disparition" fait "disparaître" la lettre E 

Il sort du placard où il avait pris un anorak, car il avait si froid. Il faisait pourtant chaud aujourd'hui, dans la villa où il habitait. Il sortit sans bruit, d'un air las alluma son auto, puis conduisit. Quand il croisa un chat fixant d'un air marrant le doux habit sur lui, qu'il aurait voulut s'y blottir s'il avait pu.   

Textes écrits en atelier par Farah

Elle entre dans l'ascenseur et les portes se referment

Elle entre dans l'ascenseur et les portes se referment. 

- J'aimerais te revoir dans l'ascenseur ce fut très intense comme rencontre.

- J'aimerais aller au Portugal avec toi, à Madère avec mon beau blazer. J'ai une belle somme d'argent. Nous y dégusterions des plats divers et variés. Nous parcourrons les rues à la recherche d'un restaurant où nous pourrions manger du bon poisson. Je détacherai un peu ma cravate, il fait chaud au Portugal. Je regarderais ce qu'il reste comme argent avant de rentrer à Lyon où nous irions aussi manger dans un restaurant pas trop cher mais où on mange du très bon.

Texte modifié, à la manière de Georges Perec qui, dans son livre, La disparition fait "disparaître" la lettre E 

Il sort du placard puis il voit un hublot qui lui va. Tas de ramassis qu'on aperçois parfois.

Textes écrits en atelier par Lino

Elle entre dans l'ascenseur et les portes se referment

Texte écrit en atelier par Kévin

Elle entre dans l'ascenseur et les portes se referment. Elle a fini de faire les magasins, elle sort son smartphone de luxe de couleur jaune. Elle dit au boucher vous avez perdu la tête. Elle pensait au perroquet qui est à Strasbourg chez le barman qui aime manger des bananes et les grandes portes s'ouvrent et elle part.

 

Voilà mon histoire. 

Je m'appelle Wendy. Je travaille dans une animalerie. En plus, je m'occupe d'un dragon du Komodo pas très commode. Je rentre du travail, c'est toujours la même histoire. Je me sens fatigué. Je rentre dans cet ascenseur. Je me pose toujours des questions bizarres. Pourquoi mon soutuf me gratte ? Pourquoi ça me fait penser à une boîte de verres de terre ?

Elle entre dans l'ascenseur couleur rose et les portes se referment sur une famille qui allait au 15è étage.

Soudain, l'ascenseur se mit à bouger. Pris de panique, la famille se mit à hurler. Le père arriva très en retard à son travail. Ses collègues se moquèrent de lui. Ses enfants furent très inquiets car eux aussi étaient en retard. Heureusement pour eux tout est bien qui fini bien. Un gentilhomme vint les aider équipé d'un pull-over violet et de chaussure en daim qui allait lui travailler dans son salon de coiffure à l'heure d'ouverture du matin. Ce monsieur était bien connu à Paris pour son petit jardin rempli de mangues. 

Texte écrit par Myriam

 

Elle entre dans l'ascenseur et les portes se referment. Une petite fille nommée Cindy portait un pantalon rouge et vivait à Paris. Elle adorait jouer au ballon, mais elle avait perdu sa peluche en forme d'ours. Son père travaillait en tant qu'ingénieur et masseur. Il adorait les mangues. Cindy et son père étaient en train de manger des mangues et une bonne mousse au chocolat dans l'ascenseur de leur immeuble. La bouche de la petite Cindy était plein de jus de mangue. Sa langue était beaucoup sucrée à cause la mangue. Et son pantalon était taché de mangue et de chocolat.
 

Texte écrit en atelier par Kathya

Elle entre dans l'ascenseur et les portes se referment. Une personne est bloquée dans l'ascenseur. C'est dans un immeuble de Dallas de 33 étages. La personne est lasse et elle ne sait pas comment faire pour sortir de là. Elle travaille dans une banque. Des militaires sont venus l'aider.

Texte écrit par Quentin  

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 12 Juin 2018

Nouveau règlement instauré par Lino, Président de la Fédération Internationale de Football (FIF)

Art. 1 Le ballon sera carré.

Art. 2 L’arbitre aura un ukulélé, mais plus de sifflet.

Art. 3 Les drapeaux des coins seront en forme de losange.

Art. 4 Le terrain sera ovale.

Art. 5 Les cages seront triangulaires.

Art. 6 La durée du match sera de deux heures.

Art. 7 Les joueurs auront obligatoirement un bermuda.

Art. 8 Les arbitres auront des combinaisons de travail.

