Publié le 31 Mars 2023

 

Anéantir :  tristesse,  je suis triste avec ma maladie.

 

Surenchère :  beaucoup de sous,  je vais voyager, faire le tour du monde.

 

Adeh :  vélo à 4 roues,  mon vélo va plus vite que les deux roues.

 

 Flan :  gâteau,  mon gâteau est raté.

 

 Sarcasme :  cochonneries.  Mon fils est tout nu et tout bronzé.

 

Courbe :  très petit,  tu es nain.

 

Satya :  gros nez,  gros pif.

 

Pédoula : Voilà la mime,  les mains douces.

 

Porienvo :  une petite tape,  un bobo.

 

Grezido : tu es chiante,  tu es une gamine

 

 Abdelhakim

 

 

Anéantir :  Passer son temps à mentir

 

Surenchère :   s'auto-embellir

 

Adeh :   le nom de mon chien

 

Flan :   fleuve

 

Sarcasme :   jouer au loto

 

Courbe :   déambuler

 

Satya :   prénom d'une copine

 

Pédoula :  nom des femmes du Pérou

 

Porienvo :   éleveur de porc

 

Grezide : Averse de grêlons

 

Le texte anéantir. Tous les matins je me surenchère pour être comme Satya. Je pars avec Adeh voir porcienvo, tout en courbe. En arrivant pour sarcasmer avec le buraliste nous avons parlé des pauvres pédoulas. En repartant nous sommes passés à côté du Flan, d'un seul coup une averse de grezides.

Patricia


 

 

Anéantir :   mentir en disant n'importe quoi

 

Surenchère :    négocier les prix quand la vie est trop chère

 

Adeh :    interjection pour inciter une personne à aller plus vite

 

Flan :   bruit d'une serviette mouillée qui tombe par terre

 

Sarcasme :    marionnette qui fait peur

 

Courbe :    personne tout en rondeur

 

Satya :    village en Inde

 

Pédoula :   nom du marionnettiste

 

Porienvo:    galette de maïs

 

Grezide :  qui marche si vite que nul ne peut le rattraper

 

La ville de Satya, en Inde est extrêmement connue pour son théâtre de marionnettes géantes que l'on appelle là-bas des sarcasmes. Leurs visage sont terrifiants et leur façon de se déplacer terrorise le public qui, comme vous le savez; aime à se faire peur. La plupart du temps elles anéantissent sur des fonds sonores comme flan ! cric ! boum ! Pédoula est le meilleur marionnettiste indien. C'était un courbe qui se nourrit quasi excusivement de Porienvo. C'est un grézide et dans la rue, sans cesse, il crie "adeh ! adeh" à son fils. Il est très radin, il fait toujours de la surenchère, surtout depuis l'augmentation des prix.

Martine

 

Anéantir :   Un âne qui aime tirer quelque chose 

 

Surenchère :     matière couvrant la chair

 

Adeh :     lettre “A” avant le “D” dans l'ordre alphabétique

 

Flan :   lettre “F” dite lentement

 

Sarcasme :     un cas particulier

 

Courbe :     un mot lent, court

 

Satya :     nom propre d'une déesse norvégienne

 

Pédoula :   Petit pet lâché avec douceur

 

Porienvo:     animal  marin vivant en Antarctique

 

Grezide :   architecte lituanien spécialisé dans la pâte à modeler

 

Satya , déesse norvégienne, se trouve confrontée à un sarcasme particulier. En effet, après avoir rencontré Grezide, elle fut dans l'obligation de lui faire part de ses traditions avec courbe notamment sur le flanc, que ces derniers avaient du mal à comprendre …  même adeh lui paru compliqué. Elle lui présenta Porienvo, son ami toujours, qui, n'ayons pas peur de le dire avait tendance à multiplier les pédoulas. De son côté Grézide liu présenta son Anéantir. Il lui fait part du problème de surenchère que ce dernier traversait. Pouvait-elle l'aider ? l'accompagner ? Après avoir essayé ses propres talents, rien n'y fit …  il décidèrent d'aller chercher de l'aide auprès d'une tierce personne.

 

 Aliénor

 

Jouer avec les mots du dictionnaire et des mots inventés (Staflizu)

Anéantir :   Un âne que l'on tire 

 

Surenchère :     c'est sûr que c'est cher

 

Adeh :      agence de démolition

 

Flan :    fédération du livre d'Australie du Nord

 

Sarcasme :      sardine castrées au Mexique

 

Courbe :      courge à la betterave

 

Satya :    soutien au tourisme

 

Pédoula :    tu es d'où

 

Porienvo:      tu ne vaux rien

 

Grezide :    merci

 

Le livre « Uun âne que l'on tire » a été surenchéri lors de l'exposition à la Fédération du livre d'Australie du Nord. en deuxième et troisième position « Les sardines castrées au Mexique » et  «La courge à la  betterave» dans la ville de Satya, commune de Pédoulas "tu es d'où" en français. Exposition dirigée par Monsieur Porienvo appelé "tu vaux rien". Grézide, merci, en grézidien.

