Publié le 11 Août 2016

Je suis partie de mon parc sur mon vélo sans pouvoir m'arrêter. J'ai roulé sur les routes pour arriver dans une ville que je ne connaissais pas. J'ai traversé toute la ville en pédalant sur mon vélo et je me suis perdue. J'ai trouvé des enfants qui jouent au ballon. Je suis rentré dans un bar pour boire quelques verres de bière et j'ai trouvé une barque. Je suis monté dedans et j'ai pris le large.

AP

Balade à vélo

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 10 Août 2016

Aujourd'hui je suis libre

J'ai enfin le temps de rire

Enfin le temps de vivre

donc

aujourd'hui je vais rire

et vivre

à en être ivre.

J'ai envie de verdure

et peu importe le temps que ça dure

je vais prendre mon vélo

et faire une virée sur les chemins bicyclos

je dis Hello

au zigoto

qui fume le bedo

et qui rigole de moi bien haut

Moi, j'ai peine pour eux

car sous peu

je prends le bateau

et je pêcherai dans l'eau

libre comme l'hirondelle

qui vole dans le ciel

je ferai pareil

et me bronzerai sous le soleil

et le soir je ferais la fête

en jouant aux claquettes

après de longues heures de route

j'ai mal à la quéquette

compressée par le siège de ma bicyclette

il faut que je l'arrête

dans une guinguette

j'ai envie d'un saumon à l'aneth

de préférence sans arrête

fatigué aussi est mon vélo

donc on se fait prendre par un chariot

ô toi vieille charrue qu'est-ce que t'es beau

on traverse la colline, oh, cette montagne qui monte bien haut mais malgré tous les efforts que j'ai fait

j'arrive dans le parc d'une vieille cité, je m'assois sur le banc et repense à ma journée car ce qui compte c'est pas le but mais le chemin de la traversée

Paul

Ce n'est pas le but qui compte

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 9 Août 2016

Respirer l'air frais

dès l'aube me rend gaie

Je monte sur mon vélo

je quitte mon chat, mon château

et son reflet sur l'eau

sur le canal, des coquelicots

Dans un champ, des blettes

m'aèrent la tête

Je vais à Rome voir le Pape et le Colisée. Je quitte le calme de ma campagne. Je laisse mon bateau et mes ballots.

Un p'tit creux, je croque dans ma galette.

Une p'tite bête approche sa tête de ma bicyclette, je la chasse de ma clé à molette

Rome est en vue. La foule attend le prélat sur la place et déborde dans les rues alentour.

Enfin arrivée, comme il fait chaud.

à la terrasse d'un bistrot

je mange des bulots

en buvant du merlot.

Le pape et le coquelicot

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Textes personnels

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Publié le 8 Août 2016

Dans le cadre de l'ancien Colisée je marche en quête d'eau et de nourriture avant de partir pour un parc. Je tombe sur un restaurant où Bernadette la serveuse m'accueille avec sa tête de belette. Je me fis servir une omelette et de l'eau et me mis en quête d'un moyen de locomotion. Je fis un saut chez le loueur de motocyclette. Mais il me dit qu'il lui restait un modèle crée par un artiste. L'engin semblait en forme de vélo ou plutôt de deux vélos partageant la même roue arrière. Je l'avais pour gratuit, soit il fallait le partager avec quelqu'une. On est jamais arrivés à destination ni l'un ni l'autre. Voilà le lot de l'entêtement

Voltaire

Voilà le lot de l'entêtement

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 7 Août 2016

Bonjour,

Je vais aller voir mon amie qui habite au Danemark. Je pars à vélo avec mon amie qui a un vélo spécial car elle est handicapée. Sur la route on croise des motos, et aussi sur le côté un louveteau, une bêbête et aussi toutes sortes de bêtes. Je me suis servi de ma sonnette pour les avertir. Mon amie me dit que ma sonnette a le son d'une cloche de Pâques.

On s'est arrêtées dans un parc pour pique-niquer. Je me suis servie de mon couteau pour couper du pain. Le paysage était beau, calme, il y avait des enfants qui jouaient, le parc était relaxant. Avant de repartir j'ai mis mes lunettes de soleil.