 

Marion, journaliste, nous commente le match, suivant les nouvelles règles de la FIF

Bonjour ! Je suis en direct du terrain ovale de Villefranche !

Les arbitres ont des accoutrements très étranges, on dirait des mécanos. Le match débute dans deux minutes. On en a pour 2 heures, c’est long !

Puisque le ballon est carré, ça va être très bizarre qu’il puisse rouler.

Attention le match commence, l’arbitre enclenche son ukulélé et c’est parti mesdames et messieurs ! Puisque les cages sont triangulaires, il n’y a pas la place pour le ballon, du coup les mains dépassent des cages, c’est pas pratique. Mais qui a inventé ces règles stupides ? Je ne veux pas être offensant mais ce n’est pas logique du tout.

 

 

 

Sports en folie à l'atelier d'écriture !

Nouveau règlement instauré par Marion, Présidente de la Fédération Internationale de Gymnastique (FIG).

Art. 1 Les pratiquants devront porter une cigarette à la bouche.

Art. 2 Ils devront porter des bottes.

Art. 3 Les agrès ne seront plus la poutre, la barre mais des chaises, des échelles, des verres.

Art. 4 La pratique d’un agrès se fait sur les pistes de ski, et donc sur la neige.

Art. 5 La pratique d’un agrès dure trois jours sans interruption.

Art. 6 Quand on perd, on se bat sans rien se casser, donc il faut faire attention à l’autre tout de même.

 

Romain, journaliste, nous commente le match, suivant les nouvelles règles de la FIG

Aujourd’hui la compétition de gymnastique mondiale commence en Isère et les participants sont plus que motivés, en tout cas ils en ont l’air !

Au début, bien sûr, ils sortent tous leur briquet et mettent tous un paquet de cigarettes dans leur poche. Et bien sûr, évidemment, par obligation et par envie principalement car un de ces charismes envahi tous les escaladeurs. Ils avaient déjà, avant d’allumer leur cigarette, enfilé leurs bottes de couleur vert kaki à pois roses pour tous, cette année.

Les Polonais sont les 1ers à commencer cette compétition. Mais malheureusement ils font plusieurs erreurs. Rappelons le matériel de chacun : des chaises, des échelles et des verres. La règle est de tenir en équilibre sur un verre, de faire un salto sans prendre appui au sol pour atterrir ensuite sur la chaise du parcours. Et une fois sur la chaise, pour atterrir sur le haut de l’échelle, il faut encore faire un salto arrière, cette fois, et double.

Et pour les Polonais, il y a plusieurs accidents comme on peut tous voir ! Je ne vais pas vous montrer toutes les chutes filmées au ralenti, les plus jeunes risqueraient d’être fortement choqués. La plus grosse chute est la fois où le dernier Polonais a fait ce petit parcours toutefois dangereux et pas qu'un peu.  Au moment où il allait passer sur l'échelle, il ne sauta pas comme il faut. Car, faut-il le rappeler, le sol était entièrement enneigé. Au moment où il sauta, il atterri sur la tête. Inutile de dire qu'il avait perdu.

Ils voulurent, car c'était la règle, casser la figure à tout le monde. Mais, dès qu'ils voulurent commencer à frapper tout les autres, ça s'est retourné contre eux. Ce sont les autres qui cassèrent la figure aux Polonais ! 

Gym sur chaises et échelle
Gym sur chaises et échelle

Gym sur chaises et échelle

Nouveau règlement instauré par Romain, Président de la Fédération Internationale d'Escalade (FIE)

Règlement intérieur

Art 1. Obligation de monter uniquement avec les bras, et, si besoin, il est autorisé de s'aider avec les narines. INTERDICTION d'utiliser les jambes, sinon, c'est la fin de la montée, directement ! Et non assuré, bien évidemment.

Art 2. Une fois en haut, il y a une deuxième obligation. Pour redescendre de la hauteur, il faut naturellement sauter directement en bas et surtout pas y aller mollo, c'est à dire, sans traîner !!!!

Art 3. Obligation de se moquer ouvertement des autres quand on a gagné.

 Art 4. Si l'on n'est pas premier et que les autres se moquent par obligation, possibilité de les insulter en criant, bien sûr.

Art 5. Si l'on gagne une médaille en plastique, pas d'obligation mais autorisation de la balaner dans le visage du président de la FFE, c'est à dire MOI !!!!!!  

Lino, journaliste, nous commente la rencontre d'escalade, suivant les nouvelles règles de la FIE

J'ai assisté à une drôle de compétition. Montée d'une paroi en s'aidant des narines. La montée est donc lente. Une fois en haut il faut descendre d'un seul coup en se laissant  glisser. Il faut partir dans la rigolade en descendant. Une fois en bas on remet une médaille en chocolat au vainqueur. Ils se moquent les uns des autres. Le gagnant a envoyé sa médaille en chocolat sur la figure du Président. Une compétition de rigolade. 

