Chroniques de l’oiseau à ressort
Haruki Murakami est un auteur japonais que j’aime beaucoup lire. On y découvre un monde étrange. Des mondes parallèles. Une civilisation, une culture et une mentalité surprenante. J’ai un ami japonais, artiste, Nobuaki Takekawa (http://la-martine-a-ecrire.over-blog.com/tag/biennale%20d%27art%20contemporain/) et aussi (http://2013.labiennaledelyon.com/accueil/pistes-pedagogiques/nobuaki-takekawa.html) à qui j’ai posé cette question : « Tous les Japonais sont-ils comme Haruki Murakami ? ». Il m’a répondu « Non, pas du tout ! ». Comme quoi…
Atelier d’écriture
Voici ce que j’attends de vous : avec les titres, tout ou partie de titres, inventez une histoire qui sera très certainement très mystérieuse, fantastique, bizarre, voire bizarroïde mais qui sera peut-être tout aussi bien très réaliste, autobiographique, collant à l’actualité ou à l’histoire ou à l’Histoire avec un grand H !
Faites comme d’habitude, pour tous les ateliers que vous commencez maintenant à apprivoiser, vous interprétez, vous adaptez, vous suivez ou ne suivez pas mes consignes. Un seul principe : écrire ! Amusez-vous bien !
Auteur : Haruki Murakami
Titre du livre : Chroniques de l’oiseau à ressort
Table des matières
Première Partie : La pie voleuse
Le mardi de l’oiseau à ressort ; six doigts et quatre seins
Pleine lune et éclipse solaire ; les chevaux meurent dans les granges
Le chapeau de Malta Kano ; tons sorbet ; Allen Ginsberg et les croisés
La tour haute et le puits profond
Intoxiqué aux pastilles au citron ; l’oiseau incapable de voler et le puits à sec
Le pressing du bonheur
Réflexion sur la souffrance
Conduits souterrains et manque d’électricité ; les théories de May Kasahara sur les perruques
Magic Touch ; mort dans une baignoire ; le distributeur de souvenirs
Ce qui émergea de la boue tiède ; l’eau de toilette
Deuxième partie : L’oiseau prophète
L’histoire des singes de l’île banale
Perte de la grâce divine
Paysages de villes lointaines ; la demi-lune éternelle ; l’échelle en place
Transmission de patrimoine ; réflexion sur les méduses
La racine du désir ; à travers le mur de la chambre 208
Le puits et les étoiles ; comment l’échelle disparut
Douloureuse sensation de faim ; l’oiseau prophète
Ce que j’ai découvert en me rasant ; et à mon réveil
Le nom adéquat ; brûlée à l’huile de salade un matin d’été
Le plus simple ; la chose dans un étui à guitare
Les bonnes nouvelles sont annoncées à mi-voix
Troisième Partie : L’oiseleur
L’énigme de la demeure des pendus
L’hiver de l’oiseau à ressort
Réveil d’hibernation ; encore une carte de visite ; l’anonymat de l’argent
Péripéties dans la nuit
Les chaussures neuves ; retour à la maison
L’endroit que l’on peut trouver en réfléchissant bien
Cannelle et muscade
L’attaque du zoo ou un massacre maladroit
Cette pelle est-elle réelle ? Incident au cœur de la nuit
L’homme qui attendait ; l’oisiveté est la mère de tous les vices
L’étrange langage des signes de Cannelle ; offrande de musique
C’est peut-être ici que tout s’arrête
L’épuisement et le fardeau du monde ; la lampe magique
Le salon d’essayage ; le successeur
La fille des crapauds sans cervelle
Labyrinthe souterrain ; les deux portes de Cannelle
Les méduses du monde entier ; la métamorphose
Compter les moutons ; ce qu’il y a au centre du cercle
Alerte rouge ; une longue main tentaculaire
Celui qui nuit ; le fruit mûr
Des oreilles triangulaires ; les clochettes du traineau
On ne peut pas faire confiance dans une maison
Naissance d’une maison vide ; changement de monture
