Publié le 30 Novembre 2015

Oh quelle belle aventurière rose.

Vous avez un très beau jardin

de belles fleurs cultivées le long des rochers.

Madame l'aventurière j'observe les montagnes depuis votre belle créature fleurie.

Quant à moi je suis bien incapable de créer cette belle variété de roses.

Mais pourquoi, il n'y a rien de sorcier !

La raison: c'est parce que je suis née d'un rouleau de printemps, ceint de l'océan, des arbres très ombragés et malgré tout ce bonheur je n'ai jamais su faire pousser une herbe.

Madame la rosière, quant à toi, tu as la main verte sereine, saine, coquine, câline et en plus tous les matins tu as la visite de monsieur Luc avec ses beaux cheveux châtains t'amène du bon pain de campagne avec un beau bouquet de roses. Tous les deux vous passez un bon moment sous ton beau sapin."

De la table au jardin : la rosière et l'aventurière

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 30 Novembre 2015

Il est une fois une chafouine qui se nomme Camille, elle est champagnée avec du beau monde, elle a des relations. Un jeune dépanneur qui se nomme Ivan tombe amoureux de Camille, il est fou, comme Oscar le fada du village. Camille et Ivan vont manger dans un restaurant de Belges. Ils vont dracher tous les deux. Camille voit une personne qui est morte peu après, comme une lumerotte. Pendant ce temps il neigea du vent en poudrerie. Ivan dit à Camille « Tu me fais de la peine, ristrette ma tap-tap ». Camille et Yvan vont voir Renaud le vendeur de bonbons dans le pays le plus neutre, la Suisse. Ils rêvent qu’ils mangent beaucoup de bonbons qui tiennent leur promesse sucrée et ne finissent jamais. « Ho ! Vigousse, allez Camille, on casse pas le rythme ».

Guillaune

Dis moi dix mots de la francophonie

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 29 Novembre 2015

Dans les jours de mon jardin

j'admire ce beau sapin

j'aimerai lui prendre la main

avec mon air coquin

lui faire un gros câlin

d'énergie il est plein,

je m'en rempli chaque matin.

A l'ombre de cet arbre

je regarde les ténèbres

j'imagine la montagne

du fond de ma campagne.

Dans l'herbe haute gambadent les poulains

sous le ventre de leur mère, se nourrissent au sein.

C'est un voyage extraordinaire

d'admirer tout cet univers.

Le détruire, est-ce souhaitable ?

J'en serais bien incapable.

Dominique

De la table au jardin : prendre un sapin par la main...

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 28 Novembre 2015

Nous avons beaucoup médité. Tout a probablement commencé avant le cataclysme qui portait le délicieux prénom d'Angèle. Elle m'est apparue au milieu de tous ces gens qui paraissaient sortir d'un temps passé, probablement d'holocène, chose que je n'ai pas vérifiée au carbone 14.Enfin une nymphe antique intacte, compacte, psychotique, voilà le tableau que je brossais d'elle. Précédant à toutes les icônes de mes tableaux de charme, elle était là, telle un lien tissé sur quoi ? Certainement sur une matière qui n'avait jamais vu le jour. Quoiqu'il en soit, elle était pour moi mon alluvion, mon terreau, ma source vitale, mon traitement anti-pensée. A quoi ou à qui pourrais-je rêver dorénavant ? Elle était ma matière, pas besoin d'un Albert Einstein pour savoir qu'elle avait fissuré mon atome principal qui se situe à gauche de ma poitrine. Elle-même chargée d'un air qui me semblait irrespirable à son contact. Pourtant, fallait-il que je puisse vivre ?

Thierry, d'après un texte de Christian Besse (recueil Des aurores viendront)

Angèle ?

Angèle ?

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 28 Novembre 2015

Le jardin

Au soleil levant, l'ombre irisée du Printemps,

Colorait peu à peu,la montagne et ses sapins,

L'océan et ses vagues langoureuses,

Les rochers imposants dont les arbres sains,

Se balançaient au souffle léger du vent.