Sports en folie à l'atelier d'écriture !

Nouveau règlement instauré par Yves, Président de la Fédération Internationale de Rugby (FIR)

Art 1. Les joueurs doivent jouer dans une maison de retraite.

Art 2.  Le ballon est une boîte à chaussures vide.

Art 3. Pour gagne, les joueurs doivent jeter 10 boîtes à chaussures les unes sur les autres et ne pas les faire tomber.

Art 4. Pour arriver à  l'autre bout du terrain les joueurs doivent sauter sur les fauteuils roulants.

Art 5.  L'équipe qui gagne emporte une vieille personne.

 

 

Sports en folie à l'atelier d'écriture !

Nouveau règlement instauré par Quentin, Président de la Fédération Internationale de Golf (FIG)

Art 1. Viser les voitures. S'il y a des maison, tirer sur les toits.

Art 2. On tient son club droit et on vise. La balle vole et tombe sur un avion qui passe.

Art 3. On s'habille en tenue de basketteur

Art 4. Liste du matériel : chariot, balles, clubs, fer, bois, berdy, sabre et revolver.

Art 5. Durée 4 heures

Art 6. 5 tirs autorisés

Tony, journaliste, nous commente la rencontre de golf, suivant les nouvelles règles de la FIG

J'ai assisté à un tournoi de golf. Les joueurs doivent viser les voitures. Le club, on le tient droit et on vise  puis la balle vole et arrive sur les avions qui passent. La tenue classique est celle du basket. Les joueurs jouent avec des revolver. La durée du tournoi est de 4 heures. Les joueurs sont droit à 5 tirs. 

Obligation de viser les avions

Obligation de viser les avions

Nouveau règlement instauré par Max, Président de la Fédération Internationale de Hockey sur Glace (FIHC)

Art 1. La terre rase comme un oeuf

Art 2. Etre nu sur la piste

Art 3. Un jerrycan dans une main, l'autre avec un flambeau

 Art 4. Vous avez droit aux collisions frontales

 Art 5. Le droit à toute action

Art 6. Sept heures de  match

Art 7. Rajouter des animaux 

Anthony, journaliste, nous commente la rencontre de hockey sur glace, suivant les nouvelles règles de la FIHG

Aigle VS Bulls: 7 heures d'enfer

Victoire d'Aigle nu sur son rival de toujours: Bulls. Quelle rencontre ! Quelle intensité ! Sur une terre rasée comme un œuf, les Aigles ont multiplié les fautes pour marquer 50 buts. Bien sûr, aucun chat n'a été grièvement blessé (juste des pattes en moins). Mais miraculeusement aucun joueur blessé malgré le feu.

 

 

 

 

Sports en folie à l'atelier d'écriture !

Nouveau règlement instauré par Tony, Président de la Fédération Internationale de Parcours (FIP)

Art 1. Prendre des chaussettes pour gant

Art 2. Prendre de la drogue pour sauter plus haut

Art 3. Le faire dans la forêt

Art 4. Le faire à minuit

Art 5. Le faire en pyjama

Katya, journaliste, nous commente la rencontre de Parcours, suivant les nouvelles règles de la FIP

Mesdames et messieurs, nous assistons à un Parcours délirant où les règles sont complètement folles et délirantes. Les joueurs sont en habits de pyjama et la parcours se passe dans la forêt.  Nous assistons à un parcours en bazar, les joueurs sont complètement fous et ivres. Nous sommes hallucinés par cette ambiance dingue. La drogue a complètement mis les joueurs dans tous leurs états de folie. 

FIN DU RAPPORT

 

 

Sports en folie à l'atelier d'écriture !

Nouveau règlement instauré par Kévin, Président de la Fédération Internationale de NASCAR (FIN)

Art 1. S'accrocher sur le toit de la voiture

Art 2. Avoir un fusil de paintball

 Art 3. Un conducteur et un tireur

 Art 4. Un blouson avec une cible de tir

 Art 5.  Dans un désert

Art 6.  Vitesse maximum: 399km/h

Yves, journaliste, nous commente la rencontre de NASCAR, suivant les nouvelles règles de la FIN

Madame, monsieur, je suis en train d'assister à la course du siècle. Nous observons ce qui s'appelle la NASCAR. Je peux apercevoir une personne avec une arme accrochée du bout des doigts sur le toit de la voiture se faisant balader dans tous les sens à plus de 399 km/h. Le suspens est à son comble sous une chaleur étouffante de par ce décor désertique.  J'entrevois une dizaine de voitures l'une derrière l'autre, toutes avec une personne accrochée sur le toit. Elles ont une cible dans le dos et reçoivent des balles dans le dos. Cette fin de courses s'annonce palpitante.  

