Callipalabra

Pour un bon travail

Se lever tôt le matin

prendre son courage à deux mains

empoigner sa caisse à outil

poser la caisse à outil dans la camionnette

arriver à l'heure à la boîte

dire bonjour au patron

boire un café

partir chez le client

dire bonjour au client

réparer le lave-vaisselle en panne

encaisser l'argent

donner la facture

dire au revoir au client

reprendre le volant de sa camionnette

arriver chez un nouveau client...

manger un bout pour reprendre des forces

repartir chez un client...

rentrer chez soi épuisé

dormir tôt pour

se lever tôt le matin

Rebelle et agile, tel un aigle

Je suis libre

je survole l'île à la recherche de mes frères, les bêtes

L'oie se tait, posée sur une pierre

Malade, couverte de tache, elle a la gale 

La chat, fraternel, tente de la soigner

Lui passe du gel

Il veut jouer aux billes

mais l'oie sur son oreiller de soie

Replie ses ailes.

Le chat, sur son  banc

Tâche de recoiffer sa raie.

Love, chère oie

Dans la vallée coule une rivière où j'aime nager. C'est un endroit calme. J'y vais avec maman et ma minette nattée. Ici, pas un chat ni même un rat, ce n'est pas comme à la mer. C'est comme un rite, nous emportons nos valises pleines de textes que nous aimons relire, et vogue l'imagination !

Puis nous mangeons car la natation a brûlé toutes nos calories. A voir les mirettes de ma minette, je me marre.

Et

 Samira est un être merveilleux. Elle est l'espoir de tout musicien. Enfant, déjà,  elle jouait de la flûte. Elle était l'espoir de ses parents. Elle seule pouvait rompre le cercle maudit de ses ancêtres. Son imagination était sans borne. Ensemble, avec ses amis, elle a formé l'orchestre le plus joyeux au monde.

Je me sens lourde et ensommeillée. En regardant le plafond j'imagine des cathédrales, la Tour Eiffel. ça y est le moment arrive, je regarde le soleil et m'endors. La porte s'ouvre, une nouille de fille rentre et raconte des bêtises. Elle me donne envie de rire et soudain rien ne va plus. Boum !!! Elle tombe. Tous solidaires nous la relevons, elle se réveille et recommence, assise sur sa chaise, elle penche. 

Voilà, on reprend, sur le tableau on écrit des mots. Ces mots en fouillis me ravagent la tête. Vite, que ça s'arrête, et enfin c'est l'heure. Chacun reprend ses affaires et part. Oui, c'était un cauchemar. 

Ecrit en atelier par Mathilde

Depuis la tour, assis sur une chaise,

Depuis le balcon, après avoir fait le vide total j'ai aperçu un train transportant des voitures. A l'intérieur de celui-ci il y avait une chipie qui regardait un tableau devant une fenêtre.

A côté il y avait un classeur, un écran d'ordinateur. Lorsque le train passait entre les arbres; le ciel bleu l'éclairait comme un écran noir qui clignote. Le train passa devant un mur sur lequel était dessiné une cathédrale. Des oiseaux étaient posés sur ce mur. Un grand tableau de maître y avait été dessiné. Un groupe d'amies jolies, râleuses peut-être même des voisines car un immeuble se trouvait derrière le mur, étaient assises sur des chaises pliantes et des fauteuils. Des ordures et des poubelles jonchaient le sol.

Dès ce moment, je fermais le regard pour m'éloigner de ce brouhaha et ainsi en un battement de cils, un ciel limpide et ensoleillé illumina mon sac de beaux souvenirs.

M'entraînant dans ce tube de bonne humeur où les souris dansent même sur les ordures du massif des Ecrins. Et toi ne ferais-tu pas de même?

Texte écrit en atelier par Zamarow et Bruno.    

Texte écrit en atelier par Samira

Flûte merveilleuse

Samira être

Espoir enfants

maudite

Jouet imagination

ensemble

et

Sérieuse

Autoritaire

Mignonne

Impulsif et irréprochable

Râleuse

Attachante

Et

Samira joue de la flûte merveilleusement bien

Une jeune fille nommée Marie assise sur une chaise, sur la terrasse d'un café regarde passer les trains tout en sortant son ordinateur qui se trouve dans son sac pour travailler dessus. 

Mais voyant le ciel bleu, le vent doux souffle sur les arbres, sa concentration s'est envolée.

Marie décida d'aller se promener. En passant devant une poubelle elle jette quelques papiers.

Tout en cheminant, elle rencontre une jeune fille très jolie avec qui elle entama une conversation, elle s'appelait Samira. Tout en discutant elle découvrit que c'était une vraie chipie et une râleuse. Après cette discussion Marie reprit son chemin en direction de la gare car son train, un TGV l'attendait pour partir au soleil. 

Texte écrit en atelier par Bruno et Jacqueline.  

Texte écrit en atelier par Valérie

Emmanuel et Marine étaient mariés.

Lui était maraîcher, il avait beaucoup marché dans cette belle vallée

Pour aller retrouver sa maman pour manger

Ensemble ils avaient beaucoup d'imagination

Et

Samira était dans l'espoir d'avoir un enfant. Elle jouait de la flûte mais elle était maudite.Ensemble le plus merveilleux c'est qu'ils avaient beaucoup d'imagination. 

Son souvenir éclairait son visage, son regard était plein d'étoiles.
Dans le train, elle fit une nouvelle rencontre, encore une jeune fille qui devint sa copine. Arrivée à destination elle traversa une rue et se retrouva devant une tour pleine de fenêtres et de balcons, elle continua son chemin, et tout en marchant, elle rencontra une amie, cette dernière lui proposa de continuer sa route avec elle dans sa voiture. Après quelques kilomètres elles arrivèrent devant la maison de Marie. Elles y entrèrent et s'asseyèrent  dans un fauteuil tout en regardant un écran allumé  devant elles.

Marie raconta qu'elle venait de Lyon où elle étudiait les langues. Pour lui montrer qu'elle étudiait, Marie sortit un classeur de son sac à dos. Cette copine depuis, est devenue sa meilleure amie, elles se voient souvent pour aller se promener dans un écrin de verdure et de paix.

Assises au soleil sur des fauteuils, elles se sont racontée l'histoire d'une amie de Marie qui était tombée enceinte et qui avait eu un beau petit garçon et une belle petite fille. Ils avaient été baptisés dans la cathédrale de Chartres. Actuellement cette famille réside dans un appartement remplit de souris vertes et entouré de voisins chiants. 

Texte écrit par Jacqueline

Texte écrit par Cyrille

Le temps des aspirations d'un idéal de vie

partiellement accompli

reste l'essentiel; la paternité enfin accomplie

miracle de la médecine, pour une fois qu'elle embellie ma vie !

Et

 Samira, ensemble, l'imagination d'un merveilleux espoir d'un enfant : Romain.