Publié le 25 Octobre 2018

Il y a longtemps que l'enfant et sa mère préparaient leur itinéraire pour aller dans le désert, mais avant de partir en voyage, elle prend des photos pour se souvenir de leur terre où coule la rivière sur lequel le bateau de son père est accroché au port. une plage, juste à côté où, enfant, elle jouait avec son râteau, même l'hiver. Les journées fraîches, avec un fort tonnerre, son père allait avec son manteau et son couteau, tuer le cerf. Quelques passants, ainsi que des familles accompagnées de leurs bébés donnent le biberon sir le sable entouré de palmiers, les gens pêchent sur leur canoë. Et pourtant très loin de l'océan, où l'on peut manger des fruits de mer, elle prend un roman de l'école pour son voyage parlant du désert et des chameaux. 

Christine 

Sage comme une image

Le soleil se lève qui éclaire la forêt et le paysage d'un blanc glacial. Les montagnes sont recouvertes et les falaises aussi. Plus bas dans les champs, les animaux et insectes d'un certain âge sont joyeux.

Da

Sage comme une image

Dans le désert, peu à peu, la chaleur s'installe. Je vois le Tigre en face de moi, il aboie sur mon chamois. Lentement mon citron ponce son désir longuement. Dans cette illusion, ma vieillesse me rattrape. Je sonne le  glaive de la révolution. Ad vitam eternam, ma vie Tal n'est qu'une sérénade. Dans le désert, peu à peu, la fraîcheur s'installe.

Alexandre

Sage comme une image

Je suis Abaku Chi, un jeune ronin* d'un clan de samouraï

Comme tous les matins avant que la nuit s'estompe, je pris le saké de mon maître et je partis sur la plage sacrée de Bouddha. Sur la mer chaude, le soleil se reflète comme une nuisette sur une geisha. Sur le sable en chaleur de chauve-sourie, des nuisibles dans mon clan, moi je les trouve majestueux comme un voile de brume marchant dans l'aube. Les chauves-souris font leur danse nuptiale sur la berge de la sagesse et de ma main je brandis le saké de mon maître face au Bouddha qui m'anime.

Maxime, Dragon rose

*Ronin : Samouraï vagabond, sans maître

Sage comme une image

Le moment des vacances est venu. Bientôt le grand voyage va commencer. L'avion décolle dans 3 heures. Les enfants se préparent, le soleil éclaire la pièce ainsi que nos visages. Ma fille met sa plus belle robe. Il est l'heure, plus le temps de trainer. Après 7 heures d'avion, nous allons prendre le bateau. La mer est sombre, une tempête se prépare. Les vagues se déchaînent. La vue des bateaux de pêcheurs devient sombre. La nuit tombe. Après une bonne nuit de sommeil, nous irons découvrir les lieux, irons voir les gens de tout âge. Que la vie est belle!

Catherine  

Sage comme une image

La lumière, bercée par la petite fille, savait le secret des ailes. 

Dans une ambiance champêtre, elle chante et danse pour oublier sa solitude à s'en étourdir car parfois si elle s'égare en pensées, elle peut se mettre en danger, ressentir des spasmes... dans ces moments-là, elle éprouve un dépaysement libertaire et en appelle aux anges et oublie le temps qui passe.

Elisabeth

Sage comme une image

Douce rumeur des lilas

L'événement universel emporté par le vent, tourne autour de la lune. L'aventure suit l'éveil du vent, dans un voyage naturel et le regard encor neutre sourit à l'envol d'un sourire. Ivre de toutes ses pistes et autre... L'arrêt pris au bord de cette rivière fait taire tous les rires et les larmes de cette maîtresse nature qui avait des nattes, son non servit pour l'éveil.