Sports en folie à l'atelier d'écriture !

Nouveau règlement instauré par Martine, Président de la Fédération Internationale de Handball (FIB)

Art 1. La Présidente doit être présente et porter un chapeau extravagant.

Art 2. La balle est cubique. 

Art 3. Le terrain est triangulaire. 

Art 4. Trois équipes s'affrontent à chaque match.

 Art 5. Les joueurs sont pieds nus et portent des grelots aux chevilles. 

Cassandra, journaliste, nous commente la rencontre de Handball, suivant les nouvelles règles de la FIH

Hier, un match de handball a eu lieu. Il y avait 3 équipes sur un terrain triangulaire. Les 3 équipes entrent. Oh là là ! Les joueurs ont des grelots aux pieds. La Présidente a un chapeau extravagant. C'était un beau match.

 

 

Sports en folie à l'atelier d'écriture !

Nouveau règlement instauré par Antony, Président de la Fédération Internationale de Football (FIF)

Art 1. Faire un épervier avant chaque match du Réal Madrid. Ceux qui auront survécu à Sergio Ramos pourront jouer. Aucun tacle n'est permis durant le match.

Art 2. Sur 16 équipes en CL (Champions Ligue) faire en sorte que tout le monde joue contre le Réal Madrid. Si le Réal gagne, il est champion. Si il perd, l'équipe qui l'a battu est championne.

Art 3. Caméra vidéo obligatoire.

Art 4. Donner une Champions Ligue à la France.

Art 5. "Marseille, Marseille à jamais les derniers" sera entonné à chaque match contre Marseille.

Art 6. Goal volant interdit à moins d'être Messie.

 

Quentin, journaliste, nous commente la rencontre de football, suivant les nouvelles règles de la FIF

Messieurs Mesdames on va assister à un match super entre la France et les USA. La Marseillaise puis le match commence. Un joueur français tire et marque le premier but. 1-0. Puis, après, un joueur USA manque de mettre la balle dans la cage. Et un joueur français tire dans la figure d'un joueur et se fait remplacer en première mi-temps. 1 pour la France, O pour les USA.

La deuxième mi-temps démarre. Et c'est reparti ! L'équipe de France marque son deuxième but. 2-0 et à la dernière minute la France marque 3-0. Et c'est gagné pour la France ! 

Sports en folie à l'atelier d'écriture !

 

Moi, Coquet Cassandra, Présidente,   je déclare le nouveau règlement de la Fédération Française d'Aviron (FFA),

Art 1. Ramer à genoux

Art 2. Ramer avec la tête à l'envers

Art 3. Mettre un singe à la place du barreur

Art 4. Mettre un âne à la place de l'entraîneur

Art 5.Ramer en jupe

Le règlement doit être appliqué, signé, lu et approuvé.

Je soussignée, Madame, Coquet Cassandra, Présidente, de la Fédération Française d'Aviron (FFA),

Akram, journaliste, nous commente la rencontre d'Aviron, suivant les nouvelles règles de la FFA

Nous sommes en direct à Miami. Madame Cassandra la plus connue au monde. Elle rame les genoux en l'air et la tête sous la terre. Le singe a des bananes sur la tête.

 

Sports en folie à l'atelier d'écriture !

Nouveau règlement instauré par Katya, Président de la Fédération Internationale d'Equitation (FIE)

Art 1. Les élèves ne doivent pas mettre de selle sur les chevaux.

Art 2. Les élèves doivent porter des collants et des chapeaux pour les épreuves de dressage, sauts d'obstacle et cross.

Art 3.  Les élèves doivent être en train de boire un verre sur les chevaux.

 Art 4. Les élèves doivent être déguisés pour les entraînements pendant 30 minutes.

Art 5. Les élèves doivent être dans les prés pour les entraînements.

Kévin, journaliste, nous commente la rencontre d'équitation, suivant les nouvelles règles de la FFE

Nous sommes à Poitou, là où se passe l'équitation. Apparemment c'est une tradition, on ne met pas de selle sur le dos des chevaux.

Nous sommes devant le départ de la course. L'on voit qu'ils ont des collants dans les mains. Attention, ils s'en vont. Titi, Kiki et Pota sont côte à côte. 

