Paroles d'une vie
Publié le 12 Mai 2017
Texte écrit en atelier par Kamel le 28/3/17
A visage effacé
J'ai suivit mon chemin
le mur de ma vie
crie son espérance à vois basse,
Serait-ce quelque chose*que je ne comprends pas.
Serait-ce de la souffrance ?
Au bout du chemin
un bison ville
je rêve et divague
comme un orphelin.
Dans ce petit matin
que j'imagine câlin.
J'irais jusqu'au bout
des lignes de ma main.
de cette couleur rouge sanguin
J'irais jusqu'au bout du chemin.