La prophétie de l'horloge 

Paris est une fête. Il était une fois à Paris une jeune femme. La jeune femme se promenait à Paris. Paris est une fête, le Grand Bleu est une rivière, la prophétie de l'horloge est en train de sonner pour avertir de la fin du monde.

Kujtim

 La soupe aux choux

 Harry Potter était un enfant qui allait à l'école, il mangeait de la soupe aux choux tous les jours à la cantine. Il n'aimait pas parce que c'était répétitif, et un jour il a demandé à sa mère d'arrêter de manger à la cantine. Il a donc arrêté, il est revenu et il a mangé chez lui. C'était meilleur parce qu'il a mangé de la pizza et des lasagnes.

Yasmine

Games of Vikings

Ce fut des années auparavant, des guerres entre pirates et Vikings les plus sanglantes dans cette histoire. Deux hommes et un dragon protégeaient leur royaume pour le sauver.

Le sous-marin de la mer

Dans un monde où l'homme s'aventurait pour la première fois sous l'eau avec un sous-marin, il vit quelque chose dont jamais il n'imaginait l'existence. Il s'est posé la question : « je n'ai jamais rien vu de tel est-ce une dent de requin ou une boîte pleine de vieux souvenirs qui vient d'un bateau échoué sous les rivages. Reste à savoir. Je mène mon aventure sous l'eau et je ne cherche qu'à trouver des réponses ou bien ce qui s'est passé”.

L'attaque des indestructibles

Des super-héros sortis de nulle part côtoient les dangers qui les menacent. Ils se montrent et dévoilent leurs pouvoirs les plus indestructibles. Tout le monde était à la fois étonné, et beaucoup leur ressemblent. La seule phrase qu'ils ont dite c'est : “Tu verras petit, un jour tu deviendras comme nous ».

Mélodie

Le tambour de Mademoiselle de Jonquières au service du peuple

Mademoiselle de Jonquières était le surnom de Aloysia de la Jonquière comtesse connue pour son tempérament calme et avisé et les bons conseils qu’elle prodiguait aux personnes venant la consulter. Reconnu pour son intelligence, son élégance et les réceptions somptueuses qu'elle organise. Beaucoup plus méconnue était son expérience en matière de déguisement et d'illusion qu'elle utilisait, tel le chevalier D’Ion, pour devenir Guilldelot, larde.

Morgane

La servante Clara travaillait pour les riches qui habitaient à Beverly Hills.  Elle était esclave sexuelle et la servante de la maison. Soudain Clara en eut marre de vivre dans l'ombre et d'être une esclave, Clara a décidé de s'en prendre aux Titans de Beverly Hills. Elle a regroupé d'autres femmes qui subissaient la même histoire qu'elle, elles ont attaqué les Titans, brûlé les maisons et crié stop aux esclavages, stop aux souffrances faites aux femmes, stop aux envahisseurs. Clara a gagné la ville toute entière. Tout le monde la proclamait, elle est devenue la reine de Beverly Hills. Clara s'est mariée et vit sa vie comme elle l'a toujours rêvé. Reine Clara a mis fin au cauchemar et aux souffrances, reine Clara est maintenant appelée The Woman King.

Naïma

Thor est un film américain de super-héros.

Thor se téléporte dans un autre univers dans le monde de ratatouille. Le film raconte les aventures d'un rat nommé Rémy qui se sépare de sa famille lors d'une fuite en catastrophe de sa colonie. Rémy rencontre Thor. Rémy et Thor se téléportent et sont de retour dans l'univers Marvel pour combattre le mal.

Kujtim

Le jour où les Vikings ont découvert le tango (Une grande vadrouille ethnologique entre Paris, Casablanca et le Tibet)

 il y a fort longtemps, entre le VIIe et le IXe siècle les Vikings vivaient au nord de ce que l'on appelait pas encore l'Europe. C'était de très grands voyageurs qui se déplaçaient beaucoup, surtout vers le sud, le nord étant, à cette époque, pris constamment par les glaces.