C'est parti. Pota passe devant Titi mais Kiki profite pour passer en tête. Il fonce pour le rattraper. Mais Titi arrive à la table pour attraper son verre mais c'est mal parti, Titi se casse la figure sur toutes les tables. Kiki passe devant le carnage met sont collants, tout en buvant son verre. Attention Pota est bourré et fonce tout nu avec son collant sur la tête mais essaie de mettre son collant mais Pota fait des sauts. Ils se prend le poteau à l'arrivée.

 

 

 

 

 

 

Sports en folie à l'atelier d'écriture !

Nouveau règlement instauré par Myriam, Président de la Fédération Internationale de Karaté (FIK)

Art 1. Donner des coups de poings

Art 2. Balancer pleins de ballons en pleine figure

Art 3. Tirer les cheveux

Art 4. Mordre les oreilles

Art 5. Droit de frapper au visage 

Kévin, journaliste, nous commente la rencontre de Karaté, suivant les nouvelles règles de la FFK

Nous assistons à un combat de karaté entre Mamadou et Pipamge. Pipamge met un un crochet du droit  à Mamadou. Mamadou prend le ballon. Ah ! Mamadou fait avaler le ballon à Pimpange. Pimpange commence à dire des jurons en chinois. Mamadou commence à sauter pour intimider Pipamge. Pipamge commence à à souker, c'est assez bizarre. Pipamge saisi des baguettes et attrape les oreilles de Mamadou et les mange. Il a gagné.

Sports en folie à l'atelier d'écriture !

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 5 Juin 2018

Peur du géant

Maria a trouvé un géant qui se balade à a campagne. Le géant, qui en avait marre de la forêt car il s'est perdu, balança des rochers de partout. Maria se cacha derrière un arbre large. Le géant a fait demi-tour.

Texte écrit en atelier par Kévin 

Atelier d'écriture: lire la presse

Sous le soleil, le chat charognard parti sur le quai de la rivière. Le drap de brume s'est dissipé. Le chat marchait par passion d'une patte lourde et affamé en quête d'un goûter.

Papa qui veut des calendriers aime offrir du lait par charité. Il est tout le temps devant le quai au bord de la rivière assis sur une chaise.

Texte écrit en atelier par Willy

Atelier d'écriture: lire la presse

En avril 68, une étrange religion du nom de zvisme a fait sa réapparition  en Islande. L'église avait une flopée d'adeptes dans ce pays car les personnes travaillant à l'usine trouvaient complètement absurde cette installation. Mais en septembre 68, une révolution a sonné. Des non militants faisaient des manifestations dans les rues et des bagarres entre manifestants ayant eu lieu, une intervention de la police fut obligatoire et tous les voisins venaient  en aide car il y avait plein de blessés et les ambulances furent débordées.

Texte écrit en atelier par Myriam

 

Atelier d'écriture: lire la presse

Un matin, le 14 mars 1991 il y avait une personne qui partait en vacances. C'était très calme mais le matin suivant sur la route il y eu un grand bouchon de 41 kilomètres. La personne dans la voiture s'est faire arrêter par la police. La voiture roulait à 144 kilomètres/heure. La prime était de 1343 euros. Il est allé au commissariat. Et il est sorti 13 ans plus tard.

Texte écrit en atelier par Quentin

Atelier d'écriture: lire la presse

Une jeune dame souriante écrit avec beaucoup de timidité un article tout en écoutant le le syndicat CGT défiler dans la rue. A chaque coup donné dans la fenêtre, elle lève les yeux et la tête de peur mais la fenêtre ne porte aucun signe de faiblesse.   Elle en profite pour remettre ses cheveux en place, croise les jambe et se remet à écrire et là, elle écoute : "Deux francs de l'heure c'est une honte, on est exploités par les patrons, continuons la grève". La jeune dame se mit à croiser les bras en écrivant mais elle ne put garder toute sa concentration, elle râla et finit par se lever et parti prendre un thé avec sa tante.

Texte écrit en atelier par Ebrice

Atelier d'écriture: lire la presse

A Lyon dans le métro on peut rencontrer des choses, des gens variés, des musiciens, des handicapés, des mendiants et bien évidement des contrôleurs, donc ne pas perdre son ticket sinon il va falloir s'expliquer et être persuasifs et compris. Donc avoir son ticket et ne pas le perdre évite les problèmes.