Hocine

 

Jouer avec les mots du dictionnaire et des mots inventés (Staflizu)

 

Harmonie :  Être sur la même longueur d'onde avec tout ce qui nous entoure, être en accord avec soi-même

 

Wurduju :   petite instrument à vent en bois tendre

 

 Quartanier :  qui tient dans le quart d'une année

 

 hyperhypotaxe :  longue et numération de mots servant à mettre en valeur quelque chose ou à l'exagérer

 

Mêralou :   animal mythologique d'Australie représenté le plus souvent avec une tête de coyote, un corps de kangourou, recouvert d'une laine de mouton et avec de grandes ailes divinité bienveillante

 

Caboula :   outils permettant de tailler finement le bois

 

 Les wagimans croyaient en l'existence d'une pléthore de créatures aux allures peu communes. Certaines d'entre elles étaient même vénérées. mais la plus sacrée d'entre toutes était la chimère nommée mêralou.  Un festival durant trois semaines entières lui était dédié tous les deux ans. La tâche la plus importante était la fabrication du wurduju. Ellee pouvait avoir lieu et être avancée que pendant les pleines lune du premier quartanier de l'année. La maîtrise du caboula servant à graver l'effigie du Mêralou  dans le bois de l'instrument demandait de longues années d'expérience. 

J'ai eu la chance de pouvoir assister à ce festival et aucune hyperhypotaxe ne pourrait décrire l'harmonie que j'ai ressenti.

Morgane

 

Harmonie :  artiste moniale

 

Wurduju :  jus d'un fruit qui s'appelle wurdu

 

 Quartanier : Personne sur un bateau ou dans un bataillon, dans une guerrre, qui ne prend son quart que la nuit

 

 hyperhypotaxe : nouvelle taxe inventé par Macron sur chaque animal que l'on a chez soi en particulier les hippopotames et tous les gros animaux

 

Mêralou :  animal avec une tête de mouton et un corps de loup

 

Caboula :  cabane 

 

Autrefois, il y a très très longtemps, vivait sur une île une très très vieille harmonie. cette moniale avait au moins 215 ans !  C'était une artiste, une sculptrice.  Elle créait des hippopotames, des éléphants et pourtant elle n'en avait jamais vu.  Elle se fiait à ce que des voyageurs lui racontaient.  Elle vivait dans une caboula et le secret de sa longévité était qu'elle ne se nourrissait que de wurdu , ou plutôt que du jus de ce fruit.

Mais mais, depuis que Macron, un sacré quartanier était venu lui rendre visite et lui  avait fait payer une hyperhypotaxe, elle ne sculptait plus que de touts petits mêralous  très mignons.

Martine

 

 

Jouer avec les mots du dictionnaire et des mots inventés (Staflizu)

Clouc : un clouc est un clou que l'on n'arrive pas à enfoncer. Pour tout dire, un clou récalcitrant. il se tord, il se casse bref il ne veut pas. 

 

Antipathie :  c'est un animal sans patte dont la nourriture n'est constituée que de pâtes. Il les mange en antipasti, en post-pasti et même au dessert.

 

Kodo : c’est le fait de dormir, pour un koala, plus de vingt heures par jour. Une sorte de maladie, quoi.

 

Brion : C'est un être brillant mais nul en orthographe quand il était petit sa maman le surnommait Bryan

 

Abrègement:  c'est un hébergement de longue durée, mais que l'on abrège, et qui de ce fait dure très peu de temps,  une nuit seulement.

 

C'est l'histoire d'un garçon d'environ 15 ans. Quand il était petit sa maman le surnommait Bryan,  mais son vrai prénom était Moussa.  C'était un garçon extrêmement brillant. Il savait tout (ou presque) sur tout.  Mathématiques, histoire, électricité, langues, même celles réputées les plus difficiles, couture, théâtre, enfin bref, il avait un savoir encyclopédique et une habilité manuelle extraordinaire.  Même les cloucs  ne lui résistait pas, c'est dire !  Son seul point faible était l'orthographe. Eh oui, nul n'est parfait !

Son animal de compagnie était un antipathie. très docile, doux, câlin, il était aussi peu exigeant pour ses repas.  Matin, midi et soir il mangeait des pâtes cuites à l'eau.

Sans patte, pour se déplacer, il se tortillait comme un ver de terre.  Pas très rapide.  Moussa ne pouvait pas le promener en laisse, sinon il salissait tout son beau pelage roux.  Non, ce garçon avait trouvé une poussette dans la rue et c'est dans cette carriole qu'il lui faisait prendre l'air.

Moussa avait aussi un koala chez lui. Mais ce pauvre animal était atteint de kodo, c'est bien qu'il restait toute la journée accroché à son arbre, les yeux mi-clos. 

Un jour, le jeune garçon décide à partir en vacances avec son antipathie et son koala pour leur faire voir du pays. Malheureusement pour lui, il tomba sur un abrègement et, au lieu de la semaine qu'il avait imaginé idyllique, elle prit fin dès le lendemain. 

