ateliers d'ecriture adultes

Un conducteur de bus à Lyon prend sa pause et marche tous les midis car pour le conducteur cela est un plaisir. Et là, le temps se couvre et il se met à pleuvoir, alors il se met à l'abri pour se protéger. A son abri il croise un monsieur qui se met lui aussi à l'abri. Alors ils entament une discussion. La chauffeur apprend que le monsieur est charpentier à Lyon. Les deux hommes apprennent qu'ils vivent tous les deux à Lyon. Le chauffeur de bus trouve que le charpentier parle bien et qu'il donne de bons conseils.

Et là, le chauffeur lui dit : "Maintenant que tu as monté ton entreprise les gens ne passeront plus les pieds sans toi (ou ne passeront plus l'été sans toit)".

Au bout d'un moment le temps s'éclaircit. Tout à coup les deux hommes voient une voiture qui s'arrête devant eux. Le chauffeur de la voiture leur demande s'ils veulent de la drogue. Les deux hommes ouvrent la portière et attrapent l'homme dans sa voiture et appellent la police. Une fois la police sur place, ils arrêtent l'homme avec sa voiture. Ils l'embarquent et le mettent en prison.

Les deux hommes récupèrent la voiture et partent avec.

Texte écrit en atelier d'écriture par Ruben

Depuis très longtemps Mohamed est un grand amoureux d'écriture et d'art. Il a toujours une petite barbe taillée, cela fait pas mal de temps qu'il n'a pas travaillé.

Il est toujours accompagné de son chien qui n'arrête pas de grogner, mais aujourd'hui, manœuvre de reconnaissance sur un foyer dans une cave.

Et à la fin de la journée lui et sa fille partent au manoir.

Malgré son âge, il a une santé de fer, je l'ai vu quand il a pelleté pendant une demi-heure, il en est très fier.

Ecrit en atelier d'écriture par Mohamed

Un chien âgé de quatre ans nommé Rico, se fait piquer par une guêpe. Du coup, il mesure 1,75m, yeux bruns, et père 80 kg.

Mais c'est sans changer son envie de courir après le chat du voisin, pour dialoguer avec lui:

"Bonjour ! Vous allez bien ! On fait quoi, aujourd'hui ? On part le voir ?"

"Je sais mais je ne veux pas te blesser mon ange de la nuit"

Une fois d'accord, ils décident de partir. Ils passent les arbres, traversent la brousse, sentent l'odeur du bois pour y arriver.

Texte écrit en atelier d'écriture par Miguel

Miguel, bien rasé, beau gosse et son chien chaussette s'entraînent au combat rapproché.

Le père de Miguel, Dracula, les interpella.

As-tu pensé à nourrir le chat pour la journée ?

Miguel pense : Mais qu'est-ce qu'il est bavard, mon père, il parle, il parle vraiment beaucoup, dès l'instant qu'il rentre de voyage. Si je pouvais m'évader aussi, au lieu de m'isoler dans cette forêt avec tous ces animaux. J'aimerai tellement retourner à la maison, retrouver les enfants qui s'amusent sur le gazon.

Ecrit en atelier d'écriture par Peter

Il est bon en escrime et assez sexy. Il a les cheveux noirs et les yeux rouges. Il marche, il vérifie, il s'assure que tout va bien et observe.

Aujourd'hui, il fait chaud. Il est prêt pour aller en inter sur un feu de forêt.

Qu'il est fou, il devrait se marier au lieu de partir en inter et il faut qu'il valide ses formations, donc il a décalé la date de son mariage.

Texte écrit en atelier d'écriture par Dominique

Une ville calme et paisible jusqu'à l'heure fatale du désespoir.

Le glas de la cloche de la mort retentit.

L'heure du jugement arrive. La ville si clame se transforme en ville agitée par les cris des gens et la panique.

Trois dragons s'abattirent sur la ville en déchaînant leurs feux. Un véritable enfer frappa la ville. Les dragons mettaient la ville à feu et à sang. Le sang coulait à flot dans les rues qui étaient si paisibles.

Leurs griffes acérées lacéraient les corps sans vie de leurs victimes.

Ils dévorèrent le peu de survivants.

Texte écrit le 30 juin en atelier par Laura d'après une chanson de Juliette "Il s'est passé quelque chose" .

Je pense aux attentats du Japon où un une bombe a explosé dans une gare. Une bombe artisanale avec, à l'intérieur de cette bombe des vis, des clous, ce qui a provoqué une vive panique dans la foule. Des blessé, des morts.

Mainteant c'est une foule qui décampe sans raison.

Cela peut être perçu d'un train qui arrive dans une gare, d'où, je pense, l'idée de cette chanson.

Une personne totalement ignorante de ce qui peut se passer sur le quai de la gare, à quelques mètres d'elle.

ou ça aurait pu aussi être le conducteur du train en première ligne, devant lui. Il voit tout, à distance, sans pouvoir réagir , peut-être même sans comprendre sans comprendre ce que se passe.

Que va t-il faire quand le train sera à l'arrêt ?

Texte écrit le 30 juin en atelier par Paul d'après une chanson de Juliette "Il s'est passé quelque chose" .

Le fleuve est fauve

En profondeur

le fleuve est flou

En sa surface

La forêt se faufile

En amont du fleuve

La rivière berce le vieux chat

En bas du fleuve

La jeune fille aux cheveux blonds

Née de l'océan

A fait un pas en avant

Elle tourne le dos à son passé

Laisse couler son van au fond du trou

avant de pouvoir faire demi-tour.

Texte écrit en atelier par Claire

Je ne voudrais pas mourir avant d'avoir mangé une bonne salade de mesclun aux feuilles bien vertes

Je ne voudrais pas mourir avant d'avoir vécu le déclin et la dépression, descendre le chemin et tomber à terre pour pouvoir ensuite renaître de mes cendres sans pression extérieure et pouvoir enfin être fière de bomber le torse.

Je ne voudrais pas mourir avant d'avoir été enclin à de nouvelles perspectives de bonheur, avant de monter et remonter vers le haut, me hisser et tisser la toile de joie pour être au top de mon taux de bonheur et de réussite d'amour.

Je ne voudrais pas mourir avant d'avoir d'avoir pu surmonter mon deuil et pu écrire une balade en vers, un vrai poème d'amour et de vie de combat contre la mort.

Texte écrit en atelier par Anne-Sophie

A la recherche d'un mot

en cuisine débarque

cherche la recette

les bons ingrédients pour nous préparer un plat

et puis voir,

nous sommes partis à la mer

nager, pour se baigner,

manger un beignet

le ciel était dévoilé

nous avons pris un moment pour lire

ou écrire quelques mots que l'on a tous cherché.

Texte écrit en atelier d'écriture par Abdelatif

Chaque vacances d'été, nous partons dans notre maison de campagne. Je respirais le parfum de la lavande. La ferme était en mauvais état, surtout la toiture.

Une vieille moto était posée là. Elle appartenait à Tom.

Les animaux broutaient un maximum. Le cheval courait, aimait faire la course avec la voiture.

Salima