ateliers d'ecriture adultes

Publié le 4 Septembre 2016

Dans le lointain, le long de l'horizon, mon champ d'iris ressemble par certains moments à un tableau, parsemé par les multiples rayons du soleil. Telle à pluie fine ma peau frissonne de joie. Pareil à un rideau mes paupières enfin closes m'entraînent dans un doux sommeil bleu.

Mansouria

Iris

Voir les commentaires

Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

Repost0

Publié le 3 Septembre 2016

Oh ! ma chère maman, je t'ai vue et je pense à toi.

* Partout, où je suis je pense à toi !

* Dans mes rêves je t'ai vue

* Tes yeux, maman, tes mains douces illuminent ma journée,

* Le matin, me réveillant, je t'ai vue et je pense à toi !

* En train d'arroser les fleurs de mon jardin, je t'ai vue.

* Assise dans mon canapé en tissus coloré, je pense à toi !

* Ton cœur humain, ton côté maternel me fait dégager le sourire devant mes filles.

Grâce à l'éducation que tu m'as donnée, je suis la personne que tu souhaitait que je sois.

* Je te vois maman et je pense à toi ! Toujours !

Repose toi en paix, ma maman. Ta fille. Je t'aime.

Séraphine

Chère maman

Voir les commentaires

Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

Repost0

Publié le 2 Septembre 2016

Dans la jungle, un léopard marche doucement dans cette nature chaude et humide. Son pelage se camouflait dans les feuilles mortes. Son instinct de prédateur se mêle à son côté félin. Ses coussinets le rendaient silencieux pour ses proies.

Laura

Dans la jungle

Voir les commentaires

Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

Repost0

Publié le 31 Août 2016

Si cela était possible, je recouvrirai notre globe terrestre d'un géant et beau tisus en dentelle bien assez fin et très délicat pour protéger notre planète, mais aussi pour la laisser respirer et pouvoir observer les nombreux levers et couchers du soleil que notre planète nous offre, surtout pendant les beaux jours de printemps, d'été et d'automne.

J'aimerais et rêverais de pouvoir offrir un globe terrestre sain et sans danger à mes enfants ainsi qu'aux générations futures.

Je souhaiterais également que notre planète soit plus prospère dans la simplicité comme au commencement de la vie sur terre, et que cela puisse être éternel; permettant ainsi à des milliards et des milliards d'êtres vivants de profiter sans cesse de la vie sur terre.

Stéphanie.

Des milliards sur terre

Voir les commentaires

Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

Repost0

Publié le 30 Août 2016

Le feu du soleil affaiblit tous les félins de Madagascar. leur magnifique toison rayonne mais il sert aussi au camouflage pour la chasse.

Dès que le tigre Baghera se manifeste, tous l'écoutent car, grâce à ses sages conseils tous les animaux de la steppe mangent à leur faim. Et tous les jeunes félins le remercient par de belles parades. Ils bénéficient chacun de doux câlins, si doux qu'ils se comportent comme des pantins. Ce sage magicien au pelage de couleur claire moucheté de taches foncées apprécie la savane. Ce patriarche scrute le paysage qu'il protège et se manifeste toujours quand le soleil est au zénith. Comme s'il protégeait toutes les précieuses vie de ses amis sur son dos. Grâce à sa magnificence il est considéré comme le meilleur meneur, protecteur qui les rendent tous gagneurs. Quel bonheur !

Vincent

La steppe

Voir les commentaires

Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

Repost0

Publié le 29 Août 2016

Ce vert me fait penser à l'armée et à la chasse.

L'armée, au contraire de la chasse, j'aurai bien voulu que ça dure. J'y étais bien, il y avait une bonne ambiance, y compris avec les hauts gradés que je côtoyais ! Tout ça m'a longtemps manqué.J'aurai bien voulu y rester. Hélas, pas possible, car je n'étais pas mécanicien.

La chasse, première chose, j'étais très maladroit. Au moment du tir, les perdrix et les faisans ne risquaient rien avec moi. Juste du bruit et un courant d'air éventuel.

Mais bon, j'ai donné mon fusil. Par contre, ma tenue vert kaki et les bottes, je les ai gardées pour me promener en campagne. J'adore la marche, là aussi comme à l'armée.