Or il se trouve qu'un jour leur pas les menèrent jusqu'à ce qui n'était pas encore la France. Cependant, dans cette série, une dystopie, le scénariste a imaginé que Paris était déjà sorti de terre.

Or donc, les Vikings, arrivés au Havre, remontèrent la Seine jusqu'à Paris. Qu'elle ne fut pas la surprise de ses grands hommes et de ses grandes femmes aguerris au grand froid de voir ses petits Parisiens sérieux comme des papes s'enlacer et entamer une drôle de danse, au son d'une musique de bandonéon, de violon, de contrebasse et piano, instruments, soit dit en passant, qu'ils ne connaissaient évidemment pas du tout.

L'un d'entre eux, qui baragouinait un peu le Parisien arrêtant un couple et leur posa tout à trac cette question :  

- Que faites-vous donc là messieurs dames ?

- Mais nous dansons le tango !

- Le tango ?

 - Nous pouvons vous apprendre les pas si vous voulez !

 - Soit !

Et il traduisit le dialogue.

C'est ainsi que les Vikings ayant découvert cette danse qui, il faut le savoir, venait d'Argentine, l'apprécièrent tellement qu'ils achetèrent bandonéon, piano; violon et contrebasse. Ils restèrent le temps qu'il fallut pour apprendre à jouer et à danser. Grands voyageurs, ils éprouvèrent le besoin de repartir à bord de leurs immenses bateaux.

Ils reprirent la mer, contournèrent la France, le Portugal et l'Espagne pour arriver au Maroc, à Casablanca plus précisément. Ce peuple chaleureux eut beaucoup de plaisir à découvrir à son tour cette danse. Et là d'entre eux leur conseilla de se rendre au Tibet, pays au climat davantage en phase avec le leur. C'est ainsi qu'après un très long voyage sur mer, puis sur terre ces voyageurs arrivèrent enfin dans cette autre région du monde.

Le tango révolutionna complètement les mœurs, même si, il faut le dire, entre-temps, les Vikings avaient bien fait évoluer les pas mais aussi les instruments, ceux-ci n'ayant pas très bien supporté l'air marin.

Et maintenant, de l'Argentine à Paris, de Paris à Casablanca, de Casablanca au Tibet le tango est devenu patrimoine immatériel de l'humanité.

Martine

Femme de chair et de sang

Femme souveraine

Femme sans sceptre ni spectre, respect !

Tu portes, telles deux fioles, tes ovaires

Tache d’encre colorées

Face à face comme boules de Noël

Femme masquée, sans arme,

Devenue mère,

Vagin vivant

Utérus palpitant

Ton chant et ta musique résonnent

Dans ces trompes d’airain

Trompes de Fallope

Femme pâle, femme folle

Cet enfant au monde

Fait de lait et de sang

Autrefois poisson, en oiseau métamorphosé

Quitteras-tu le nid pour t’envoler

Loin de ton royaume ?

Labyrinthe est un projet artistique autour d'une proposition de L'Étincelle, une association de Communay (Rhône), intitulée pour l'année 2023 :

Sur ce thème de l'errance (Errons, errons) et en remarquant le parcours labyrinthique imposé par l’Étincelle (chemin qui traverse le village et la campagne proche) le long duquel doivent être installées les œuvres, j'ai imaginé mettre en évidence le parcours d'errance des migrants et le labyrinthe administratif français dans lequel ils se perdent. Imaginons les tentes, ponts, squat, familles bienfaitrices où survivent ces hommes, ces femmes, ces enfants, ces familles sans logement. Comment ressentent-ils le dédale administratif, les cases, dans lequel ils doivent tenter de s’insérer ?

Mode d’accrochage et données techniques :

Arte povera. De modestes moyens (ficelles et cartons) tout comme sont modestes les moyens des personnes à la rue. Textes écrits sur des cartons, cartons dans lesquels je percerai avec des trous dans lesquels je ferai passer des ficelles. Accrochage aux arbres, branches, barrières ou bancs : ce que je trouverai.

