Publié le 17 Juillet 2020

Vendredi 10 juillet 2020

Départ 6h50. Premier arrêt à la poste pour retirer de l’argent. Puis je m’aperçois que j’ai oublié de remplir mes bidons ! C’est l’épicier qui s’en charge.

Je me suis inspirée, cette année particulière de crise du coronavirus par l’obligation que le gouvernement avait mise en place qui préconisait de ne pas dépasser un cercle de 100km autour de chez soi. Je vais donc d’abord suivre le fleuve Rhône, puis à l’embouchure, de suivre l’Ain, de faire un arc de cercle au nord de Bourg-en-Bresse, traverser la Saône pour aller jusqu’à Cluny, puis monter à Paray-le-Monial où je m’étais arrêtée l’an dernier. J’avais en effet dû interrompre mon voyage à vélo et rentrer en train car le samedi je participais à un salon du livre, ma deuxième idée était donc d’aller à Paray finir le voyage interrompu un an avant, même si, ce faisant, je dépassais de 5 kilomètres la loi gouvernementale, qui, au moment de mon départ avait finalement été annulée.

Après Grigny, Irigny, puis La Mulatière, j’arrive à Lyon, je traverse le Rhône par le pont Raymond Barre et je me retrouve sur la Via Rhôna. Sur les quais je croise un « couple » singulier. De loin je pensais qu’il s’agissait d’un papa et de son fils trisomique. Deux silhouettes, un grand maigre, un petit gros. Ils se tiennent par la main. Laurel et Hardy. Fringués comme fringus. Ils se soutiennent mutuellement, hébétés, titubant. Beaux et pathétiques à la fois.

A la sortie de Lyon, cachés dans des replis, derrière des buissons, sous des ponts, la misère des camps de migrants, Roms et autres rejetés au ban de la société. Quelques bâches, une voiture défoncée.

 

A Rilleux-la-Pape, quelques beaux tags.
A Rilleux-la-Pape, quelques beaux tags.
A Rilleux-la-Pape, quelques beaux tags.
A Rilleux-la-Pape, quelques beaux tags.

A Rilleux-la-Pape, quelques beaux tags.

Arrivée au canal de Méribel-Jonage, je passe sur un pont et je roule la piste située sur une butte de terre. Je n’y suis pas passée les autres fois quand j’ai roulé sur cette ViaRhôna. Je découvre un déversoir et fais la connaissance d’Enzo. Un Sicilien parti depuis trois ans sur les routes d’Europe, il a abandonné sa maison, trop coûteuse.

Déversoir

Déversoir

A 11 heures il veut s’arrêter pour cuisiner des cuisses de poulet au riz. J’ai vu le moment où, non seulement il voudrait partager son repas de midi avec moi mais qu’en plus, il m’aurait suivi jusqu’à Meximieux où m’attendaient mes hôtes. Son prochain but c’est d’aller à Dijon. Il a déjà fait l’Espagne et bien d’autres pays. Je prétexte qu’il est trop tôt et que j’ai trouvé la route de l’Ain, ce qui est vrai, le panneau est là. Je tourne à gauche, lui à droite. On a roulé un très grand moment ensemble, très agréable !  Il pédale en chaussures de plage et roule moins vite que moi, plus chargé, plus âgé aussi, n’hésitant pas à poser le pied par terre et pousser son vélo. Ça m’arrange bien, d’être seule maintenant. Je me sens libre de rouler à mon allure. Tout au long du chemin je picore des graines que j’ai mises dans une poche de la sacoche avant (amandes, raisin sec, petites figues, dattes, pignons).

Comme le vol d'un papillon

A Dagneux je visite le cimetière allemand.

 

Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon

Tentative de retranscription de ce panneau …

Sont les grands prédicateurs ... …

Prix Nobel de la paix... …

Service pour l'entretien des sépultures… Sur mandat du gouvernement… Ce cimetière militaire pour les soldats…Seconde Guerre mondiale … à la fin des années 50/début des années 60...

Afin de conserver et entretenir le site le Volksbund a besoin de dons et de subventions. Des jeunes de toute l'Europe contribuent à l'entretien du site dans des camps de jeunesse internationaux et créent ainsi des liens d'entente mutuelle. 

Les Alliés ont débarqué sur la Côte de Provence dans le sud de la France en août 44 et on peut rapidement se frayer un passage vers le nord.    Ils ont contraint les forces faibles de la 19e Armée à se retirer en partie dans les Alpes d’ouest, en partie dans la région.

Volksbund Deutche Krieg

Je suis ensuite une petite route favorable à la pratique du vélo et qui permet d’entrer à Balan par l’ancienne route.

Comme le vol d'un papillon

Je mange à l’ombre sur la place un reste de lentille et de farce de tomates, des tomates cerise de notre jardin et de l’aubergine, puis je fais quelques courses à la petite épicerie. Elle fait aussi bar, j’en profite pour boire un café sur la terrasse. La lavande embaume.

Comme le vol d'un papillon

Un homme à qui je demande quelle est la route la plus agréable me conseille de passer par Chânes, plutôt que d’aller à Saint-Maurice-de-Grourdans, en longeant le camp militaire de La Valbonne, c’est une route droite, monotone et en plein cagnard ! Juste avant la gare de la Valbonne, ce tag et juste après je vois de jeunes trouffions qui s'en vont prendre le train. l'un d'entre eux a un collier fait de dents et de perles. Je l'interroge sur la route à prendre et sa parure. "Je suis des îles". Quelles îles ?Tahiti !  Pas mal de Tahitiens, s'engagent dans l'armée, faute de travail dans les îles. 

Comme le vol d'un papillon

Le camp existe depuis 1872 et est paratagé entre les commune de Balan, Saint- Maurice-de-Gourdans, Béligneux, Pérouges et Saint-Jean-de-Niost pour un total d'environ 1600 hectares. 

Certaines parties du camp semblent très sauvages, touffues, pleines de de buissons. Ailleurs ce sont des champs, visiblement cultivées par des paysans. Et à d'autres endroits il ressemble davantage à l'image que l'on peut se faire d'une telle installation. 

Le site est clasé en zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique, ce qui ne m'étonne pas.

 

Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon

Puis le village de Chânes, sa chapelle et son puits. Plus loin, un serpent, mort. Je fais demi-tour, je me suis égarée. Je retourne à Chânes et demande ma route à une dame en voiture. En fait, j’aurai quasiment fait tout le tour du camp militaire, en en traversant même une partie car il est sillonné de routes où il est passible de passer.

Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon

Finalement, je reviens un peu sur mes roues et bifurque quand même sur Saint-Maurice-de-Gourdans. Je regarde ma carte. Belle voiture, beau mec, bien bronzé au stop. Comme il est cycliste, il m’indique la route la plus sympa à vélo pour traverser l’Ain à Port Galland.

Vers Saint-Jean-de-Niost, le long de la route, je vois pas mal de voitures garées. Je sais que l’Ain n’est pas loin, j’en conclu que des personnes ont dû aller s’y baigner. Dédales de chemins, plus ou moins larges, plus ou moins sableux ou caillouteux, pas toujours cyclables, alors je pousse mon vélo. Je fini par arriver à l’eau. Un homme nu, couché sur une serviette, puis un autre qui vient vers moi en marchant. Il s’enroule dans sa serviette, par pudeur. Un troisième au bord de l’eau. Je demande au premier : « C’est naturiste, ici ? Naturiste… ou naturiste euh … ? ». « Naturiste gay ». « Oh, c’est pas grave, je suis aussi naturiste ! Je viens juste me baigner un peu, je ne reste pas, je ne vous dérangerai pas longtemps ! ». C’est ce que je fais… toute habillée et en sandales de vélo, en plus ! Elle est fraîche ! Je repars comme je suis venue, tranquille. Il m’indique le chemin le plus direct.     

 

 

« Il a surgit de l’ombre de notre nuit ». Le 6 août 1944. Un De Havilland Mosquito PR XVI NS 504 squadron de reconnaissance de la RAF Benson Angleterre été abattu en ces lieux F/Lt John Stanley Jack TOWSEY pilote 29 ans F/O Richard John KINGHAM navigateur 35 ans  Tombés en mission pour notre liberté. Ils appartenaient au Royal Air Force Volonteer Reserve  Nous nous souvenons ».

« Il a surgit de l’ombre de notre nuit ». Le 6 août 1944. Un De Havilland Mosquito PR XVI NS 504 squadron de reconnaissance de la RAF Benson Angleterre été abattu en ces lieux F/Lt John Stanley Jack TOWSEY pilote 29 ans F/O Richard John KINGHAM navigateur 35 ans Tombés en mission pour notre liberté. Ils appartenaient au Royal Air Force Volonteer Reserve Nous nous souvenons ».

En passant dans le village de Blyes, je suis attirée par une belle bâtisse, un ancien prieuré.

 

Comme le vol d'un papillon
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Comme le vol d'un papillon
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« Histoire de lits ? Pour comprendre les mouvements de la rivière dans le temps et dans l’espace, notre histoire commence au moyen-âge.  Pas si tranquille que ça !  Le prieuré de Notre Dame des Anges (bâtiment situé derrière vous) existait déjà en 1136.  A cette époque la rivière coulait ici, à vos pieds.  Les Bénédictines avaient demandé que leur soit construit un monastère « sur le bord de la rivière d’Ain, en une situation assez agréable ».C’est ainsi que le village de Blyes est né.  500 ans plus tard le bâtiment menaçait ruines, et les religieuses se disaient indisposées par les garnisons militaires et… les mariniers ! Importunées, les religieuses demandèrent à partir. En 1636 elles obtinrent l’accord de déménager place Bellecour, à Lyon.  Descendons maintenant dans l’ancien lit du moy
« Histoire de lits ? Pour comprendre les mouvements de la rivière dans le temps et dans l’espace, notre histoire commence au moyen-âge.  Pas si tranquille que ça !  Le prieuré de Notre Dame des Anges (bâtiment situé derrière vous) existait déjà en 1136.  A cette époque la rivière coulait ici, à vos pieds.  Les Bénédictines avaient demandé que leur soit construit un monastère « sur le bord de la rivière d’Ain, en une situation assez agréable ».C’est ainsi que le village de Blyes est né.  500 ans plus tard le bâtiment menaçait ruines, et les religieuses se disaient indisposées par les garnisons militaires et… les mariniers ! Importunées, les religieuses demandèrent à partir. En 1636 elles obtinrent l’accord de déménager place Bellecour, à Lyon.  Descendons maintenant dans l’ancien lit du moy
« Histoire de lits ? Pour comprendre les mouvements de la rivière dans le temps et dans l’espace, notre histoire commence au moyen-âge.  Pas si tranquille que ça !  Le prieuré de Notre Dame des Anges (bâtiment situé derrière vous) existait déjà en 1136.  A cette époque la rivière coulait ici, à vos pieds.  Les Bénédictines avaient demandé que leur soit construit un monastère « sur le bord de la rivière d’Ain, en une situation assez agréable ».C’est ainsi que le village de Blyes est né.  500 ans plus tard le bâtiment menaçait ruines, et les religieuses se disaient indisposées par les garnisons militaires et… les mariniers ! Importunées, les religieuses demandèrent à partir. En 1636 elles obtinrent l’accord de déménager place Bellecour, à Lyon.  Descendons maintenant dans l’ancien lit du moy

« Histoire de lits ? Pour comprendre les mouvements de la rivière dans le temps et dans l’espace, notre histoire commence au moyen-âge. Pas si tranquille que ça ! Le prieuré de Notre Dame des Anges (bâtiment situé derrière vous) existait déjà en 1136. A cette époque la rivière coulait ici, à vos pieds. Les Bénédictines avaient demandé que leur soit construit un monastère « sur le bord de la rivière d’Ain, en une situation assez agréable ».C’est ainsi que le village de Blyes est né. 500 ans plus tard le bâtiment menaçait ruines, et les religieuses se disaient indisposées par les garnisons militaires et… les mariniers ! Importunées, les religieuses demandèrent à partir. En 1636 elles obtinrent l’accord de déménager place Bellecour, à Lyon. Descendons maintenant dans l’ancien lit du moy

Une jeune fille me conseille de tourner à gauche, pour longer vers l’Ain, en direction d’un restaurant. Sur un chemin je rencontre une femme, minijupe, talon haut, bien maquillée. Je lui demande où il est possible de se baigner. Une voix d’homme sort de sa bouche enduite de rouge à lèvres : « Je ne sais pas ». Je continue et vois cette fois un couple, la cinquantaine au bord d’un étang. Ils sont en train de plier bagage car le monsieur retourne au travail. Il est taxi, le matin il emmène des enfants handicapés dans leur établissement et le soir il les redépose chez eux. Ça ne l’occupe pas toute la journée, qu’il passe, tranquille, avec sa femme, depuis des années au bord de cet étang. Ils m’expliquent qu’ici les poissons ne sont vraiment pas sauvages, ils s’approchent effectivement tout près de moi. Je n’ai pas de maillot de bain, je me baigne tout habillée, puis je repars.

Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon
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Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon

Sur le chemin je vois un parcours de pêche « No kill ». Le problème, c’est que j’ai quitté la petite route en suivant ce chemin, et je me retrouve sur une nationale où les camions, très nombreux, foncent comme des fous, faisant un boucan infernal, contrastant avec la nature bucolique et tranquille que je viens de quitter ! Je roule un peu, puis m’arrête, carte à la main. Un homme qui sort d’un chemin, en face, voit mon embarras, s’arrête et sort de son véhicule. Il me dit que je suis quand même un peu obligée de suivre cette route nationale mais, dès que j’ai traversé le pont je tourne à droite, ce sera plus calme même si la route est large.

J’arrive à Charnoz puis je traverse une Z.A.C. Je vois une dame, à pied, ici, au milieu de nulle part. Pas de maison d’habitation, la nature, des champs, des usines et des entreprises artisanales. Elle est à la recherche de Rentacar car elle veut louer une voiture. Mais d’où sort cette femme ? Comment est-elle arrivée là, ou qui l’a déposée ? Poursuivant ma route je ne verrai jamais cette entreprise de location de véhicule ! Préoccupée par cette apparition, et l’esprit d’escalier faisant son chemin je me suis demandé si elle n’était pas un petit peu « dérangée » car sinon, pourquoi ne les appelle-t-elle pas pour leur demander de venir, tout simplement la chercher !? Un vrai mystère.

Puis je trouve une piste cyclable pour entrer dans Meximieux. Je mets le GPS sur mon téléphone pour arriver chez Sophie Rotteleur. Ça monte sec pour aller chez elle ! Je pose pied à terre et pousse un peu le vélo. Puis je m’aperçois que j’ai fait une petite erreur. Demi-tour ! Ça ne monte pas tant que ça. Elle habite dans la partie ancienne de la ville. Un vieux puits trône à côté de son entrée. Elle m’a prévenue : elle et son compagnon sont en télétravail et ils partent ensuite avec leurs enfants en week-end dans les Vosges pour un anniversaire, me laissant la maison. La confiance règne, c’est ça avec les warmshower !... Leur fils arrive, il revient d’une ballade sur un roue électrique, son nouveau joujou, il a fait une petite chute ; je ne verrai pas leur fille, ils partent directement la chercher. L’orage tonne, son compagnon ouvre le canapé lit, ce soir je ne dormirai pas sous la toile de tente ! Ils sont pourtant débordés par le télétravail et leurs préparatifs ! Elle me donne les dernières consignes, par exemple où cacher la clé en partant.   

Ce soir je mange un demi-litre de soupe minestrone que je fais cuire (je finirai le reste demain au petit-déjeuner), le mélange précuit de céréales et de soja imitant la viande à merveille. En dessert je fais cuire le brugnon, pas mûr, dur comme du bois ! Le fruit a attaché à la casserole, je la nettoie, ainsi que la (petite) vaisselle qu’ils ont laissée : un plat à gâteau qu’ils avaient mis à tremper. 

Mes hôtes sont sans doute profs ou musiciens (guitare, piano, micro, accordéon), et amateurs de littérature (Fred Vargas, Rimbaud, OuLiPo, bouquins de philo et d’allemand). Un peu écolo aussi, à en croire les éponges tissées et le poêle à bois. Le jardin est grand, avec petit potager, poulailler, clapier, boutasse, cabane dans un arbre, balançoire, bac à sable. Ils ont aussi un chat. Tiens au fait, je n’ai pas vu où ils rangent leurs vélos !

Je me couche tôt, à 8h je suis au lit, je lis un peu une BD vraiment très bien et m’endors. 21h40, mon téléphone sonne et me réveille. « On a oublié de donner à boire aux poules ! Si vous pouviez, … ». « Oui, demain… ». Ils ne se sont pas rendu compte de l’heure ni qu’ils pouvaient me réveiller. « Et vous faites quoi, comme travail ? » Il crée des sites internet, elle travaille dans les relations internationales pour une école.

Comme le vol d'un papillon

Elle habite dans la partie ancienne de la ville. Un vieux puits trône à côté de son entrée. Elle m’a prévenue : elle et son compagnon sont en télétravail et ils partent ensuite avec leurs enfants en week-end dans les Vosges pour un anniversaire, me laissant la maison. La confiance règne, c’est ça avec les warmshower !... Leur fils arrive, il revient d’une ballade sur un roue électrique, son nouveau joujou, il a fait une petite chute ; je ne verrai pas leur fille, ils partent directement la chercher. L’orage tonne, son compagnon ouvre le canapé lit, ce soir je ne dormirai pas sous la toile de tente ! Ils sont pourtant débordés par le télétravail et leurs préparatifs ! Elle me donne les dernières consignes, par exemple où cacher la clé en partant.   

Ce soir je mange un demi-litre de soupe minestrone que je fais cuire (je finirai le reste demain au petit-déjeuner), le mélange précuit de céréales et de soja imitant la viande à merveille. En dessert je fais cuire le brugnon, pas mûr, dur comme du bois ! Le fruit a attaché à la casserole, je la nettoie, ainsi que la (petite) vaisselle qu’ils ont laissée : un plat à gâteau qu’ils avaient mis à tremper. 

Mes hôtes sont sans doute profs ou musiciens (guitare, piano, micro, accordéon), et amateurs de littérature (Fred Vargas, Rimbaud, OuLiPo, bouquins de philo et d’allemand). Un peu écolo aussi, à en croire les éponges tissées et le poêle à bois. Le jardin est grand, avec petit potager, poulailler, clapier, boutasse, cabane dans un arbre, balançoire, bac à sable. Ils ont aussi un chat. Tiens au fait, je n’ai pas vu où ils rangent leurs vélos !

Je me couche tôt, à 8h je suis au lit, je lis un peu une BD vraiment très bien et m’endors. 21h40, mon téléphone sonne et me réveille. « On a oublié de donner à boire aux poules ! Si vous pouviez, … ». « Oui, demain… ». Ils ne se sont pas rendu compte de l’heure ni qu’ils pouvaient me réveiller. « Et vous faites quoi, comme travail ? » Il crée des sites internet, elle travaille dans les relations internationales pour une école.

Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon

Samedi 11 juillet

Départ 7h38. En traversant le village de Gévrieux, je laisse Villars-les-Dombes à gauche (à 21 km) où habitent nos amis de la famille Canard et Ambérieux (à 8 km), prochain lieu de travail de Pauline.