Martine

 

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 31 Mars 2023

La première chose que je fais en arrivant au travail c'est de me faire un café. Mon métier c'est employé polyvalent dans une recyclerie. Je peux faire de la collecte de vêtements, des livraisons ou enlèvements de meubles. Je peux aussi m'occuper de nettoyer la vaisselle, tester les objets électroniques, étiqueter des produits, faire du cintrage ou encore trier les meubles, outils ou les vêtements des clients. Ce qui m'ennuie c'était le tri mais j'aime faire des livraisons ou des enlèvements. Je travaille avec des diables et des gants de protection pour transporter les objets lourds.

Non signé 

 

Dire son travail

Manpower bureau de Saint-Étienne avant l'ère  généralisée des ordinateurs

 Description d'un objet

Un fichier dedans, une fiche par demandeur d'emploi. Nom, prénom, adresse, numéro de téléphone, emploi recherché, expériences, diplômes.

Description du travail

Faire le point avec chaque personne sur le travail point sont-ils encore en recherche ? je dois leur téléphoner.

Une chose qui m'a surprise

 la violente réaction d'un interlocuteur à qui je  demandais  où Madame X en était et qui m'a répondu  en insultant cette femme, la sienne, partie avec un autre. Après coup, j'ai ris.

 

Les premières choses que je fais en arrivant à l'ADAPT

Dire bonjour à l'accueil,  prendre l'ascenseur,  allumer la lumière, ouvrir les stores,  poser ma veste, mes sacs,  sortir les textes  écrits la dernière fois et les poser sur la table,  sortir le thème de l'atelier, faire les photocopies si nécessaire,  notez la liste des inscrits,  accueillir les arrivants,  faire l'appel et cocher les présents.

 

Martine

 

Dire son travail

La première chose que je fais au travail est de préparer de café, Un pour le chef et le deuxième pour moi. Je le bois en discutant des tâches à réaliser pendant la matinée. Une fois le café fini on met de la musique et on travaille en chantant.  Ce qui m'enthousiasme c'est de faire les préparations du matin, que ce soir pour les entrées et les desserts que pour les gourmandises. Je goûte à tout.

Chloé

 

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 21 Mars 2023

 

Dans ma cabane pour jouer rigoler avec mes amis jouer à la console écouter de la musique et des chansons faire de la cuisine faire la fête regarder la télé réviser les cours faire une piscine la cabane faire de la peinture

Lou 

 

 

 Ma cabane se trouve dans le royaume de Peter Pan. J'ai trois cochons Bugsyi, Tyson et Rex, j'ai un bois qui se trouve en bas de ma cabane. j'ai un lit douillet à base de paille où je trouve refuge avec des beaux draps. C'est aussi le camping de mon enfance, et une maison qui me permet de me retrouver.

Non signé

 

Ma cabane est/et la tienne 2

 

Il y avait un bois autour de chez moi, j'avais fait une cabane en bois à côté d'un étang non loin. Les bruits que les canes produisaient avec leurs becs me faisaient penser à une musique de Jean-Sébastien Bach. Nous y avons passé toute notre enfance avec mon ami. C'était comme notre maison, notre refuge

Etoile noire

 

Il était une fois un petit garçon qui construisit une  petite cabane  en bois et il invita des amis pour leur montrer sa cabane.

Clément

Il était une fois Francis Cabrel qui chantait « Le lac de Connemara » devant la cabane au fond du jardin des Simpson quand soudain Tom Sawyer arriva.

 

Bart, le fils des Simpson remarqua les deux personnes et il les vit monter dans sa cabane. Il prit donc sur lance-pierre les visas et ils tombèrent sur le choc.

 

Cabrel cria « Qui est ce chenapan qui a fait ça ? ».

 

Bar sortie et dit calmement : « C'est moi et cette cabane est la mienne je l'ai construit par moi-même ».

 

Francis Cabrel allait chanter « Oh Marie si tu savais » mais Bart pris la canne de son grand-père qu'il avait et la pointa.

 

Tom Sawyer abasourdi « Non mais moi je cherchais la cabane du pêcheur ! ».

 

Bart lui dis : « bah ça n'existe pas ici ».

 

Tom parti et finalement Francis aussi en chantant avec un cri assez particulier : « La la la la la !... »

 

Karma

Dans une forêt au Canada il y a un grand chêne.

En haut de ce chêne il y a une cabane en bois.

Quand on regarde par la fenêtre il y a une vue, plus qu'une vue une très belle vue. On voit l'océan Pacifique.

La cabane est colorée et florale. il y a des roses, des tulipes et plein d'autres fleurs.

Autour de la cabane il y a un balcon avec des barrières.

Dans la cabane il y a une panière à fruits créé avec des feuilles et des branches. Brandon prend une liane et va chercher des fruits, il récupèrent des fraises, des mûres, de la mangue et plein d'autres fruits.

Puis il va chercher de l'eau sur la route.

Il rencontre des fourmis rouges, des singes.

Il rencontre une fille qui s'appelle Anna. Il lui dit : "Je te présente ma cabane et elle est à toi !".