Panneau N° 1

Mars 2023. « À vot’ bon cœur, M’sieurs Dames ! Un ticket repas pour manger !? Une pièce pour dormir !? »

Elle était là, assise par terre sur un morceau de carton, la main tendue. Un papier posé devant elle : « J’ai fin ». 

Panneau N° 2

Elle ne souriait pas, semblait avoir froid. Quelques flocons voletaient autour d’elle.

D’habitude, comme tous les passants, je passais mon chemin et détournais mon regard.

Je m’arrêtais. Visage rond, juvénile, 35 ? 40 ans ? Enveloppée dans une couverture, elle avait les yeux dans le vague. Je m’approchais : « Bonjour ! ». Ses yeux se plissèrent, les coins de sa bouche se relevèrent. Timide sourire. 

Panneau N° 3

« Vous avez faim ? ».

« Oh oui ! ».

« Venez avec moi, je vais à la cafétéria à côté. Vous avez compris ? »

Je lui fis signe de la main, vers la bouche « manger ».

La jeune femme et moi entrèrent au chaud. Elle comprenait un peu le français. Elle mangea de bon appétit. 

Panneau N° 4 bis

Elle venait de Crète où elle travaillait dans la restauration. Ses clients étaient français, ou anglais. D’origine albanaise, elle parlait donc quatre langues ! Elle était arrivée depuis deux ans avec son mari, il était ensuite parti de l’appartement. Sans ressource, elle avait quitté son logement. 

Panneau N° 5

Une association lui avait donné une tente. Des policiers la lui avaient prise. Incompréhension. Elle avait dormi dehors, sur des cartons. Peur.

Une compatriote l’avait hébergée, un temps.

Elle s’était à nouveau retrouvée à la rue, bien seule.

Je lui proposais de l’héberger. Célibataire, j’habitais un F3. Un canapé convertible pouvait l’accueillir. Sourire éclatant, tel un soleil sur son visage. 

Panneau N° 6

Je lui parlais un peu de moi. Nous discutions comme si nous nous connaissions depuis longtemps.

Toutes ses affaires, à part son sac, étaient chez la famille albanaise. Je devais retourner travailler. Que faire ? La patronne du snack accepta qu’elle reste jusqu’à cinq heures. 

Panneau N° 7

Impossible de me concentrer, je pensais à elle tout l’après-midi. En sortant du travail, je me précipitais vers la cafétéria. Sera-t-elle encore là ? Je la vis qui lavait une table ! La patronne n’avait trouvé personne pour remplacer la précédente salariée, en congé maternité ! Elle voulait bien l’embaucher, mais … comment faire ?

Panneau N° 8

Elle avait cherché sur internet. Bien compliqué ! Déboutée de son droit d’asile, elle était sans papier. Présente depuis moins de trois ans en France, elle n’y avait jamais travaillé, encore moins « 24 mois, dont 8 dans les 12 derniers mois » ! Ubuesque ! Que faire ? Je promettais de chercher une solution. 

Panneau N° 9

Nous partîmes en métro chercher ses affaires. Trois valises et deux sacs. Arrivées chez moi, je dégageais une étagère. Surprise ! Elle avait de très jolis vêtements grâce à La Croix-Rouge. La première chose dont elle eut envie fut de prendre une douche. Je cuisinais et fit son lit. Elle mangea très peu. Elle se coucha et s’endormit aussitôt, enfin en sécurité. 

Panneau N° 10

Le lendemain, elle me raconta son parcours. Un mariage forcé avec un homme plus vieux qu’elle. Les violences quotidiennes. Bouteille de bière cassée sur la tête. Les viols. Les grossesses, les coups répétés sur le ventre. Les avortements. Seul moment de bonheur, la naissance de son enfant, prématuré, suivi de la mort de son bébé. Son employeur, le personnel de la maternité, la famille proche, personne ne savait ce qu’elle vivait. 