On est arrivés à la gare pour prendre le métro qui nous amène à un quai pour prendre le bateau qui nous amène au Danemark. On arrive toutes les deux et nous lasses et fatiguées du voyage

Béatrice

Voyage fatigant

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 6 Août 2016

Cet été, ma meilleure amie et moi avons prévu de faire un long voyage à la mer. Nous espérons faire beaucoup de ballades en tandem, quand le soleil sera à l'horizon.

Nous partirons de Lyon vers le sud et, de là, nous prendrons un paquebot pour la suite du voyage. Avant de partir, il nous faudra des maillots de bain et des lunettes de soleil.

Nous aimons les fruits de mer, comme les crevettes et le poisson. Alors nous allons en profiter pour en manger autant que possible. Et pour nous; impossible de sortir sans pochette de soirée.

A la fin de la soirée nous avons tous décidé de prendre la mer jusqu'en Afrique.

Stéphanie

Vacances, mer paquebot et tandem

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 5 Août 2016

J'ai pris ma bicyclette pour m'aérer la tête. La boulangerie est assez loin. Je suis sûr d'y arriver avec soin sans pour autant que ce soit finalement loin.

J'ai l'habitude de marcher sans exagérer, mais quelque fois il faut changer. Entretenir le physique c'est important, surtout quand on a du temps. Quand il fait beau c'est assez bien de se faire du bien. Aller d'Annecy à Oujda, c'est du sport. Il faut avoir du pot et ne pas oublier son maillot. Même marcher torse nu en cette saison ça peut s'avérer délicat pour la santé.

Lino

D'Annecy à Oujda

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 4 Août 2016

Il est une fois un jeune homme et ses taureaux qui vont à la plage. Le jeune homme voit un vélo à huit pédales. Il croise quatre belles femmes en vélo. Les quatre femmes partent en vélo de la Camargue pour aller vers Annecy Il prend la piste cyclable le long de la route. Les quatre femmes disent au revoir au jeune homme mais le jeune homme appelle les taureaux pour partir à Annecy aussi, mais en voiture, pour rejoindre les quatre femmes.

Le jeune homme s'appelle Charly et les quatre femmes s'appellent Paulette, Josette, Henriette et Huguette. Les quatre belles femmes et le jeune homme croisent trois jeunes hommes forts et costauds sur la route, en voiture aussi. Les trois jeunes hommes s'appellent Charles, Jean et Paulo. Ils vont voir le tour de France vers Annecy. Ils vont se garer dans la rue, vers le lac d'Annecy.

Guillaume

Tour de France

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 3 Août 2016

Tirer la couverture à soi

Être comme cul et chemise

Avoir le cul entre deux chaises

Faire le pont

Mettre la main à la pâte

Sans queue ni tête

Etre au bout du rouleau

Tomber dans les pommes

Etre comme un coq en pâte

Avoir des ailes

Se casser les dents

Avoir l'estomac dans les talons

Rayer le plancher avec les dents

Avoir la dent dure

Avoir les jetons

Avoir les foies

Être copain comme cochon

Perdre la boule

Sentir la rose

Se prendre les pieds dans le tapis

Se manger un mur

Se prendre une gamelle

Raconter des histoires à dormir debout

Dormir comme un loir

Être sage comme une image

Se prendre une avoinée

Prendre les choses au pied de la lettre

Expressions

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Textes personnels

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Publié le 2 Août 2016

Si j'étais un personnage célèbre, je serai un écrivain itinérant, un voyageur, écrivant au fil de ses rencontres avec les habitants des villes et des villages.

Si j'étais un personnage célèbre, je décrirai par le menu les aventures du quotidien, saisissant au vol une toile d'araignée où perle la rosée, un veau perdu sans sa mère, une ondée suivie d'un immense arc-en-ciel.

Si j'étais un personnage célèbre, je parcourrais le monde sur la selle de ma bicyclette, uniquement chargée de l'essentiel, vivant au jour le jour, dormant ici dans une grange, dormant là sous un appentis, plantant ma tente dans le jardin de mes hôtes.

Je vivrais de peu, acceptant la tomate généreusement offerte en échange d'un récit, quémandant un peu d'eau au paysan.

Sorte de troubadour, riche de tous les dialogues avec les habitants de cette terre, je serai un vagabond pauvre de tous les orages et de toutes les illusions perdues.

Illusions perdues

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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