 

Bublane,  petit manoir à quatre tours

Bublane,  petit manoir à quatre tours

A Priay je m’arrête chez un marchand d’articles de pêche et lui demande (gentiment !) s’il peut remplir mon bidon. « Je n’ai pas d’eau ». Et moi : « Vous n’allez pas aux toilettes ? ». « Vous êtes agressive ! Les W.C c’est chez moi, et là je suis sur mon ordinateur ! ». Si j’avais été une cliente, il se serait levé, m’aurait servi. Laisse tomber ! Je vais rempli mes bidons juste en face, au cimetière, les morts ne disent pas de vilains mots. Sur la place, un vélo géant. Le tour de France serait-il passé par là ?

Comme le vol d'un papillon

Et une drôle de maison, décorée de coquillages.

Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon

A Neuville-sur-Ain, des maisons, comme suspendues au-dessus du vide. Je veux longer la rive est pour aller à Challes puis aller Hautecourt-Romanèche, mais on m’envoie sur la rive ouest, sur un autre Challes, Challes-la-Montagne. Au début je longe l’autoroute, c’est pénible, ce bruit, en contrebas ! Puis ça commence à grimper… et c’est très beau, je marche un peu à côté du vélo. Je vois une fraise, puis un écureuil. Les écureuils mangent-ils des fraises ? Le nom de ce village n'est pas usurpé ! Je passe à Bôches, un village vigneron, mais pas à Lallement que j’avais pourtant repéré sur la carte. Arrivée à Challes-la-Montagne, je contourne la mairie, sous un auvent est remisée une antiquité : une pompe à incendie à bras, manuelle. Ça ferait le bonheur d’un brocanteur ! Je vais m’installer à l’ombre, derrière la mairie pour manger le reste de céréales achetées déjà cuites, sous vide, ½ tomate, de la soupe miso instantanée, du maquereau en boîte, du pain et de la confiture et je finis par un café. Je me permets une petite sieste. Puis Je laisse mes affaires et part faire la vaisselle un peu plus loin, au jeu de boules devant lequel je suis passée juste avant. J’avais repéré les toilettes, mais elles sont fermées. Maudit corona !

Comme le vol d'un papillon

Je veux longer la rive est pour aller à Challes puis aller Hautecourt-Romanèche, mais on m’envoie sur la rive ouest, sur un autre Challes, Challes-la-Montagne. Au début je longe l’autoroute, c’est pénible, ce bruit, en contrebas ! Puis ça commence à grimper… et c’est très beau, je marche un peu à côté du vélo. Je vois une fraise, puis un écureuil. Les écureuils mangent-ils des fraises ?

Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon

Le nom de ce village n'est pas usurpé ! Je passe à Bôches, un village vigneron, mais pas à Lallement que j’avais pourtant repéré sur la carte. Arrivée à Challes-la-Montagne, je contourne la mairie, sous un auvent est remisée une antiquité : une pompe à incendie à bras, manuelle. Ça ferait le bonheur d’un brocanteur ! Je vais m’installer à l’ombre, derrière la mairie pour manger le reste de céréales achetées déjà cuites, sous vide, ½ tomate, de la soupe miso instantanée, du maquereau en boîte, du pain et de la confiture et je finis par un café. Je me permets une petite sieste. Puis Je laisse mes affaires et part faire la vaisselle un peu plus loin, au jeu de boules devant lequel je suis passée juste avant. J’avais repéré les toilettes, mais elles sont fermées. Maudit corona !

Comme le vol d'un papillon
Pauvre pompe à incendie à l'abandon, couverte de poussière ! Pompe... origine du mot... pompier !

Pauvre pompe à incendie à l'abandon, couverte de poussière ! Pompe... origine du mot... pompier !

Poulie, pour démultiplier la force humaine et monter le foin au grenier.

Poulie, pour démultiplier la force humaine et monter le foin au grenier.

Je reprends la route, qui descend vers les gorges de l’Ain vers Merpuis,  puis Serrière.

Comme le vol d'un papillon
Un pont, bel ouvrage d’art.

Un pont, bel ouvrage d’art.

Comme le vol d'un papillon

C’est très agréable ce petit vent, même s’il vient de face. Un papillon citron, un bourdon, le délicat bleuet, l’éclatant œillet de poète. Les sonnailles des vaches. Un pont, bel ouvrage d’art. Bienvenue dans le Haut Bugey !  

Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon

Le viaduc de Cizé-Bolozon, une voie en haut, une autre en bas, impressionnant.

Comme le vol d'un papillon

La pêche est interdite, réserve d’Etat.

Barrage EDF

Barrage EDF

Drôle de truc : « Citerne souple travaillant l’aspiration ».

A Bombois, un office de tourisme tenu par un drôle de bonhomme, Jean-Paul, un « autochtone », comme il le dit lui-même. Il a créé la maison de l’Ain tout seul, d’une manière totalement indépendante par rapport à la mairie. Il a de la documentation fournie par la région et d’autres sources et vit sans aucune subvention. Il a des photos, des tas de choses qu’il a acquises par lui-même, mais surtout il a un projet : créer un musée de l’automobile, des phéniciens (véridique ! Enfin, il part de l’invention de la roue) à aujourd’hui. Il est à la retraite, a toujours vécu avec sa mère. Elle tenait le resto dans le haut de la maison et lui, était propriétaire d’un garage. C’est dans ce garage qu’il veut installer toutes les photos et la documentation de toutes les voitures qu’il a en sa possession. Un rêve fou ! Il est intarissable et je dois insister pour lui dire que je pars, que je ne peux pas rester à l’écouter tout l’après-midi… Il me conseille de passer à Thoirette puis à Corveissiat et de passer par l’Abbaye de Selignac, très belle et de suivre la vallée du Suran (Saint-Julien, Chavanne-sur-Suran) parce que c’est beau.

Photo d’une petite cascade, un peu plus loin, rafraîchissante pour les yeux avant Granges. Puis fontaine lavoir dans le village.

Comme le vol d'un papillon

A Bonbois, un office de tourisme tenu par un drôle de bonhomme, Jean-Paul, un « autochtone », comme il le dit lui-même. Il a créé la maison de l’Ain tout seul, d’une manière totalement indépendante par rapport à la mairie. Il a de la documentation fournie par la région et d’autres sources et vit sans aucune subvention. Il a des photos, des tas de choses qu’il a acquises par lui-même, mais surtout il a un projet : créer un musée de l’automobile, des phéniciens (véridique ! Enfin, il part de l’invention de la roue) à aujourd’hui. Il est à la retraite, a toujours vécu avec sa mère. Elle tenait le resto dans le haut de la maison et lui, était propriétaire d’un garage. C’est dans ce garage qu’il veut installer toutes les photos et la documentation de toutes les voitures qu’il a en sa possession. Un rêve fou ! Il est intarissable et je dois insister pour lui dire que je pars, que je ne peux pas rester à l’écouter tout l’après-midi… Il me conseille de passer à Thoirette puis à Corveissiat et de passer par l’Abbaye de Selignac, très belle et de suivre la vallée du Suran (Saint-Julien, Chavanne-sur-Suran) parce que c’est beau.

Une fois passé le pont, on change de département, c’est Thoirette.

Comme le vol d'un papillon

Un petit restaurant pizzeria bar café nommé Le Pont, (ou, selon le reçu de la carte bancaire L’Ain contournable, ce qui est nettement plus spirituel) dominant l’Ain, me tend sa terrasse et ses tables. J’ai très envie de boire un verre de Cerdon, mais nous ne sommes plus dans l’Ain mais le Jura, et il faut que je paie la bouteille, 24€, alors finalement je bois un coca Jura, de la marque Rouget de l’Isle, un brasseur apparemment bien connu ici et comme c’est l’heure du gouter (il est 16h08), je mange un financier aux fruits rouges, excellent ! Pour seulement 9,50€ Des dames, au bar, dont une qui fait du vélo me déconseille de suivre la route que m’a recommandée le monsieur car il y a trop de voitures. Alors, après Corveissiat, je ne sais pas. Montagnat ? Ça monte beaucoup ? Je m’arrête au supermarché Carrefour de Thoirette faire quelques provisions.  

Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon

Heureusement qu’il y a de l’ombre dans la montée, ça en atténue la difficulté mais quand je longe les rochers sur lesquels se réverbère le soleil, il fait aussi chaud qu’en Corse !

Ce soir je dors à Corveissiat chef-lieu du département de l’Ain, à une altitude de 460 mètres.

Village sans âme mais où Chantal, (« Vous n’auriez pas un bout de jardin où planter ma tente ? ») une dame au grand cœur m’a ouvert la porte de son jardin et de sa buanderie, sans chichi. Elles sont très surprenantes, toutes les deux, sa mère et elle : assises, elles jouent aux dominos, même peignoir fuchsia sur le dos, si bien que j’ai cru qu’il y avait une piscine ! En fait il y a bien un bassin avec des plantes et peut-être aussi des poissons. Je ne peux que laisser mon vélo à côté du portail. Elles sont en plein travaux d’isolation extérieure de la maison et la cour et une partie du jardin sont envahis de matériaux. Elles sont deux petits chiens qui aboient dès qu’ils me voient. Et le seul son que j’ai entendu de la bouche de la vieille dame sont ses cris pour demander à son chien d’arrêter d’aboyer ! Toute seule Chantal, très costaud, déplace l’échafaudage alors même qu’il ne me dérangeait pas… me dit que je peux m’installer où je veux. Il y a des fils pour étendre le linge, une table et des fauteuils de jardin. Dans la buanderie, au sous-sol, un évier et des prises pour recharger les batteries de mon appareil photo et de mon téléphone. Elle fermera la buanderie dans la soirée. Je monte ma tente et Je trouve un caca de chien dans le jardin, pas très loin de ma tente… ! Toilette de chat, petite lessive. Le soleil et le vent, tout sera vite sec !  Je n’ose pas demander où sont les toilettes.

Chantal a un accent. D’ici ? Non, de Genève ! Elle en avait marre de cette ville. Elle est tranquille dans ce village et n’est pas si loin de Bourg-en-Bresse ou d’Oyonnax pour aller faire ses courses. C’est elle et son fils qui isolent la maison.    

Mon repas du soir : pâté en croûte du supermarché, excellent, céréales cuites. C’est elle, un peu plus tard qui me montre le chemin, en passant par le sous-sol pour monter chez elle et les toilettes. Peut-être est-elle rassurée sur ma personne. Et elle me dit qu’elle laissera la buanderie ouverte (finalement ! ...).   

Je me réveille à 21h30, je monte faire un petit pipi, et je retourne me coucher dans la tente. A deux heures du matin j’ai vraiment très froid. Je n’ai pas mis le foulard ni les chaussettes ni la veste, hier il faisait si chaud, je n’aurai pas cru que la nuit serait fraîche comme ça. Heureusement que la buanderie était ouverte ! j’ai fait peur au chat qui y dormait. Je me suis fait un matelas avec les coussins de fauteuils de jardin et j’ai fini la nuit au chaud.       

 

12 juillet Je me réveille à 6h30, j’essaie de faire le moins de bruit possible. En partant je re-lève le nom de mes hôtes sur la boîte aux lettres pour leur envoyer un livre en re-merciement de leur gentillesse. Souza Santos. Ah ! voilà pourquoi ils savent si bien isoler leur maison ; un cliché ? Voilà une pompe bien mise en valeur ! Aromas, une autre pompe à bras, bien mise en valeur, celle-là ! Panneau : « Ancien mandement du château de Montdidier. Le Bourg de la commune compte sept hameaux. Sa mairie, son groupe scolaire, sa médiathèque, sa salle des fêtes, son plateau sportif, son stade de foot, son terrain de tennis et son restaurant dynamisent la commune.
12 juillet Je me réveille à 6h30, j’essaie de faire le moins de bruit possible. En partant je re-lève le nom de mes hôtes sur la boîte aux lettres pour leur envoyer un livre en re-merciement de leur gentillesse. Souza Santos. Ah ! voilà pourquoi ils savent si bien isoler leur maison ; un cliché ? Voilà une pompe bien mise en valeur ! Aromas, une autre pompe à bras, bien mise en valeur, celle-là ! Panneau : « Ancien mandement du château de Montdidier. Le Bourg de la commune compte sept hameaux. Sa mairie, son groupe scolaire, sa médiathèque, sa salle des fêtes, son plateau sportif, son stade de foot, son terrain de tennis et son restaurant dynamisent la commune.

12 juillet Je me réveille à 6h30, j’essaie de faire le moins de bruit possible. En partant je re-lève le nom de mes hôtes sur la boîte aux lettres pour leur envoyer un livre en re-merciement de leur gentillesse. Souza Santos. Ah ! voilà pourquoi ils savent si bien isoler leur maison ; un cliché ? Voilà une pompe bien mise en valeur ! Aromas, une autre pompe à bras, bien mise en valeur, celle-là ! Panneau : « Ancien mandement du château de Montdidier. Le Bourg de la commune compte sept hameaux. Sa mairie, son groupe scolaire, sa médiathèque, sa salle des fêtes, son plateau sportif, son stade de foot, son terrain de tennis et son restaurant dynamisent la commune.

Un beau champ fauché de frais ! Un blaireau (ou un marcassin ?) mort, sur la route. Chardon et fil barbelé, mêmes épines.  Arnans par la route de la combe, ça grimpe plus que sévèrement !! Même pousser le vélo est difficile !  Avant la Révolution, Arnans était une communauté du bailliage, élection et subdélégation de Bourg. Elle appartenait au mandement et à la justice d'appel de Treffort. Le 4 juin 1964, la commune est absorbée par Corveissiat.

Un beau champ fauché de frais ! Un blaireau (ou un marcassin ?) mort, sur la route. Chardon et fil barbelé, mêmes épines. Arnans par la route de la combe, ça grimpe plus que sévèrement !! Même pousser le vélo est difficile ! Avant la Révolution, Arnans était une communauté du bailliage, élection et subdélégation de Bourg. Elle appartenait au mandement et à la justice d'appel de Treffort. Le 4 juin 1964, la commune est absorbée par Corveissiat.

Entre Arnans et Aromas je vois un lapin sur la route, aussi gros que ceux qui sont dans les cages, chez Roger. Il part en trottant tranquillement puis, plus haut je le revois sur un chemin parallèle à la route. Il court sur le sentier, ma route descend. On fait la course ? Je vais plus vite que toi ! J’ai gagné ! Il s’arrête, vexé… Un blaireau (ou un marcassin ?) mort, sur la route.  Chardon et fil barbelé, mêmes épines.

Entre Arnans et Aromas je vois un lapin sur la route, aussi gros que ceux qui sont dans les cages, chez Roger. Il part en trottant tranquillement puis, plus haut je le revois sur un chemin parallèle à la route. Il court sur le sentier, ma route descend. On fait la course ? Je vais plus vite que toi ! J’ai gagné ! Il s’arrête, vexé… Un blaireau (ou un marcassin ?) mort, sur la route. Chardon et fil barbelé, mêmes épines.

A Charnod une fontaine et un peu plus loin un chaton dort sur la route, au risque de se faire écraser. Une petite coquille d’œuf, toute blanche, comme ce chaton, fra-giles et vulnérables tous deux. Panneau : « Ancien mandement du château de Montgefond, une très jolie église restaurée mérite votre visite (sur demande). Faites le tour de tous Ses quartiers et découvrez les fontaines. Vous trouverez une belle demeure bourgeoise appelée « Le château » et au centre du village admirez la pe-tite tour d’un logis seigneurial du XVe siècle ». Marsonnas. Panneau : « Village plus connu pour « Notre maison », cet ancien cou-vent du Sacré-cœur, est devenu un important centre accueillant des personnes en situation de handicap, il possède également un EHPAD. Le village s’est agrandi d’un lotissement ».

A Charnod une fontaine et un peu plus loin un chaton dort sur la route, au risque de se faire écraser. Une petite coquille d’œuf, toute blanche, comme ce chaton, fra-giles et vulnérables tous deux. Panneau : « Ancien mandement du château de Montgefond, une très jolie église restaurée mérite votre visite (sur demande). Faites le tour de tous Ses quartiers et découvrez les fontaines. Vous trouverez une belle demeure bourgeoise appelée « Le château » et au centre du village admirez la pe-tite tour d’un logis seigneurial du XVe siècle ». Marsonnas. Panneau : « Village plus connu pour « Notre maison », cet ancien cou-vent du Sacré-cœur, est devenu un important centre accueillant des personnes en situation de handicap, il possède également un EHPAD. Le village s’est agrandi d’un lotissement ».

A Charnod une fontaine et un peu plus loin un chaton dort sur la route, au risque de se faire écraser. Une petite coquille d’œuf, toute blanche, comme ce chaton, fragiles et vulnérables tous deux. Panneau : « Ancien mandement du château de Montgefond, une très jolie église restaurée mérite votre visite (sur demande). Faites le tour de tous Ses quartiers et découvrez les fontaines. Vous trouverez une belle demeure bourgeoise appelée « Le château » et au centre du village admirez la petite tour d’un logis seigneurial du XVe siècle ».  Villeneuve-lès-Charnod. Panneau : commune rattachée à Aromas en 2017. Ses habitants y maintiennent les activités de leur foyer rural et les traditions du village avec une salle des fêtes accueillante et un abri pique-nique.
A Charnod une fontaine et un peu plus loin un chaton dort sur la route, au risque de se faire écraser. Une petite coquille d’œuf, toute blanche, comme ce chaton, fragiles et vulnérables tous deux. Panneau : « Ancien mandement du château de Montgefond, une très jolie église restaurée mérite votre visite (sur demande). Faites le tour de tous Ses quartiers et découvrez les fontaines. Vous trouverez une belle demeure bourgeoise appelée « Le château » et au centre du village admirez la petite tour d’un logis seigneurial du XVe siècle ».  Villeneuve-lès-Charnod. Panneau : commune rattachée à Aromas en 2017. Ses habitants y maintiennent les activités de leur foyer rural et les traditions du village avec une salle des fêtes accueillante et un abri pique-nique.
A Charnod une fontaine et un peu plus loin un chaton dort sur la route, au risque de se faire écraser. Une petite coquille d’œuf, toute blanche, comme ce chaton, fragiles et vulnérables tous deux. Panneau : « Ancien mandement du château de Montgefond, une très jolie église restaurée mérite votre visite (sur demande). Faites le tour de tous Ses quartiers et découvrez les fontaines. Vous trouverez une belle demeure bourgeoise appelée « Le château » et au centre du village admirez la petite tour d’un logis seigneurial du XVe siècle ».  Villeneuve-lès-Charnod. Panneau : commune rattachée à Aromas en 2017. Ses habitants y maintiennent les activités de leur foyer rural et les traditions du village avec une salle des fêtes accueillante et un abri pique-nique.
A Charnod une fontaine et un peu plus loin un chaton dort sur la route, au risque de se faire écraser. Une petite coquille d’œuf, toute blanche, comme ce chaton, fragiles et vulnérables tous deux. Panneau : « Ancien mandement du château de Montgefond, une très jolie église restaurée mérite votre visite (sur demande). Faites le tour de tous Ses quartiers et découvrez les fontaines. Vous trouverez une belle demeure bourgeoise appelée « Le château » et au centre du village admirez la petite tour d’un logis seigneurial du XVe siècle ».  Villeneuve-lès-Charnod. Panneau : commune rattachée à Aromas en 2017. Ses habitants y maintiennent les activités de leur foyer rural et les traditions du village avec une salle des fêtes accueillante et un abri pique-nique.
A Charnod une fontaine et un peu plus loin un chaton dort sur la route, au risque de se faire écraser. Une petite coquille d’œuf, toute blanche, comme ce chaton, fragiles et vulnérables tous deux. Panneau : « Ancien mandement du château de Montgefond, une très jolie église restaurée mérite votre visite (sur demande). Faites le tour de tous Ses quartiers et découvrez les fontaines. Vous trouverez une belle demeure bourgeoise appelée « Le château » et au centre du village admirez la petite tour d’un logis seigneurial du XVe siècle ».  Villeneuve-lès-Charnod. Panneau : commune rattachée à Aromas en 2017. Ses habitants y maintiennent les activités de leur foyer rural et les traditions du village avec une salle des fêtes accueillante et un abri pique-nique.
A Charnod une fontaine et un peu plus loin un chaton dort sur la route, au risque de se faire écraser. Une petite coquille d’œuf, toute blanche, comme ce chaton, fragiles et vulnérables tous deux. Panneau : « Ancien mandement du château de Montgefond, une très jolie église restaurée mérite votre visite (sur demande). Faites le tour de tous Ses quartiers et découvrez les fontaines. Vous trouverez une belle demeure bourgeoise appelée « Le château » et au centre du village admirez la petite tour d’un logis seigneurial du XVe siècle ».  Villeneuve-lès-Charnod. Panneau : commune rattachée à Aromas en 2017. Ses habitants y maintiennent les activités de leur foyer rural et les traditions du village avec une salle des fêtes accueillante et un abri pique-nique.
A Charnod une fontaine et un peu plus loin un chaton dort sur la route, au risque de se faire écraser. Une petite coquille d’œuf, toute blanche, comme ce chaton, fragiles et vulnérables tous deux. Panneau : « Ancien mandement du château de Montgefond, une très jolie église restaurée mérite votre visite (sur demande). Faites le tour de tous Ses quartiers et découvrez les fontaines. Vous trouverez une belle demeure bourgeoise appelée « Le château » et au centre du village admirez la petite tour d’un logis seigneurial du XVe siècle ».  Villeneuve-lès-Charnod. Panneau : commune rattachée à Aromas en 2017. Ses habitants y maintiennent les activités de leur foyer rural et les traditions du village avec une salle des fêtes accueillante et un abri pique-nique.

