salon du livre

Publié le 19 Mars 2019

C’est un roman choral de 190 pages, écrit assez gros.

Je pense qu’il s’adresse aux ados et préados à partir de 12 ans, l’âge de l’héroïne.

Pour résumer… voici celui de la 4è de couverture : Dès qu’Alice ouvre un livre, les personnages qu’il contient prennent vie dans la réalité.
Pour son dixième anniversaire, ses parents lui offrent son premier roman policier. Au même moment, un mystérieux tueur en série commence à sévir. Quand Alice découvre ça, c’est la panique ! Elle décide alors de partir à sa recherche pour le neutraliser. Pourra-elle compter sur Pompon, son chat qui rêve de conquérir le monde ? Comment réagiront ses parents, deux adultes enfermés dans leur quotidien ?

J’ai vite été absorbée par le livre. L’histoire est pleine de fantaisie, comme celle d’Alice, à l’imagination débridée qui voit  en chaque passant, clochard, ou grand-père de son quartier un personnage d’un livre qu’elle a lu.

Une originalité, à la fin du livre, vous avez une page blanche dédiée à chaque personnage (le père, la mère, Alice, son chat et l’assassin d’enfants pour poursuivre l’histoire à votre façon et ainsi leur permettre de s’évader du roman...

Voir les commentaires

Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Salon du livre

Repost0

Publié le 19 Mars 2019

Connaissez-vous 1000 milliards de poèmes de Raymond Queneau ? J'ai pensé à ce livre en lisant Le Chant de la Persévérance de Cyril Mikolajczak.

La présentation m'a surprise.

Son livre est sombre, rouge et noir, et cet homme, renversé, semble être un vampire dévoré par un autre vampire... Pour dire le vrai... il fait un peu peur !

 

La forme.

Quand on l'ouvre et qu'on le lit (que je le lis, plus précisément, devrais-je dire !) J'ai aimé la construction de certains textes page 9, 19  ou 14, par exemple car la lecture peut se faire à différents niveaux, dans plusieurs sens, elle n'est pas linéaire. Les répétitions, les mouvements, les jeux de miroir sont intéressants.

 

Le fond.

Les poèmes que j'ai lu sont ancrés dans un réel parfois (Ce corps que je hais, Le fouet de mot) mais pas toujours (Les essuie-glace ou Le feu se consume) sombre qui s'évade dans un imaginaire tout aussi noir (comme les couleurs du recueil). On ne sait si l'auteur est si mal en point que cela ou s'il s'ancre dans  un monde en perdition... 

 

Est-il si désespéré que cela dans la vie ?!

 

Voir les commentaires

Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Salon du livre

Repost0

Publié le 12 Novembre 2014

Salon du livre de sport

Je serai au salon du livre de sport à Annecy les 7 et 8 décembre.

Voir les commentaires

Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Salon du livre

Repost0