Texte écrit en atelier par Lino

Atelier d'écriture: lire la presse

L'année de mes 21 ans, j'ai pénétré pour la première fois dans l'usine où je travaille comme ouvreur. Je travaillais dans une loge aux murs ternes et lisses où je lisais aussi souvent des histoires avec attention jusqu'à ce qu'un utilisateur vienne me poser certaines questions utiles auxquelles je répondais avec grand intérêt. J'avais toujours une liste de réponses nettes en main que l'on peut voir sur internet, à cette mare de questions que me posait ce gaucher à la démarche arquée qui m'observait en écoutant ma réponse les coudes posés sur la table, les mains sur les joues et un sourire aux lèvres en marque de sympathie. 

Texte écrit en atelier par Farah

Atelier d'écriture: lire la presse

Tulle est une ville triste mais on y trouve le plat le plus délicieux: le risotto. Dans le centre de la ville de Tulle, il y a un atelier de sport qui s'appelle la lutte. 

Le plat, risotto a reçu plein de terre. La ville de Tulle a reçu le prix Nobel du plus délicieux plat: le Risotto

Texte écrit en atelier par Katya

Atelier d'écriture: lire la presse

Perdu dans mes pensées je me suis mis à écrire sur le malheur qui frappe notre belle planète. Le réchauffement climatique malheureusement est une vérité qui nous concerne tous, je pense. Il faudrait installer un dispositif à l'école pour sensibiliser nos enfants sur ce sujet parce que c'est eux l'avenir de notre belle planète.

Texte écrit en atelier par Salim

Atelier d'écriture: lire la presse

Il était une fois 

Il était une fois un petit bonhomme qui se promenait dans la rue avec une pancarte de la CGT en

criant :" Je suis communiste et syndicaliste". Il se prénommait Salim. Il revendique ses droits devant son usine et son patron, droit dans ses bottes. Le petit bonhomme conscient de sa démarche pour faire avancer les choses crie "Au chiotte le patron, on veut être augmentés, on n'est plus au moyen-âge".

Texte écrit en atelier par Philippe

Atelier d'écriture: lire la presse
Atelier d'écriture: lire la presse
Atelier d'écriture: lire la presse

A Rome en 1800 av JC la population était prospère, il y avait beaucoup d'animaux dans la rue à la vue de tout le monde: des veaux, vaches, moutons. Un dessinateur du nom de Salim dessinait les passants. Les passants avaient droit à des séances privées pour poser nu pour décupler la créativité de Salim.

Texte écrit en atelier par Mehdy

Atelier d'écriture: lire la presse

Paris, une ville animée 

Installée tranquillement à la terrasse d'un café parisien, j'écris. Ma main droite glisse en douceur sur le papier. Le regard porté sur ma feuille, surtout ne pas la quitter des yeux, l'inspiration est là.

Pourtant la révolution gronde, la bataille se prépare, nous sommes en avril 68. Les syndicats souhaitent rétablir la justice, plus rien ne va dans ce monde !!! 

Et moi je suis là, j'écris.

J'aspire à une vie tellement plus calme et reposée.

J'imagine ma vie merveilleuse au bord de la mer, un livre à la main. Plus de talon aiguille, certain diront plus de style. Mais qu'importe, n'en déplaise, je suis franche et c'est comme ça.

Je râle, je vois les rats sortir des égouts. Quelle horreur : c'est décidé je quitte Paris, la Normandie m'appelle.

Texte écrit en atelier par Delphine

Atelier d'écriture: lire la presse

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 27 Mai 2018

Dans ce minuscule appartement aux volets clos, le silence opère. Quelques mètres carrés au rez-de-chaussée d’un immeuble des beaux quartiers. Une ancienne loge de concierge recluse derrière la porte d’un grand immeuble lumineux aux boiseries vernies et au marbre étincelant.

Cosme, Guillaume Meurice.

Dans ce bel immeuble de plusieurs étages se trouve un minuscule appartement où vivait, au rez-de-chaussée dans le temps, une bonne très silencieuse qui ne sortait jamais ou presque ! Sauf pour s’occuper d’une petite dame au 5ème étage ! Elle nettoyait les fientes sur le balcon et les vitres pour avoir un peu plus de lumière, cette petite dame a toujours vécu dans ce petit appartement La bonne un jour vit la petite dame éteinte ! Alors la bonne a rendu son tablier et est partie vivre loin en paix.

Hugo a imaginé la suite de Cosme, un livre de de Guillaume Meurice

 

Comme un roman

Quand je suis arrivé dans ces beaux quartiers, et ce petit appartement, je me suis senti mal à l’aise, moi qui ai l’habitude des grands espaces en pleine nature, mais bon, je me suis dit, ce sont mes vacances alors je profite pour visiter Paris. J’ai posé ma valise et je suis sorti visiter. C’était une belle journée de printemps, je suis allé à la tour Eiffel et au Sacré-Cœur. Je suis rentré très tard dans ma chambre sombre. A peine allongé sur mon lit, je me suis endormi.