A Charnod une fontaine et un peu plus loin un chaton dort sur la route, au risque de se faire écraser. Une petite coquille d’œuf, toute blanche, comme ce chaton, fragiles et vulnérables tous deux. Panneau : « Ancien mandement du château de Montgefond, une très jolie église restaurée mérite votre visite (sur demande). Faites le tour de tous Ses quartiers et découvrez les fontaines. Vous trouverez une belle demeure bourgeoise appelée « Le château » et au centre du village admirez la petite tour d’un logis seigneurial du XVe siècle ». Villeneuve-lès-Charnod. Panneau : commune rattachée à Aromas en 2017. Ses habitants y maintiennent les activités de leur foyer rural et les traditions du village avec une salle des fêtes accueillante et un abri pique-nique.

Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon
Saint-Julien-sur-Suran et cette maison au joli petit toit rond, son église.
Saint-Julien-sur-Suran et cette maison au joli petit toit rond, son église.

Saint-Julien-sur-Suran et cette maison au joli petit toit rond, son église.

Panneau : « Le bourg domine la vallée. L'église possède les plus anciens vitraux de Franche-Comté ». Panneau : « Petite Montagne. Vallée du Suran. Le Suran parcours 72 km avant de se jeter dans l'Ain. A Varambon il dessine une vallée verdoyante parsemée de villages ».
Panneau : « Le bourg domine la vallée. L'église possède les plus anciens vitraux de Franche-Comté ». Panneau : « Petite Montagne. Vallée du Suran. Le Suran parcours 72 km avant de se jeter dans l'Ain. A Varambon il dessine une vallée verdoyante parsemée de villages ».
Panneau : « Le bourg domine la vallée. L'église possède les plus anciens vitraux de Franche-Comté ». Panneau : « Petite Montagne. Vallée du Suran. Le Suran parcours 72 km avant de se jeter dans l'Ain. A Varambon il dessine une vallée verdoyante parsemée de villages ».

Panneau : « Le bourg domine la vallée. L'église possède les plus anciens vitraux de Franche-Comté ». Panneau : « Petite Montagne. Vallée du Suran. Le Suran parcours 72 km avant de se jeter dans l'Ain. A Varambon il dessine une vallée verdoyante parsemée de villages ».

Au lieu-dit La rivière, à Saint-Julien-sur-Suran je m’arrête à10h16 à la coopérative fruitière acheter du comté. Je ne prends que le plus petit des morceaux, mais il quand même bien assez gros ! Et une carte postale pour ma maman. 6 € 36 le tout.

Au lieu-dit La rivière, à Saint-Julien-sur-Suran je m’arrête à10h16 à la coopérative fruitière acheter du comté. Je ne prends que le plus petit des morceaux, mais il quand même bien assez gros ! Et une carte postale pour ma maman. 6 € 36 le tout.

Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon
Une petite faim. Pique-nique dans un pré, sur la couverture de survie (merci Jac-queline, collègue conseillère en ESF qui me l’avait offerte, sachant que je bourlin-guais un peu sur les routes de France). Les herbes du champ fauché sont humides et piquent un peu. Le comté est excellent ! Le pré est situé à la fourche entre deux routes, les automobilistes et les motards sont nombreux à m’encourager du regard !  Une demi-tomate, le reste de céréales, des sardines, du pain ; le comté est excel-lent !
Une petite faim. Pique-nique dans un pré, sur la couverture de survie (merci Jac-queline, collègue conseillère en ESF qui me l’avait offerte, sachant que je bourlin-guais un peu sur les routes de France). Les herbes du champ fauché sont humides et piquent un peu. Le comté est excellent ! Le pré est situé à la fourche entre deux routes, les automobilistes et les motards sont nombreux à m’encourager du regard !  Une demi-tomate, le reste de céréales, des sardines, du pain ; le comté est excel-lent !

Une petite faim. Pique-nique dans un pré, sur la couverture de survie (merci Jac-queline, collègue conseillère en ESF qui me l’avait offerte, sachant que je bourlin-guais un peu sur les routes de France). Les herbes du champ fauché sont humides et piquent un peu. Le comté est excellent ! Le pré est situé à la fourche entre deux routes, les automobilistes et les motards sont nombreux à m’encourager du regard ! Une demi-tomate, le reste de céréales, des sardines, du pain ; le comté est excel-lent !

Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon
Andelot-Morval, juste après le château, cette curieuse fontaine

Andelot-Morval, juste après le château, cette curieuse fontaine

Thoissia ce joli petit jardinier en bois.

Thoissia ce joli petit jardinier en bois.

Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon
Saint-Amour un amour de jolie ville ! Très ancienne si j’en crois cette dalle incrustée dans le mur : « L’enfant jésus est fondateur de ce monastère commencé ce 22 sep-tembre 1679 ».  Je demande mon chemin à deux jeunes filles, une sur la place, où trône cette drôle de maison recouverte de bardeaux de bois (« Bienvenue à la station de Saint-Amour ». Humour, station de ski ?) puis, plus loin, à une autre car je ne suis pas sûre de ma route.
Saint-Amour un amour de jolie ville ! Très ancienne si j’en crois cette dalle incrustée dans le mur : « L’enfant jésus est fondateur de ce monastère commencé ce 22 sep-tembre 1679 ».  Je demande mon chemin à deux jeunes filles, une sur la place, où trône cette drôle de maison recouverte de bardeaux de bois (« Bienvenue à la station de Saint-Amour ». Humour, station de ski ?) puis, plus loin, à une autre car je ne suis pas sûre de ma route.
Saint-Amour un amour de jolie ville ! Très ancienne si j’en crois cette dalle incrustée dans le mur : « L’enfant jésus est fondateur de ce monastère commencé ce 22 sep-tembre 1679 ».  Je demande mon chemin à deux jeunes filles, une sur la place, où trône cette drôle de maison recouverte de bardeaux de bois (« Bienvenue à la station de Saint-Amour ». Humour, station de ski ?) puis, plus loin, à une autre car je ne suis pas sûre de ma route.

Saint-Amour un amour de jolie ville ! Très ancienne si j’en crois cette dalle incrustée dans le mur : « L’enfant jésus est fondateur de ce monastère commencé ce 22 sep-tembre 1679 ». Je demande mon chemin à deux jeunes filles, une sur la place, où trône cette drôle de maison recouverte de bardeaux de bois (« Bienvenue à la station de Saint-Amour ». Humour, station de ski ?) puis, plus loin, à une autre car je ne suis pas sûre de ma route.

Je m’arrête dans un bar-restaurant boire un café. Le patron ne collectionne que les maillots de champions de vélo et aussi de rugby. Très sympas les bonhommes qui sont là ! Il y en a qui dit d’un autre, plus vieux, avec qui il mange des moules (pas la spécialité du coin, mais bon !) : « On l’a sorti de sa maison de retraite ! » C’est vrai qu’il n’arrête pas de dire des bêtises. Il me dit que je suis jolie, à son goût, il me propose de boire du vin, un rhum. Comme d’habitude, je regarde ma carte et comme d’habitude une personne me demande où je veux aller… En l’occurrence, le copain de celui qui raconte des blagues. Il m’indique un raccourci : il s’agit de passer sous la voie ferrée. Quand je pars, le papy me dit « Au revoir, bisous ! », bref.

Je m’arrête dans un bar-restaurant boire un café. Le patron ne collectionne que les maillots de champions de vélo et aussi de rugby. Très sympas les bonhommes qui sont là ! Il y en a qui dit d’un autre, plus vieux, avec qui il mange des moules (pas la spécialité du coin, mais bon !) : « On l’a sorti de sa maison de retraite ! » C’est vrai qu’il n’arrête pas de dire des bêtises. Il me dit que je suis jolie, à son goût, il me propose de boire du vin, un rhum. Comme d’habitude, je regarde ma carte et comme d’habitude une personne me demande où je veux aller… En l’occurrence, le copain de celui qui raconte des blagues. Il m’indique un raccourci : il s’agit de passer sous la voie ferrée. Quand je pars, le papy me dit « Au revoir, bisous ! », bref.

Ok, j’y vais, mais je reviens très vite les voir, je n’ai pas trouvé. Il m’explique mieux, et là, je vous laisse regarder la photo : vertigineux ! Il y a bien une rigole pour faire rouler le vélo… Impossible. Je manque perdre l’équilibre, et même de lâcher le vélo. Mes genoux souffrent. Et à la remontée, c’est presque pire, le guidon me rentre dans la chair, je n’exagère pas. Ouf ! une fois de l’autre côté, ça va !

Ok, j’y vais, mais je reviens très vite les voir, je n’ai pas trouvé. Il m’explique mieux, et là, je vous laisse regarder la photo : vertigineux ! Il y a bien une rigole pour faire rouler le vélo… Impossible. Je manque perdre l’équilibre, et même de lâcher le vélo. Mes genoux souffrent. Et à la remontée, c’est presque pire, le guidon me rentre dans la chair, je n’exagère pas. Ouf ! une fois de l’autre côté, ça va !

Après Saint-Amour, un bouc sorti d’une ferme vagabonde un moment sur la route, puis, passant sous le barbelé, rejoint un champ. Etonnant ! A Beaupont Route de l’orphelinat

Après Saint-Amour, un bouc sorti d’une ferme vagabonde un moment sur la route, puis, passant sous le barbelé, rejoint un champ. Etonnant ! A Beaupont Route de l’orphelinat

Saint-Nizier-le-Bouchoux, Dans cette région, les maisons traditionnelles en briques, à colombage sont très belles. Statue du soldat.

Saint-Nizier-le-Bouchoux, Dans cette région, les maisons traditionnelles en briques, à colombage sont très belles. Statue du soldat.

Comme le vol d'un papillon
Dans cette région, les maisons traditionnelles en briques, à colombage sont très belles.  Statue d'un soldat.
Dans cette région, les maisons traditionnelles en briques, à colombage sont très belles.  Statue d'un soldat.
Dans cette région, les maisons traditionnelles en briques, à colombage sont très belles.  Statue d'un soldat.

Dans cette région, les maisons traditionnelles en briques, à colombage sont très belles. Statue d'un soldat.

Surprenant, ce calicot, ces ficelles et ces cartons de bières sur cette maison…

Surprenant, ce calicot, ces ficelles et ces cartons de bières sur cette maison…

Grande route toute droite à double sens et montagnes russes : ça monte fort, redescend aussi sec, en plein cagnard ! Quelle chaleur !

Grande route toute droite à double sens et montagnes russes : ça monte fort, redescend aussi sec, en plein cagnard ! Quelle chaleur !

Tiens, drôle de nom pour un si petit chien : Thyrex ! Ou j’ai mal entendu ?

Tiens, drôle de nom pour un si petit chien : Thyrex ! Ou j’ai mal entendu ?

Après Saint-Triviers-de-Courte, ses belles maisons, en particuliers sa mairie, la route continue, toujours aussi rectiligne. N’y a-t-il pas de petites routes plus bucoliques, zigzagant entre les champs ? Une maison porte le joli nom de Les Roupette. Charmant… Vite, ma carte ! Tiens, un panneau : cheminée sarrasine. Qu’est-ce donc que cela ? Est-ce loin de la grande route.

Après Saint-Triviers-de-Courte, ses belles maisons, en particuliers sa mairie, la route continue, toujours aussi rectiligne. N’y a-t-il pas de petites routes plus bucoliques, zigzagant entre les champs ? Une maison porte le joli nom de Les Roupette. Charmant… Vite, ma carte ! Tiens, un panneau : cheminée sarrasine. Qu’est-ce donc que cela ? Est-ce loin de la grande route.

Ah ! c’est bizarre, cette cheminée ! Je reviens sur la grande route et vois un mon-sieur dans son jardin. Je lui demande s’il sait quelque chose à propos de cette parti-cularité. Il m’explique que c’est une cheminée au centre de la pièce et que cela ser-vait à fumer de la viande mais il ignore l’origine du nom. J’en profite pour lui de-mander où va la petite route qui passe devant chez lui et qui tourne le dos à la dé-partementale. Elle fait un crochet par Vescours. Allez hop, c’est parti !
Ah ! c’est bizarre, cette cheminée ! Je reviens sur la grande route et vois un mon-sieur dans son jardin. Je lui demande s’il sait quelque chose à propos de cette parti-cularité. Il m’explique que c’est une cheminée au centre de la pièce et que cela ser-vait à fumer de la viande mais il ignore l’origine du nom. J’en profite pour lui de-mander où va la petite route qui passe devant chez lui et qui tourne le dos à la dé-partementale. Elle fait un crochet par Vescours. Allez hop, c’est parti !

Ah ! c’est bizarre, cette cheminée ! Je reviens sur la grande route et vois un mon-sieur dans son jardin. Je lui demande s’il sait quelque chose à propos de cette parti-cularité. Il m’explique que c’est une cheminée au centre de la pièce et que cela ser-vait à fumer de la viande mais il ignore l’origine du nom. J’en profite pour lui de-mander où va la petite route qui passe devant chez lui et qui tourne le dos à la dé-partementale. Elle fait un crochet par Vescours. Allez hop, c’est parti !

Il y a pas mal de vignes et de maisons abandonnées, dont une portant une chemi-née sarrasine. Plus loin la ferme de Montalibord, labellisée monument historique. Je n’y vais pas car il faut faire un détour. Puis je retrouve la route.

Il y a pas mal de vignes et de maisons abandonnées, dont une portant une chemi-née sarrasine. Plus loin la ferme de Montalibord, labellisée monument historique. Je n’y vais pas car il faut faire un détour. Puis je retrouve la route.

J’arrive à Chavannes-sur-Reyssouze, juste avant Pont-de-Vaux. « Venant de Gorrevod et de Saint-Bénigne, la Reyssouze entre dans le territoire communal par le sud-est mais reste sur la frontière que le village possède avec Gorrevod. Elle fait de même avec la commune de Reyssouze jusqu'à se jeter dans la Saône près du camping ».

J’arrive à Chavannes-sur-Reyssouze, juste avant Pont-de-Vaux. « Venant de Gorrevod et de Saint-Bénigne, la Reyssouze entre dans le territoire communal par le sud-est mais reste sur la frontière que le village possède avec Gorrevod. Elle fait de même avec la commune de Reyssouze jusqu'à se jeter dans la Saône près du camping ».

Je contacte un peu avant un warmshower puis je m’arrête au camping*** Les Ripettes, c’est mieux que Les Roupettes vu il y a de cela quelques heures ! La sangle de mon casque de vélo s’est cassée. Demain il faudra que j’aille en acheter un autre. A Pont-de-Vaux, plus loin, se trouve un magasin de bricolage, Les Briconautes et où, aussi surprenant que cela paraisse, ils en vendent.  En attendant demain, le camping est accueillant, y compris pour les oiseaux puisque c’est un refuge LPO. Je tombe sur le message du warmshower qui me dit être absent mais que je peux m’installer chez eux. Trop tard, à 17h02 j’ai déjà payé (15€60) le camping. Une caravane-bibliothèque avec des jeux de sociétés, et de jouets, peluches, poupées. Et à côté un espace rencontre avec des fauteuils.

Je contacte un peu avant un warmshower puis je m’arrête au camping*** Les Ripettes, c’est mieux que Les Roupettes vu il y a de cela quelques heures ! La sangle de mon casque de vélo s’est cassée. Demain il faudra que j’aille en acheter un autre. A Pont-de-Vaux, plus loin, se trouve un magasin de bricolage, Les Briconautes et où, aussi surprenant que cela paraisse, ils en vendent. En attendant demain, le camping est accueillant, y compris pour les oiseaux puisque c’est un refuge LPO. Je tombe sur le message du warmshower qui me dit être absent mais que je peux m’installer chez eux. Trop tard, à 17h02 j’ai déjà payé (15€60) le camping. Une caravane-bibliothèque avec des jeux de sociétés, et de jouets, peluches, poupées. Et à côté un espace rencontre avec des fauteuils.

Ma tente est installée (merci au Hollandais qui m’a prêté son marteau ! Beaucoup de Hollandais dans ce camping) le long d’un champ de tournesol, mon linge lavé, ma vaisselle faite, alors je me prends une petite bière, assez alcoolisée, je dois dire. Puis je vais manger sur la table de pique-nique (avec un toit, parfait !) le reste des céréales, de la soupe miso, le fromage. Je laisse tout mon attirail (camping gaz…) jusqu’au lendemain. Il fait vraiment très chaud à 20h dans la tente, mais au bout d’un moment, au chant des tourterelles je m’endors.

Ma tente est installée (merci au Hollandais qui m’a prêté son marteau ! Beaucoup de Hollandais dans ce camping) le long d’un champ de tournesol, mon linge lavé, ma vaisselle faite, alors je me prends une petite bière, assez alcoolisée, je dois dire. Puis je vais manger sur la table de pique-nique (avec un toit, parfait !) le reste des céréales, de la soupe miso, le fromage. Je laisse tout mon attirail (camping gaz…) jusqu’au lendemain. Il fait vraiment très chaud à 20h dans la tente, mais au bout d’un moment, au chant des tourterelles je m’endors.

13 juillet Hier soir j’ai posé une banane très mûre et une pêche sur le couvercle de la casse-role, elle-même posée sur le porte-bagage. Et ce matin tout avait disparu. Les fruits, je peux comprendre : un oiseau, un rongeur, un être humain… mais le couvercle !? En rangeant mes affaires dans la sacoche, j’ai découvert les fruits et le couvercle ! Ouf ! Mystère résolu ! Il est bien trop tôt pour aller au magasin acheter un casque, et pas question d’attendre son ouverture !