Florian

Ma cabane est/et la tienne 2

 

Nostalgie de l'enfance

 

Ma cabane, isolée comme dans une bulle

 

Une cabane dans la cour de l'école maternelle ou de l'école primaire, 

 

Sur le balcon, mon frère et moi, on faisait une cabane avec une couverture

 

Je suis égoïste, Ma cabane c'est MA cabane

 

Jeux de cache-cache, on joue au loup. 

 

Bouchra

 

Ma cabane est/et la tienne 2

 

Il y a une cabane au Canada, où il y a un petit enfant, il joue avec ses amis, il partage les repas et l'enfant était le propriétaire de sa cabane et l'enfant était riche parce qu'il avait des parents riches. Chaque fois il a porté des vêtements Dolce & Gabbana. L'enfant a construit la cabane avec ses parents et chaque jour les enfants regardent les Simpson.

Yasmine

 

Ma cabane est/et la tienne 2

 

Invitation dans ma cabane,

Vous êtes invités à ma cabane, dans les champs de canne à sucre sur les hauteurs de La Réunion, à côté des plantations de banane; à l'entrée un bac de fleurs vous indique où tourner. Nous nous désaltérerons dans un cadre idyllique. Je suis fière de mon gourbi, ma petite habitation sommaire mais pas au Canada.

Patricia

 

Ma cabane est/et la tienne 2

 

Une cane quitta sa belle cabane nichée au fond du jardin pour se retrouver sur un banc à Cannes à écouter du Bach tout en mangeant des calamars avec une sauce aux bananes. Elle ne pouvait rentrer chez elle car elle avait perdu les clés du cadenas de son portail. Soudain, Tom Sawyer passa et lui dit : "Viens et suis-moi petite canne je vais te prêter ma cabane, car c'est aussi la tienne et tu auras l'usurefruit le temps que tu le voudras".

Jean-Christophe

 

Ma cabane est/et la tienne 2


Ma cabane est la tienne prends-en soin, on écoute du Francis Cabrel au fond du jardin au Canada. Il y a une petite télé et un petit canapé, on se repose sur le canapé en regardant les Simpson comme dans notre enfance. La petite maison dans l'arbre en plastique était en construction depuis un moment. elle est faite aussi en bois, au moins on est à l'abri de la pluie. On s'allonge sur le canapé en regardant Tom Sawyer à la télé.

Kujtim

Ma cabane est/et la tienne 2

 

Dans les bois derrière chez moi il y a une cabane en bois. La pauvre est maintenant toute délabrée et à moitié effondrée. A bien y regarder, la forêt était aussi en piteux état, si l'on peut encore appeler cela une forêt avec un grand nombre de ses arbres coupés pour faire place à des habitations.

Et pourtant, au même moment je vois ma cabane comme neuve, se tenant droite et fière, et le bois, plein de vie et de mystère. Oui, dans le monde de mes souvenirs, il continue d'exister dans le même état qu'au premier jour. Je me souviens des moments passés à construire notre refuge avec ma sœur et mon père. Ces têtes-à-têtes avec ma radio, entre un morceau des Blues Brothers et une composition de Bach. Je me souviens des amis à qui j'avais donné le mot de passe, leur ofrant ainsi la clé de la cabane. Que d'aventure nous avons vécu, quand les oiseaux chantaient, le soleil brillait là-haut dans les nuages.

Morgane 

 

Ma cabane est/et la tienne 2

 

Il était une fois un homme qui s'appelait Jean.

Depuis petit Jean est seul, ses parents l'ont abandonné dans les bois. Il a dû faire face à beaucoup d'épreuves comme créer sa propre cabane en bois. Il a fait plusieurs essais, il a créé une maison en paille mais elle n'a pas duré.

Jean n'avait pas d'ami, c'était le seul être humain dans ces bois. Il a dû se faire ami avec les animaux dans les bois. Son meilleur ami était un bec qui s'appelait Tonnerre. Il l'a rencontré dès sa naissance.

Un jour, pour se nourrir Jean a trouvé trois petits cochons, il ne voulait pas les manger car il avait de la peine pour eux mais Jean étais affamé, il n'a pas eu le choix.

Son ami Tonnerre était fâché contre Jean car il a mangé les cochons et c'était la fin de leur amitié. 

Waël

 

 

 

Ma cabane est/et la tienne 2

 

La cabane

Aussi appelée la détention. Mon frère est là-bas. Je lui rends souvent visite même si c'est dur pour moi. Je n'ai pas vu mon frère depuis deux ans.

Ma cabane est au Canada dans les arbres. J'ai fabriqué une cabane et j'ai décidé de partir avec mon chien, je me nourris en pêchant des poissons; je reçois de la compagnie

Liamine

 

Ma cabane est/et la tienne 2

Quand j'étais jeune je partais en vacances à Cannes. Nous n'allions pas dans les grands palaces, non, nous n'étions pas assez richeq pour ça. Nous louions une cabane de pêcheur. Pas une cabane en paille, comme celle des petits cochons, non, une cabane en bois au bord de l'eau. Le matin, la musique des oiseaux mais pas celle de Jean-Sébastien Bach nous réveillait. Quand je dis musique, c'était plus les cris discordants des mouettes. et puis aussi celle des éboueurs et de leur benne à ordures. Je préparais alors mon bac et me réveiller tôt m'arrangeait bien. Jinvitais souvent mon petit copain de l'époque dès que nos parents avec le dos tournés. Nous retournions alors dans les draps déjà refroidiq et froissés d'une nuit calme et sans cauchemar. La suite je ne vous la raconterai pas.

