Centon
Publié le 18 Août 2015
Ce secret ne m'est point étranger
il m'allait qu'à hauteur d'araignée
mais tu as dit là qu'ils voudraient jusqu'à
éclatement des fantômes
et hauteur d'araignée montant aussi au couvant
et la saison des marchands
Tu as dit partout présente, tu te fonds
en moi étouffant un parchemin infante
la salive de la nuit à ton goût caché et fait
dans l'imprimerie
je veux me libérer à reculer
Il me faut encore arriver, mais dans l'avenue des lèvres
il ne fait ni jour ni nuit
une lettre dans la cage
se met sur la toile
je lirai le jour
sur les mers libérées.
D.M