13 juillet Hier soir j’ai posé une banane très mûre et une pêche sur le couvercle de la casse-role, elle-même posée sur le porte-bagage. Et ce matin tout avait disparu. Les fruits, je peux comprendre : un oiseau, un rongeur, un être humain… mais le couvercle !? En rangeant mes affaires dans la sacoche, j’ai découvert les fruits et le couvercle ! Ouf ! Mystère résolu ! Il est bien trop tôt pour aller au magasin acheter un casque, et pas question d’attendre son ouverture !

J’arrive à Pont-de-Vaux et son rond-point avec cette pompe et son grand bras. Pont-de-Vaux fait partie de la Bresse, à la limite avec le Val de Saône, et fait face au Mâconnais et à la Bresse bourguignonne. Situé au nord-ouest du département de l'Ain. Les prairies inondables du val de Saône sont d'un grand intérêt écolo-gique, de superficie importante dans ce canton, et sont parmi les plus grandes prai-ries naturelles inondables d'Europe.  Pont-de-Vaux est traversé par trois cours d'eau dont la Reyssouze. Les deux autres font office de frontière communale. À l'ouest se trouve la Saône qui sépare la com-mune du département de Saône-et-Loire et donc de la région Bourgogne-Franche-Comté.
J’arrive à Pont-de-Vaux et son rond-point avec cette pompe et son grand bras. Pont-de-Vaux fait partie de la Bresse, à la limite avec le Val de Saône, et fait face au Mâconnais et à la Bresse bourguignonne. Situé au nord-ouest du département de l'Ain. Les prairies inondables du val de Saône sont d'un grand intérêt écolo-gique, de superficie importante dans ce canton, et sont parmi les plus grandes prai-ries naturelles inondables d'Europe.  Pont-de-Vaux est traversé par trois cours d'eau dont la Reyssouze. Les deux autres font office de frontière communale. À l'ouest se trouve la Saône qui sépare la com-mune du département de Saône-et-Loire et donc de la région Bourgogne-Franche-Comté.
J’arrive à Pont-de-Vaux et son rond-point avec cette pompe et son grand bras. Pont-de-Vaux fait partie de la Bresse, à la limite avec le Val de Saône, et fait face au Mâconnais et à la Bresse bourguignonne. Situé au nord-ouest du département de l'Ain. Les prairies inondables du val de Saône sont d'un grand intérêt écolo-gique, de superficie importante dans ce canton, et sont parmi les plus grandes prai-ries naturelles inondables d'Europe.  Pont-de-Vaux est traversé par trois cours d'eau dont la Reyssouze. Les deux autres font office de frontière communale. À l'ouest se trouve la Saône qui sépare la com-mune du département de Saône-et-Loire et donc de la région Bourgogne-Franche-Comté.

J’arrive à Pont-de-Vaux et son rond-point avec cette pompe et son grand bras. Pont-de-Vaux fait partie de la Bresse, à la limite avec le Val de Saône, et fait face au Mâconnais et à la Bresse bourguignonne. Situé au nord-ouest du département de l'Ain. Les prairies inondables du val de Saône sont d'un grand intérêt écolo-gique, de superficie importante dans ce canton, et sont parmi les plus grandes prai-ries naturelles inondables d'Europe. Pont-de-Vaux est traversé par trois cours d'eau dont la Reyssouze. Les deux autres font office de frontière communale. À l'ouest se trouve la Saône qui sépare la com-mune du département de Saône-et-Loire et donc de la région Bourgogne-Franche-Comté.

Je roule le long du canal de Pont-de-Vaux, parallèle à la Reyssouze. C’est un monsieur à qui je demandais s’il n’y avait que cette route sillonnée de poids lourds pour traverser la Saône qui me l’a indiqué. Il est long de trois kilomètres, relie la Saône et le port de plaisance de la commune. Construit durant le XIXe siècle, cet ouvrage au-rait dû continuer jusqu'à la rivière d'Ain et a été réaménagé durant les années 1980. Pont-de-Vaux n'a pas de port sur les rives de la Saône mais en possède un dans les terres qui est relié au canal. L'infrastructure maritime, à cheval entre le village et celui de Reyssouze où se situe une grande partie du port de plaisance, peut accueillir jusqu'à 225 bateaux. Je traverse la Saône et m’arrête dans une boulangerie, à Fleurville.

Je roule le long du canal de Pont-de-Vaux, parallèle à la Reyssouze. C’est un monsieur à qui je demandais s’il n’y avait que cette route sillonnée de poids lourds pour traverser la Saône qui me l’a indiqué. Il est long de trois kilomètres, relie la Saône et le port de plaisance de la commune. Construit durant le XIXe siècle, cet ouvrage au-rait dû continuer jusqu'à la rivière d'Ain et a été réaménagé durant les années 1980. Pont-de-Vaux n'a pas de port sur les rives de la Saône mais en possède un dans les terres qui est relié au canal. L'infrastructure maritime, à cheval entre le village et celui de Reyssouze où se situe une grande partie du port de plaisance, peut accueillir jusqu'à 225 bateaux. Je traverse la Saône et m’arrête dans une boulangerie, à Fleurville.

Puis je passe devant la cave viticole de Viré datant de 1923.

Puis je passe devant la cave viticole de Viré datant de 1923.

Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon
Circuit des églises romanes

Circuit des églises romanes

Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon
A Igé je m’arrête à 10h20 à la poste pour acheter un carnet de timbres à 11€64 et envoyer la carte.
A Igé je m’arrête à 10h20 à la poste pour acheter un carnet de timbres à 11€64 et envoyer la carte.

A Igé je m’arrête à 10h20 à la poste pour acheter un carnet de timbres à 11€64 et envoyer la carte.

Trouvé dans le bulletin municipal d'Igé de 2015, village autrefois appelé IGY

Elle est plus connue sous le nom de Croix de la Montée de la Poye. Oyez, oyez Igéens, qui était Clériade Jard ? Vous le saurez bientôt en lisant la plaquette d’information qui sera posée au pied de la croix. Y a-t-il d’autres calvaires dans la commune, cherchez dans un jardin… Ce monument qui auparavant était à proximité d’un carrefour. Et que trouve-t-on au fond des bois d’Igé, près de Montmain ? : la fontaine aux Croix où se rendaient les filles désirant se marier… Igé, où tout un patrimoine diversifié est encore à découvrir par les curieux….

A Igé l’église ressemble à un temple grec avec ses colonnes blanches,

A Igé l’église ressemble à un temple grec avec ses colonnes blanches,

puis suit une très grosse montée en direction d’une carrière. J’en fait un peu à pied, beaucoup à vélo. La pierre blanche de l’église vient sans doute de là. La forêt domaniale de Cluny est magnifique ! Un monsieur regarde son GPS, je lui propose ma carte car il n’a plus de batterie. Il est seul parce qu’il a quitté pour un petit moment sa famille avec qui il fait du cyclotourisme pour se faire un col un peu difficile, mais sans GPS il ne trouve pas le col. Ils viennent d’Annemasse. Il aime faire du vélo et « rouler à la vitesse d’un papillon ».
puis suit une très grosse montée en direction d’une carrière. J’en fait un peu à pied, beaucoup à vélo. La pierre blanche de l’église vient sans doute de là. La forêt domaniale de Cluny est magnifique ! Un monsieur regarde son GPS, je lui propose ma carte car il n’a plus de batterie. Il est seul parce qu’il a quitté pour un petit moment sa famille avec qui il fait du cyclotourisme pour se faire un col un peu difficile, mais sans GPS il ne trouve pas le col. Ils viennent d’Annemasse. Il aime faire du vélo et « rouler à la vitesse d’un papillon ».

puis suit une très grosse montée en direction d’une carrière. J’en fait un peu à pied, beaucoup à vélo. La pierre blanche de l’église vient sans doute de là. La forêt domaniale de Cluny est magnifique ! Un monsieur regarde son GPS, je lui propose ma carte car il n’a plus de batterie. Il est seul parce qu’il a quitté pour un petit moment sa famille avec qui il fait du cyclotourisme pour se faire un col un peu difficile, mais sans GPS il ne trouve pas le col. Ils viennent d’Annemasse. Il aime faire du vélo et « rouler à la vitesse d’un papillon ».

Comme le vol d'un papillon
J’arrive à Cluny. Je demande s’il existe un magasin de vélo car je veux acheter un casque de vélo et faire regonfler mes pneus. Une dame tout à fait charmante prend tout son temps, non seulement pour cherche les horaires, l’adresse d’une ressourcerie où je pourrai en trouver un, puis m’indique Carrefour, elle me donne leur téléphone, mais ils ne vendent pas de casque. Puis elle m’indique le magasin de bricolage, Les Briconautes, les appelle et leur demande s’ils vendent des casques ! Elle et son mari sont en train de vider les courses de leur voiture, elle a un bras immobilisé par une entorse, je lui propose de l’aider à les porter jusque chez elle. Elle est polonaise. Je me disais bien qu’elle avait un petit accent !
J’arrive à Cluny. Je demande s’il existe un magasin de vélo car je veux acheter un casque de vélo et faire regonfler mes pneus. Une dame tout à fait charmante prend tout son temps, non seulement pour cherche les horaires, l’adresse d’une ressourcerie où je pourrai en trouver un, puis m’indique Carrefour, elle me donne leur téléphone, mais ils ne vendent pas de casque. Puis elle m’indique le magasin de bricolage, Les Briconautes, les appelle et leur demande s’ils vendent des casques ! Elle et son mari sont en train de vider les courses de leur voiture, elle a un bras immobilisé par une entorse, je lui propose de l’aider à les porter jusque chez elle. Elle est polonaise. Je me disais bien qu’elle avait un petit accent !
J’arrive à Cluny. Je demande s’il existe un magasin de vélo car je veux acheter un casque de vélo et faire regonfler mes pneus. Une dame tout à fait charmante prend tout son temps, non seulement pour cherche les horaires, l’adresse d’une ressourcerie où je pourrai en trouver un, puis m’indique Carrefour, elle me donne leur téléphone, mais ils ne vendent pas de casque. Puis elle m’indique le magasin de bricolage, Les Briconautes, les appelle et leur demande s’ils vendent des casques ! Elle et son mari sont en train de vider les courses de leur voiture, elle a un bras immobilisé par une entorse, je lui propose de l’aider à les porter jusque chez elle. Elle est polonaise. Je me disais bien qu’elle avait un petit accent !
J’arrive à Cluny. Je demande s’il existe un magasin de vélo car je veux acheter un casque de vélo et faire regonfler mes pneus. Une dame tout à fait charmante prend tout son temps, non seulement pour cherche les horaires, l’adresse d’une ressourcerie où je pourrai en trouver un, puis m’indique Carrefour, elle me donne leur téléphone, mais ils ne vendent pas de casque. Puis elle m’indique le magasin de bricolage, Les Briconautes, les appelle et leur demande s’ils vendent des casques ! Elle et son mari sont en train de vider les courses de leur voiture, elle a un bras immobilisé par une entorse, je lui propose de l’aider à les porter jusque chez elle. Elle est polonaise. Je me disais bien qu’elle avait un petit accent !

J’arrive à Cluny. Je demande s’il existe un magasin de vélo car je veux acheter un casque de vélo et faire regonfler mes pneus. Une dame tout à fait charmante prend tout son temps, non seulement pour cherche les horaires, l’adresse d’une ressourcerie où je pourrai en trouver un, puis m’indique Carrefour, elle me donne leur téléphone, mais ils ne vendent pas de casque. Puis elle m’indique le magasin de bricolage, Les Briconautes, les appelle et leur demande s’ils vendent des casques ! Elle et son mari sont en train de vider les courses de leur voiture, elle a un bras immobilisé par une entorse, je lui propose de l’aider à les porter jusque chez elle. Elle est polonaise. Je me disais bien qu’elle avait un petit accent !

Elle me propose un verre de sirop, que je décline, et va chercher sa pompe à vélo. Compliquée à utiliser, elle va chercher un voisin qui m’aide à son tour. Charmants tous ces gens ! Le magasin Les Briconautes va bientôt fermer. J’ai faim ! Je vais aller manger puis me promener … C’est à côté de chez eux que j’ai photographiée cette maison à l’ouverture si haute et si étroite. Une spécialité du coin, et de tous les coins de France, je m’arrête à la terrasse du Karizma, un kebab. A 13h42 je paie mon repas au patron turc. Il me raconte qu’il habite à Villefranche-sur-Saône à une heure de route d’ici, où il se fournit, aussi, car c’est moins cher qu’ici. Il me demande où j’habite.
Elle me propose un verre de sirop, que je décline, et va chercher sa pompe à vélo. Compliquée à utiliser, elle va chercher un voisin qui m’aide à son tour. Charmants tous ces gens ! Le magasin Les Briconautes va bientôt fermer. J’ai faim ! Je vais aller manger puis me promener … C’est à côté de chez eux que j’ai photographiée cette maison à l’ouverture si haute et si étroite. Une spécialité du coin, et de tous les coins de France, je m’arrête à la terrasse du Karizma, un kebab. A 13h42 je paie mon repas au patron turc. Il me raconte qu’il habite à Villefranche-sur-Saône à une heure de route d’ici, où il se fournit, aussi, car c’est moins cher qu’ici. Il me demande où j’habite.
Elle me propose un verre de sirop, que je décline, et va chercher sa pompe à vélo. Compliquée à utiliser, elle va chercher un voisin qui m’aide à son tour. Charmants tous ces gens ! Le magasin Les Briconautes va bientôt fermer. J’ai faim ! Je vais aller manger puis me promener … C’est à côté de chez eux que j’ai photographiée cette maison à l’ouverture si haute et si étroite. Une spécialité du coin, et de tous les coins de France, je m’arrête à la terrasse du Karizma, un kebab. A 13h42 je paie mon repas au patron turc. Il me raconte qu’il habite à Villefranche-sur-Saône à une heure de route d’ici, où il se fournit, aussi, car c’est moins cher qu’ici. Il me demande où j’habite.

Elle me propose un verre de sirop, que je décline, et va chercher sa pompe à vélo. Compliquée à utiliser, elle va chercher un voisin qui m’aide à son tour. Charmants tous ces gens ! Le magasin Les Briconautes va bientôt fermer. J’ai faim ! Je vais aller manger puis me promener … C’est à côté de chez eux que j’ai photographiée cette maison à l’ouverture si haute et si étroite. Une spécialité du coin, et de tous les coins de France, je m’arrête à la terrasse du Karizma, un kebab. A 13h42 je paie mon repas au patron turc. Il me raconte qu’il habite à Villefranche-sur-Saône à une heure de route d’ici, où il se fournit, aussi, car c’est moins cher qu’ici. Il me demande où j’habite.

A Givors, il connait la boucherie Ali et il a aidé un copain à monter son kebab, comme il a fait avec d’autres personnes. En fait, il demande à tous ses clients… à un couple je l’entends dire : « Ah, je connais, j’ai un ami qui y habite ! ».  Puis petite sieste dans un renfoncement de maison, à l’ombre, dans une impasse en attendant l’ouverture du magasin. Je crois bien avoir dormi quelques minutes. Puis je pars me promener dans cette ville moyenâgeuse. 14h42 j’achète un casque (29€80) aux Briconautes de Cluny et je discute avec un « chasseur d’images d’animaux ». Il me déconseille de monter à Château, ça monte trop et de ne pas aller aux Cadoles parce que c’est une impasse, sauf si on suit un chemin. Je prends donc la direction de Mâcon
A Givors, il connait la boucherie Ali et il a aidé un copain à monter son kebab, comme il a fait avec d’autres personnes. En fait, il demande à tous ses clients… à un couple je l’entends dire : « Ah, je connais, j’ai un ami qui y habite ! ».  Puis petite sieste dans un renfoncement de maison, à l’ombre, dans une impasse en attendant l’ouverture du magasin. Je crois bien avoir dormi quelques minutes. Puis je pars me promener dans cette ville moyenâgeuse. 14h42 j’achète un casque (29€80) aux Briconautes de Cluny et je discute avec un « chasseur d’images d’animaux ». Il me déconseille de monter à Château, ça monte trop et de ne pas aller aux Cadoles parce que c’est une impasse, sauf si on suit un chemin. Je prends donc la direction de Mâcon
A Givors, il connait la boucherie Ali et il a aidé un copain à monter son kebab, comme il a fait avec d’autres personnes. En fait, il demande à tous ses clients… à un couple je l’entends dire : « Ah, je connais, j’ai un ami qui y habite ! ».  Puis petite sieste dans un renfoncement de maison, à l’ombre, dans une impasse en attendant l’ouverture du magasin. Je crois bien avoir dormi quelques minutes. Puis je pars me promener dans cette ville moyenâgeuse. 14h42 j’achète un casque (29€80) aux Briconautes de Cluny et je discute avec un « chasseur d’images d’animaux ». Il me déconseille de monter à Château, ça monte trop et de ne pas aller aux Cadoles parce que c’est une impasse, sauf si on suit un chemin. Je prends donc la direction de Mâcon
A Givors, il connait la boucherie Ali et il a aidé un copain à monter son kebab, comme il a fait avec d’autres personnes. En fait, il demande à tous ses clients… à un couple je l’entends dire : « Ah, je connais, j’ai un ami qui y habite ! ».  Puis petite sieste dans un renfoncement de maison, à l’ombre, dans une impasse en attendant l’ouverture du magasin. Je crois bien avoir dormi quelques minutes. Puis je pars me promener dans cette ville moyenâgeuse. 14h42 j’achète un casque (29€80) aux Briconautes de Cluny et je discute avec un « chasseur d’images d’animaux ». Il me déconseille de monter à Château, ça monte trop et de ne pas aller aux Cadoles parce que c’est une impasse, sauf si on suit un chemin. Je prends donc la direction de Mâcon
A Givors, il connait la boucherie Ali et il a aidé un copain à monter son kebab, comme il a fait avec d’autres personnes. En fait, il demande à tous ses clients… à un couple je l’entends dire : « Ah, je connais, j’ai un ami qui y habite ! ».  Puis petite sieste dans un renfoncement de maison, à l’ombre, dans une impasse en attendant l’ouverture du magasin. Je crois bien avoir dormi quelques minutes. Puis je pars me promener dans cette ville moyenâgeuse. 14h42 j’achète un casque (29€80) aux Briconautes de Cluny et je discute avec un « chasseur d’images d’animaux ». Il me déconseille de monter à Château, ça monte trop et de ne pas aller aux Cadoles parce que c’est une impasse, sauf si on suit un chemin. Je prends donc la direction de Mâcon
A Givors, il connait la boucherie Ali et il a aidé un copain à monter son kebab, comme il a fait avec d’autres personnes. En fait, il demande à tous ses clients… à un couple je l’entends dire : « Ah, je connais, j’ai un ami qui y habite ! ».  Puis petite sieste dans un renfoncement de maison, à l’ombre, dans une impasse en attendant l’ouverture du magasin. Je crois bien avoir dormi quelques minutes. Puis je pars me promener dans cette ville moyenâgeuse. 14h42 j’achète un casque (29€80) aux Briconautes de Cluny et je discute avec un « chasseur d’images d’animaux ». Il me déconseille de monter à Château, ça monte trop et de ne pas aller aux Cadoles parce que c’est une impasse, sauf si on suit un chemin. Je prends donc la direction de Mâcon
A Givors, il connait la boucherie Ali et il a aidé un copain à monter son kebab, comme il a fait avec d’autres personnes. En fait, il demande à tous ses clients… à un couple je l’entends dire : « Ah, je connais, j’ai un ami qui y habite ! ».  Puis petite sieste dans un renfoncement de maison, à l’ombre, dans une impasse en attendant l’ouverture du magasin. Je crois bien avoir dormi quelques minutes. Puis je pars me promener dans cette ville moyenâgeuse. 14h42 j’achète un casque (29€80) aux Briconautes de Cluny et je discute avec un « chasseur d’images d’animaux ». Il me déconseille de monter à Château, ça monte trop et de ne pas aller aux Cadoles parce que c’est une impasse, sauf si on suit un chemin. Je prends donc la direction de Mâcon
A Givors, il connait la boucherie Ali et il a aidé un copain à monter son kebab, comme il a fait avec d’autres personnes. En fait, il demande à tous ses clients… à un couple je l’entends dire : « Ah, je connais, j’ai un ami qui y habite ! ».  Puis petite sieste dans un renfoncement de maison, à l’ombre, dans une impasse en attendant l’ouverture du magasin. Je crois bien avoir dormi quelques minutes. Puis je pars me promener dans cette ville moyenâgeuse. 14h42 j’achète un casque (29€80) aux Briconautes de Cluny et je discute avec un « chasseur d’images d’animaux ». Il me déconseille de monter à Château, ça monte trop et de ne pas aller aux Cadoles parce que c’est une impasse, sauf si on suit un chemin. Je prends donc la direction de Mâcon
A Givors, il connait la boucherie Ali et il a aidé un copain à monter son kebab, comme il a fait avec d’autres personnes. En fait, il demande à tous ses clients… à un couple je l’entends dire : « Ah, je connais, j’ai un ami qui y habite ! ».  Puis petite sieste dans un renfoncement de maison, à l’ombre, dans une impasse en attendant l’ouverture du magasin. Je crois bien avoir dormi quelques minutes. Puis je pars me promener dans cette ville moyenâgeuse. 14h42 j’achète un casque (29€80) aux Briconautes de Cluny et je discute avec un « chasseur d’images d’animaux ». Il me déconseille de monter à Château, ça monte trop et de ne pas aller aux Cadoles parce que c’est une impasse, sauf si on suit un chemin. Je prends donc la direction de Mâcon
A Givors, il connait la boucherie Ali et il a aidé un copain à monter son kebab, comme il a fait avec d’autres personnes. En fait, il demande à tous ses clients… à un couple je l’entends dire : « Ah, je connais, j’ai un ami qui y habite ! ».  Puis petite sieste dans un renfoncement de maison, à l’ombre, dans une impasse en attendant l’ouverture du magasin. Je crois bien avoir dormi quelques minutes. Puis je pars me promener dans cette ville moyenâgeuse. 14h42 j’achète un casque (29€80) aux Briconautes de Cluny et je discute avec un « chasseur d’images d’animaux ». Il me déconseille de monter à Château, ça monte trop et de ne pas aller aux Cadoles parce que c’est une impasse, sauf si on suit un chemin. Je prends donc la direction de Mâcon
A Givors, il connait la boucherie Ali et il a aidé un copain à monter son kebab, comme il a fait avec d’autres personnes. En fait, il demande à tous ses clients… à un couple je l’entends dire : « Ah, je connais, j’ai un ami qui y habite ! ».  Puis petite sieste dans un renfoncement de maison, à l’ombre, dans une impasse en attendant l’ouverture du magasin. Je crois bien avoir dormi quelques minutes. Puis je pars me promener dans cette ville moyenâgeuse. 14h42 j’achète un casque (29€80) aux Briconautes de Cluny et je discute avec un « chasseur d’images d’animaux ». Il me déconseille de monter à Château, ça monte trop et de ne pas aller aux Cadoles parce que c’est une impasse, sauf si on suit un chemin. Je prends donc la direction de Mâcon
A Givors, il connait la boucherie Ali et il a aidé un copain à monter son kebab, comme il a fait avec d’autres personnes. En fait, il demande à tous ses clients… à un couple je l’entends dire : « Ah, je connais, j’ai un ami qui y habite ! ».  Puis petite sieste dans un renfoncement de maison, à l’ombre, dans une impasse en attendant l’ouverture du magasin. Je crois bien avoir dormi quelques minutes. Puis je pars me promener dans cette ville moyenâgeuse. 14h42 j’achète un casque (29€80) aux Briconautes de Cluny et je discute avec un « chasseur d’images d’animaux ». Il me déconseille de monter à Château, ça monte trop et de ne pas aller aux Cadoles parce que c’est une impasse, sauf si on suit un chemin. Je prends donc la direction de Mâcon
A Givors, il connait la boucherie Ali et il a aidé un copain à monter son kebab, comme il a fait avec d’autres personnes. En fait, il demande à tous ses clients… à un couple je l’entends dire : « Ah, je connais, j’ai un ami qui y habite ! ».  Puis petite sieste dans un renfoncement de maison, à l’ombre, dans une impasse en attendant l’ouverture du magasin. Je crois bien avoir dormi quelques minutes. Puis je pars me promener dans cette ville moyenâgeuse. 14h42 j’achète un casque (29€80) aux Briconautes de Cluny et je discute avec un « chasseur d’images d’animaux ». Il me déconseille de monter à Château, ça monte trop et de ne pas aller aux Cadoles parce que c’est une impasse, sauf si on suit un chemin. Je prends donc la direction de Mâcon