Martine

 

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Ateliers d'écriture adultes

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Publié le 19 Mars 2023

Tic-tac tic-tac

 

Le plastique me détraque, dur d'être authentique. moi j’suis pas Jeanne d'Arc ni Rosa Park.

 

Tic-tac tic tac

 

Je prends une claque chaque fois que j’ vois l'océan Atlantique rempli de sac en plastique en vrac.

 

Tic-tac tic-tac

 

Tout ça c'est qu’une histoire de fric et d’politique.

 

Tic-tac tic-tac

 

Mais pas de panique, quand tout se détraque, y a Jacques et ses mimiques de loustic qui traque ces packs.

 

Tic-tac tic-tac

 

Il pique ces sacs avec son pic à glace ou sa matraque sur toutes les flaques et tous les lacs.

 

Tic-tac tic-tac

 

Pas b’soin d'aller à la fac pour comprendre ça, c'est pas d’la physique quantique, juste de la logique.

 

Tic-tac tic-tac

 

Et quand les moustiques pondent et dansent dans ces sacs, ils piquent.

 

Tic-tac tic-tac

 

Tous les trucs de boutique, le mastic, les trucs en vrac les rendent patraques.

 

Et CLAC !

 

Martine

Année-lumière

 

L'étoile morte hume le ciel, annule le trou noir et s'illumine telle une reine, hier, aujourd'hui, et demain.

 

Mais un satellite en alu, telle une île errante murmure, amer et lunaire

 

« Ô toi, étoile morte

mon âme iranienne

comme je t'aime ! »

 

Atelier Slam à Vernaison

Depuis Pâques Andromaque est devenu hypocondriaque, c'est pathétique, elle est couverte de morbacs attrapés à cause d'un yack alors qu'elle était en Attique, tic-tac. Ils lui ont sauté sur le colbach.Pauvre loustique! Elle a beau écouter du bach en consommant du crack, prendre des claques, clac ! pendant les entractes, se faire dévorer par des moustiques, tic ! Les morbacs l'attaquent et contre-attaquent. Pas sympathique. Entrer dans le bac (à sable), se couvrir d'encaustique ou se laver dans un bac (à linge) tout ça n'est pas pratique ni esthétique encore moins éthique, tout au plus rustique. Quel mic-mac! Même plonger dans l'Antarctique, rien à faire. Pauvre Andromaque, elle a vraiment le trac ! Faudra-t-il remonter dans le temps jusqu'à la période antique, voire préhistorique ou paléolithique pour donner une bonne claque à ces morbachs? Plutôt attraper des puces, ça pourrait être une astuce !? Qui sait ?

Martine

 

Atelier Slam à Vernaison

Des amours de Neptune et d'Agathe sont nés Lucrèce et Anne-Marie. Neptune, tel un Arlequin venu des abysses a eu du nez. Il a d'abord vu Annick portant un bouquet de mimosa tout en mangeant de la mimolette. Neptune, tel un mirliflore lubrique a fait une prière à cette printanière épicière, en vain. À la lutte, néant.

Interlude … 

Il a ensuite nettoyé son néon, mitigé son lubrifiant, puis téléphoné à sa sommelière. Enfin il a allumé une luciole. Bien sûr Agathe a succombé à ses agapes. s'est enivrée de son agave. De leur mixité ludique au clair de lune au son du mirliton est apparu, non un mirage, mais un mariage d'où sont donc issus Anne-Marie et Lucrèce nées dans la célèbre ville d'Hyère.

E toute cette histoire ne date pas d'hier.

 

Atelier Slam à Vernaison

 

  Pour l'anniversaire de Patricia

 

Le temps passe et tu restes.

 

Tu n'es ni Jeanne d'Arc

ni Rosa Park

 

Mais tu es fantastique et unique.

 

Tu réponds du tac au tac quand tu es sur Tik Tok

 

50 ans, un âge critique ? Mais non, c'est fantastique

 

Pas de patatrac ni d'oeufs de Pâques

seulement quelques cantiques en playback pour des feedback sympathiques

 

Tu ne fais pas de politique seulement des textes poétiques

 

Toujours chic, tu as vécu au sud de l'Afrique : as-tu vu quelques macaques  aphasiques dans le parc botanique ?

 

Tu fais pitié par des moussemoustiques, ces sacré loustic qui pondent dans lac et flaques.

 

As-tu au moins passé ton bac ou écouté du bac choisi dans le bac (du disquaire).

 

Cinquantenaire, d'accord que ta fête soit esthétique si ce n'est rustique, en tout cas rien de pathétique.

50 ans c'est FANTASTIQUE !

Martine

 

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Rédigé par Martine Silberstein

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Publié le 14 Mars 2023

 

Micheline,

Célibataire tu rendais visites à ma famille le week-end et tu nous gardais quand mes parents sortaient.

