Publié le 17 Février 2017

Texte écrit en atelier par Astrée, 10 ans

 

Plus tard je serais ailée.

Pas comme une licorne ou un colibri, non, j’aurais des ailes invisibles seulement imaginaires.

Des ailes qui viennent en travaillant sans relâche. Des ailes qu’on a dans la tête et qui arrivent seulement lorsqu’on a fait des centaines, des milliers et même plus encore de de tours, d’arabesques, de développé ou de piqués.

Ce sont les ailes de la danse, invisibles pour beaucoup.

Ces ailes nous servent à progresser et à monter là-haut vers l’univers du ballet, de la scène et des projecteurs. Un monde qui se trouve haut, très haut dans la difficulté, sur un petit nuage en quelque sorte.

Un nuage magique, magnifique et attachant.

Si on en est là, c’est parce que la danse nous a choisis et, quand on le mérite, nous donne un petit bout de ces ailes imaginaires.

Voilà les ailes que moi j’aurai après tant d’efforts et de travail.

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ecriture Plurielle

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Publié le 16 Février 2017

Entre chien et loup, les silhouettes sont floues. 

Un chat se prend pour une chouette et se découpant dans le ciel l'on croirait voir une mouche cachée sous un chapeau. 

Mais c'est la souche d'un pêché couché sous un chou qui a chu.

Je crois que j'ai un peu trop bu, mes mains tremblent, sacrée manie !

Ma bague glisse sur la peu de mon index. Quel bagne ! Quelle guigne ! Arrêtons de baguenauder, saisissons une dague et, en route !

Je pars marcher au bord de la mer pour me changer les idées. Sur la plage le sable est jonché de coquillages, d'algues, de tests d'oursins tous plus beau les uns que les autres.

Je les ramasse et commence ainsi une collection colorée.

Entre chien et loup, les silhouettes sont floues

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Textes personnels

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Publié le 15 Février 2017

Texte écrit en atelier par Tahar

Tout commence en Finistère en visitant le musée des merveilles des océans. Un  musée face à la mer. On a vu des coquillages avec des couleurs chatoyantes, des espèces en forme de melon. D'autres en forme d'hérissons. On entend le son des vagues à travers ces coquillages. En sortant du musée au loin la mer, les sables clairs, le soleil. On se croit dans mon pays, non pas le Finistère mais ma belle Tunisie avec ses animaux comme moyen de locomotion, ses palmiers, sa joie de vivre.

Tout commence en Finistère

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 14 Février 2017

Texte écrit par Myriam

Dans mon enfance, dans le Jura, il existe un fromage qui s'appelle le comté. 

Dans une ferme il y avait une cave et j'ai cette image qui me fait découvrir dans le fond, une étagère remplie de fromages ronds, ils étaient nombreux, paraissaient lourds et ça sentait bon. Je savais que c'était du gruyère le goût et les trous si légers. Le goût si fruité  qui fondait dans la bouche.

Comme c'était l'hiver, la neige qui craquait sous nos pieds. Je regardais ces fermes envahies d'un manteau blanc. J'avais hâte de rentrer dans ma ferme, m'asseoir auprès de la cheminée. J'avais faim et avec du bon pain de campagne et un morceau de gruyère, je dégustais avec un plaisir immense le paysage par la fenêtre et je me dis :"Jesuis bien, là, que la nature est belle".

Neige et fromages

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 13 Février 2017

Texte écrit en atelier par Abderazak

Depuis ce week-end à la montagne, je n'arrête pas de penser à la neige et ces monts blancs, ainsi qu'à ses pistes de ski. Même mon chat était heureux et avait trouvé son clan. Sur les flancs de la colline on distinguait à peine les chalets beiges qui se confondaient avec les nuages. Lorsque je passais le balai j'entendais le cri des différents animaux qui  était comme une mélodie.

En pensant à ce week-end je triais mes habits en espérant gagner un autre week-end mais cette fois je préférais les montagne de Norvège.

Neige

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 12 Février 2017

Texte écrit en atelier par Damien

Je me promenais dans l'arrière-pays, la paysage était joli. Dans ce coin il y avait un lac, le lac des bateaux, des kayaks se baladaient sur l'eau. On voyait de l'autre côté un village, il y avait des gens qui observaient dans la fleur de l'âge, ils réfléchissaient se prélassaient et bronzaient dans le doux soleil de l'arrière-pays irlandais.

Que la montagne était belle, on pouvait sortir le champagne pour profiter de l'instant présent en rigolant.

Moi, en tout cas, j'aurai fait un barbecue avec mes amis pour profiter de la vie.

On serait monté sur le bateau avec mes poteaux. 