Panneau N° 10

Heureusement elle travaillait ! Avec son argent, elle prit un avion. Son mari, sans cesse lui promettait d’être gentil. Rassurée ? Résignée ? Les coups reprirent. Un jour, plus violent que les autres, elle osa aller au commissariat. Il disparut. L’errance, les associations. Aucune trace de violence, aucune séquelle visible. L’Albanie n’est pas en guerre, elle n’est pas victime du Kanoun, ni réfugiée politique. Les dossiers déposés, tous rejetés.

Panneau N° 11

Ce travail lui permit de louer un appartement. Elle put même, Ô Joie ! Reprendre Max, son petit chien, unique confident de ses peines. Côté Préfecture, ce n’était pas gagné. Mais l’espoir renaissait.

À revoir ! Martine Silberstein, en remerciement à SINGA, merci à mon amie albanaise d’avoir partagé ta vie quelques mois avec nous.

Dans son habit doré et brillant, le père Noël s’en allait

Il partait voyager au bout du monde pour offrir des cadeaux

À tous les enfants, petits et grands, sur toute la planète le même soir

Les fêtes, les repas en famille

Ils attendent patiemment son arrivée

En fin, il est là, le père Noël est arrivé

Avec sa grosse barbe blanche et son sourire, la fête est sereine

Amitiés durables

Biographies à poursuivre

Chercher dans les archives

Déterminée à avancer

Écouter, écrire

Faire des choses que j’aime

Gagner au loto (y jouer ?)

Humanité : encore des progrès à faire !

Imaginer des histoires à raconter

Jardin à contempler

Kalachnikov : la paix dans le monde

Léger

Mila, maman prendre soin

Orages familiaux à éviter

Plongée

Quelques balades à pied

Santé

Tandem

Utile

Vélo dès qu’il fait beau

Week-end en amoureux

Xérès

Yucatan

Zoé

Assise sur le banc du jardin, un verre de xérès à la main, je contemple mon jardin qui, après l’hiver renaît à la vie. Les oiseaux ne l’ont pas déserté, les graines laissées à leur disposition les auraient-elle aidées ? L’air est léger.

2023, tant d’idées, de projets, de résolutions, faciles ou difficiles à atteindre !

Il fait meilleur, l’envie de remonter en selle me chatouille. Les canaux de Saône-et-Loire ? Zoé adorera pédaler jusqu’aux Haras de Cluny, elle aime tant les chevaux …

Une sortie en tand’aime par semaine, c’est une chose certaine, et une routine aussi.

Mais l’envie de roule avec Denis, ce Québécois rencontré l’été dernier en Camargue, tous les trois, avec Aude sur le tandem, oui, mais où cette fois ?

Après Grigny (Rhône) jusqu’à Grigny (Essonne), pourquoi ne pas aller à Grigny (Pas-de-Calais) ? IL n’y a, après tout, que 230 kms, une broutille !

Poursuivre mes balades, seule, en famille ou avec des amis dans la région. Covid, pas covid, je n’ai jamais arrêté mes promenades, même par grand froid, alors à la belle saison, je continuerai cette activité simple et si peu coûteuse.

Bien sûr, poursuivre le bénévolat aux Potagers du Garon, j’aime travailler la terre et rencontrer toutes ces personnes venues ici, en France.

Sur terre, sur et sous l’eau aussi, l’été et l’automne venus, l’eau est bonne et propice à de belles baignades et à des plongées en France mais aussi en Italie et, pourquoi pas, au Yucatan. L’occasion de passer de bons moments en amoureux, à condition de ralentir de rythme de travail.

Pédaler sur terre, travailler la terre et souhaiter que sur notre belle Terre, pour notre Humanité toute entière, que cessent les guerres, la famine et la misère, mais que puis-je y faire, moi, pauvre vers de terre que je suis ?