A Givors, il connait la boucherie Ali et il a aidé un copain à monter son kebab, comme il a fait avec d’autres personnes. En fait, il demande à tous ses clients… à un couple je l’entends dire : « Ah, je connais, j’ai un ami qui y habite ! ». Puis petite sieste dans un renfoncement de maison, à l’ombre, dans une impasse en attendant l’ouverture du magasin. Je crois bien avoir dormi quelques minutes. Puis je pars me promener dans cette ville moyenâgeuse. 14h42 j’achète un casque (29€80) aux Briconautes de Cluny et je discute avec un « chasseur d’images d’animaux ». Il me déconseille de monter à Château, ça monte trop et de ne pas aller aux Cadoles parce que c’est une impasse, sauf si on suit un chemin. Je prends donc la direction de Mâcon

A Jalogny se trouve l’église des amoureux, Saint-Valentin,

A Jalogny se trouve l’église des amoureux, Saint-Valentin,

et en face, je pense que c’est un ancien four.

et en face, je pense que c’est un ancien four.

Vaux un minuscule hameau, l’église Saint-Jean-l’ ’Evangéliste est bien grande pour si peu d’habitants, sans doute plus nombreux autrefois. Dans le village le la-voir public date de 1908.
Vaux un minuscule hameau, l’église Saint-Jean-l’ ’Evangéliste est bien grande pour si peu d’habitants, sans doute plus nombreux autrefois. Dans le village le la-voir public date de 1908.
Vaux un minuscule hameau, l’église Saint-Jean-l’ ’Evangéliste est bien grande pour si peu d’habitants, sans doute plus nombreux autrefois. Dans le village le la-voir public date de 1908.

Vaux un minuscule hameau, l’église Saint-Jean-l’ ’Evangéliste est bien grande pour si peu d’habitants, sans doute plus nombreux autrefois. Dans le village le la-voir public date de 1908.

Dans Vaux, la descente est à pic ! Je m’arrête avant la descente, de crainte de me tromper, Je ne pourrai pas pédaler, en remontant, celle-là, ni même en poussant le vélo ! Je demande confirmation de mon chemin à des gars qui sont en train de ré-nover une belle maison en pierre. Ici les pierres sont d’autre couleur, elles étaient blanches, ici elles sont rose-orangé. La ruelle est enserrée entre les maisons et le mur. A la sortie de Vaux j’interpelle un monsieur qui tient un petit enfant dans ses bras. Le bébé vient de se réveiller, il n’a pas assez dormi. Oui, je suis toujours dans la bonne direction !

Dans Vaux, la descente est à pic ! Je m’arrête avant la descente, de crainte de me tromper, Je ne pourrai pas pédaler, en remontant, celle-là, ni même en poussant le vélo ! Je demande confirmation de mon chemin à des gars qui sont en train de ré-nover une belle maison en pierre. Ici les pierres sont d’autre couleur, elles étaient blanches, ici elles sont rose-orangé. La ruelle est enserrée entre les maisons et le mur. A la sortie de Vaux j’interpelle un monsieur qui tient un petit enfant dans ses bras. Le bébé vient de se réveiller, il n’a pas assez dormi. Oui, je suis toujours dans la bonne direction !

Je sors du village, là un beau vieillard à barbe blanche me conseille, à une fourche, de tourner à droite, puis à gauche, sans entrer dans le village de Charly. Tiens, un autre Charly, comme celui à côté de chez nous !   Au loin je vois des bâtiments recti-lignes, comme des cubes de béton à larges ouvertures qui tranchent avec toutes les maisons traditionnelles que j’ai vues jusqu’à présent. Un carmel d’une architecture très contemporaine.

Je sors du village, là un beau vieillard à barbe blanche me conseille, à une fourche, de tourner à droite, puis à gauche, sans entrer dans le village de Charly. Tiens, un autre Charly, comme celui à côté de chez nous ! Au loin je vois des bâtiments recti-lignes, comme des cubes de béton à larges ouvertures qui tranchent avec toutes les maisons traditionnelles que j’ai vues jusqu’à présent. Un carmel d’une architecture très contemporaine.

Puis j’arrive à la nationale ! Je tourne à droite ; c’est la bonne direction, ça monte. J’ai besoin d’eau. A Mazille, j’attends que l’employé du bureau de tabac ait fini sa conversation téléphonique et lui demande ma route. Pour passer le temps, je photo-graphie cette fenêtre, comme un vitrail.  Marre de toutes ces interminables montées en plein cagnard ! Il est pourtant 16h et il cogne encore dur, le camarade Soleil ! On regarde, masqués, bien sûr, ensemble la carte. Mais c’est bien sûr ! Demi-tour, très très longue descente rafraîchissante. Bonheur ! Et à droite toute ! Je suis sur une petite route, au début parallèle à la nationale, à ma droite et, à ma gauche, l’autoroute. Je traverse de petits villages et vois parfois, ici aussi, de belles maisons. En passant par Brandon ça monte quan
Puis j’arrive à la nationale ! Je tourne à droite ; c’est la bonne direction, ça monte. J’ai besoin d’eau. A Mazille, j’attends que l’employé du bureau de tabac ait fini sa conversation téléphonique et lui demande ma route. Pour passer le temps, je photo-graphie cette fenêtre, comme un vitrail.  Marre de toutes ces interminables montées en plein cagnard ! Il est pourtant 16h et il cogne encore dur, le camarade Soleil ! On regarde, masqués, bien sûr, ensemble la carte. Mais c’est bien sûr ! Demi-tour, très très longue descente rafraîchissante. Bonheur ! Et à droite toute ! Je suis sur une petite route, au début parallèle à la nationale, à ma droite et, à ma gauche, l’autoroute. Je traverse de petits villages et vois parfois, ici aussi, de belles maisons. En passant par Brandon ça monte quan
Puis j’arrive à la nationale ! Je tourne à droite ; c’est la bonne direction, ça monte. J’ai besoin d’eau. A Mazille, j’attends que l’employé du bureau de tabac ait fini sa conversation téléphonique et lui demande ma route. Pour passer le temps, je photo-graphie cette fenêtre, comme un vitrail.  Marre de toutes ces interminables montées en plein cagnard ! Il est pourtant 16h et il cogne encore dur, le camarade Soleil ! On regarde, masqués, bien sûr, ensemble la carte. Mais c’est bien sûr ! Demi-tour, très très longue descente rafraîchissante. Bonheur ! Et à droite toute ! Je suis sur une petite route, au début parallèle à la nationale, à ma droite et, à ma gauche, l’autoroute. Je traverse de petits villages et vois parfois, ici aussi, de belles maisons. En passant par Brandon ça monte quan

Puis j’arrive à la nationale ! Je tourne à droite ; c’est la bonne direction, ça monte. J’ai besoin d’eau. A Mazille, j’attends que l’employé du bureau de tabac ait fini sa conversation téléphonique et lui demande ma route. Pour passer le temps, je photo-graphie cette fenêtre, comme un vitrail. Marre de toutes ces interminables montées en plein cagnard ! Il est pourtant 16h et il cogne encore dur, le camarade Soleil ! On regarde, masqués, bien sûr, ensemble la carte. Mais c’est bien sûr ! Demi-tour, très très longue descente rafraîchissante. Bonheur ! Et à droite toute ! Je suis sur une petite route, au début parallèle à la nationale, à ma droite et, à ma gauche, l’autoroute. Je traverse de petits villages et vois parfois, ici aussi, de belles maisons. En passant par Brandon ça monte quan

En passant par Brandon ça monte quand même un peu, mais c’est très raisonnable. La dernière montée de la journée et j’arrive à Curtil-sous-Buffières. Tout petit village mais grand château. Ses lucarnes à fronton triangulaire et sa tour ronde au toit en poivrière se voient de loin. Il date de 1624 et comporte aussi un bâtiment plus récent de la fin du XIXe.  Il est malheureusement en piteux état ! Entre 1049 et 1100 on parle dans les chartes de Cluny de Bernard de Curtilis, un chevalier et de Robert, son fils. Ce qu’il a de particulier c’est l’inscription au-dessus du portail, en vieil es-pagnol : « Huespe y prece Allos tres dias hyede », ce qui veut dire : « Hôtes, je vous en prie, partez au bout de trois jours », mais qui est souvent interprété comme
En passant par Brandon ça monte quand même un peu, mais c’est très raisonnable. La dernière montée de la journée et j’arrive à Curtil-sous-Buffières. Tout petit village mais grand château. Ses lucarnes à fronton triangulaire et sa tour ronde au toit en poivrière se voient de loin. Il date de 1624 et comporte aussi un bâtiment plus récent de la fin du XIXe.  Il est malheureusement en piteux état ! Entre 1049 et 1100 on parle dans les chartes de Cluny de Bernard de Curtilis, un chevalier et de Robert, son fils. Ce qu’il a de particulier c’est l’inscription au-dessus du portail, en vieil es-pagnol : « Huespe y prece Allos tres dias hyede », ce qui veut dire : « Hôtes, je vous en prie, partez au bout de trois jours », mais qui est souvent interprété comme

En passant par Brandon ça monte quand même un peu, mais c’est très raisonnable. La dernière montée de la journée et j’arrive à Curtil-sous-Buffières. Tout petit village mais grand château. Ses lucarnes à fronton triangulaire et sa tour ronde au toit en poivrière se voient de loin. Il date de 1624 et comporte aussi un bâtiment plus récent de la fin du XIXe. Il est malheureusement en piteux état ! Entre 1049 et 1100 on parle dans les chartes de Cluny de Bernard de Curtilis, un chevalier et de Robert, son fils. Ce qu’il a de particulier c’est l’inscription au-dessus du portail, en vieil es-pagnol : « Huespe y prece Allos tres dias hyede », ce qui veut dire : « Hôtes, je vous en prie, partez au bout de trois jours », mais qui est souvent interprété comme

« Un hôte, c’est comme un poisson, il sent mauvais après trois jours ! ». Ce qui res-semble à une expression arabe. Ce comté du Charolais a en effet été espagnol au XVIIe, et juste à côté se trouve la commune de La-Chapelle-du-Mont-de-France, en France, donc ! Peut-être ne voulait-on pas de visiteur espagnols… Dans la cour du château coulait une eau qui avait la réputation de soigner divers maux (fièvre, rhu-matisme, montée de lait, rhume…) et étaient célébrées chaque quinze août.  Je repère le préau de la mairie, ses prises électriques, et son robinet à côté d’une porte. Il y a même des fils le long du mur où faire sécher mes frusques. Un petit re-coin entre le mur de la mairie et le mur de soutènement de la route, plus haut, parfait pour la toilette de chat et mes petits besoins !
« Un hôte, c’est comme un poisson, il sent mauvais après trois jours ! ». Ce qui res-semble à une expression arabe. Ce comté du Charolais a en effet été espagnol au XVIIe, et juste à côté se trouve la commune de La-Chapelle-du-Mont-de-France, en France, donc ! Peut-être ne voulait-on pas de visiteur espagnols… Dans la cour du château coulait une eau qui avait la réputation de soigner divers maux (fièvre, rhu-matisme, montée de lait, rhume…) et étaient célébrées chaque quinze août.  Je repère le préau de la mairie, ses prises électriques, et son robinet à côté d’une porte. Il y a même des fils le long du mur où faire sécher mes frusques. Un petit re-coin entre le mur de la mairie et le mur de soutènement de la route, plus haut, parfait pour la toilette de chat et mes petits besoins !
« Un hôte, c’est comme un poisson, il sent mauvais après trois jours ! ». Ce qui res-semble à une expression arabe. Ce comté du Charolais a en effet été espagnol au XVIIe, et juste à côté se trouve la commune de La-Chapelle-du-Mont-de-France, en France, donc ! Peut-être ne voulait-on pas de visiteur espagnols… Dans la cour du château coulait une eau qui avait la réputation de soigner divers maux (fièvre, rhu-matisme, montée de lait, rhume…) et étaient célébrées chaque quinze août.  Je repère le préau de la mairie, ses prises électriques, et son robinet à côté d’une porte. Il y a même des fils le long du mur où faire sécher mes frusques. Un petit re-coin entre le mur de la mairie et le mur de soutènement de la route, plus haut, parfait pour la toilette de chat et mes petits besoins !
« Un hôte, c’est comme un poisson, il sent mauvais après trois jours ! ». Ce qui res-semble à une expression arabe. Ce comté du Charolais a en effet été espagnol au XVIIe, et juste à côté se trouve la commune de La-Chapelle-du-Mont-de-France, en France, donc ! Peut-être ne voulait-on pas de visiteur espagnols… Dans la cour du château coulait une eau qui avait la réputation de soigner divers maux (fièvre, rhu-matisme, montée de lait, rhume…) et étaient célébrées chaque quinze août.  Je repère le préau de la mairie, ses prises électriques, et son robinet à côté d’une porte. Il y a même des fils le long du mur où faire sécher mes frusques. Un petit re-coin entre le mur de la mairie et le mur de soutènement de la route, plus haut, parfait pour la toilette de chat et mes petits besoins !
« Un hôte, c’est comme un poisson, il sent mauvais après trois jours ! ». Ce qui res-semble à une expression arabe. Ce comté du Charolais a en effet été espagnol au XVIIe, et juste à côté se trouve la commune de La-Chapelle-du-Mont-de-France, en France, donc ! Peut-être ne voulait-on pas de visiteur espagnols… Dans la cour du château coulait une eau qui avait la réputation de soigner divers maux (fièvre, rhu-matisme, montée de lait, rhume…) et étaient célébrées chaque quinze août.  Je repère le préau de la mairie, ses prises électriques, et son robinet à côté d’une porte. Il y a même des fils le long du mur où faire sécher mes frusques. Un petit re-coin entre le mur de la mairie et le mur de soutènement de la route, plus haut, parfait pour la toilette de chat et mes petits besoins !

« Un hôte, c’est comme un poisson, il sent mauvais après trois jours ! ». Ce qui res-semble à une expression arabe. Ce comté du Charolais a en effet été espagnol au XVIIe, et juste à côté se trouve la commune de La-Chapelle-du-Mont-de-France, en France, donc ! Peut-être ne voulait-on pas de visiteur espagnols… Dans la cour du château coulait une eau qui avait la réputation de soigner divers maux (fièvre, rhu-matisme, montée de lait, rhume…) et étaient célébrées chaque quinze août. Je repère le préau de la mairie, ses prises électriques, et son robinet à côté d’une porte. Il y a même des fils le long du mur où faire sécher mes frusques. Un petit re-coin entre le mur de la mairie et le mur de soutènement de la route, plus haut, parfait pour la toilette de chat et mes petits besoins !

