Publié le 16 Juillet 2015

C'était un vendredi soir, je sors du travail. J'avais besoin de repos car j'étais fatigué. Le soir venu je retrouvais mes amis joyeux, d'autres étaient drôles, d'autres tristes. J'y ai vu des beautés de toutes sortes, des moches avec une mèche rebelle, des laideurs. Le lendemain avec les potos on allait faire de la moto en forêt. pour nous c'est du pur bonheur. Une savane, des sauts, etc... La douce nuit me transporte dans mon rêve. Y'avait des ogres, des lapins, des animaux enchantés.

G

Un pur bonheur !

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 15 Juillet 2015

Un jour mon joyeux frère et ma mère, d'une beauté incroyable m'ont dit : "Mon lapin, on va partir en vacances quelques jours en forêt." Quand ils me dirent ça, j'étais déchaîné, mes parents m'ont autorisé à prendre mon lapin.

On prend le camping-car puis on démarre. Ma mère me dit qu'on passe chercher ma cousine anorexique mais elle est très drôle. On arrive bientôt dans le lieu où on doit camper. L'endroit se situe à côté de la forêt. Il y a de très grands arbres. La nuit commence à tomber, c'est bientôt l'heure du repos. Comme mon père a travaillé pendant 30 ans dans l'industrie, il a eu une vie très dure. Nous sommes allés nous promener dans la forêt. Au fur et à mesure nous nous sommes éloignés; loin dans la forêt. On entend des pas derrière nous, on entend un bruit de chaîne, on se retourne mais on ne voit rien. Tout à coup, un ogre d'une laideur incroyable apparaît. Il était sur un grand animal bizarre, il cabre son animal qui avait de très grands yeux. Il était vraiment très moche. Il réussit à attraper ma cousine, l'a découpé en morceaux et trie ses membres. C'est vraiment une scène macabre. On a quand même réussi à prendre la fuite et prévenir la police. En arrivant au commissariat on trouve là-bas mon oncle Hubert qui nous dit que c'était une caméra cachée !

A.

Nuit d'horreur

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 14 Juillet 2015

Repose toi là, pose ta vie de travail. Toi le travailleur. Pose ici ta macabre et triste vie de labeur. Regarde autour de toi, vois les enfants, drôles et petits, futurs lutins , regarde la beauté de leurs regards. Tourne le dos à cette moche industrie. Prends le chemin de la plaine, traverse la forêt. Te souviens-tu, enfant, comme tu avais peur que l'ogre rôde dans celle-ci ? Ohé, ouvrier, travailleur notre rôle ici sur terre n'est pas si affreux. Remets ta vie sur les rails, refait le plein d'énergie, hurle ta douleur seul et à la lune. Tu verras, tu ne seras pas seul dans les profondeurs de la nuit. Va laver tes plaies revêt ta pelisse de bonne humeur. Tu n'as pas mal, tu es seulement blessé. Courage, ta vie tu la commences et ton courage tu en auras besoin tout au long de ta carrière. Bien des épreuves t'attendent. Ne baisse pas les bras. Souviens toi de ce seul mot: courage !

B.

Une vie de travail

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 13 Juillet 2015

Pendant la semaine je me suis cassé l'ongle en ramassant des cerise. Alyssa

Le zèbre est risé dans un zoo à côté des lions white. Robin

Bonne fête des mères maman. Elle est tombée. Elle s'est cassé le nez. Alyssa

Au secours super cerise la semaine dernière mon nez était rouge. J'étais énervée contre moi. Clara

Au secours super cerise il me faut du lait, il me faut du laitage, j'ai faim. Et alors je passe le relais au laitage et lui alors aussi a faim et il se mange. Chloé C.

Je restais sereine quand un zèbre m'a arrché mon nez. Je dis "Au secours, je veux manger une cerise !" Chloé M.

Ma maman m'adore et je m'appelle Alexis. Alexis.

Cerise

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Temps d'activités périscolaire de Charly

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Publié le 12 Juillet 2015

Et l'obscur va disséminer ses îles tel le Petit Poucet semant ses petits cailloux lisses et noirs.

Il ne sait pas qu'un arbre peut parler et pourrait le guider sur le chemin de la vie où solitude et silence s'accrochent encore au passé.

L'obscurité lui a dit de biens jolies choses, comme porter attention aux confidences ou observer la lumière dans les yeux de ses frères.

Lumière, source d'espoir en un avenir meilleur.

Suit l'obscurité coulée dans le lit de la rivière, telle la lave le long de la grève.

L'obscurité entre chien et loup, entre caille et houx s'est retirée quand le jour s'est levé, comme la mer se retire et que l'on trouve un morceau de planète, météorite, bout d'étoile ramassée en pensant à l'absence d'amour.

A l'absence d'amour de la mère envers son Petit Poucet qu'aucun porte-bonheur, qu'aucun bijou, qu'aucun toit ne sait protéger.