Martine

Apprendre le gAélique irlAndAis

Que la Chance sourit à ma famille et à moi-même

Que mes petits Grandissent bien

M’immerger dans encore beaucoup d’Histoires

Aller un jour en Irlande

Pouvoir Jouer à des Jeux vidéo qui, J’espère, me plairont

Refaire du Kayak

Que tout se passe pour Le mieux pour ma cousine Lénaëlle

Avoir des raisons de M’éMerveiller

ENtendre plus de boNNes Nouvelles que de mauvaises

Que j’arrive à surmOnter les Obstacles qui se présentent sur ma rOute

Éviter les Querelles

Que touS meS procheS Soient en bonne Santé

Reprendre le Tir à l’arc

TrouVer ma Vie

Profiter au mieux de mes Week-end

Zephyr

Morgane

Prendre deux sacs

Prendre deux pantalons 

Prendre deux chemises

Prendre dix pulls

Prendre dix  sous-vêtements

Mélanger le tout et mettre ça dans deux sacs

Fermer les et prendre le chemin de traverse

Ouvrir les deux sacs

Et remettre les vêtements par ordre

Et remettre ça dans votre nouveau placard 

Non signé

Continuer Accompagner les personnes qui écrivent en atelier d'écriture

Espoir de la publication que la Biographie retraçant la vie mon père soit un jour publiée

Je formule la résolution d'aller un peu plus souvent au Cinéma en 2023 le dimanche, plutôt de petits cinémas (Mornant ou Vienne et d'art et d'essai le Commedia à Lyon) plutôt que de seulement jouer au Scrabble

Écrire, encore et toujours. Seule, pour moi, avec pour les autres.

Folie, conserver même développer ce petit grain, comme un regard enfantin, étonné sur toute chose, continuer à me poser mille questions

Aider mes petits-enfants à bien Grandir

Écrire des Haïkus, peut-être

Imaginer, rêver dans mon Jardin où peux voir :  serpent, hérissons, oiseaux, furet, vers de terre, papillons, araignées, abeilles, guêpes, fleurs, arbres

Karcadé; Kilimandjaro fin des Kalachnikov et tout arme dans le monde ? Un rêve !

Lire lire lire lire lire

Maman, je m'occuperai de toi avec amour aussi longtemps qu'il le faudra

Observer les gens, assise à la terrasse d'un bistrot

Prendre soin de mes petites filles de mes enfants de ma famille

Qui écrire à la lettre Q ? Ah oui Qi gong, ou retour au Québec.

Ralentir ou (peut-être) des ateliers d'écriture si ma candidature à l'université et retenue

Prendre soin de ma Santé, remplacer mes Sonotone. J’espère que cette hernie sera bénigne et ne nécessitera pas d'opération.

En Tandem, immanquablement chaque mercredi et puis un petit viron de quelques jours

Entrer à l'Université, qui sait, pour un master en histoire, oui mais lequel ?

Voyage, proche, à Guérande, ou lointain. Je ne sais pas encore où. Israël avec Antoine ou chez Antoine ?

Watt watt, comment réduire sa consommation

Xénophile j'ai été élevée dans cet intérêt pour les personnes venant de l'étranger, je persévère dans cette voie en 2023

Aurais-je la réponse de Yad Vaschem cette année ?

Zoé, les chevaux, une vraie passion. Ensemble allons à vélo ou au Haras de Cluny cet été.

Martine

Le cœur et l’amour, je n’y crois plus.

Le coucher de soleil, romantique, c’est banal.

Mais le calme, au coucher de soleil, est apaisant.

Bouchra

Les cinq sens

La vue                  brillant, emballage doré, donne envie, truffe

Le toucher          pas agréable, truffe

L’odorat              inodore

L’ouïe                   grillé

Le goût                amer

Le toucher n’est pas agréable, salissant, je suis déçue, c’est rugueux. J’ai cru voir une truffe, mais ça croque, c’est comme un caillou. J’aime son amertume.

