Publié le 14 Mai 2016
La plénitude d'un chagrin intense dans l'horizon d'une beauté à l'état pur et d'un destin sans fin.
Samuel
Voyage, biographie et écriture
Publié le 14 Mai 2016
La plénitude d'un chagrin intense dans l'horizon d'une beauté à l'état pur et d'un destin sans fin.
Samuel
Publié le 13 Mai 2016
La nature, le bon air, la détente,la montagne, les animaux, les fleurs, une vieille maison, une église, la verdure. Randonnée, un hébergement, un panneau d'indication.
Celui-là fut de notre nuit.
Samia
La nuit s'en va et le jour est là. Je me fond dans la nature, ses animaux, ses fleurs. Je me promène en écrivant du rap. Je rencontre des personnes sur mon chemin mais une des personne commence à râler et je lui dit : "va manger un fruit !".
Un ara se met à chanter sur le toit de l'église. Il chantant tellement fort qu'il emmena la pluie mais heureusement, j'avais mon parapluie !
Arriva la nuit, j'étais épuisée.
Samia
Publié le 12 Mai 2016
Rusée, j'ai loué des sortes d'anges pour partir vivre et dormir avec joie et faire rouler dans le ciel des parapluies de différentes couleurs qui, pour moi, expriment de la gaieté. Liberté dans ma ville. Le soleil très généreux illumine toutes ces couleurs.
Catherine
Publié le 9 Mai 2016
Dans la Bellecour de l'Hôtel de ville, j'ai entendu dire Part-Dieu, qui était en lévitation qu'une Grange blanche en haut du Mont-Joyeux était pleine de Cuire, que Jean a Macé, mais un syndrome de Tourette qui lui fait dire des insultes l'empêche de trouver un bouleau à Lille, lui qui voulais faire des Billons.
Mickaël
Publié le 8 Mai 2016
Nous sommes au mois de novembre sur une île située au large de l'Angleterre. J'ai rendez-vous avec mon frère qui est général en poste au fort principal de l'île. Ne le voyant pas venir, je commençais à me faire du souci, le fait qu'il soit haut gradé et qu'il ait toute une garnison de soldats sous ses ordres n'empêche pas qu'il aurait y pu avoir un accident en cours de route. Le chemin qu'il faut emprunter est assez dangereux mais heureusement je l'aperçu galopant su sa jument noire me rassurant sur son avenir. Et là, justement au moment où il arrive le voilà qui tombe dans la fosse aux ours ! Ne le voyant plus je priais la madone qu'il fut encore en vie.
Texte non signé
Publié le 7 Mai 2016
Saint-Just avait un souci électrique dans sa grange. Il n'y va pas par quatre chemins pour trouver le problème. La source était dans la rue. Avec son ami Manuel, ils se sont aperçus que l'eau qui descend de la montagne, débordait de la rivière jusqu'à la mairie. Les deux amis se grattent le menton et se ruèrent sous leurs abricotiers où est enterré leur oiseau sans plume qui s'appelait Général Leclerc. Ils se mettent à rire pour rompre le chagrin qu'ils accumulaient depuis leur départ de la maison. Plein de plaisirs les deux compagnons se font un bon casse-croûte avec du pain, du saucisson et un petit canon de rouge.
David
Publié le 5 Mai 2016
Sans souci en haut du gratte-ciel je regarde le bateau Valmy poussé par les Alizés fendre l'océan en direction des îles Combo.
David
Publié le 4 Mai 2016
Elle se nommait Sarlett O'Hara.
Son père venait d'Irlande, mais jamais elle n'était allée en Europe.
Elle était née un 11 novembre au Etats-Unis, dans un état du sud.
Elle quitta l'université à dix-huit ans, pour s'enfuir à Atlanta.
Dans sa folie, rien ne comptait plus que son amour pour les arts.
Elle était rousse et plutôt jolie, mais trop intelligente pour plaire vraiment.
Atlanta venait tout juste de voir le jour, et Scarlett y découvrit un nouveau monde.
Elle habitait seule, dans une modeste maison, sur une esplanade qui surplombait la ville nouvelle. Tous les dimanches elle se rendait à la messe et son église était surmontée d'une petite croix en bois.
Scarlett disait toujours "Mon plaisir se résume à surprendre l'avenir au tournant".
Puis un jour, tout bascula. 1861. Jamais Scarlett n'oubliera cette date. Ce jour maudit où les soldats Yankees envahirent Atlanta. La guerre de Sécession venait de commencer et elle ne se douta pas qu'elle allait finir par perdre la tête.
Emilie
Publié le 3 Mai 2016
Les Dominicaines, gens de couleur, nagent vers le Siam, suivies des mouettes. Les Caraïbes et la chaleur grasse au soleil, prennent des couleurs pastels. Atteintes de folie, elles iront aux sources de l'oasis où les géranium en fleurs redonneront de la gaieté. L'église de la Bonnette apaisera le coup de surin et de rames donnés sous le capot plein de suie.
Patrick
Publié le 2 Mai 2016
Jacques, qui habite à la rue neuve, met sa jaquette pour se rendre à Vaulx-en-Velin avec gaityé et bonne humeur.
Achille