Lino

L'Armée ou la chasse ?

Voir les commentaires

Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

Repost0

Publié le 28 Août 2016

Cousu sur un mouchoir, les mots "Offrons le globe aux enfants".

Perdu dans les cailloux, le drapeau carré de la victoire, rouge de sang brillant de lumière et criant l'hymne perdu des hommes morts pour la patrie.

Abdelkader

Drapeau

Voir les commentaires

Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

Repost0

Publié le 25 Août 2016

Cher Morgan,

Si tu reçois cette bouteille nous sommes le 11 septembre 1888. Je me retrouve coincé au Brésil, sur une parcelle de plage magnifique qui se nomme Copacabana, où le sable est si chaud et si doux qu'il m'en caresse la voûte plantaire; où les fruits sont tellement frais et goûtus que je ne risque pas de mourir de faim. Le soleil brille tellement de son jaune flamboyant que je marche en fermant les yeux, me laissant bercer par le bruit des vagues qui m'apaise et me donne un tel bien-être, ce qui m'inspire dans mon imaginaire à t'écrire cette lettre.

Si tu reçois ce message rejoins-moi vite ma jolie blonde comme la couleur du soleil que je contemple de cette plage; de tes yeux bleus qui me manquent tellement que je m'en perds quand je regarde cette mer, en pensant à toi.

Viens vite ma belle, l'odeur des bananes me rappelle ton parfum d'antan quand je croquais dans ce fruit défendu. J'ai l'impression que tu es en face de moi et que nos lèvres se caressent délicatement et finissent par se frotter, humidifiées par ce bon goût. J'ai l'impression de te faire l'amour.

Viens vite, je t'attends. Je ne te dis pas qui c'est, tu t'en doute sûrement.

Ton prince charmant.

Copacabana

Voir les commentaires

Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

Repost0

Publié le 22 Août 2016

Le 23 septembre 1951

A toi grand-père Gilbert B.,

Ce jour de passage à l'automne 1951 sur la plage du débarquement en Normandie, je t'écris.

Je pose ces quelques mots sur le papier afin de te faire ressentir le bonheur et la joie d'être ici. Je ressens toute l'histoire de ce lieu où il y a tout juste 6 ans que les Américains nous ont sauvés des griffes des Allemands. Il règne encore des odeurs de poudres laissés par ce nombre infini de munitions utilisées ce fameux jour. A l'horizon le soleil se lève pour faire apparaître tous les détails chaotiques de cette magnifique plage bordée de dunes et de blockhaus. Je sens le sable me piquer le visage, apporté par ces bourrasques du vent d'automne. J'entends beaucoup de mouettes qui cherchent à exprimer leurs sentiments de fin d'été. Ces volatiles qui vont récupérer leur plage après la saison estivale.

Dans ma bouche un goût amer d'iode et de solitude mélangées aux saveurs de sel porté par les effluves des vagues.

Aujourd'hui je pense à toi et j'espère que le courant de ce vaste océan portera cette lettre jusqu'à toi. Toi qui me manques et à qui je pense souvent. Toi qui pourrait me rejoindre pour me conter toutes ces histoires du passé.

Je t'aime pépé

A bientôt ton petit-fils, Vincent.

Plage du débarquement de Normandie

Voir les commentaires

Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

Repost0

Publié le 21 Août 2016

Le 1 juillet 2016

Bonjour;

Je vais partir en vacances à l'île d'Oléron et là-bas je vais à la plage Boyarville. Je voudrais que ma mère, Roberte vienne me rejoindre. Ma mère était merveilleuse, elle était gentille, souriante, elle avait toujours les mots pour nous consoler, elle était pleine de vie.

Maman, la plage où je suis, elle te plairait, car le sable est doux, elle est calme, elle est très belle, l'air sent les fruits de mer.

Je sais que tu adores les fruits de mer. je voudrais que tu regardes le coucher de soleil avec moi. Je pense beaucoup à toi, Je voudrais que tu me rejoignes et tu découvres ma fille. Maman tu me manques et je te fais de gros bisous.

A toi maman que j'aime.

Béatrice

île d'Oléron

Voir les commentaires

Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

Repost0