Lettre au vent
Publié le 28 Avril 2015
A quand de toi le vent,
Qui souffles sur les champs,
L’air pollué sera absent.
Ta brise que je respire,
Je n’sais ce qu’elle m’inspire.
De tes tornades d’où s’évadent
Des débris souvent capables
De détruire bien des cabanes,
Me chagrine plus qu’la normale.
Chacune de tes tempêtes m’embête,
De ton air je n’sais que faire.
Cependant de toi mon vent,
Je ne retiens qu’les bons moments.
Heureusement il y à Jean-Jean
Mais il fume à chaque instant.
Patrick B.