Tu as vécu longtemps seule à Paris, puis à Nice, où tu t'occupais de ta mère, ma grand-mère.

Ton visage était constellé de taches de rousseur, tu avais, me disais-tu, « pris le soleil à travers une par soir ».

Très myope, tu portais des verres très épais.

Très drôle, nous riions souvent et tu me faisais des blagues que je n'ai pas oubliées      « c'est le plombier ! » quand, à l'interphone, mamie demandait qui sonnait.

Tu n'avais qu'un grand lit dans ton minuscule studio que nous partagions quand je venais en vacances.

 

 

 il y a dans la vie de Micheline

 des blagues

 de l'amour

 et des taches de rousseur

 

 il y a de l'amour

 des regards 

 un grand lit

 

 il y a des regards

 le partage

 la famille

 

 il y a le partage

 les voyages

 des cadeaux

 

 dans la vie de Micheline

 il y a des blagues

 de l'amour

 des regards

 le partage

Martine

8 mars jour du droit des femmes

Anaëlle, ma fille

Ma fille m'a appris ce qu’est aimer, ce qu’est donner et recevoir. Elle représente l’amour, c’est un trésor. Elle est forte et intelligente, sans parler de sa beauté. Je lui donne beaucoup de surnoms la caractérisant : ma chérie, me beauté, mon amourette, mon trésor, mon bonbon…

En un mot, ce qui la représente : l’Amour. Je ferai tout pour elle.

Aliénor

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Rédigé par Martine Silberstein

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Publié le 12 Mars 2023

Déchirer une feuille, un geste violent, bruyant pour dire quoi ?

 

Pour montrer sa souffrance intérieure. Se libérer de tout ce qui peut bloquer notre chemin vers l'avant. Tout geste violent peut engendrer une conséquence dont on ne mesure pas l'ampleur.

 

Une simple feuille déchirée peut provoquer un cataclysme, tout dépend ce qu'elle contenait. Déchirer le dessin, un poème, fait par un enfant peut déclencher une crise de larmes. Les morceaux ne se recollent jamais plus. Ce gamin se souviendra toute sa vie de cette offense et sa souffrance de s'effacera pas de sitôt. En humain il grandira avec une déchirure au cœur, et même s'il reste vivant, la douleur restera vive toute sa vie. Il devra se libérer de tout ce qui bloque son chemin pour aller de l'avant qui le prendra par la main pour aller voir vers demain. Et enfin apaiser sa faim et sa soif de vivre

 

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Textes personnels

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Publié le 12 Mars 2023

Prise de conscience

 

Ma petite fille adore aller au zoo, moi pas.

 

Depuis que j'ai pris conscience que cirque ou zoo, les animaux je les aime en liberté. Et, sans être végétarienne ou végane je mange moins de viande.

 

Elle a ses arguments :  « Mais, mamie, ce panda  jamais connu que captivité, la Chine, la covid, et les forêts de bambou, il les a jamais vu ! ».

 

Bon, on est quand même allé au zoo, il paraît que c'est un « conservatoire des espèces en voie de disparition ».

 

Alors, cet éléphant, si lent, Asie ou Afrique. Je ne sais pas. « Mais si, regarde c'est écrit ici ».

 

Et cet élan, avec ses grands bois, tu crois pas qu'il serait mieux à tirer le traîneau du Père Noël ?  Ah, tu y crois encore à ces fariboles ?  Et puis moi, on m'a toujours parlé des rennes du Père Noël, pas d'élan. Bref, il serait mieux dans la toundra à brouter des feuilles et du lichen, plutôt qu'au milieu de ces arbres en plastoc non ?

 

Oh, une grenouille, ça me fait penser à des nouilles, j'ai le ventre qui gargouille, tu entends ?  Ouh ! Il fait chaud ! Tu transpires pas trop avec cette petite laine  ? J'ai eu du nez de mettre un chapeau, pas un souffle d'air ici.

 

Mais que fait cet agneau dans ce zoo tu as vu ce doit être une espèce bien spéciale, il a le pelage tout doré. Il s'est égaré ou quoi ? Un agneau sans sa mère et son troupeau, c'est triste, il a l'air un peu hagard.

 

Mais c'est quoi, ce zoo, voilà une vache normande, maintenant. Normande ? Ben oui, regarde, ses taches noires et blanches comme les touches de mon piano.

 

Grenouille, agneaux, vache et voilà un chat aux pattes en l'air maintenant, et personne pour le caresser, quelle misère !

 

Cela me rappelle les chiens en cage au zoo à Pékin. Ça m'a fait tout bizarre, comme ici.

 

J'ai dû remord d'être venu ici, nous avons vraiment eu tort, écoute ce vacarme, je ne crois vraiment pas qu'il soit heureux les pauvres. J'ai les cheveux qui se dressent sur la tête, les Les dents qui claquent et ce n'est pas de froid, tu sais.