O mon beau chocolat

Toi mon beau croquant

Tu es si beau à croquer

J’entends ma langue à l’intérieur toucher

Mon palais

C’est si bon quand je touche les noisettes

Craque dans les mains, j’aime beaucoup

L’étoile brillant de mille feux

Abdelhakim

La vue                  doré/un peu argenté/inscription/entouré de poudre de cacao

Le toucher          le chocolat à l’intérieur de l’emballage a l’air épais

Dans cette salle, nous nous apprêtons à fêter l’anniversaire d’André

Toutes les tables ont été ornées d’un emballage doré, avec un peu d’argenté

Tous ces mets raffinés

Sur les tables sont disposés

Mais avant de pouvoir nous régaler et profiter

Nous devons attendre que tous les invités

Arrivent dans la salle pour festoyer

Ce chocolat m’inspire une descente de galets du Rhône comme dans une rivière, remplie de galets.

Le jour de la fête de Noël un homme est passé sur la passerelle devant un panneau. En face, une dame est en train d’éplucher des mandarines pour y lettre avec des chocolats.

Le soir venu de la fête, une cassure apparaît sur la carrosserie de la voiture

Au Népal, il fait très froid, les villageois se mettent au chaud chez eux, une princesse arrive au loin, mais elle s’est craqué la cheville. Elle va voir une dame qui va planter des graines pour les oiseaux, ces oiseaux vont planer dans le ciel et passent devant un aileron, dans une pale, ils sont en train d’épeler.

Célia

Empaqueté d’alu doré cela me rappelle le clinquant des décorations des fêtes de Noël.

Grosse pépite vêtue d’or que je vais lentement déballer avec gourmandise.

Voilà que son cœur ressemble à une truffe et sur mes doigts, poudre de chocolat.

Galet, tu portes bien ton nom, solide comme le roc.

Ton parfum de cacao me transporte dans les profondeurs des cabosses.

Mes dents ont croqué l’écorce sucrée du cœur de ton cœur corsé et cacaoté.

Croquant, croquant et croustillant.

Le goût de chocolat me reste en bouche comme les Noëls de mon enfance,

souvenirs sucrés et douce ambiance.

Crépitant sous mes dents,

fondant dans la gorge et chaud comme le feu de cheminée alors qu’il neige dehors.

Et je décore le sapin avec l’emballage brillant des galets du Rhône.

Un Noël de mille feux.

Dany

Je suis en vacances à Lyon. Il y a un beau soleil, brillant, éclatant. Il y a un joli arc-en-ciel. Je suis allé dans une boutique de chocolat, j’ai goûté un chocolat local. Il était fondant : il fond dans la bouche. Il était vraiment délicieux, et en plus il était fait maison.

Kujtim

Un galet enrobé d’une couche de sable venant du Rhône, marron et enveloppé de papier doré

Une odeur de chocolat noir corsé s’en dégage

Quand on le croque, on est surpris par le cœur fondant se cachant sous la coque de nougatine

Un mélange d’amertume et de douceur submerge mes papilles

Morgane

Le chocolat galet du Rhône

Il scintille, je vois la fête, la joie, la famille à travers cet emballage doré ; ce toucher velouté, ça me donne l’impression de toucher mes souvenirs avec les personnes que j’aime. Cette odeur agréable me rappelle la fin des soirées de Noël parce qu’on mangeait souvent du chocolat en dernier, ce goût à la fois amer, doux, bon, surprenant qui me donne la sensation de danser avec mon prince charmant sur une musique de mots. Des mots qui me portent sur des nuages d’amour et de tendresse.

Merci chocolat galet du Rhône, et surtout merci à ma famille qui rend Noël magique comme dans les films chaque année.