Nathalie 

Sage comme une image

S'il n'y a pas de nature, il n'y a pas de vie. Les eux sont en constante symbiose depuis la nuit des temps. Et depuis la création du monde, nous pouvons dire que nous avons beaucoup changé, notamment en terme d'infrastructures. Malheureusement de nos jours, les villes remplies de buildings ont pris la place des petits villages. Je me souviens encore des ruelles de mon enfance, où la bonne odeur de pain se répandait aux quatre coins du village. D'ailleurs, il y avait un petit ruisseau proche du village où j'allais souvent à la pêche avec mon grand-père. Ce petit coin de paradis a peut-être été détruit par les hommes et l'urbanisme, mais il restera toujours gravé dans mon esprit.

William

Sage comme une image

Scénario du nouveau film de Batman: Batman et le sorcier Intouchable

Alors que les tentacules mécaniques du docteur fous se déchaînent sur la ville, Batman, le seul et unique justicier de Gotham est retenu prisonnier par un sorcier maléfique qui travaille avec le Doc. Quand le héros masqué se réveille dans sa cellule, il entend les pas du sorcier s'approcher. Au moment où l'acolyte du docteur ouvre la porte de la prison, Batman en profite pour se jeter sur lui et l'enferme dans la cellule. Maintenant, plus de temps à perdre, Batman étant libre, il se précipite dans son tank (Batmobile) pour combattre le Doc. Il arrive juste à temps avant la destruction de la tour Wayne et finit le combat en lui assénant un coup de pied bien placé dans les parties.

Une suite est prévue pour 2020, mais cette fois-ci, il rencontrera le héros dont le corps a été modifié par une morsure d'araignée. Une alliance? Un combat héroïque? Vous le saurez dans 2 ans !

William  

Sage comme une image

Un mère et son enfant vont partir voyager en Espagne. Ils prennent le train arrivent de bonne heure à l'hôtel. Elle parle la langue et sympathise avec tout l'hôtel. Et il pleuvra des milliers de tickets gratuits sur les spectacles monument pour visiter la fabuleuse Géode de Amor de Lord pleine de richesses venue d'Amérique brillant de toute lumière, de mille feux dans le soleil.

C.S 

Sage comme une image

Le métier d'EVA est sculptrice dans une école, ses cours ont pour rôle d'aider les enfants à avoir une autre vision de son métier en sculptant des animaux, comme des ours, des objets etc... Cela aide les enfants à être sages.

R.B 

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Mon salut

Le souvenir de ce jour-là s'estompe peu à peu, pourtant ces sentiments resteront gravés au fond de mon être, à tout jamais.

Ce récit n'est que l'histoire d'un abruti, à qui le sort a joué un mauvais tour.

"Au lieu de blesser les autres, soit celui qui est blessé".

Cette phrase mon père me la répétait sans arrêt. 

J'étais petit quand ce jour fatidique arriva...

Le ciel gris, la sensation du froid sur ma peau, la couleur blanche de la neige mais surtout l'odeur du sang, je jour-là mon père fut tué par un monstre.

La seule chose que je me rappelle de lui sont ses yeux rouges injectés de sang à en faire des cauchemars. Si elle ne m'avait pas sauvé, je serais mort ce jour-là. 

Quand j'ai repris connaissance, j'étais dans ses bras. Cette femme était magnifique. Elle me chuchota à l'oreille: "Un jour, tu vengeras ton père". 

A cet instant ces mots m'ont transpercé comme une flèche, ils sont gravés à vie dans mon esprit, cette scène était comme figée. J'avais à présent un nouveau but dans ma vie...

Depuis de jour elle me prit sous son aile, Jour et Nuit elle m'entraîna. Elle était sévère mais juste.

Cette douleur était inimaginable, vivre était un calvaire, juste respirer était une douleur en soit mais je devais tenir le coup pour ma vengeance et pour elle.

Au fur et à mesure que les années passaient, je commençais à reprendre goût à la vie. J'avais une nouvelle famille. Je ne pensais, de mois en mois, qu'à la vengeance.