Incapable alors, je ne pouvais m'arracher de cet instant serein,

Que la fortune de la vie naissante,

Offrait à mon regard amoureux et câlin.

Tous les instants, les moments de nos vies,

Sont remplis de gestes rituels, comme le pain

Que le boulanger nous cuit avec passion.

Tout est couleur et bien-être en cette Saison,

Dans les immenses prés se côtoient, Poulains

Et Pouliches, Promeneurs et Agriculteurs,

Chacun vacant à leurs occupations, du matin

Au soir, avec un esprit rempli de plénitude.

Le crépuscule arrive, les vaches rentrent les saints-

Pis, gonflés du lait nourricier, les enfants coquins

s'en délectent jusqu'à plus faim.

La lune levée, caresse telle une doucereuse "main"

Nos rêves pleins de ce jardin.

Marie-Claire

Saint-Donat-sur-l'Herbasse

Saint-Donat-sur-l'Herbasse

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 27 Novembre 2015

Je m'en allais, les poings dans mes poches crevées;

De mes souliers blessés, un pied contre mon cœur !

J'étais ton féal;

Devenait idéal;

Amours splendides j'ai rêvé

un large trou

dans ma course

à la Grande-Ourse

Un doux frou-frou.

Samy d'après Ma bohème d'Arthur Rimbaud

Au bord du poème d'Arthur Rimbaud

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 27 Novembre 2015

Les cailloux

J'étais dans mon jardin

et c'est par un beau matin

bien que la faune me donne faim

que je fis disparaître mon chagrin

dans cette petite rivière qui enlaçait ces petits cailloux

qui ornait le paysage où je me tenais à genoux.

Entre fauve et végétation

je me retrouvais comme un petit garçon misérable

à la recherche de quelque chose d'agréable.

Comme un félin,

à qui subsiste la faim

qui ferait n'importe quoi

pour trouver une proie.

Samy

Mon chagrin disparaît dans la rivière

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 27 Novembre 2015

Sans toi on part au trot sous bois sur l'ibis adroit qui volait au ras du bois. Un truc arriva quand l'ibis tomba.

Lipogramme sans E

Sans aile, je pars, pressé, en bas de ces arbres vers ce rapace planant près des chênes: j'entends un pan ! Et le rapace se fracassé à terre.

Réécriture de l'histoire (Lipogramme sans i, sans o, sans u, sans y.)

Anonyme

L'ibis adroit volait

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 27 Novembre 2015

J'ai regardé devant moi.

Sur la montagne j'ai vu ce rocher,

Ce rocher comme un jardin.

Un jardin au printemps, serein.

Sur ce rocher poussait un arbre,

Un arbre dont l'ombre, comme une main,

se projetait sur l'océan.

L'océan, symbole de voyage

pour moi, depuis mon plus âge.

Dès le matin, après avoir couvert mon fils de câlins,

Je lui donnais le sein.

Après quoi, je mangeais couvert de miel, mon pain

.

Ensemble, comme deux jeunes poulains

nous montions sur notre bateau en sapin

et partions voguer, ceints par l'océan, libres,

sains de corps et d'esprit,

bien dans notre peau.

Mon fils, coquin, bien incapable d'être un saint,

faisait tanguer notre coquille de noix,

lançait des miettes aux poissons rois,

puis nageait dans l'eau claire

pour rejoindre son père, l'océan.

Je plongeais à mon tour

et tous les trois, l'océan, mon fils et moi

Étions heureux.

De la table au jardin : l'océan symbole de voyage

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Textes personnels

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Publié le 26 Novembre 2015

Un enfant placé au cœur d'une cuisine

voit un monde exotique, multicolore.

Une rivière formidable pour les papilles

Brille en cette journée bien agréable

une fois ce marché du terroir fini

un journée mémorable se termine

Tel un énorme câlin dans une fable.

Harmonie

Cuisine exotique

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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