Dans notre barbecue on a ramené un beau plateau de fromages de ma région la Haute-Savoie. Il y avait de l'abondance, du Beaufort, du gruyère. Du coup, le soir même on s'est fait une bonne fondue avec de la bière irlandaise. C'était original mais pas mauvais. Des irlndais se sont rajoutés à nous. Ils nous ont fait goûter leur whisky, on avait le tournis.   

Promenade dans l'arrière pays

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 11 Février 2017

Texte écrit en atelier par C.

En vacances, je quitte la plantation de canne à sucre qui était dans une vallée avec ma canne à pêche sur l'épaule dans un vacarme terrible. Au bout de quelques minutes je passe à côté d'une station de taxi bordée de platanes. Le soleil était à son zénith. Dans la voiture entra une abeille qui se posa sur mon oeil droit, ce qui me fit faire un saut. Au bout d'un moment sur le bord de la route, je croisais une dame en noir. Elle était peut-être en deuil. Pourtant il n'y avait aucun convoi funéraire en vue. Elle était toute seule. Avec son chapeau placé sur son visage. Et on dirait que l'abeille de toute à l'heure avait trouvé une autre victime. En effet, elle était sur son épaule.

 

Le soleil était à son zénith

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 10 Février 2017

Un peu de poésie et de grâce pour ensoleiller notre monde. Une silhouette se découpe dans le ciel clair du matin. Un chat joue à cache-cache avec un loup aux longs cils de femmes.

Une flamme réduit en cendre une échelle et la balancelle.

Noeud papillon, joue et nez rouges, le clown.

Un beau chapeau de peau pour Rachelle montée non à cru mais sur une selle.

Et si nous arrêtions tout ?

Tout arrêter et recommencer à zéro !

Rachelle mettrait un chapeau de paille et non de peau. Elle ne monterait pas sur le mulet mais marcherait à côté. C'est la silhouette des palmiers qui se détacherait sur le bleu du ciel. Le chat serait parti, le loup aussi, poursuivis à grands cris par le clown en furie.

Seules la grâce et la poésie resteraient, illuminant notre monde.

Une silhouette se découpe dans le ciel clair du matin

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Textes personnels

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Publié le 9 Février 2017

Texte écrit en atelier par Jean-François

Au petit jour on quittait l'Irlande et derrière nous s'éclairait la lande. Nous avions tous l'impression d'être ici depuis les calendes grecques. Nous longions le lac, nos lourds sacs sur les épaules. Au loin les montagnes se dessinaient dans le ciel pâle. L'île était sauvage à cet endroit. On apercevait deux bateaux. au loin sur la mer. Qui y avait-il sur ces bateaux ? Des touristes ? Des curistes ? Soudain nous sommes arrivés à une sorte de plateau. On entendait le roucoulement de quelques tourterelles dans les arbres. 

Je repensais à la castagne d'hier soir. Quel contraste avec le calme de ce pays ! Je ne pu dissimuler mon plaisir d'être là, à ce moment, à cet endroit.

Et si nous arrêtions tout ? Si nous arrêtions ce voyage perpétuel ? Si nous achetions une vieille ferme dans ce Connemara ? Il y aurait des poules dans la cour. Une vieille échelle  le long du mur de la grange. Les gens de passage nous regarderaient étonnés. Mais moi, mon chapeau vissé sur la tête, mes mains dans mes poches, je les laisserai passer sans dire un mot.

Touristes et curistes dans un bateau

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 8 Février 2017

Texte écrit en atelier par Guillaume

Je prends un apéro, boire du thé frais dans la rue.

Ma dent me fait très très très très mal, alors je vais me faire opérer ma dent.

Le matin je bois du lait en regardant la chaîne Téva à la télé et je mange une tarte à la praline. Je suis nase, je me sens pas bien, j'avale un nouvel apéro.

La lumière qui est sur mon lustre s'allume. je regarde la télé sur la chaîne téva théâtre, d'une valeur très chère.

Une ruse arrive à Anse, vers moi une hêtre très cher, elle a un très grand talent d'opéra, elle danse très très bien.

Un âne arrive vers moi, il va être tué dans la soirée. Un valet qui a tué un âne, il est fou.

Un ara erra dans la rue pour chanter du rap. 

Je pars à la montagne pour faire du ski avec ma danseuse et mon valet aussi, Cet après-midi après une averse torrentielle, le soleil arrive au massif du Mont-Blanc en Haute-Savoie. L'eau s'évacue dans la rivière salée. 

En montagne il y a une église qui nous sert pour une pièce de théâtre. Le soir venu on va danser jusqu'au bout de la nuit.

Le soir on va dormir dans un hôtel quatre étoiles.

Une église, comme un théâtre

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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