J'ai compris après toutes ces années que je l'aimais mais je ne lui ai jamais dit, j'avais trop peur  de sa réponse et au fond de moi je le savais et malgré ça

Je crois que j'étais heureux

C'est quand on croit que tout va enfin pour le mieux, que la vie vous sourit à nouveau que La réalité nous rattrape et nous ramène vers le fond.

Un jour, sans que je sache pourquoi elle disparut. 

Ma vie s'écroula à nouveau, je partis à sa rechercher pendant des mois et des mois sans succès.

"Pourquoi m'a t-elle abandonné? " me répétai-je sans cesse.

Les jours passèrent, je commençais à sombrer dans la folie et ne plus avoir la notion du temps.

Dans ce tunnel sombre j'aperçu la lumière.   

              La vengeance !  

Tout à coup, une étrange fumée sorti de la bête recouvrant tout. Je ne voyais plus rien. Quand la fumée se dissipa, je restais bouche bée.

Je ne voulais pas y croire.

« non… non, NON NOOONNNNNN !!! »

A la place du monstre, elle était là.

Celle que j’ai toujours aimée

« Impossible ce n’est pas réel »

Je priais pour que tout ça soit une rêve, mais…

Je le savais, je l’avais toujours su au fond de moi…

Depuis le début, le monstre c’était elle…

Tout devient plus logique tout à coup, pourquoi elle m’avait pris sous son aile, pourquoi elle m’entrainait et pourquoi elle avait disparu.

« Achève-moi »

« Assouvie ta vengeance, fais-le, c’est cela que je t’ai entrainé ».

NON NON NON NON NON NON NON NON NON NON NON NON NON

Malgré ces mots, je savais que c’était trop tard. Dans tous les cas, elle allait mourir.

Alors j’ai fait ce que j’avais à faire, j’ai pointé mon fusil sur elle. Mes mains tremblaient, mon pouls s’accélérait, ma vision se noircit.

Fais-le, fais-le, fais-le, fais-le, fais-le, fais-le, fais-le.

A ce moment les seuls mots qui me sont venus à l’esprit : «Je t’aime ».

PAN

Le coup de feu résonna dans toute la grotte. 

Au moment où je suis mort, je me suis écroulé sur le sol.

Au bord de la mort, je me suis mis à rire, rire de cette ironie du sort.

La mort, voilà mon salut. Je savais que cette vengeance était dénuée de sens depuis le début.

Alors que la neige me recouvre depuis en plus, je repensais à elle. Peut-être que si je lui avais dit plus tôt ces mots, mon destin aurait été différent, nul ne le sait. Même si tu étais un monstre, j’aurai voulu rester avec elle.

Voilà comment ma vie a pris fin.

Cette histoire était à coup sûr une tragédie.

FIN

Alexandre

     

 

Sage comme une image

Le perdu, le solitaire est perdu dans la neige, il mit ses skis pour aller se réfugier dans une cabane dans un arbre au milieu d’une grande forêt.

Anonyme

Sage comme une image

Dans les poches des pantalons on trouve des trous, surtout chez les enfants. Plus loin, des bateaux surgissent sur la mer. On y voit des pêcheurs. Des adultes se promenaient et voient des animaux.

Alexia

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Le cours du temps

Aujourd’hui le ciel sera rempli d’astres célestes.

Seuls les quantas leur serviront de rappel. Les lunes restantes célèbreront les funérailles en grande tenue de deuil.

Les sakura en perdent leurs couleurs.

Les chrysanthèmes en perdent feuilles et pétales.

Et la lumière s’estompe.

Le cours du temps trac son alinéa.

Et l’épée de Damoclès tire ses chaînes et vient reprendre sa suprématie.

Ironiquement celui qui nous servait de crieur d’alerte vient mettre un terme et semer une turpitude infernale.

Les lunes restantes seront écarlates et teintées de rouge.

Mais désormais les lunes s’en vont et seule la voûte céleste vient fermer le rideau.

(anonyme)

Sage comme une image

Ce lac.

Cette cabane au bord du lac.