La batte disparaît ; le retour de la pie voleuse
Faire travailler l’imagination d’autrui
Un endroit dangereux ; les téléspectateurs ; l’homme vide
La lueur d’une luciole ; rompre le sortilège
Le monde des réveils qui sonnent le matin
Rien qu’un couteau réel ; la fameuse prophétie
La famille canard ; l’ombre des larmes
Au revoir
Vous en saurez plus sur cet auteur et sur ce livre en allant sur mon site préféré
https://www.babelio.com/auteur/Haruki-Murakami/3041
https://www.babelio.com/livres/Murakami-Chroniques-de-loiseau-a-ressort/4408
Pour en savoir encore plus sur le livre, un blog que je viens de découvrir : http://lechatsurmonepaule.over-blog.fr/2015/03/haruki-murakami-chroniques-de-l-oiseau-a-ressorts.html
http://2013.labiennaledelyon.com/accueil/pistes-pedagogiques/nobuaki-takekawa.html à qui j’ai posé cette question : « Tous les Japonais sont-ils comme Haruki Murakami ? ». Il m’a répondu « Non, pas du tout ! ». Comme quoi…
Atelier d’écriture
Voici ce que j’attends de vous : avec les titres, tout ou partie de titres, inventez une histoire qui sera très certainement très mystérieuse, fantastique, bizarre, voire bizarroïde mais qui sera peut-être tout aussi bien très réaliste, autobiographique, collant à l’actualité ou à l’histoire ou à l’Histoire avec un grand H !
Faites comme d’habitude, pour tous les ateliers que vous commencez maintenant à apprivoiser, vous interprétez, vous adaptez, vous suivez ou ne suivez pas mes consignes. Un seul principe : écrire ! Amusez-vous bien !
Auteur : Haruki Murakami
Titre du livre : Chroniques de l’oiseau à ressort
Table des matières
Première Partie : La pie voleuse
Le mardi de l’oiseau à ressort ; six doigts et quatre seins
Pleine lune et éclipse solaire ; les chevaux meurent dans les granges
Le chapeau de Malta Kano ; tons sorbet ; Allen Ginsberg et les croisés
La tour haute et le puits profond
Intoxiqué aux pastilles au citron ; l’oiseau incapable de voler et le puits à sec
Le pressing du bonheur
Réflexion sur la souffrance
Conduits souterrains et manque d’électricité ; les théories de May Kasahara sur les perruques
Magic Touch ; mort dans une baignoire ; le distributeur de souvenirs
Ce qui émergea de la boue tiède ; l’eau de toilette
Deuxième partie : L’oiseau prophète
L’histoire des singes de l’île banale
Perte de la grâce divine
Paysages de villes lointaines ; la demi-lune éternelle ; l’échelle en place
Transmission de patrimoine ; réflexion sur les méduses
La racine du désir ; à travers le mur de la chambre 208
Le puits et les étoiles ; comment l’échelle disparut
Douloureuse sensation de faim ; l’oiseau prophète
Ce que j’ai découvert en me rasant ; et à mon réveil
Le nom adéquat ; brûlée à l’huile de salade un matin d’été
Le plus simple ; la chose dans un étui à guitare
Les bonnes nouvelles sont annoncées à mi-voix
Troisième Partie : L’oiseleur
L’énigme de la demeure des pendus
L’hiver de l’oiseau à ressort
Réveil d’hibernation ; encore une carte de visite ; l’anonymat de l’argent
Péripéties dans la nuit
Les chaussures neuves ; retour à la maison
L’endroit que l’on peut trouver en réfléchissant bien
Cannelle et muscade
L’attaque du zoo ou un massacre maladroit
Cette pelle est-elle réelle ? Incident au cœur de la nuit
L’homme qui attendait ; l’oisiveté est la mère de tous les vices
L’étrange langage des signes de Cannelle ; offrande de musique
C’est peut-être ici que tout s’arrête
L’épuisement et le fardeau du monde ; la lampe magique
Le salon d’essayage ; le successeur
La fille des crapauds sans cervelle
Labyrinthe souterrain ; les deux portes de Cannelle