 

Sèche tes larmes, mamie, Dieu, et là-haut en train d'écrire un nouveau chapitre et, nous, son troupeau tu avais raison, nous devons prendre conscience que le zoo n’est qu'un prétexte, le mieux c'est de préserver la vraie nature avec des animaux en liberté

 

Ça sent la mort ici pas la vie

Prise de conscience

Chaque peuple, chaque culture, à sa langue, son langage qui donne à voir ses traditions. Tel aura un vocabulaire très précis sur les techniques de chasse ou de pêche. Les mots de tel autre trahira son plaisir de cuisiner et de se retrouver autour d'un bon repas avec ses voisins et ses amis, dans son logement ou dehors en plein air. Certains peuples autochtones vivaient sur d’immenses espace sur la terre de leurs ancêtres et l'on peut se poser la question, en tant qu'anthropologue ou sociologue ce que la privation de liberté peut changer. Quelle évolution la langue subit-elle ?

 

Pouvez-vous Fiore Longo nous parler de cette évolution

 

Oui bien sûr, certaines personnes appartenant à ces peuples, des militants, se retrouvent en prison pour avoir donné de la voix contre ces politiques. Leurs familles inventent alors des modes de communication que je dirais presque secret pour continuer à échanger entre eux et avec les prisonniers afin d'échapper à la censure. C'est un véritable traumatisme pour nombre d'enfants car cela coupe véritablement leur spontanéité et influe sur leur humeur. Cela va même jusqu'à modifier la place des accents toniques dans certains mots employés. La voix devient chuchotée, les cris et les rires ne raisonnent plus dans les espaces publics.

 

Pensez-vous que la résilience est possible ?

 

Pour certains, je pense que oui, mais à très long terme. Des chamans dans certains villages passent par les mères de famille pour affronter ce problème, mais ce sera long. Ailleurs, dans les centres médicaux, quand il y en a, les psychologues jouent aussi ce rôle. Mais le sentiment dominant parmi eux c'est qu'il y a comme un mur, une grille, qui est tombé entre l'avant et l'après de cette réduction de l'étendue de leur territoire, leur lutte et la répression qu'ils subissent.

 

Hélène Mazelstein

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Textes personnels

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Publié le 12 Mars 2023

Rouge, orange et vert

Voilà le dragon des îles

Kimono d'automne

 

Le bonheur est là

Chrysanthème, dragon, couleur

Harmonie de soie

 

Avec sa langue rouge

Ce dragon si souriant

Que veut-il nous dire

 

Îles vertes du Japon

Ou vol, puissant, un dragon

Souvenir heureux

 

Quand te reverrai-je ?

Nobuaki, mon ami

Retour au Japon

 

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Textes personnels

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Publié le 12 Mars 2023

LE FEU L'AIR L'EAU

 

Seul le ciel est d'un bleu cruel, cru, nul nuage d'obscurcit le soleil si puissant.

 

La victoire du feu est totale.

 

Total ?

 

La petite goutte d'eau, les litres d'eau, les centaines de milliers de gouttes d'eau, les vagues innombrables de la mer n'ont pas dit leur dernier mot

 

Tels des samouraïs antiques, des samouraïs aquatiques, elles viendront, furieuses, courageuses, s'évaporer au-dessus de l'immensité liquide de l'océan.

 

La vapeur s'élèvera haut dans le ciel, il se couvrira d'un épais tapis ouaté et blanc.

 

Il masquera le soleil grimaçant comme un couvercle circulaire, neutralisant sa chaleur.

 

Puis, poussé par le vent, ce cercle moelleux, concentré de toutes les sources millénaires, se déplacera suivant plaines et collines, steppes et plateaux. Il se heurtera aux plus hauts sommets des plus hautes montagnes du monde.

 

Là, pris par le froid, l'eau se déversera en cataracte, en cyclone, en ouragan et dévalera les pentes.

 

Elle retrouvera le cours sinueux des rus, ruisseaux torrents, lacs, étangs, rivières et fleuves.

 

Les graines endormies germeront, les herbes grandiront, les arbres fleuriront, les fruits mûriront. Des oiseaux venus de contrées lointaines éparpilleront les graines des orbes.

 

Des anges survolant la terre iront quérir les géants couleurs fuchsia.

 

Ensemble, de vastes maisons ils bâtiront.

 

Que des hommes, revenus, s'approprieront.

 

De leur songe, la terre repeupleront. Les pinsons pépieront; les rossignols chanteront, les tourterelles recouleront

 

Et tout recommencera.

LE FEU L'AIR L'EAU

Sur terre le feu est attiré par l'air et l'eau l'éteint

 

Feu follet léger léger

 

Cours cours sur la terre si chaude

 

Le ruisselet ne sinue plus entre les arbres, les herbes, les orbes et les fibres du fuchsia

 

D'ailleurs de pâquerettes, de sapin, de pinson de prison, de songe, de géant, d'ange, de chrysanthème, de maison, il n'y a plus

 

Tout est parti en fumée, le vent et l'air chaud de l'été la bien aidé

 

Le feu puissant s'est rincé les pieds dans le ruisselait et l’a asséché

 

Tout est devenu noir

 

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Rédigé par Martine Silberstein

Publié dans #Textes personnels

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Publié le 8 Mars 2023

 