Salim a imaginé la suite de Cosme, un livre de de Guillaume Meurice

Comme un roman

7 janvier 23h15

Il a tout d’abord murmuré dans le talkie-walkie, comme s’il s’en faisait la réflexion, « plus vite, la DS ». Je l’ai regardé. C’était un jeune flic en civil au visage à moitié mangé par l’ombre de son col relevé. Son pouce a écrasé le bouton et l’appareil s’est mis à grésiller : « plus vite la DS ! Qu’est-ce que vous foutez ? ». Il avait crié, les lèvres collées au micro. La buée de son haleine enveloppait ses mains crispées sur l’émetteur.

Lumière noire, Didier Daeninckx

 

Paniqué il redonna les informations en espérant qu’il y ait d’autres unités. Il écoute pour pouvoir appréhender les mâles fêteurs avant qu’ils ne prennent la fuite. Au loin il aperçoit la DS et le jeune flic commença à se préparer à dégainer son révolver comme s’il allait faire un duel dans un vieux western tout en gardant son sang-froid. La DS arrive sur les lieux et tout va vite. Je n’ai rien vu venir. Le jeune flic était déjà avec les renforts et il maîtrisait les mâles fêteurs. Ils se sont tous retrouvé menottés et là, j’i vu le jeune flic s’énerver comme jamais sur les renforts de la DS.

Ebrice a imaginé la suite de Lumière noire, un roman de Didier Daeninckx

 

Une après-midi avec des collègues de travail avant test de la dernière voiture de patrouille. Un flic use de son autorité pour bloquer la route, et c'est parti ! Les voitures slaloment entre elles à pleine vitesse.

Un participant de l'atelier d'écriture a imaginé la suite de Lumière noire, un roman de Didier Daeninckx

Comme un roman

20.5.40

Silence et canicule. Paris s’est dépeuplé, et il se dépeuple chaque jour davantage mais comme en cachette. Les gens partent en catimini affirmant jusqu’au dernier moment à leurs amis : « Nous ne bougeons pas ». N’empêche qu’on voit de plus en plus de voiture

Douce France, Andrzej Bokowski

 

L’embouteillage est proche. La chaleur écrasante étouffe les riverains. On en voit s’abritant sous la tour Eiffel, devenue pour quelques temps le « Panama » de fer des Parisiens. Même les rues dépouillées de toutes vies, suent de leur goudron brûlant. Maintenant les gens ne parlent plus mais ils se mettent à penser « vivement l’hiver ».

Franck a imaginé la suite de Douce France, un roman d’Andrzej Bokowski

 

Au temps de guerre en environ de 40, Paris forte de grande chaleur et de grande guerre. Des familles entières partaient de Paris pour un voyage de longue durée, ne voulant pas suivre leurs amis jusqu'au dernier instant.

Myriam a imaginé la suite de Douce France, un roman d’Andrzej Bokowski

Comme un roman

Cette année-là, à la fin de mon enfance je vivais à Jacmel, localité du littoral caribéen d’Haïti. A la mort de mon père, nous avions ma mère et moi, déménagé de l’avenue La Gosseline pour aller habiter chez mon oncle maternel. Ses appointements de juge d’instruction lui permettaient d’occuper avec sa femme un logement spacieux et clair à la rue des Bourbons, au Bel-Air. Les jours fériés j’emmenais mon chagrin prendre le frais au balcon de la maison de bois.

Hadriana dans tous mes rêves, René Depestre

 

Mon chagrin a tendance à disparaître. Il faut oublier ce qu’il faut considérer comme futile, ne pas oublier quand même ses enfants qui sont à jamais importants, ne pas oublier mais ne pas les embêter, les aider car c’est du bonheur d’avoir eu des enfants. La priorité c’est le bonheur d’être avec leur maman. Je les appelle tous les soirs. Etre sûr que la journée s’est bien passée.

Lino a imaginé la suite de Hadriana dans tous mes rêves, René Depestre

 

 

C’était un après-midi vers 13h05 depuis chez lui il voit du vent et il pleure. Chez son oncle il y a un cambrioleur. C’est un homme de 34 ans puis il se fait arrêter par la police. Il se fait libérer 45 ans plus tard.

Quentin a imaginé la suite d'Hadriana dans tous mes rêves, René Depestre

Comme un roman

« Dans le ciel de minuit volait un ange… ». Cette phrase était revenue à l’esprit de l’astronaute qui eut un petit sourire triste et pensa à part lui « il est joli, l’ange ».