Les méduses du monde entier ; la métamorphose
Compter les moutons ; ce qu’il y a au centre du cercle
Alerte rouge ; une longue main tentaculaire
Celui qui nuit ; le fruit mûr
Des oreilles triangulaires ; les clochettes du traineau
On ne peut pas faire confiance dans une maison
Naissance d’une maison vide ; changement de monture
La batte disparaît ; le retour de la pie voleuse
Faire travailler l’imagination d’autrui
Un endroit dangereux ; les téléspectateurs ; l’homme vide
La lueur d’une luciole ; rompre le sortilège
Le monde des réveils qui sonnent le matin
Rien qu’un couteau réel ; la fameuse prophétie
La famille canard ; l’ombre des larmes
Au revoir
Vous en saurez plus sur cet auteur et sur ce livre en allant sur mon site préféré
Il était une fois une fille qui s'appelait Lise qui était une musicienne qui jouait de la guitare. Elle faisait des concerts, à la fin des concerts une personne nommé Samuel vient la voir et lui dit qu'elle jouait très bien et qu'elle avait une belle voix et une très belle guitare.
Alors ils décident de se revoir et de faire et de faire connaissance. Alors ils tombent très amoureux l'un de l'autre et ils sortent ensemble.
Quelques jours plus tard le concert de Lise arriva et une chose horrible arrriva : on lui a volé sa guitare. Elle la cherche partout mais en fin de compte, elle retrouve sa guitare grâce à Samuel. Du coup, elle se dit qu'elle va pouvoir jouer à son concert.
A ce concert, il y avait Samuel et les parents de Lise. A la fin du concert Samuel va voir Lise et lui dit qu'il a quelque chose à lui dire. Il pose un genoux à terre ave un bouquet de fleurs à la main, il sort une boîte avec une bague et il la demanda en mariage.
Il décide de l'annoncer à ses parents qui sont très heureux aussi pour eux.
Et il se dit que le bonheur est là.
Cécile
L'attaque du zoo Magic
Il était. une fois, un jeune homme Davida qui vivait en bord de mer dans un grand chalet. Il y vivait avec son grand-père.
Davida : Bonjour grand-père.
Grand-père : Ah, bonjour mon petit-fils.
Davida : Moi je sors faire du surf à la plage
Grand-père : D'accord mais ne rentre pas trop tard pour le déjeuner.
Il est huit heures du matin. Davida sort et prend sa plache de surf et va dans l'eau et se met à faire du surf. Son Grand-père regarde par la fenêtre son petit-fils et soudain une vague immense retomba sur son petit-fils.
Grand-père : Attentionnnn ! Hurla le Grand-père. Il sortit de la maison aussi vite qu'il put.
Grand-père : Davidaaa ! Davidaaa !
Davida : Oui grand-père, je suis là ! Ne t'inquiète pas, je vais bien. Son Grand-père le voit et le rejoint.
Grand-père : Mais tu ne peux pas faire attention, tu aurai pu mourir, et c'est quoi ce collier autour de ton cou ?
Davida : Quel collier ? Il regarde autour de son cou. Effectivement, il y avait un collier. Il essaie de l'enlever, mais impossible, ça ne marchait pas comme si ça s'était collé à sa peau.
Davida : Ahhn mais c'est quoi, ça ne s'nlève pas !
Grand-père : Hahaha ça t'apprendra à ne pas faire attention !
Le grand-père rit car il savait ce qu'était ce collier mais ne disait rien, il voulait qu'il l'expérimente tout seul car il était magique.
Damla
L’énigme de la demeure du pendu
Il était une fois, Une tour haute et un puits profond, mais à sec.
Si l’on s’aventurait dans ce puits grâce à l’échelle suspendue dans la grange, juste à côté du cheval mort, on arrivait par un conduit souterrain sous une baignoire. Si elle était vide et le bouchon enlevé on arrivait dans la salle de bain de la chambre 208 de l’hôtel situé face à un zoo.