Cette cabane au bord du lac, cette montagne qui s’y reflète.

Cette cabane au bord du lac, cette montagne où l’enfant chemine.

Ce banal paysage de l’imaginaire saison, ce banc tranquille à écouter le clapotis,  face à cette anse.

Où est mon enfance ? Ce faon fragile et tranquille cheminait dans mon souvenir.

La lune ronde et noire comme vieux cuir se tait.

Su mon banc, boire mon lait en silence.

Martine

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Ces silences que les mots effaient.

Le coucher du soleil annonçait la nuit noire, Bastien en pleine nature contemplait ce merveilleux paysage. Il était couché sur le sol et imaginait une solution pour sortir du néant qu’était sa vie.

Sollène

Sage comme une image

Je suis née un jour de vent : le vent passe très vite. J’ai mis au monde deux beaux enfants. Le passage d’épouse à maman, s’est fait avec une aisance que je n’imaginais pas.

Aujourd’hui, j’ai donné la vie et j’en suis fière.

Fatima

Sage comme une image

Il était une fois un cheval vampire qui était magnifique. La vieille maire raciste passa devant l’enclos du cheval vampire au coucher du soleil. Malheureuse, elle se fit dévorer.

Félix

Sage comme une image

Mama mènera mon succès personne ne prendra sa succession.    

Ma maladie est un spectacle de douleur tête blanche aucun talent pour les connaisseurs, je n’avais jamais le bonheur.

Je garde le silence dans la nuit être silencieux, c’est beaucoup mieux.

Les couleurs sont l’image de mes ? de temps en temps.

Beaucoup nous aiment mais leur ? c’est zéro. Ce qui leur plaît c’est que j’ai des ? euros.

Je souffle trop pour ? le vent. L’air de la rue c’est ce que je sens.

Plus de temps à perdre, je veux percer.

Petit à petit, j’arriverai mais je suis très pressé.

Idriss

Sage comme une image

J’irais plus que… ce que je pense

Je voudrai voir… au fond de mes pensées

Anonyme

Sage comme une image

La grande guerre du roi et de la grande vadrouille des ombres

La grande guerre éclate entre les deux peuples

La grandeur du Roy est comme une foi pour son peuple.

Le royaume du Roy Viking était peuplé d’arbres quand l’armée des ombres a embrasé la forêt du Roy. Une guerre ouverte était ouverte, le Roy Viking a tué la reine des ombres, les seuls survivants se sont ralliés au Roy Viking. Après la guerre le Roy a organisé un banquet.

Le seigneur bûche russe  

Sage comme une image

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 4 Octobre 2018

L'attaque de bisous du Thrones des ombres de Vikings

Au début du temps des vikings, sur   le village, les Vikings se pomponnent pour la guerre du Thrones qui se prépare entre les Goultitans et l'armée des Bisous. Ombre prépare ses armes pour le champ de bataille. Un des Vikings qui s'appelle Vick, hurle à la mort (Allez les filles ! Sortez vos talons et vos lèvres pulpeuses nous allons les zombifier!). Un des Goultitans brandit le gourdin magic (Le Thrones est à nous et pas à ces filles !). Le Viking Vick attrapa le chef des Goultitans mais le chef des Bisous sauva in extremis le chef des Goultitan avec sa matraque d'or. Le chef Vick sonna l'alarme de retrait.

Maxime et Alexandre 

Allons au cinéma !

L'ombre familiale vue par Amélie et Albert

Par une sombre nuit d'automne, éclairée par un vieux lampadaire

Allons au cinéma !

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 1 Octobre 2018

Je dois demander à ma mutuelle

si elle rembourse mes semelles,

semelle de vents.

Accepter la faiblesse de mes genoux,

car, malgré tout,

en âge, j'avance. 

Un pied derrière,

un pied devant,

le corps devenant

en avançant dans la carrière

Peu à peu moins fier.

Ma mutuelle, mes semelles

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes, #Textes personnels

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