On entend passer les voitures, pas très nombreuses. Et en contrebas j’entends parler des gens. J’espère juste que le maire n’habite pas dans la mairie ou que, me voyant, il m’offrira un lit… Sur la porte il y a son numéro de téléphone et son nom, Robert Perrousset. Ce soir, nul besoin de déployer la tente. J’étends juste la couverture de survie sous mon duvet. Le ciel est étoilé, celle Berger est là, brillante.  14 juillet Je pars à 6h45, plus tôt que d’habitude, n’ayant pas la tente à plier. Au-dessus de l’horizon, une montgolfière. En sortant du village, je m’aperçois qu’il y a un gîte rural qui aurait pu m’héberger. Très chic, avec sa girouette, et sa tour carrée, peut-être très cher. Je ne regrette pas mon toit.
On entend passer les voitures, pas très nombreuses. Et en contrebas j’entends parler des gens. J’espère juste que le maire n’habite pas dans la mairie ou que, me voyant, il m’offrira un lit… Sur la porte il y a son numéro de téléphone et son nom, Robert Perrousset. Ce soir, nul besoin de déployer la tente. J’étends juste la couverture de survie sous mon duvet. Le ciel est étoilé, celle Berger est là, brillante.  14 juillet Je pars à 6h45, plus tôt que d’habitude, n’ayant pas la tente à plier. Au-dessus de l’horizon, une montgolfière. En sortant du village, je m’aperçois qu’il y a un gîte rural qui aurait pu m’héberger. Très chic, avec sa girouette, et sa tour carrée, peut-être très cher. Je ne regrette pas mon toit.

On entend passer les voitures, pas très nombreuses. Et en contrebas j’entends parler des gens. J’espère juste que le maire n’habite pas dans la mairie ou que, me voyant, il m’offrira un lit… Sur la porte il y a son numéro de téléphone et son nom, Robert Perrousset. Ce soir, nul besoin de déployer la tente. J’étends juste la couverture de survie sous mon duvet. Le ciel est étoilé, celle Berger est là, brillante. 14 juillet Je pars à 6h45, plus tôt que d’habitude, n’ayant pas la tente à plier. Au-dessus de l’horizon, une montgolfière. En sortant du village, je m’aperçois qu’il y a un gîte rural qui aurait pu m’héberger. Très chic, avec sa girouette, et sa tour carrée, peut-être très cher. Je ne regrette pas mon toit.

Comme le vol d'un papillon
SIVIGNON, qu’un petit malin a transformé en SIMIGNON, j’y ai cru ! J’envoie un texte au maire de Curtil-sous-Buffières : « Merci pour votre accueil invo-lontaire. Tout était parfait : l’abri sous le préau, l’eau au robinet, il y avait même l’électricité pour charger mon téléphone et la batterie de mon appareil photo ainsi qu’un fil pour faire sécher ma lessive. Je l’ai laissé dans l’état où je l’ai trouvé ». Il m’a répondu que j’étais bien élevée, ou quelque chose dans ce genre !

SIVIGNON, qu’un petit malin a transformé en SIMIGNON, j’y ai cru ! J’envoie un texte au maire de Curtil-sous-Buffières : « Merci pour votre accueil invo-lontaire. Tout était parfait : l’abri sous le préau, l’eau au robinet, il y avait même l’électricité pour charger mon téléphone et la batterie de mon appareil photo ainsi qu’un fil pour faire sécher ma lessive. Je l’ai laissé dans l’état où je l’ai trouvé ». Il m’a répondu que j’étais bien élevée, ou quelque chose dans ce genre !

Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon
Sur la gauche un panneau annonce à nouveau un lieu intéressant à visiter.

Sur la gauche un panneau annonce à nouveau un lieu intéressant à visiter.

Bâtisses traditionnelles charollaises. Au détour d’un pré d’un chemin, vous décou-vrirez de très belles constructions.  Si celles-ci n’ont pas été trop restaurées, on peut encore observer tout leur caractère d’antan. Très typique, la bâtisse charollaise était en général composée de plusieurs parties : l’habitation et le corps de ferme. Au 19ème et 20ème, les caractéristiques d’une demeure évoluaient selon la richesse du propriétaire. En charolais on trouvait 4 types de maisons traditionnelles. Caractéris-tiques d’une bâtisse. Grenier (lieu de stockage pour le blé). Cheminée four à pain. La façade laissant entrevoir les ouvertures était généralement orientée au sud ou à l’est pour une meilleure prise au soleil
Bâtisses traditionnelles charollaises. Au détour d’un pré d’un chemin, vous décou-vrirez de très belles constructions.  Si celles-ci n’ont pas été trop restaurées, on peut encore observer tout leur caractère d’antan. Très typique, la bâtisse charollaise était en général composée de plusieurs parties : l’habitation et le corps de ferme. Au 19ème et 20ème, les caractéristiques d’une demeure évoluaient selon la richesse du propriétaire. En charolais on trouvait 4 types de maisons traditionnelles. Caractéris-tiques d’une bâtisse. Grenier (lieu de stockage pour le blé). Cheminée four à pain. La façade laissant entrevoir les ouvertures était généralement orientée au sud ou à l’est pour une meilleure prise au soleil
Bâtisses traditionnelles charollaises. Au détour d’un pré d’un chemin, vous décou-vrirez de très belles constructions.  Si celles-ci n’ont pas été trop restaurées, on peut encore observer tout leur caractère d’antan. Très typique, la bâtisse charollaise était en général composée de plusieurs parties : l’habitation et le corps de ferme. Au 19ème et 20ème, les caractéristiques d’une demeure évoluaient selon la richesse du propriétaire. En charolais on trouvait 4 types de maisons traditionnelles. Caractéris-tiques d’une bâtisse. Grenier (lieu de stockage pour le blé). Cheminée four à pain. La façade laissant entrevoir les ouvertures était généralement orientée au sud ou à l’est pour une meilleure prise au soleil
Bâtisses traditionnelles charollaises. Au détour d’un pré d’un chemin, vous décou-vrirez de très belles constructions.  Si celles-ci n’ont pas été trop restaurées, on peut encore observer tout leur caractère d’antan. Très typique, la bâtisse charollaise était en général composée de plusieurs parties : l’habitation et le corps de ferme. Au 19ème et 20ème, les caractéristiques d’une demeure évoluaient selon la richesse du propriétaire. En charolais on trouvait 4 types de maisons traditionnelles. Caractéris-tiques d’une bâtisse. Grenier (lieu de stockage pour le blé). Cheminée four à pain. La façade laissant entrevoir les ouvertures était généralement orientée au sud ou à l’est pour une meilleure prise au soleil
Bâtisses traditionnelles charollaises. Au détour d’un pré d’un chemin, vous décou-vrirez de très belles constructions.  Si celles-ci n’ont pas été trop restaurées, on peut encore observer tout leur caractère d’antan. Très typique, la bâtisse charollaise était en général composée de plusieurs parties : l’habitation et le corps de ferme. Au 19ème et 20ème, les caractéristiques d’une demeure évoluaient selon la richesse du propriétaire. En charolais on trouvait 4 types de maisons traditionnelles. Caractéris-tiques d’une bâtisse. Grenier (lieu de stockage pour le blé). Cheminée four à pain. La façade laissant entrevoir les ouvertures était généralement orientée au sud ou à l’est pour une meilleure prise au soleil
Bâtisses traditionnelles charollaises. Au détour d’un pré d’un chemin, vous décou-vrirez de très belles constructions.  Si celles-ci n’ont pas été trop restaurées, on peut encore observer tout leur caractère d’antan. Très typique, la bâtisse charollaise était en général composée de plusieurs parties : l’habitation et le corps de ferme. Au 19ème et 20ème, les caractéristiques d’une demeure évoluaient selon la richesse du propriétaire. En charolais on trouvait 4 types de maisons traditionnelles. Caractéris-tiques d’une bâtisse. Grenier (lieu de stockage pour le blé). Cheminée four à pain. La façade laissant entrevoir les ouvertures était généralement orientée au sud ou à l’est pour une meilleure prise au soleil

Bâtisses traditionnelles charollaises. Au détour d’un pré d’un chemin, vous décou-vrirez de très belles constructions. Si celles-ci n’ont pas été trop restaurées, on peut encore observer tout leur caractère d’antan. Très typique, la bâtisse charollaise était en général composée de plusieurs parties : l’habitation et le corps de ferme. Au 19ème et 20ème, les caractéristiques d’une demeure évoluaient selon la richesse du propriétaire. En charolais on trouvait 4 types de maisons traditionnelles. Caractéris-tiques d’une bâtisse. Grenier (lieu de stockage pour le blé). Cheminée four à pain. La façade laissant entrevoir les ouvertures était généralement orientée au sud ou à l’est pour une meilleure prise au soleil

Et en revenant sur la route principale je vois cette cloche sur la maison, une ancienne école ? Dans la région, les puits sont tous fait selon le même modèle.

Et en revenant sur la route principale je vois cette cloche sur la maison, une ancienne école ? Dans la région, les puits sont tous fait selon le même modèle.

Comme le vol d'un papillon
Je m’arrête boire un café à Charolles à l’ombre des murs fortifiés et d’une grosse tout ronde.

Je m’arrête boire un café à Charolles à l’ombre des murs fortifiés et d’une grosse tout ronde.

La ville affiche un festival de BD, uniquement des dessins grands formats placardés sur les murs.
La ville affiche un festival de BD, uniquement des dessins grands formats placardés sur les murs.

La ville affiche un festival de BD, uniquement des dessins grands formats placardés sur les murs.

Puis je suis un temps une route pas trop sympa, large, trop passante, et bifurque vite vers une route plus petite.

Puis je suis un temps une route pas trop sympa, large, trop passante, et bifurque vite vers une route plus petite.

Arrêt pique-nique à Varenne-l’Arconce, sur un banc à côté d’un puits. Des pâtes, du comté, un fruit. Un monsieur m’explique que cette année son jardin « ça donne rien », pas de tomates ou presque, un carré de patates, mais dans l’autre carré, pourtant proche, pas de patate. Le soleil et beaucoup de vent qui dessèchent tout. Il remplit sa tonne (citerne sur roue) à la rivière car le puits, même s’il y a de l’eau, n’en n’a pas assez pour arroser. Et pour couronner le tout, un ver jaune qu’il appelle « fil de fer » car il est très mince, lui mange tout. A côté, la salle des fêtes rassemble des personnes retraitées fêtant « un vieil anniversaire de mariage », rien ne manque, pas même un gros gâteau coloré.

Arrêt pique-nique à Varenne-l’Arconce, sur un banc à côté d’un puits. Des pâtes, du comté, un fruit. Un monsieur m’explique que cette année son jardin « ça donne rien », pas de tomates ou presque, un carré de patates, mais dans l’autre carré, pourtant proche, pas de patate. Le soleil et beaucoup de vent qui dessèchent tout. Il remplit sa tonne (citerne sur roue) à la rivière car le puits, même s’il y a de l’eau, n’en n’a pas assez pour arroser. Et pour couronner le tout, un ver jaune qu’il appelle « fil de fer » car il est très mince, lui mange tout. A côté, la salle des fêtes rassemble des personnes retraitées fêtant « un vieil anniversaire de mariage », rien ne manque, pas même un gros gâteau coloré.

Comme le vol d'un papillon
Arrêt pique-nique à Varenne-l’Arconce, sur un banc à côté d’un puits.

Arrêt pique-nique à Varenne-l’Arconce, sur un banc à côté d’un puits.

Cherchant les toilettes publiques, je tombe sur des gens de Lyon qui visitent l’église. Je leur emboîte le pas. Ce sont des connaisseurs. Leurs remarques sur les détails des sculptures sont pertinentes, comme par exemple à propos de l’agneau Pascal au-dessus de la porte. A vélo, ils voudraient faire les rives du Doubs.
Cherchant les toilettes publiques, je tombe sur des gens de Lyon qui visitent l’église. Je leur emboîte le pas. Ce sont des connaisseurs. Leurs remarques sur les détails des sculptures sont pertinentes, comme par exemple à propos de l’agneau Pascal au-dessus de la porte. A vélo, ils voudraient faire les rives du Doubs.
Cherchant les toilettes publiques, je tombe sur des gens de Lyon qui visitent l’église. Je leur emboîte le pas. Ce sont des connaisseurs. Leurs remarques sur les détails des sculptures sont pertinentes, comme par exemple à propos de l’agneau Pascal au-dessus de la porte. A vélo, ils voudraient faire les rives du Doubs.
Cherchant les toilettes publiques, je tombe sur des gens de Lyon qui visitent l’église. Je leur emboîte le pas. Ce sont des connaisseurs. Leurs remarques sur les détails des sculptures sont pertinentes, comme par exemple à propos de l’agneau Pascal au-dessus de la porte. A vélo, ils voudraient faire les rives du Doubs.
Cherchant les toilettes publiques, je tombe sur des gens de Lyon qui visitent l’église. Je leur emboîte le pas. Ce sont des connaisseurs. Leurs remarques sur les détails des sculptures sont pertinentes, comme par exemple à propos de l’agneau Pascal au-dessus de la porte. A vélo, ils voudraient faire les rives du Doubs.
Cherchant les toilettes publiques, je tombe sur des gens de Lyon qui visitent l’église. Je leur emboîte le pas. Ce sont des connaisseurs. Leurs remarques sur les détails des sculptures sont pertinentes, comme par exemple à propos de l’agneau Pascal au-dessus de la porte. A vélo, ils voudraient faire les rives du Doubs.
Cherchant les toilettes publiques, je tombe sur des gens de Lyon qui visitent l’église. Je leur emboîte le pas. Ce sont des connaisseurs. Leurs remarques sur les détails des sculptures sont pertinentes, comme par exemple à propos de l’agneau Pascal au-dessus de la porte. A vélo, ils voudraient faire les rives du Doubs.

Cherchant les toilettes publiques, je tombe sur des gens de Lyon qui visitent l’église. Je leur emboîte le pas. Ce sont des connaisseurs. Leurs remarques sur les détails des sculptures sont pertinentes, comme par exemple à propos de l’agneau Pascal au-dessus de la porte. A vélo, ils voudraient faire les rives du Doubs.

Petite sieste à l’ombre de l’église, dans l’herbe tondue.
Petite sieste à l’ombre de l’église, dans l’herbe tondue.
Petite sieste à l’ombre de l’église, dans l’herbe tondue.
Petite sieste à l’ombre de l’église, dans l’herbe tondue.

Petite sieste à l’ombre de l’église, dans l’herbe tondue.

Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon
Je remarque ce morceau d’ammonite inclus dans le mur d’une maison du village.
Je remarque ce morceau d’ammonite inclus dans le mur d’une maison du village.

Je remarque ce morceau d’ammonite inclus dans le mur d’une maison du village.

Je reprends la route. Une tour en ruine, envahie de végétation, presque invisible.

Je reprends la route. Une tour en ruine, envahie de végétation, presque invisible.

Ces murs surmontés de pierres parallèles retiennent mon attention après Varenne-l’Arconce. Mes bidons sont presque vides. Je m’arrête devant un jardin où une fa-mille, ou plutôt deux familles s’apprêtent à manger autour d’un barbecue, ils sont du 3° arrondissement de Lyon. Adorable, le monsieur a glissé une rondelle de citron dans mon bidon. C’est vrai qu’avec mon idée de cette randonnée en circonférence, je ne suis jamais bien loin de chez moi !
Ces murs surmontés de pierres parallèles retiennent mon attention après Varenne-l’Arconce. Mes bidons sont presque vides. Je m’arrête devant un jardin où une fa-mille, ou plutôt deux familles s’apprêtent à manger autour d’un barbecue, ils sont du 3° arrondissement de Lyon. Adorable, le monsieur a glissé une rondelle de citron dans mon bidon. C’est vrai qu’avec mon idée de cette randonnée en circonférence, je ne suis jamais bien loin de chez moi !

Ces murs surmontés de pierres parallèles retiennent mon attention après Varenne-l’Arconce. Mes bidons sont presque vides. Je m’arrête devant un jardin où une fa-mille, ou plutôt deux familles s’apprêtent à manger autour d’un barbecue, ils sont du 3° arrondissement de Lyon. Adorable, le monsieur a glissé une rondelle de citron dans mon bidon. C’est vrai qu’avec mon idée de cette randonnée en circonférence, je ne suis jamais bien loin de chez moi !

Arrivée à Saint-Christophe-en-Brionnais, c’est un abreuvoir et un puits à la gueule immense ...
Arrivée à Saint-Christophe-en-Brionnais, c’est un abreuvoir et un puits à la gueule immense ...

Arrivée à Saint-Christophe-en-Brionnais, c’est un abreuvoir et un puits à la gueule immense ...

ainsi que la mention « 500 ans de foires et marchés son célèbre marché au cadran de bovins charollais » qui attirent mon regard. Et plus loin, sur le mur d’une autre maison, bien moins « authentique » que celle de Varenne-l’Arconce ce sont deux ammonites qui sont incrustées. Saint-Christophe-en-Brionnais n’est pas célèbre QUE pour sa foire mais aussi pour sa station thermale et son château devant lequel pique-nique une famille.
ainsi que la mention « 500 ans de foires et marchés son célèbre marché au cadran de bovins charollais » qui attirent mon regard. Et plus loin, sur le mur d’une autre maison, bien moins « authentique » que celle de Varenne-l’Arconce ce sont deux ammonites qui sont incrustées. Saint-Christophe-en-Brionnais n’est pas célèbre QUE pour sa foire mais aussi pour sa station thermale et son château devant lequel pique-nique une famille.
ainsi que la mention « 500 ans de foires et marchés son célèbre marché au cadran de bovins charollais » qui attirent mon regard. Et plus loin, sur le mur d’une autre maison, bien moins « authentique » que celle de Varenne-l’Arconce ce sont deux ammonites qui sont incrustées. Saint-Christophe-en-Brionnais n’est pas célèbre QUE pour sa foire mais aussi pour sa station thermale et son château devant lequel pique-nique une famille.
ainsi que la mention « 500 ans de foires et marchés son célèbre marché au cadran de bovins charollais » qui attirent mon regard. Et plus loin, sur le mur d’une autre maison, bien moins « authentique » que celle de Varenne-l’Arconce ce sont deux ammonites qui sont incrustées. Saint-Christophe-en-Brionnais n’est pas célèbre QUE pour sa foire mais aussi pour sa station thermale et son château devant lequel pique-nique une famille.
ainsi que la mention « 500 ans de foires et marchés son célèbre marché au cadran de bovins charollais » qui attirent mon regard. Et plus loin, sur le mur d’une autre maison, bien moins « authentique » que celle de Varenne-l’Arconce ce sont deux ammonites qui sont incrustées. Saint-Christophe-en-Brionnais n’est pas célèbre QUE pour sa foire mais aussi pour sa station thermale et son château devant lequel pique-nique une famille.
ainsi que la mention « 500 ans de foires et marchés son célèbre marché au cadran de bovins charollais » qui attirent mon regard. Et plus loin, sur le mur d’une autre maison, bien moins « authentique » que celle de Varenne-l’Arconce ce sont deux ammonites qui sont incrustées. Saint-Christophe-en-Brionnais n’est pas célèbre QUE pour sa foire mais aussi pour sa station thermale et son château devant lequel pique-nique une famille.

ainsi que la mention « 500 ans de foires et marchés son célèbre marché au cadran de bovins charollais » qui attirent mon regard. Et plus loin, sur le mur d’une autre maison, bien moins « authentique » que celle de Varenne-l’Arconce ce sont deux ammonites qui sont incrustées. Saint-Christophe-en-Brionnais n’est pas célèbre QUE pour sa foire mais aussi pour sa station thermale et son château devant lequel pique-nique une famille.

Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon
Cimetière de Baudemont, mais quel est donc ce « catafalque » qui écrase toutes les autres tombes ? Mais c’est celui de la célèbre famille Potain, grues et autres engins de chantier ! Quelle morgue… Et même pas un pauvre petit robinet pour une pauvre petite cyclote. Avec tout le fric qu’a dû couter, ce machin, ils auraient au moins pu financer une arrivée d’eau !
Cimetière de Baudemont, mais quel est donc ce « catafalque » qui écrase toutes les autres tombes ? Mais c’est celui de la célèbre famille Potain, grues et autres engins de chantier ! Quelle morgue… Et même pas un pauvre petit robinet pour une pauvre petite cyclote. Avec tout le fric qu’a dû couter, ce machin, ils auraient au moins pu financer une arrivée d’eau !
Cimetière de Baudemont, mais quel est donc ce « catafalque » qui écrase toutes les autres tombes ? Mais c’est celui de la célèbre famille Potain, grues et autres engins de chantier ! Quelle morgue… Et même pas un pauvre petit robinet pour une pauvre petite cyclote. Avec tout le fric qu’a dû couter, ce machin, ils auraient au moins pu financer une arrivée d’eau !

Cimetière de Baudemont, mais quel est donc ce « catafalque » qui écrase toutes les autres tombes ? Mais c’est celui de la célèbre famille Potain, grues et autres engins de chantier ! Quelle morgue… Et même pas un pauvre petit robinet pour une pauvre petite cyclote. Avec tout le fric qu’a dû couter, ce machin, ils auraient au moins pu financer une arrivée d’eau !

Beaucoup plus drôle et original, en face, en revanche cette salle des fêtes (ou gym-nase ?) toute de biscanboï !

Beaucoup plus drôle et original, en face, en revanche cette salle des fêtes (ou gym-nase ?) toute de biscanboï !

Comme le vol d'un papillon
Premier feu (vert !) depuis tant et tant de jours… J’arrive à La Clayette (prononcer, je crois, la clête). J’ai l’impression qu’elle est dans une cuvette, ça des-cend, et je vais me payer une belle petite grimpette après ! Finalement, ça monte looongtemps mais régulièrement, et agréablement pour sortir de cette ville que do-mine ce château, comme j’ai entendu, de « conte de fée ». A-t-il appartenu ? A Po-tain ?
Premier feu (vert !) depuis tant et tant de jours… J’arrive à La Clayette (prononcer, je crois, la clête). J’ai l’impression qu’elle est dans une cuvette, ça des-cend, et je vais me payer une belle petite grimpette après ! Finalement, ça monte looongtemps mais régulièrement, et agréablement pour sortir de cette ville que do-mine ce château, comme j’ai entendu, de « conte de fée ». A-t-il appartenu ? A Po-tain ?
Premier feu (vert !) depuis tant et tant de jours… J’arrive à La Clayette (prononcer, je crois, la clête). J’ai l’impression qu’elle est dans une cuvette, ça des-cend, et je vais me payer une belle petite grimpette après ! Finalement, ça monte looongtemps mais régulièrement, et agréablement pour sortir de cette ville que do-mine ce château, comme j’ai entendu, de « conte de fée ». A-t-il appartenu ? A Po-tain ?
Premier feu (vert !) depuis tant et tant de jours… J’arrive à La Clayette (prononcer, je crois, la clête). J’ai l’impression qu’elle est dans une cuvette, ça des-cend, et je vais me payer une belle petite grimpette après ! Finalement, ça monte looongtemps mais régulièrement, et agréablement pour sortir de cette ville que do-mine ce château, comme j’ai entendu, de « conte de fée ». A-t-il appartenu ? A Po-tain ?
Premier feu (vert !) depuis tant et tant de jours… J’arrive à La Clayette (prononcer, je crois, la clête). J’ai l’impression qu’elle est dans une cuvette, ça des-cend, et je vais me payer une belle petite grimpette après ! Finalement, ça monte looongtemps mais régulièrement, et agréablement pour sortir de cette ville que do-mine ce château, comme j’ai entendu, de « conte de fée ». A-t-il appartenu ? A Po-tain ?

Premier feu (vert !) depuis tant et tant de jours… J’arrive à La Clayette (prononcer, je crois, la clête). J’ai l’impression qu’elle est dans une cuvette, ça des-cend, et je vais me payer une belle petite grimpette après ! Finalement, ça monte looongtemps mais régulièrement, et agréablement pour sortir de cette ville que do-mine ce château, comme j’ai entendu, de « conte de fée ». A-t-il appartenu ? A Po-tain ?

Très modeste, une fois de plus, ce Potain et sa mappemonde financée, j’imagine, à ses frais !
Très modeste, une fois de plus, ce Potain et sa mappemonde financée, j’imagine, à ses frais !
Très modeste, une fois de plus, ce Potain et sa mappemonde financée, j’imagine, à ses frais !

Très modeste, une fois de plus, ce Potain et sa mappemonde financée, j’imagine, à ses frais !

La Clayette et son club de lutte !

La Clayette et son club de lutte !

Halte devant la maison d’un couple qui est arrivé ici depuis peu de temps et qui croit savoir que Potain, dans la région, n’est plus propriétaire de rien. Et que ce serait des étrangers qui auraient acheté ce château, habité si j’en crois ce que j’ai vu. Ils ne sont plus propriétaire que d’un monument funéraire, c’est bien triste.     Château de Chevannes.
Halte devant la maison d’un couple qui est arrivé ici depuis peu de temps et qui croit savoir que Potain, dans la région, n’est plus propriétaire de rien. Et que ce serait des étrangers qui auraient acheté ce château, habité si j’en crois ce que j’ai vu. Ils ne sont plus propriétaire que d’un monument funéraire, c’est bien triste.     Château de Chevannes.
Halte devant la maison d’un couple qui est arrivé ici depuis peu de temps et qui croit savoir que Potain, dans la région, n’est plus propriétaire de rien. Et que ce serait des étrangers qui auraient acheté ce château, habité si j’en crois ce que j’ai vu. Ils ne sont plus propriétaire que d’un monument funéraire, c’est bien triste.     Château de Chevannes.
Halte devant la maison d’un couple qui est arrivé ici depuis peu de temps et qui croit savoir que Potain, dans la région, n’est plus propriétaire de rien. Et que ce serait des étrangers qui auraient acheté ce château, habité si j’en crois ce que j’ai vu. Ils ne sont plus propriétaire que d’un monument funéraire, c’est bien triste.     Château de Chevannes.

Halte devant la maison d’un couple qui est arrivé ici depuis peu de temps et qui croit savoir que Potain, dans la région, n’est plus propriétaire de rien. Et que ce serait des étrangers qui auraient acheté ce château, habité si j’en crois ce que j’ai vu. Ils ne sont plus propriétaire que d’un monument funéraire, c’est bien triste. Château de Chevannes.

Je me dirige vers Propières. Je ne sais pas pourquoi (y suis-je déjà allée ?) j’imagine ce village en montagne, dans les sapins. Il n’y a quasiment pas de circulation.
Je me dirige vers Propières. Je ne sais pas pourquoi (y suis-je déjà allée ?) j’imagine ce village en montagne, dans les sapins. Il n’y a quasiment pas de circulation.
Je me dirige vers Propières. Je ne sais pas pourquoi (y suis-je déjà allée ?) j’imagine ce village en montagne, dans les sapins. Il n’y a quasiment pas de circulation.
Je me dirige vers Propières. Je ne sais pas pourquoi (y suis-je déjà allée ?) j’imagine ce village en montagne, dans les sapins. Il n’y a quasiment pas de circulation.
Je me dirige vers Propières. Je ne sais pas pourquoi (y suis-je déjà allée ?) j’imagine ce village en montagne, dans les sapins. Il n’y a quasiment pas de circulation.

Je me dirige vers Propières. Je ne sais pas pourquoi (y suis-je déjà allée ?) j’imagine ce village en montagne, dans les sapins. Il n’y a quasiment pas de circulation.

Je croise un tandem surmonté de panneaux solaires, quelle installation ! Je passe devant deux drôles de boîtes à lettres, l’une comme une petite maison, l’autre portant la mention l’épluche-doigt, qu’est-ce donc ?  Nous sommes dans le Haut-Beaujolais, il n’y a pas trop de vignes, surtout d’immenses noyers. Je m’arrête un peu car mon téléphone vient de sonner, rejoignant, involontairement un papy, lui aussi au téléphone. Il voudrait bien m’héberger mais sa femme lui dit qu’ils sont invités à manger. Il a 80 ans, et depuis un an il s’est offert un vélo électrique avec lequel il a fait le Mont-Ventoux, il peut rouler plus de 100 km sur du plat. « Vous y viendrez, un jour, vous aussi ! ».
Je croise un tandem surmonté de panneaux solaires, quelle installation ! Je passe devant deux drôles de boîtes à lettres, l’une comme une petite maison, l’autre portant la mention l’épluche-doigt, qu’est-ce donc ?  Nous sommes dans le Haut-Beaujolais, il n’y a pas trop de vignes, surtout d’immenses noyers. Je m’arrête un peu car mon téléphone vient de sonner, rejoignant, involontairement un papy, lui aussi au téléphone. Il voudrait bien m’héberger mais sa femme lui dit qu’ils sont invités à manger. Il a 80 ans, et depuis un an il s’est offert un vélo électrique avec lequel il a fait le Mont-Ventoux, il peut rouler plus de 100 km sur du plat. « Vous y viendrez, un jour, vous aussi ! ».

Je croise un tandem surmonté de panneaux solaires, quelle installation ! Je passe devant deux drôles de boîtes à lettres, l’une comme une petite maison, l’autre portant la mention l’épluche-doigt, qu’est-ce donc ? Nous sommes dans le Haut-Beaujolais, il n’y a pas trop de vignes, surtout d’immenses noyers. Je m’arrête un peu car mon téléphone vient de sonner, rejoignant, involontairement un papy, lui aussi au téléphone. Il voudrait bien m’héberger mais sa femme lui dit qu’ils sont invités à manger. Il a 80 ans, et depuis un an il s’est offert un vélo électrique avec lequel il a fait le Mont-Ventoux, il peut rouler plus de 100 km sur du plat. « Vous y viendrez, un jour, vous aussi ! ».

Hôtel-restaurant Rod & Seve à Propières. Le village est tel que je me l’imaginais : en hauteur, entouré de sapins. Je me paie une soirée étape (repas du soir et petit déjeuner inclus) et une limonade. Je n’ai pas dépensé beaucoup en hébergement pendant ma balade à vélo, et c’est, qui plus est, la dernière nuit ! Mon vélo est à l’abri dans le garage.J’ai le temps d’aller faire une balade à pied dans le village en attendant l’heure du repas. Rien à voir ici, à part, tout en bas, un étang et une base de loisir/camping. C’est vrai que ça descend pas mal, autant à remonter tout à l’heure. Dans le village, installé dans une vitrine, tel un aquarium, le travail des enfants, des poissons et des plantes aquatiques, est bien mis en valeur.
Hôtel-restaurant Rod & Seve à Propières. Le village est tel que je me l’imaginais : en hauteur, entouré de sapins. Je me paie une soirée étape (repas du soir et petit déjeuner inclus) et une limonade. Je n’ai pas dépensé beaucoup en hébergement pendant ma balade à vélo, et c’est, qui plus est, la dernière nuit ! Mon vélo est à l’abri dans le garage.J’ai le temps d’aller faire une balade à pied dans le village en attendant l’heure du repas. Rien à voir ici, à part, tout en bas, un étang et une base de loisir/camping. C’est vrai que ça descend pas mal, autant à remonter tout à l’heure. Dans le village, installé dans une vitrine, tel un aquarium, le travail des enfants, des poissons et des plantes aquatiques, est bien mis en valeur.
Hôtel-restaurant Rod & Seve à Propières. Le village est tel que je me l’imaginais : en hauteur, entouré de sapins. Je me paie une soirée étape (repas du soir et petit déjeuner inclus) et une limonade. Je n’ai pas dépensé beaucoup en hébergement pendant ma balade à vélo, et c’est, qui plus est, la dernière nuit ! Mon vélo est à l’abri dans le garage.J’ai le temps d’aller faire une balade à pied dans le village en attendant l’heure du repas. Rien à voir ici, à part, tout en bas, un étang et une base de loisir/camping. C’est vrai que ça descend pas mal, autant à remonter tout à l’heure. Dans le village, installé dans une vitrine, tel un aquarium, le travail des enfants, des poissons et des plantes aquatiques, est bien mis en valeur.
Hôtel-restaurant Rod & Seve à Propières. Le village est tel que je me l’imaginais : en hauteur, entouré de sapins. Je me paie une soirée étape (repas du soir et petit déjeuner inclus) et une limonade. Je n’ai pas dépensé beaucoup en hébergement pendant ma balade à vélo, et c’est, qui plus est, la dernière nuit ! Mon vélo est à l’abri dans le garage.J’ai le temps d’aller faire une balade à pied dans le village en attendant l’heure du repas. Rien à voir ici, à part, tout en bas, un étang et une base de loisir/camping. C’est vrai que ça descend pas mal, autant à remonter tout à l’heure. Dans le village, installé dans une vitrine, tel un aquarium, le travail des enfants, des poissons et des plantes aquatiques, est bien mis en valeur.

Hôtel-restaurant Rod & Seve à Propières. Le village est tel que je me l’imaginais : en hauteur, entouré de sapins. Je me paie une soirée étape (repas du soir et petit déjeuner inclus) et une limonade. Je n’ai pas dépensé beaucoup en hébergement pendant ma balade à vélo, et c’est, qui plus est, la dernière nuit ! Mon vélo est à l’abri dans le garage.J’ai le temps d’aller faire une balade à pied dans le village en attendant l’heure du repas. Rien à voir ici, à part, tout en bas, un étang et une base de loisir/camping. C’est vrai que ça descend pas mal, autant à remonter tout à l’heure. Dans le village, installé dans une vitrine, tel un aquarium, le travail des enfants, des poissons et des plantes aquatiques, est bien mis en valeur.

Enfin un lit ! Et même une baignoire. J’y lave mon linge et le fait égoutter sur une chaise installée dessus. Le repas n’est pas mal : terrine de Saint-Jacques avec de la mayonnaise, volaille et ratatouille, fromage et glace. Tout est fait maison. Je n’ai plus l’habitude de manger autant, la digestion est bien difficile. J’ai bu un grand verre d’eau chaude (il y a bouilloire, thé et café en sachet dans la chambre).   15 juillet  Quelle circulation sous les fenêtres ce matin ! Enfer et damnation, une vraie auto-route ! Il est vrai que, le dimanche les camions ont interdiction de rouler, tout comme sans doute le 14 juillet. Le pont entre les deux, peut-être aussi a permis que la circu-lation soit d’un assez faible niveau d’intensité. Mais nous sommes mercredi 15 juillet, et ça recommence !

Enfin un lit ! Et même une baignoire. J’y lave mon linge et le fait égoutter sur une chaise installée dessus. Le repas n’est pas mal : terrine de Saint-Jacques avec de la mayonnaise, volaille et ratatouille, fromage et glace. Tout est fait maison. Je n’ai plus l’habitude de manger autant, la digestion est bien difficile. J’ai bu un grand verre d’eau chaude (il y a bouilloire, thé et café en sachet dans la chambre). 15 juillet Quelle circulation sous les fenêtres ce matin ! Enfer et damnation, une vraie auto-route ! Il est vrai que, le dimanche les camions ont interdiction de rouler, tout comme sans doute le 14 juillet. Le pont entre les deux, peut-être aussi a permis que la circu-lation soit d’un assez faible niveau d’intensité. Mais nous sommes mercredi 15 juillet, et ça recommence !

Aïe, ça promet un retour difficile. Même les voitures roulent à toute berzingue.  Je me lève, range toutes mes affaires. Je n’ai plus qu’un bidon, hier soir, l’autre est tombé, fendu là où se trouve la soudure. Une toute petite dame attend elle aussi que les portes de la salle à manger ouvrent pour prendre son petit-déjeuner. Elle suit le chemin de Compostelle Cluny-le Puy. Elle vient en Métropole plusieurs fois par an voir ses petits-enfants, elle est réunionnaise.
Aïe, ça promet un retour difficile. Même les voitures roulent à toute berzingue.  Je me lève, range toutes mes affaires. Je n’ai plus qu’un bidon, hier soir, l’autre est tombé, fendu là où se trouve la soudure. Une toute petite dame attend elle aussi que les portes de la salle à manger ouvrent pour prendre son petit-déjeuner. Elle suit le chemin de Compostelle Cluny-le Puy. Elle vient en Métropole plusieurs fois par an voir ses petits-enfants, elle est réunionnaise.
Aïe, ça promet un retour difficile. Même les voitures roulent à toute berzingue.  Je me lève, range toutes mes affaires. Je n’ai plus qu’un bidon, hier soir, l’autre est tombé, fendu là où se trouve la soudure. Une toute petite dame attend elle aussi que les portes de la salle à manger ouvrent pour prendre son petit-déjeuner. Elle suit le chemin de Compostelle Cluny-le Puy. Elle vient en Métropole plusieurs fois par an voir ses petits-enfants, elle est réunionnaise.
Aïe, ça promet un retour difficile. Même les voitures roulent à toute berzingue.  Je me lève, range toutes mes affaires. Je n’ai plus qu’un bidon, hier soir, l’autre est tombé, fendu là où se trouve la soudure. Une toute petite dame attend elle aussi que les portes de la salle à manger ouvrent pour prendre son petit-déjeuner. Elle suit le chemin de Compostelle Cluny-le Puy. Elle vient en Métropole plusieurs fois par an voir ses petits-enfants, elle est réunionnaise.
Aïe, ça promet un retour difficile. Même les voitures roulent à toute berzingue.  Je me lève, range toutes mes affaires. Je n’ai plus qu’un bidon, hier soir, l’autre est tombé, fendu là où se trouve la soudure. Une toute petite dame attend elle aussi que les portes de la salle à manger ouvrent pour prendre son petit-déjeuner. Elle suit le chemin de Compostelle Cluny-le Puy. Elle vient en Métropole plusieurs fois par an voir ses petits-enfants, elle est réunionnaise.
Aïe, ça promet un retour difficile. Même les voitures roulent à toute berzingue.  Je me lève, range toutes mes affaires. Je n’ai plus qu’un bidon, hier soir, l’autre est tombé, fendu là où se trouve la soudure. Une toute petite dame attend elle aussi que les portes de la salle à manger ouvrent pour prendre son petit-déjeuner. Elle suit le chemin de Compostelle Cluny-le Puy. Elle vient en Métropole plusieurs fois par an voir ses petits-enfants, elle est réunionnaise.

Aïe, ça promet un retour difficile. Même les voitures roulent à toute berzingue. Je me lève, range toutes mes affaires. Je n’ai plus qu’un bidon, hier soir, l’autre est tombé, fendu là où se trouve la soudure. Une toute petite dame attend elle aussi que les portes de la salle à manger ouvrent pour prendre son petit-déjeuner. Elle suit le chemin de Compostelle Cluny-le Puy. Elle vient en Métropole plusieurs fois par an voir ses petits-enfants, elle est réunionnaise.