Celui-là même où des animaux avait été massacrés à la tronçonneuse. Vous rappelez-vous ce terrible fait divers ? Il s’était déroulé en 1Q84 et avait fait la une des journaux japonais !
Tous les oiseaux à ressorts, les oiseaux incapables de voler (émeu, autruche et autres kiwi), les singes de l’Île Banale, les méduses, les oiseaux prophètes étaient morts. Seuls avaient survécu les filles crapauds et la famille canard.
Bref.
Retournons à nos moutons.
Me voici dons dans la chambre 208. Je trouvais des pastilles au citron dans la poche d’un pendu. Le goût, excellent, cachait un violent poison dont l’effet immédiat fut une horrible souffrances aux niveau de mes six doigts et de mes quatre seins. Mais grâce à l’eau de toilette, je retrouvais la grâce divine en quelques heures seulement.
Dans cette chambre 208, je trouvais également un chapeau aux tons sorbet. Il m’allait … comme un gant !
Puis tout s’obscurcit tout à coup. C’était une panne d’électricité généralisée dans toute la ville. Je m’endormis.
À mon réveil je ressentais une douloureuse sensation de faim. Après m’être rasé, non sans me couper légèrement, je découvris un étui à guitare, vide de tout instrument à cordes. A la place, une carte de visite et un billet de cinquante euros.
J’enfilais mes chaussures neuves et voulus retourner chez moi.
C’est peut-être ici que tout pourrait s’arrêter.
Et si je me rendais chez ce mystérieux oiseleur ? J’étais épuisé malgré ces quelques heures de sommeil. De plus, j’avais perdu la lampe magique dans le labyrinthe souterrain. Comme alors, trouver cet homme ?
Arrivée au numéro 3 de la rue des Filles sans cervelle, j’hésitais à entrer. Finalement, malgré la main maigre et tentaculaire, « Alerte Rouge maximale », je poussais la porte. La maison était vide. Pas l’ombre d’une larme, ni même d’un couteau. Seul une pie voleuse perchée sur l’épaule d’un homme pendu par les bretelles m’accueillit en jacassant.
Déçu, je retournais chez moi et, aussitôt me mis à ma table de travail pour écrire cette histoire invraisemblable.
Dans ce monde où la nuit est éternelle, où le ciel brille, peuplé de la lueur des étoiles et où cette pleine lune est perpétuellement présente.
Ce monde rempli des vices de l'Homme, qui prend racine au berceau de l'humanité dont la terre est brûlée et les océans sont des larmes.
Dans ce labyrinthe qu'est ce lieu, il existe une prophétie. Un homme dont le coeur est pur devra porter le fardeau de tous. Emergeant peu à peu ce prophète, successeur de l'Homme sera touché d'une grâce divine.
Grâce qui l'embrasa, telle une éclipse solaire pour sonner le réveil de ce monde. Les signes qui perdureront seront des braises, aussi énigmatiques que cette prophétie, elles sont pour autant réelles.
Alexandre
Où puiser la racine du désir ?
Et comment obtenir la grâce divine ?
Au creux de l'hiver, dans la nuit noire et profonde où nulle lune ne luit, écllipsée par les nuages, s'asseoir au entre du cercle, dans une clairière, loin des villes et de leurs hautres tours, dans une forêt touffue.
Attendre que viennent les lucioles, lampes magique.
Attendre que s'ouvre la porte de son esprit.
Attendre la venue d'un son, celui de la musique descendue des étoiles.
C'est peut-être ici que tout s'arrête ... ou commence.
La faim viendra sans doute.
Attendre n'est pas que souffrance.
Attendre n'est pas que mort.
Attendre n'est pas être oisif.
Attendre peut, doit, être réflexion sur soi-même, médiatation, observation de ce qui nous entoure.
Attendre est la plus simple et la plus difficle des choses.
Attendre pour atteindre à la racine du désir, la grâce divine.
Martine