Bondé, comme d'hab'
Publié le 30 Octobre 2017
Texte écrit en atelier par Marie-Rose
Ce matin, dans le bus, comme d'hab' bondé à mourir, je n'ai pas pu avoir une place assise. Du coup, je me suis retrouvée debout serrée comme une sardine, mais je ne vous raconte même pas l'odeur; désagréable à jamais.
C'est à se demander si se parfumer était devenu interdit par la loi.
Impossible de respirer
C'est un empoisonnement
Le parfum qui se dégage de ses aisselles est infect, je suis à la limite de m'étouffer, le petit courant d'air répand la puanteur dans tout le wagon, impossible de respirer. Tic tac encore un arrêt et la délivrance. Le C11 TCL.