Petit Poucet perdu au bord de la mer, perdu sans sa mère, perdu sur la plage de galets, la plage aux innombrables petits cailloux lisses et noirs.

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Textes personnels

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Publié le 9 Juillet 2015

Les 10 mots de la francophonie

Au carnaval de Rio de drôles de fadas se baladaient. Un grand homme portant un masque de carnaval. C'était lui le grand organisateur, un vrai champagné !

Un vampire vigousse avec des fleurs en forme d’abeilles sur une pyramide d’insectes se promenait tel un OVNI.

Un étrange personnage a transformé un masque de carnaval en papillon puis en couronne. Ce monstre avec sa trompe et sa couronne plongea dans un bassin. Au fond dans un petit coin lumerotte se cachait un bonhomme de neige, un nounours et une grenouille. Tout à coup ils sont surpris par un extraterrestre déguisé en Zibulon. A bord de son tap-tap volait autour de lui des papillons. Son visage était envahi de scarabées et son costume de taches.

Une araignée un peu fada vit un joli papillon qui était posé sur un bel iris.

Une autre araignée sous coupe volante ressemblant à un démon se posa sur un monsieur qui écoutait les jambes pleines de poudrerie.

Sans oublier un scarabée chafouin, un mannequin avec un tutu, une robe ristrette, un insecte fada, un criquet, une fourmi.

J'ai même vu un hippocampe dans un meuble avec un ours qui avait des dents, avec un crabe s’allonger dans une cassette. La cigale fada et la fourmi ristrette. Une sauterelle vigousse. Un bonhomme souriant avec les antennes tap-tap. Une grenouille avec une tenue de prince. Un musicien dépanneur. Un robot à dracher. Un crabe chafouin. Une mante religieuse. STOP ! Une grenouille écrabouillée et un dragon avec des palmes prennent en photo un crâne d’animal et une pince tandis qu’une fleur se fait faire un masque de pieds chez le dépanneur.

Camille, Florian, Sophie, Valérie, Elza, Sylvie, Isabelle, Evelyne et Hamel.

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 7 Juillet 2015

Cher Pôle Emploi

Je suis en Espagne. Il fait beau. Il y a beaucoup de soleil. Les oranges sont bonnes. Demain je pars en spring break dans la ville de Lloret del Mar. Avant je vais ranger le sel sale au sol dans ma grange.

PS: n'oublie pas mes sous!

ID: 85576866

Cartes postales

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 6 Juillet 2015

Petite rose dressée sur Saint-Jacques

Rose belle rose un matin se défendit

le jeune et méchant garçon voulu la voir de près

il couru vers la petite rose ne cessant de crier

Dans le ciel brille et frissonne

rose petite rose te pique si me cueille.

L'herbe d'argent du sommeil

recouvre l'aride lune

rose de la lande te pique si tu le pense

je ne veux point que tu me cueilles.

Vois la pluie dans la rue

de gémir de pierres et de verre

l'endurer vois dans le vent évanoui

pour l'éternité de crier je ne veux !

Petite rose vois dans le vent l'éternité

de joie lui, le petit garçon, cueille

la petite rose de gémir l'emplit de joie

je ne veux te piquer souffrir il dut bien.

L'ombre cendrée de la lande

rose rose rose de Saint-Jacques

elle était belle et l'emplit pour l'éternité

l'eau de mes matins mouillés

au fond de mon cœur petite rose ruisselle.

Madrigal (petite rose) de Saint-Jacques

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 5 Juillet 2015

Je conte les jurons du juge

et la mémoire du feu.

Je conte l'ombre rouge

et le souffle des hommes.

Je conte les petits fleuves

et l'air du temps.

Je conte à poings nus

le cœur lourd.

Je conte l'Afrique

qui s'éveille.

Prends garde à te conscience

quand se taisent les colombes.

Prends garde à la colère de l'ange

au bord des tombes.

Je réveille la force des fusils

et la douceur des choses.

Je réveille le soleil rouge

sous les roses.

Je conte.

Je conte

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Textes personnels

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Publié le 4 Juillet 2015

Il pleut sur Saint-Jacques

C'est la saison du bonheur

Mon doux amour

Dans le ciel un rossignol heureux

Brille et frisonne le camélia blanc du jour.

Il pleut sur Saint-Jacques

dans la nuit obscure

Les roses refleuriront

l'herbe d'argent du sommeil

recouvre l'aride lune.

Vois la pluie dans la rue

plainte de pierre et de verre

Ma robe rose fleurie

Vois dans le vent évanoui

L'ombre cendrée de la mer.

L'ombre cendrée de la mer

Saint-Jacques loin du soleil

La sagesse de la brise

L'eau de tes matins mouillés

Au fond de mon cœur ruisselle le bonheur

Il pleut sur Saint-Jacques

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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