Un monsieur s’assoit à deux tables de la mienne (distanciation physique en vi-gueur !). Il a une élocution particulière, difficile, et un accent aussi. Il est belge et fait le tour de France en vélo à énergie solaire, tout comme le couple croisé hier. Il a aussi dormi à l’hôtel. Il me donne sa carte de visite : Patrick Abrams, je lui donne la mienne en échange. Il arbore un tee-shirt annonçant son défi. Il a un site : www.Cycle2Thesun.com et a l’intention de suivre, avec le vélo qu’il s’est construit, la route de la soie ! Arrive un autre cyclo, arborant le même tee-shirt, il vient deman-der s’il y a une épicerie au village. Ils sont inquiets : aujourd’hui le soleil est entiè-rement masqué par les nuages et la remorque de l’un des deux pèse 100 kilos !
Un monsieur s’assoit à deux tables de la mienne (distanciation physique en vi-gueur !). Il a une élocution particulière, difficile, et un accent aussi. Il est belge et fait le tour de France en vélo à énergie solaire, tout comme le couple croisé hier. Il a aussi dormi à l’hôtel. Il me donne sa carte de visite : Patrick Abrams, je lui donne la mienne en échange. Il arbore un tee-shirt annonçant son défi. Il a un site : www.Cycle2Thesun.com et a l’intention de suivre, avec le vélo qu’il s’est construit, la route de la soie ! Arrive un autre cyclo, arborant le même tee-shirt, il vient deman-der s’il y a une épicerie au village. Ils sont inquiets : aujourd’hui le soleil est entiè-rement masqué par les nuages et la remorque de l’un des deux pèse 100 kilos !

Un monsieur s’assoit à deux tables de la mienne (distanciation physique en vi-gueur !). Il a une élocution particulière, difficile, et un accent aussi. Il est belge et fait le tour de France en vélo à énergie solaire, tout comme le couple croisé hier. Il a aussi dormi à l’hôtel. Il me donne sa carte de visite : Patrick Abrams, je lui donne la mienne en échange. Il arbore un tee-shirt annonçant son défi. Il a un site : www.Cycle2Thesun.com et a l’intention de suivre, avec le vélo qu’il s’est construit, la route de la soie ! Arrive un autre cyclo, arborant le même tee-shirt, il vient deman-der s’il y a une épicerie au village. Ils sont inquiets : aujourd’hui le soleil est entiè-rement masqué par les nuages et la remorque de l’un des deux pèse 100 kilos !

A 7h40, le ticket de caisse faisant foie, je paie 71€10, je récupère mon vélo, et c’est parti ! Col des Echarmeaux, et je descends vers Beaujeu, pays du Beaujolais. Mon intention est d’aller jusqu’à Belleville en suivant une piste cyclable, puis de longer la Saône. Mais tout à coup c’est le déluge ! Des trombes d’eau me tombent dessus, je ne peux pas m’arrêter regarder la carte, mon seul but est de m’éloigner de tous ces véhicules qui m’envoient des grandes gerbes d’eau, qui rajoutent à l’eau qui dégringole du ciel. Je bifurque vers Saint-Etienne-les-Oullières, puis à gauche sur la première route venue, espérant trouver un peu de calme. Je roule à côté d’une station de lavage d’où s’écoule du savon, mousse blanche et bulles.

A 7h40, le ticket de caisse faisant foie, je paie 71€10, je récupère mon vélo, et c’est parti ! Col des Echarmeaux, et je descends vers Beaujeu, pays du Beaujolais. Mon intention est d’aller jusqu’à Belleville en suivant une piste cyclable, puis de longer la Saône. Mais tout à coup c’est le déluge ! Des trombes d’eau me tombent dessus, je ne peux pas m’arrêter regarder la carte, mon seul but est de m’éloigner de tous ces véhicules qui m’envoient des grandes gerbes d’eau, qui rajoutent à l’eau qui dégringole du ciel. Je bifurque vers Saint-Etienne-les-Oullières, puis à gauche sur la première route venue, espérant trouver un peu de calme. Je roule à côté d’une station de lavage d’où s’écoule du savon, mousse blanche et bulles.

Puis, loin de cette station, ce même liquide continue de blanchir la chaussée, ce n’est donc pas du savon. La pollution, sans doute, des produits de traitement des vignes ou je ne sais quoi ! Blacé, Saint-Julien, et j’arrive à Villefranche-sur-Saône. Je passe un pont et là, enfin, une piste cyclable, pourrie au début, puis vraiment très sympa ensuite longe la rivière. La pluie s’arrête enfin ! Trévoux, je me change, enfile un cuissard et un tee-shirt sec, bien agréable ! Un peu plus loin, à Parcieux, un ponton en bois, pente douce, accessible aux PMR, des bancs. Je pique-nique. Au bout une famille de pêcheurs : papa-maman et les enfants. Arrive la mamie, un repas chaud dans un panier au bout du bras. Elle habite une maison, juste à côté.
Puis, loin de cette station, ce même liquide continue de blanchir la chaussée, ce n’est donc pas du savon. La pollution, sans doute, des produits de traitement des vignes ou je ne sais quoi ! Blacé, Saint-Julien, et j’arrive à Villefranche-sur-Saône. Je passe un pont et là, enfin, une piste cyclable, pourrie au début, puis vraiment très sympa ensuite longe la rivière. La pluie s’arrête enfin ! Trévoux, je me change, enfile un cuissard et un tee-shirt sec, bien agréable ! Un peu plus loin, à Parcieux, un ponton en bois, pente douce, accessible aux PMR, des bancs. Je pique-nique. Au bout une famille de pêcheurs : papa-maman et les enfants. Arrive la mamie, un repas chaud dans un panier au bout du bras. Elle habite une maison, juste à côté.
Puis, loin de cette station, ce même liquide continue de blanchir la chaussée, ce n’est donc pas du savon. La pollution, sans doute, des produits de traitement des vignes ou je ne sais quoi ! Blacé, Saint-Julien, et j’arrive à Villefranche-sur-Saône. Je passe un pont et là, enfin, une piste cyclable, pourrie au début, puis vraiment très sympa ensuite longe la rivière. La pluie s’arrête enfin ! Trévoux, je me change, enfile un cuissard et un tee-shirt sec, bien agréable ! Un peu plus loin, à Parcieux, un ponton en bois, pente douce, accessible aux PMR, des bancs. Je pique-nique. Au bout une famille de pêcheurs : papa-maman et les enfants. Arrive la mamie, un repas chaud dans un panier au bout du bras. Elle habite une maison, juste à côté.
Puis, loin de cette station, ce même liquide continue de blanchir la chaussée, ce n’est donc pas du savon. La pollution, sans doute, des produits de traitement des vignes ou je ne sais quoi ! Blacé, Saint-Julien, et j’arrive à Villefranche-sur-Saône. Je passe un pont et là, enfin, une piste cyclable, pourrie au début, puis vraiment très sympa ensuite longe la rivière. La pluie s’arrête enfin ! Trévoux, je me change, enfile un cuissard et un tee-shirt sec, bien agréable ! Un peu plus loin, à Parcieux, un ponton en bois, pente douce, accessible aux PMR, des bancs. Je pique-nique. Au bout une famille de pêcheurs : papa-maman et les enfants. Arrive la mamie, un repas chaud dans un panier au bout du bras. Elle habite une maison, juste à côté.
Puis, loin de cette station, ce même liquide continue de blanchir la chaussée, ce n’est donc pas du savon. La pollution, sans doute, des produits de traitement des vignes ou je ne sais quoi ! Blacé, Saint-Julien, et j’arrive à Villefranche-sur-Saône. Je passe un pont et là, enfin, une piste cyclable, pourrie au début, puis vraiment très sympa ensuite longe la rivière. La pluie s’arrête enfin ! Trévoux, je me change, enfile un cuissard et un tee-shirt sec, bien agréable ! Un peu plus loin, à Parcieux, un ponton en bois, pente douce, accessible aux PMR, des bancs. Je pique-nique. Au bout une famille de pêcheurs : papa-maman et les enfants. Arrive la mamie, un repas chaud dans un panier au bout du bras. Elle habite une maison, juste à côté.
Puis, loin de cette station, ce même liquide continue de blanchir la chaussée, ce n’est donc pas du savon. La pollution, sans doute, des produits de traitement des vignes ou je ne sais quoi ! Blacé, Saint-Julien, et j’arrive à Villefranche-sur-Saône. Je passe un pont et là, enfin, une piste cyclable, pourrie au début, puis vraiment très sympa ensuite longe la rivière. La pluie s’arrête enfin ! Trévoux, je me change, enfile un cuissard et un tee-shirt sec, bien agréable ! Un peu plus loin, à Parcieux, un ponton en bois, pente douce, accessible aux PMR, des bancs. Je pique-nique. Au bout une famille de pêcheurs : papa-maman et les enfants. Arrive la mamie, un repas chaud dans un panier au bout du bras. Elle habite une maison, juste à côté.
Puis, loin de cette station, ce même liquide continue de blanchir la chaussée, ce n’est donc pas du savon. La pollution, sans doute, des produits de traitement des vignes ou je ne sais quoi ! Blacé, Saint-Julien, et j’arrive à Villefranche-sur-Saône. Je passe un pont et là, enfin, une piste cyclable, pourrie au début, puis vraiment très sympa ensuite longe la rivière. La pluie s’arrête enfin ! Trévoux, je me change, enfile un cuissard et un tee-shirt sec, bien agréable ! Un peu plus loin, à Parcieux, un ponton en bois, pente douce, accessible aux PMR, des bancs. Je pique-nique. Au bout une famille de pêcheurs : papa-maman et les enfants. Arrive la mamie, un repas chaud dans un panier au bout du bras. Elle habite une maison, juste à côté.
Puis, loin de cette station, ce même liquide continue de blanchir la chaussée, ce n’est donc pas du savon. La pollution, sans doute, des produits de traitement des vignes ou je ne sais quoi ! Blacé, Saint-Julien, et j’arrive à Villefranche-sur-Saône. Je passe un pont et là, enfin, une piste cyclable, pourrie au début, puis vraiment très sympa ensuite longe la rivière. La pluie s’arrête enfin ! Trévoux, je me change, enfile un cuissard et un tee-shirt sec, bien agréable ! Un peu plus loin, à Parcieux, un ponton en bois, pente douce, accessible aux PMR, des bancs. Je pique-nique. Au bout une famille de pêcheurs : papa-maman et les enfants. Arrive la mamie, un repas chaud dans un panier au bout du bras. Elle habite une maison, juste à côté.

Puis, loin de cette station, ce même liquide continue de blanchir la chaussée, ce n’est donc pas du savon. La pollution, sans doute, des produits de traitement des vignes ou je ne sais quoi ! Blacé, Saint-Julien, et j’arrive à Villefranche-sur-Saône. Je passe un pont et là, enfin, une piste cyclable, pourrie au début, puis vraiment très sympa ensuite longe la rivière. La pluie s’arrête enfin ! Trévoux, je me change, enfile un cuissard et un tee-shirt sec, bien agréable ! Un peu plus loin, à Parcieux, un ponton en bois, pente douce, accessible aux PMR, des bancs. Je pique-nique. Au bout une famille de pêcheurs : papa-maman et les enfants. Arrive la mamie, un repas chaud dans un panier au bout du bras. Elle habite une maison, juste à côté.

MARTIN-PECHEUR

Oiseau de petite taille, aux couleurs brillantes et vives : bleu turquoise dessus et orange dessous. Ses ailes et sa queue sont relativement courtes. Il vit proche des rivières à court d’eau lent, des lacs et des étangs de basse altitude. Les poissons constituent les la principale source de nourriture du martin-pêcheur.

 

La saviez-vous ? Observez son bec après une capture : si le poisson a la tête vers le gosier de l'oiseau c'est qu'il va être mangé, si la tête du poisson se situe vers la pointe du bec de l'oiseau, il sera offert à sa femelle ou aux jeunes.

 

BROCHET

Tête pointue et corps allongé sa coloration varie légèrement mais il est vert sur le dos avec un dégradé de blanc sur le ventre. Une bouche garnie de plus de 700 dents ! Il chasse à l'affût dans la journée et se nourrit de poissons blancs mais aussi de têtards. C'est un grand prédateur des eaux calmes.

 

 

CASTOR 

Plus gros rongeur d'Europe (longueur supérieure à un mètre chez l'adulte). Nocturne son observation est difficile. Sa présence est révélée par les arbres qu’il abat ou   ronge le long des berges pour se nourrir ou construire des barrages. 

 

ROUSSEROLLE EFFARVATTE 

C’est la plus fréquente des rousseroles mesurant 13 cm pour une quinzaine de grammes mâle et femelle ont le même aspect. Dos brun uniforme, cou, poitrine et ventre sont blanc cassé et le croupion tire sur le roux. Son nid fait de feuilles de roseaux, de tige et d'herbes, est suspendu à un mètre de haut. 

 

OUVREZ L’ŒIL 

Approchez-vous de la lunette sur votre droite observer les bords de Saône et trouver les silhouettes des espèces évoqués sur le panneau

 

MILAN NOIR

Rapace relativement grand, bien fréquent le long des cours d'eau. Sa queue est légèrement fourchue, voire triangulaire. Il chasse de petits animaux (rongeurs, poissons, invertébrés) mais mange aussi des cadavres et des déchets. C'est un migrateur ; il reste en France environ 4 mois juste le temps de se reproduire. 

 

LE SAVIEZ-VOUS ?

Le milan noir séduit sa partenaire en effectuant le vol nuptial : vrilles, piqués vertigineux, remontées en chandelle, chutes en feuille morte... Des parades accompagnées de longues vocalises.

 

 

Ile BEYNE qui vous fait face s’inscrit dans les Espaces Naturels Sensibles des îles et prairies de Quincieux, du département du Rhône. Paysage typique boisé qui accueille mammifères, poissons, oiseaux et libellule, primordial pour la migration des oiseaux, les îles permettent observation de loriot et de migrateurs rares ou occasionnels (grande aigrette, marouette, bihoreau gris, balbuzard pêcheur, gorgebleue à miroir et phragmite des joncs), en escale dans les prés et labours inondés.

 

Au 19e siècle elle était recouverte de pâturages. Habitée jusqu'au 20e siècle, un passeur faisait traverser la rivière en barque à de nombreux promeneurs le dimanche pour se rendre aux restaurants de l’île. Aujourd'hui il ne reste qu'un bâtiment en ruine, ancien élément du barrage aiguilles.

 

Dans l’Ain, le Département a labellisé une quarantaine de sites « Espaces Naturels Sensibles » aux milieux naturels très diversifiés sur une surface totale de 10000 hectares. Il assure la coordination des actions de préservation, de gestion et de valorisation des sites dans le cadre de son plan nature.

 

LE SAVIEZ-VOUS ?

Un ENS vise à préserver, reconquérir et valoriser des espaces qui présentent des fonctions écologiques ou paysagères remarquables c'est un site reconnu à l'échelle départementale.

 

 

Les maisons éclusières voient le jour sur la Saône au cours du 19e siècle afin d’héberger les personnels travaillant sur les barrages et les écluses.

 

D'autres maison éclusière présenter une architecture d'un modèle plus élaboré répondant à d'autres critères que ceux de la Saône à Port-Saint-Louis sur le Rhône 

 

Maison éclusière de Couzon Rochetaillée 

Maison éclusière de Thoissey Mogneneins

 

UNE ARCHITECTURE FONCTIONNELLE

Entre Gigny au nord et l'île Barbe au sud, cinq maisons éclusières sont construites dans les années 1870 en parallèle de la construction des barrages à aiguilles qu'elles surplombent. Gigny, Thoissey, Parcieux, Couzon, Rochetaillée et l'île Barbe sont édifiées sur un même modèle. D'un plan rectangulaire régulier, la façade s'articule autour de trois travées, deux niveau ôté Saône et trois niveaux côté terre. Rien ne distinguerait ces maisons éclusières d'un autre bâtiment si elles n'avaient toutes la particularité de prendre place au sommet d'une butte élevée juste au-dessus du niveau de la crue de 1840. Autre un autre signe distinctif, une porte monumentale prend place dans l'un des murs pignon afin de recevoir et réparer les aiguilles du barrage de 4 m de haut.

 

UNE MAISON POUR 3 FAMILLES 

Chaque maison abrite le logement de 3 éclusiers et de leur famille comprenant une cuisine et 2 chambres. Un bureau prend place au rez-de-chaussée à proximité de l'appartement du chef. Les caves semi-enterrées permettre d'être d'accueillir une étable pour un petit élevage tandis que les réparations peuvent être effectuées dans l'atelier.

 

LE MAGASIN DES AIGUILLES 

À Parcieux, deux autres bâtiments sont associés à la construction du barrage. Il s'agit des magasins destinés à stocker les aiguilles de bois de 4 m de haut.

L’ensemble du barrage de Bernard et en effet constitué de deux ouvrages. Un premier barrage de la maison éclusière pour rejoindre l'île Beyne l'autre part de l'île Beyne pour rejoindre la rive droite de la Saône à Quincieux. Chacun de ces barrages nécessitant un espace de stockage, le magasin des aiguilles furent construits sur l'île Beyne. Ils sont encore visibles aujourd'hui en hiver lorsque les arbres sont dénudé 

 

Approchez-vous de la lunette sur votre droite, observez... vous découvrir famille d'éclusier devant la maison éclusière de Parcieux 

 

Famille d'éclusiers devant la maison éclusière de Parcieux

Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon
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Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon
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Comme le vol d'un papillon
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Comme le vol d'un papillon
Comme le vol d'un papillon

River movie est le programme d'art public des Rives de Saône artistes internationaux et 23 œuvres à terme entre la Confluence et Rochetaillée-sur-Saône sur Saône en dialogue avec le paysage. Chacune des interventions artistiques proposera une expérience et une découverte unique réunies comme dans un film en plusieurs séquence. Elles entrent en résonance avec les lieux et leur histoire pour créer de nouvelles mythologies comme autant de surprises qui réenchante les rives.

Je m’arrête acheter un pain au chocolat dans une boulangerie. Je veux mettre mon masque : trempé ! L’air ne passe pas, je suffoque et m’empresse de payer et de sor-tir.
Je m’arrête acheter un pain au chocolat dans une boulangerie. Je veux mettre mon masque : trempé ! L’air ne passe pas, je suffoque et m’empresse de payer et de sor-tir.

Je m’arrête acheter un pain au chocolat dans une boulangerie. Je veux mettre mon masque : trempé ! L’air ne passe pas, je suffoque et m’empresse de payer et de sor-tir.

En face de l’île Barbe, une propriété avec une porte dans le style mauresque.

En face de l’île Barbe, une propriété avec une porte dans le style mauresque.

Et un peu plus loin, un resto qui a su s’intégrer dans l’espace laissé entre les voûtes dont il a pris le nom, ajoutant des volumes surprenants et irréguliers en métal qui semble comme rouillé et qui avance sur le fleuve. Très intéressant.
Et un peu plus loin, un resto qui a su s’intégrer dans l’espace laissé entre les voûtes dont il a pris le nom, ajoutant des volumes surprenants et irréguliers en métal qui semble comme rouillé et qui avance sur le fleuve. Très intéressant.
Et un peu plus loin, un resto qui a su s’intégrer dans l’espace laissé entre les voûtes dont il a pris le nom, ajoutant des volumes surprenants et irréguliers en métal qui semble comme rouillé et qui avance sur le fleuve. Très intéressant.

Et un peu plus loin, un resto qui a su s’intégrer dans l’espace laissé entre les voûtes dont il a pris le nom, ajoutant des volumes surprenants et irréguliers en métal qui semble comme rouillé et qui avance sur le fleuve. Très intéressant.

Je traverse la Saône par l’île Barbe
Je traverse la Saône par l’île Barbe
Je traverse la Saône par l’île Barbe

Je traverse la Saône par l’île Barbe

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Journal de voyage à vélo

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