Tourné vers le hublot de son vaisseau spatial, le visage de l’astronaute était fatigué, prématurément vieilli, mais plein d’une curiosité enfantine des plus vives.

Les baies sauvages de Sibérie, Evguéni Evtouchenko

 

Il eut l’idée de se poser et de faire une pause pour pouvoir mieux admirer ce qu’il venait de percevoir à travers le hublot de son vaisseau, toujours avec un regard et une curiosité insouciante. En descendant de sa fusée il s’est mis à s’émerveiller de l’espace, des étoiles, d’une manière innocente. Ça lui rappelait sa jeunesse où son esprit se perdait dans la grandeur du ciel. Le vieil astronaute pensait que son imagination lui jouait des tours. Que ce qu’il avait aperçu n’était peut-être pas un ange, que c’était dû à son âge avancé.

Mais non, je ne rêve pas, « c’était bien un être de lumière » (en se répétant dans son esprit). Qu’il est joli, l’ange. Le gardien des âmes. Quelques secondes après l’esprit saint et bienveillant réapparaît devant lui et lui dit de ne pas avoir un sourire triste et malheureux et de ne pas ‘inquiéter, qu’il était là pour lui venir en aide et le guider dans sa recherche spirituelle.

Naïma a imaginé la suite de Les baies sauvages de Sibérie, d’Evguéni Evtouchenko

Comme un roman

Les toits de tôle du quartier indien tremblaient dans la fournaise de midi. Au-dessus des cases, l’air tournoyait en volutes chaudes et le capitaine Marc Berthier cracha une salive épaisse en traversant la place déserte et poussiéreuse de Manalondo.

Villa Vanille, Patrick Cauvin

Marc Berthier après avoir traversé le désert, arriva chez les indiens, et fait la rencontre d’un indhou qui lui propose d’aller pêcher dans une barque sur un lac, le vent a soufflé très fort puis la barque tapa un rocher et ils se sont noyés.

Ibrahim a imaginé la suite de Villa Vanille de Patrick Cauvin

Comme un roman

Comme un garçon

Bhagirdi, sa mère, avait de larges yeux en forme de poisson, une peau lumineuse, un long coup flexible. Mariée à douze ans à Moropant Tampé, treize ans, elle avait une âme résistante dans un corps gracile et une réputation de beauté née le jour de ses noces, quand une bouffée de vent soulevant son voile rouge découvrit son visage.

La reine des Cipayes, Catherine Clément

 

Elle est du signe du poisson, des personnes disent la vérité. C’est bien confirmé, son visage est de toute beauté. J’ai vu son voile dégager son visage car le vent a soufflé sur la montagne et a touché son visage.

K.S a imaginé la suite de La reine des Cipayes de Catherine Clément

Comme un roman

J’aime ces quelques minutes avant sept heures du soir ; armée de chiffons et de papier journal froissé –des vieux numéros de Nàrodnic Politika- je nettoie alors les cylindre de verre des lampes ; je mouche les mèches carbonisées avec une allumette, puis je remets en place les petits chapeux de laiton et, sur les coups de sept heures, survient ce beau moment où s’arrêtent les machines.

La chevelure sacrifiée, Bohumil Hrabla

Je m’apprêtais à enlever les vêtements de la machine, l’odeur envahît la pièce d’un parfum de lavande. J’enlevai les papiers journaux froissés. J’essyai le sol avec une lavette pour enlever la poussière. Je rangeai les chapeaux en laiton et j’allai me coucher.

Katya a imaginé la suite de La chevelure sacrifiée de Bohumil Hrabla

Comme un roman

Première partie

Les Quangel

Une mauvaise nouvelle

Eva Kluge la postière, monte avec lenteur l’escalier du 55 rue Jabonski. Avec lenteur, non seulement parce que sa tournée l’a fatiguée, mais surtout parce qu’il y a dans sa sacoche une de ces lettres qu’elle déteste apporter. Pourtant, dans un instant il faudra bien qu’elle la donne aux Quangel, deux étages plus haut.

Seul dans Berlin, Hans Fallada

Je déteste emmener cette lettre car je sais que je risque de voir mon ex-conjoint avec sa nouvelle conjointe et je sais que c’est mon ex meilleure amie. Car cette nouvelle lettre annonce leur mariage. Je les ai vue en train d’essayer sa nouvelle robe de mariage.

Mxih Willy a imaginé la suite de Seul dans Berlin d’Hans Fallada

Comme un roman

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Rédigé par Martine Silberstein

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