Meriem

La vue                  brille doré verso argenté recto écrit Galet du Rhône en lettres bleues plat d’un côté, bombé de l’autre poudre de cacao marbrures plis marqués nuances de marron petits points blancs cabosse bosselée

L’ouïe                   Ccrrrac croquer craquer

Le toucher          doigts papier rugueux bouche, dents et langue dur collant fondant miettes croquant poudreux mou granuleux

Le goût                sucré noisette ou amande chocolat amertume sucré nougatine

L’odorat              boisé cacao sec

Brille                     étoile dorée argentée en haut du sapin boisé. Fille bille pille ville

Galet                    crèche de Noël. Sèche Met égal gars gamin étage gèle gela plat latte glace plage télé léger légat étalage attelage large gala étale

Marron                comme le visage de Balthazar châtaigne potiron

Marbrure            gâteau marbré buche de Noël

plis marqués     habits de fête

Ccrrrac                 la neige la glace qui craque sous les pas glace dure/qui fond

Collant                 chaud pour affronter le froid

Petits points blancs         flocons de neige

Sucré                    13 desserts provençaux : les mendiants (quatre sortes de fruits secs noisette ou noix, amande, figue et raisins secs), la pompe à huile, nougat, dattes, calissons, fruit de saison (clémentine, orange, poire ou pomme), fruit exotique, melon d’eau.

Même dans la dèche, il met la crèche au pied du sapin. Sapin qu’il est allé couper au fond du bois, à quelques kilomètres de son village.

Les pieds s’enfonçant dans la neige, faisant craquer les fines plaques sous lesquelles s’agitent de petites bulles d’eau prisonnières de la glace. Son regard s’illumine que des flocons de neige, petits points blancs, sautillant comme mus par des lutins. Un rien l’émerveille.

Il place une étoile brillante au sommet, une étoile d’or et d’argent qu’il a retrouvé dans un carton quand il a vidé l’appartement de ses parents. L’Etoile de quand il était petit.

Les guirlandes se sont perdues, tout comme les sujets qu’ils accrochaient aux branches.

La crèche, c’est lui qui l’a faite, de planches et de mousse.

Les personnages, il les a fabriqués de bric et de broc. Il les a habillés de petits morceaux de tissus tous froissés aujourd’hui, si jolis autrefois. Les rois mages, le petit Jésus dans un berceau de paille, Joseph et Marie, et les animaux à l’intérieur dans la crèche, le bœuf, l’âne, et le coq au sommet.

Dans son assiette, il n’y avait pas grand-chose. La bûche de Noël est celle qu’il met dans la cheminée, la plus grosse, celle qu’il garde précieusement pour ce jour-là.

La chose à laquelle il tient et à laquelle il se tient, ce sont les treize desserts. Il veut maintenir la tradition, alors il l’a conservée : les mendiants (quatre sortes de fruits secs noisette ou noix, amande, figue et raisins secs), la pompe à huile, nougat, dattes, calissons, fruit de saison (clémentine, orange, poire ou pomme), fruit exotique, melon d’eau.

Mais aussi une papillote en chocolat. Il finit toujours par ce chocolat cabossé, souvenir de la cabosse du cacaoyer, croquant et fondant à la fois, à l’odeur boisée, emballé dans son papier rouge et doré. Et quel bonheur de tirer sur les deux petits bouts de la bandelette de papier et de faire éclater le pétard et sa lumière jaune !

Il s’assied ensuite devant la cheminée et, béat, s’endort, bercé par le ronronnement de la flamme orangée.

Martine

Je ne vais pas étaler tout mon savoir sur ce produit exceptionnel fabriqué dans nos
ateliers situés à l’étage, mais avec ce galet léger, frais comme une glace concoctée
par nos gars, qui ne sont plus des gamins et qui, bien sûr, n’ont pas la gale, vous
serez particulièrement gâtés !

Jamais, vous m’entendez, jamais vous n’en entendrez parler à la télé, pourtant, ce
galet est large en goût.

Vous pouvez le déguster à la plage, le savourer comme un plat, et même ne croquer
que cela pour votre repas.

L’emporter sur votre attelage, ou le manger lors d’un gala, jamais il ne gèle, ne gela,
ni ne gèlera.

Il est tout à fait légal de le consommer en tout lieu, sur terre, comme dans les airs.
Avec le galet du Rhône, vos gones jamais ne tomberont pas la Saône.

Martine