En avril ne te découvre pas d'un fil, en mai fais ce qu'il te plaît

Avoir le couteau sous la gorge

Remuer le couteau dans la plaie

Noël aux le balcon Pâques aux tisons

Gagner sa croûte (photographier son pain, en arabe)

Mettre la charrue avant les bœufs

L'union fait la force

Un pour tous tous pour un

 Pleure tu pisseras moins

 Vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué

 être un garçon manqué

 pleurer comme une fille

 lanceur d'alerte

 faire des plans sur la comète

 tu n'as rien dans le citron

 un truc à la mord-moi le noeud

 être habillé comme  un sac de patate

 aller aux fraises pantalon  avoir le feu au plancher trop court

 sucré les fraises

 rentrez vos poules je sors mes co  en Normandie mes coqs

 un brouillard à couper au couteau 

c'est pas piqué des hannetons des vers

a fa pro cho  il fait pas chaud Bressan

 avoir la pêche

 mettre aux oubliettes

 je peux pas le voir en peinture

 faire la chouille  fête

 épater la galerie

 avoir le moral dans les chaussettes avoir le moral à zéro

pelo chape ton bigo  mec prends ton téléphone

 être pompette

 avoir la boule au ventre

 prêcher le faux pour savoir le vrai

 quand les poules auront des dents

 il pleut comme vache qui pisse

 Boutonnet pierre avec Paul boutonnée lundi avec mardi 

 ne pas avoir la lumière le gaz à tous les étages

 

 

Avec des expressions

 

 Faut quand même y aller

 

Il est temps de débuter la montée de cette montagne,  après une pause non voulue, arrivée par surprise qui a tout bouleversé dans ma tête.

 

Malgré tout il me reste du pain sur la planche pour mener à bien d'autres projets plus accessibles en sachant que je vais me délecter de nouveaux challenges et défis.

 

Le tout est de laisser une image positive, un esprit productif si le destin continue à me prêter du temps.

 

Texte non signé

 

Avec des expressions


J'avais une araignée au plafond avec un œil qui dit merde à l'autre. J'ai tiré une sonnette d'alarme pour guérir au mieux.  Mon futur, je souhaite en mettre plein la vue avec mon indépendance, arrêter de boutonner pierre avec Paul. Je suis souvent dans les nuages avec le moral dans les chaussettes, fatiguée même en dormant à poings fermés, sur mes deux oreilles je fais des pieds et des mains pour me rééduquer du cerveau. Je vois mon avenir en regardant par le trou de la serrure, j'ai la clé, je veux réussir, j'ai l'oreille fine pour mon entretien de stage.

Patricia

Avec des expressions

Elle pleura toutes les larmes de son corps, les larmes de crocodile étaient vraies, elle avait vendu la peau de l'ourse avant de l'avoir tué, elle avait fait des plans sur la comette, elle devaiss'en vouloir, mais le mal était fait. Elle n'avais pas gardé la surprise, elle avait pêché sur la relation et finit par se prendre un vent.

Vent d'ange.

Avec des expressions

Il y a fort longtemps deux chevaliers combattirent et jamais ne s'arrêtèrent jusqu'aç ce qu'ils se disent : Mon frère, je vais pleiurer toutes les larmes de mon corps et tu me verras dans l'au-delà.

Mélodie 

Avec des expressions

Moi, je pète la forme, même si j'ai passé une nuit blanche parce que j'ai peur de déclarer ma flamme à ce jeune homme, du coup, j'ai le moral à zéro et je pleure toutes les larmes de mon corps.

Yasmine et Jean-Christophe 

Avec des expressions

Crocodile, tu pleures ? pleure, tu pisseras moins !  le singe a cassé ta tirelire et personne n'a tiré la sonnette d'alarme. Et toi, dos comme un agneau, mais paresseux comme un loir tu es resté à te vautrer dans la boue. Tu as des cacarinettes dans la tête !  Tu aurais dû te battre comme un lion, au lieu d'être copain comme cochon avec le ouistiti, ça te joue des tours, pas vrai ?

Martine

 

Il a la tête dans les nuages mais en même temps les pieds sur terre car il mesure 10000 m.  il ne cesse d'avoir la dalle et mange comme quatre toutes les dix minutes.  il voudrait déclarer sa flamme à l'Everest mais son moral ne fait que diminuer à cause des nombreuses nuits blanches passées à se tirer les vers du nez.  « Est-ce que Eve voudrais de moi à ses pieds ? ».


Non signé

 

Avec des expressions

Il était une fois trois petits cochons bêtes comme leurs pieds et très grassouillets.

Le premier beau comme un astre

Le deuxième vif comme le vif d'or

Le troisième sage comme une image

Les trois petits cochons bien que différetds s'entendaient comme copains comme cochons. Ils désiraient aller dans la forêt ramasser du bois pour le feu ainsi que des baies et des champignons pour le dîner et c'est le plus sage qui s'y colle car les deux autres n'en branlent pas une. Une fois le souper fini, ils dévorent un livre et vont se coucher et dormir à poings fermés.

Chloé

 

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Rédigé par Martine Silberstein

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